Calamar a écrit :une piècette sur Tapie ?
sa pile Wonder s'use de plus en plus, certains de ses proches disent qu'il passera bientôt de la vie claire à la mort sombre
cair !
https://twitter.com/SophieTapie/status/963450236214575104
Avec Joseph Bonnel, l’USVA a connu ses plus belles heures dans les années 60. L’ancien milieu offensif s’est éteint mardi.
1965 et 1966 resteront comme les plus belles années de l’USVA. Et certainement aussi celles de Joseph Bonnel, pourtant sacré deux fois champion de France en 71 et 72 avec l’OM (plus deux coupes de France). « Ce sont mes meilleurs souvenirs », soutenait ainsi le milieu offensif de Florensac dans nos colonnes en 2013. Il n’avait pourtant rien gagné avec VA (1959-1967, 234 matches de championnat, 42 buts), hormis des sélections en équipe de France (25) et le droit de participer à la Coupe du Monde 1966 en Angleterre. « Les titres avec l’OM, ce ne sont pas les mêmes souvenirs. Avec VA, il y a eu de grandes victoires. On a fait le tour du monde. C’était une belle équipe, avec de bons joueurs, des internationaux. » Et la patte de Robert Domergue. « Il a fallu s’adapter. J’ai eu du mal au début, d’autant que j’avais été transféré pour une grosse somme d’argent (32M de Francs). Mais j’adorais le jeu de Domergue. Mais il fallait s’y faire. Je me souviens que Sansonnetti avait du mal aussi. Les arrières devaient sauter un cran et passer les milieux, et nous, on devait vite venir en soutien pendant qu’un troisième décrochait. » Un jeu spectaculaire. « Les résultats et l’ambiance étaient extraordinaires, mais les salaires étaient catastrophiques. » Parti ensuite à Marseille (67-73), il a eu la consécration qu’il méritait auprès de très grands joueurs, Skoblar et Magnusson.( via la voix du nord)
1965 et 1966 resteront comme les plus belles années de l’USVA. Et certainement aussi celles de Joseph Bonnel, pourtant sacré deux fois champion de France en 71 et 72 avec l’OM (plus deux coupes de France). « Ce sont mes meilleurs souvenirs », soutenait ainsi le milieu offensif de Florensac dans nos colonnes en 2013. Il n’avait pourtant rien gagné avec VA (1959-1967, 234 matches de championnat, 42 buts), hormis des sélections en équipe de France (25) et le droit de participer à la Coupe du Monde 1966 en Angleterre. « Les titres avec l’OM, ce ne sont pas les mêmes souvenirs. Avec VA, il y a eu de grandes victoires. On a fait le tour du monde. C’était une belle équipe, avec de bons joueurs, des internationaux. » Et la patte de Robert Domergue. « Il a fallu s’adapter. J’ai eu du mal au début, d’autant que j’avais été transféré pour une grosse somme d’argent (32M de Francs). Mais j’adorais le jeu de Domergue. Mais il fallait s’y faire. Je me souviens que Sansonnetti avait du mal aussi. Les arrières devaient sauter un cran et passer les milieux, et nous, on devait vite venir en soutien pendant qu’un troisième décrochait. » Un jeu spectaculaire. « Les résultats et l’ambiance étaient extraordinaires, mais les salaires étaient catastrophiques. » Parti ensuite à Marseille (67-73), il a eu la consécration qu’il méritait auprès de très grands joueurs, Skoblar et Magnusson.( via la voix du nord)
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”