PO a écrit :De sources non confirmées, ce prg aurait globalement une balance, ventes - coûts de développement, déficitaire de 10 milliards d'€...
Bah c'est à peu près le financement plus ou moins occulte que Boeing a reçu de l'état américain sur les huit dernières années.
Et ça dure depuis 60 ans. Le 707 n'était qu'une version civile du B52 de l'armée américaine, financé par l'état pour bombarder les rizières vietnamiennes.
Les américains sont autrement plus attachés à leurs industries que les Français, Lafarge, Alcatel, Pechiney, bientôt Renault avec l'affaire ..., et maintenant c'est le tour d'Airbus qui aura bien du mal à s'en remettre.
Ironie de l'histoire, l'Europe et ses technocrates viennent de sauver (momentanément) Alsthom en interdisant l'accord (l'absorption) avec Siemens.
Parce qu'il le mérite un CH'ti.... Un grand Chti.
vdn SPORTS
15/02/2019
Michel Bernard, grand champion et pionnier de l’athlétisme, s’en est allé
Par David Delportesports@lavoixdunord.fr
Surnommé le «Chinois d’Anzin», Michel Bernard a marqué son sport par sa combativité, son refus de la défaite. PHOTO BRUNO FAVA
Triple finaliste olympique, détenteur de multiples records mondiaux, européens et français, ancien président de la Ligue et de la fédération française, l’Anzinois Michel Bernard est décédé, dans la nuit de mercredi à hier, à l’âge de 87 ans. Une grande page de l’athlétisme régional se tourne
ATHLÉTISME.
Il a lancé le grand meeting, à Liévin, en 1988. Il incarnait bien les gens de cette région, c’était un travailleur.
Dans la France des années 50 et 60, les amoureux du cyclisme vibraient au rythme du duel entre Jacques Anquetil et Raymond Poulidor. Les fous de la course à pied, eux, s’émerveillaient devant les exploits de deux Nordistes : Michel Jazy et Michel Bernard.
Si Michel Jazy s’est construit un palmarès bien plus important, Michel Bernard n’a pas eu à rougir de son parcours. Triple finaliste olympique (7 e sur 1 500 m et 5 000 m, à Rome, en 1960, puis 6 e , à Tokyo, sur 1 500 m, en 1964), l’Anzinois décrocha une multitude de titres nationaux sur piste comme en cross, mais aussi plusieurs records nationaux, continentaux et même mondiaux, avec le 4 x 1 500 m, en 1961, aux côtés de Michel Jazy, Jean Clausse et Robert Bogey.
« C’était une légende »
Sa combativité, son refus de la défaite, ont marqué les esprits et inspiré de nombreux jeunes athlètes. Sitôt sa carrière achevée, Michel Bernard a mis son temps au service de sa discipline. Fondateur du club d’Anzin, en 1959, il fut longtemps président de la Ligue régionale et pionnier dans de nombreux domaines.
« Notre histoire a commencé en 1987, lorsqu’il m’a demandé un coup de main pour lancer une opération dans les quartiers, qui existe encore trente ans plus tard, confie Philippe Lamblin, son successeur à la présidence de la Ligue, en 1988. C’était une légende, il a bercé ma jeunesse. Puis ce fut mon modèle. Il a lancé le grand meeting, à Liévin, en 1988. Il incarnait bien les gens de cette région, il était travailleur. Il disait toujours : C’est au pied du mur qu’on voit le maçon. C’était sa façon de dire : Arrêtez de baratiner et faites. Il pouvait appeler à n’importe quel moment du jour et de la nuit. »
Président de la fédération française entre 1985 et 1987, Michel Bernard a transmis à son fils Pierre-Michel, maire d’Anzin, depuis 2014, son sens de l’engagement. Son petit-fils Pierrick a, lui, hérité de son virus pour l’athlétisme et figure parmi les meilleurs régionaux en cross et en demi-fond. La relève est entre de bonnes mains.
Les obsèques de Michel Bernard auront lieu, lundi, à 15 h, à l’église Sainte-Barbe d’Anzin.
vdn SPORTS
15/02/2019
Michel Bernard, grand champion et pionnier de l’athlétisme, s’en est allé
Par David Delportesports@lavoixdunord.fr
Surnommé le «Chinois d’Anzin», Michel Bernard a marqué son sport par sa combativité, son refus de la défaite. PHOTO BRUNO FAVA
Triple finaliste olympique, détenteur de multiples records mondiaux, européens et français, ancien président de la Ligue et de la fédération française, l’Anzinois Michel Bernard est décédé, dans la nuit de mercredi à hier, à l’âge de 87 ans. Une grande page de l’athlétisme régional se tourne
ATHLÉTISME.
Il a lancé le grand meeting, à Liévin, en 1988. Il incarnait bien les gens de cette région, c’était un travailleur.
Dans la France des années 50 et 60, les amoureux du cyclisme vibraient au rythme du duel entre Jacques Anquetil et Raymond Poulidor. Les fous de la course à pied, eux, s’émerveillaient devant les exploits de deux Nordistes : Michel Jazy et Michel Bernard.
Si Michel Jazy s’est construit un palmarès bien plus important, Michel Bernard n’a pas eu à rougir de son parcours. Triple finaliste olympique (7 e sur 1 500 m et 5 000 m, à Rome, en 1960, puis 6 e , à Tokyo, sur 1 500 m, en 1964), l’Anzinois décrocha une multitude de titres nationaux sur piste comme en cross, mais aussi plusieurs records nationaux, continentaux et même mondiaux, avec le 4 x 1 500 m, en 1961, aux côtés de Michel Jazy, Jean Clausse et Robert Bogey.
« C’était une légende »
Sa combativité, son refus de la défaite, ont marqué les esprits et inspiré de nombreux jeunes athlètes. Sitôt sa carrière achevée, Michel Bernard a mis son temps au service de sa discipline. Fondateur du club d’Anzin, en 1959, il fut longtemps président de la Ligue régionale et pionnier dans de nombreux domaines.
« Notre histoire a commencé en 1987, lorsqu’il m’a demandé un coup de main pour lancer une opération dans les quartiers, qui existe encore trente ans plus tard, confie Philippe Lamblin, son successeur à la présidence de la Ligue, en 1988. C’était une légende, il a bercé ma jeunesse. Puis ce fut mon modèle. Il a lancé le grand meeting, à Liévin, en 1988. Il incarnait bien les gens de cette région, il était travailleur. Il disait toujours : C’est au pied du mur qu’on voit le maçon. C’était sa façon de dire : Arrêtez de baratiner et faites. Il pouvait appeler à n’importe quel moment du jour et de la nuit. »
Président de la fédération française entre 1985 et 1987, Michel Bernard a transmis à son fils Pierre-Michel, maire d’Anzin, depuis 2014, son sens de l’engagement. Son petit-fils Pierrick a, lui, hérité de son virus pour l’athlétisme et figure parmi les meilleurs régionaux en cross et en demi-fond. La relève est entre de bonnes mains.
Les obsèques de Michel Bernard auront lieu, lundi, à 15 h, à l’église Sainte-Barbe d’Anzin.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
Tryphon a écrit :Source of the post RIP PO
Still alive !!! ;-)
PS : Sais pas si je vais garder cet avatar (Tout le monde aura d'ailleurs noté le visionnaire que je suis en ce qui concerne le gilet jaune que j'arbore depuis une 10aine d'années)
J'en suis capable, et d'ailleurs Lagerfeld en gilet jaune, à la base ça découlait un peu du même esprit provoc, mais comme il y a des gens sur PL qui ont subi une ablation du 2nd degré, je vais éviter de jeter de l'huile sur le feu.
Je vais me donner une paire de jours pour savoir par quoi je vais remplacer mon Karlounet...
Je vais me donner une paire de jours pour savoir par quoi je vais remplacer mon Karlounet...
PO a écrit :Source of the post... mais comme il y a des gens sur PL qui ont subi une ablation du 2nd degré, je vais éviter de jeter de l'huile sur le feu.
Alors, évite surtout aussi... le 3ème degré :-)
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
PO a écrit :Source of the post J'en suis capable, et d'ailleurs Lagerfeld en gilet jaune, à la base ça découlait un peu du même esprit provoc, mais comme il y a des gens sur PL qui ont subi une ablation du 2nd degré, je vais éviter de jeter de l'huile sur le feu.
Je vais me donner une paire de jours pour savoir par quoi je vais remplacer mon Karlounet...
Tu pourras remettre eul'kien.
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