J'ai deja posé cette question restee sans reponse...
Le toit du stade est ferme depuis au moins 1mois et demi. La pelouse, si elle est toujours là doit etre dans untriste etat. Savez vous si apres toutes ces utilisations du stade elle sera changée pour la reprise?
Le toit du stade est ferme depuis au moins 1mois et demi. La pelouse, si elle est toujours là doit etre dans untriste etat. Savez vous si apres toutes ces utilisations du stade elle sera changée pour la reprise?
« Je connaissais Marie, Jean, Paul, Jean-Marie, Jean-Paul, et même Marie-Paule, mais Marijampole, connais pas. »
james a écrit :Source of the post orchestre de lille ce soir la boite a spectacle a u rester ouverte
A ce propos, sur mes billets pour ce soir il est écrit 20h00. Mais sur le site du grand stade, il est écrit 21h00...
Si quelqu'un a une information fiable, je suis preneur. Merci :)
Une remarque : Est-ce que le concert en question est retransmis à la télé en direct ?
J'ai assisté récemment au concerts des "Prodiges" retransmis en direct sur France 2 et il s'était passé la même chose.
Les tickets indiquaient 20h00, et le spectacle a réellement commencé à 21h00. Le but étant que tout le monde soit bien en place, dûment briefé sur le déroulement de la soirée et chauffé (Saoulé serait plus juste) par le chauffeur de salle, au moment de la prise d'antenne.
Dans un concert de musique classique, la "norme" est différente d'un match de foot. Ils acceptent difficilement les gens qui se pointent en retard (Certaines salles ferment même leurs portes après le début du concert).
J'ai assisté récemment au concerts des "Prodiges" retransmis en direct sur France 2 et il s'était passé la même chose.
Les tickets indiquaient 20h00, et le spectacle a réellement commencé à 21h00. Le but étant que tout le monde soit bien en place, dûment briefé sur le déroulement de la soirée et chauffé (Saoulé serait plus juste) par le chauffeur de salle, au moment de la prise d'antenne.
Dans un concert de musique classique, la "norme" est différente d'un match de foot. Ils acceptent difficilement les gens qui se pointent en retard (Certaines salles ferment même leurs portes après le début du concert).
Yep, t'as l'ouverture des portes et le début du pestacle.
Les 2 étants différents.
Comme au ciné finalement ... t'as jamais ton film qui commence à l'heure précise de la séance.
Sinon concernant la pelouse, vu qu'à priori, il y aura une "police des pelouses" avec des amendes sur leur qualité, il y a des chances que les mecs soient vigilants.
Et comme l'a dit Djeunz, doit faire partie des exigences de Marcelo.
Les 2 étants différents.
Comme au ciné finalement ... t'as jamais ton film qui commence à l'heure précise de la séance.
Sinon concernant la pelouse, vu qu'à priori, il y aura une "police des pelouses" avec des amendes sur leur qualité, il y a des chances que les mecs soient vigilants.
Et comme l'a dit Djeunz, doit faire partie des exigences de Marcelo.
"En tout cas, on te l'souhaite."
lecotdunord a écrit :Source of the post +1 Luc
et cette année, la sonorisation et l'équilibre chœur/solistes/orchestre étaient bien meilleurs que l'an dernier
avis de la vdn...
Un système de sonorisation inédit en Europe
«
Le but est de constamment améliorer le confort d’écoute pour les spectateurs. Ce soir, où qu’ils soient assis dans l’Arena, tous auront une restitution du son comparable à celle de la stéréo. Il n’y aura aucun effet de déperdition
», assurait François Bou, directeur général de l’orchestre. L’ONL inaugurait en effet un nouveau système et a déployé son propre studio de sonorisation numérique mobile qui lui permet de se produire n’importe où dans de bonnes conditions de restitution (il est le seul orchestre de classique à être ainsi équipé). Il bénéficie en plus du nouveau système L-Isa, déployé par la société L’Acoustics. Le mode de sonorisation dit immersif prévoit notamment le déploiement d’une soixantaine de micros numériques sur la scène, dont les données sont dirigées vers une table de mixage dernier cri. La restitution du son dans la salle est impressionnante. Les timbres des chanteurs comme des instruments sont les plus fidèles possible. La force de certains passages du Requiem prend ainsi véritablement aux tripes, sans avoir besoin de se trouver au pied de la scène.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
urs s’interrogent sur les conditions d’attribution au groupe Eiffage, en février 2008, de la construction du Grand Stade à Villeneuve-d’Ascq. PHOTO ARCHIVES STÉPHANE MORTAGNE
Le juge Jean-Michel Gentil a achevé ses investigations dans l’affaire qui éclabousse l’attribution à Eiffage de la construction du Grand Stade. Cette étape ouvre la voie à d’éventuelles réquisitions du procureur du tribunal de grande instance de Lille.
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>
MÉTROPOLE LILLOISE.
Le procureur dispose de quatre mois maximum pour soit renvoyer en correctionnel, soit décider d’un non-lieu.
Alors qu’il s’apprête à quitter Lille pour la vice-présidence de la chambre d’instruction à Paris, le juge Jean-Michel Gentil n’a visiblement pas souhaité laisser le dossier en souffrance pour son successeur. Mardi a été envoyé à l’ensemble des parties le fameux « avis 175 » (lié à l’article 175 du code de procédure pénale) qui annonce la fin de l’enquête.
Depuis 2012 et l’ouverture d’une information judiciaire par la juge Fabienne Atzori consécutive au dépôt de plainte du militant anti-corruption Éric Darques, les enquêteurs s’interrogent sur les conditions d’attribution au groupe Eiffage, le 1 er février 2008, de la construction du Grand Stade à Villeneuve-d’Ascq.
En mai 2015, deux fonctionnaires de l’ex-Lille Métropole communauté urbaine (LMCU, aujourd’hui Métropole européenne de Lille) ont été mis en examen pour faux en écriture. La même année, le juge Jean-Michel Gentil ordonnait la perquisition des domiciles d’Henri Ségard et de Damien Castelain, soupçonnés d’avoir, en tant que conseillers communautaires à l’époque des faits, œuvré pour la candidature d’Eiffage.
« Certaines zones d’ombre »
À la lumière de nouveaux éléments apportés par un ancien responsable d’une filiale d’Eiffage, Henri Ségard et Damien Castelain (devenu entre-temps président de la MEL) ont été mis en examen, en avril, pour les délits de trafic d’influence passif et complicité de favoritisme, à l’issue de deux jours de garde à vue. Deux anciens cadres du groupe Jean-Luc Vergin et Alain Létard ont été également mis en examen pour trafic d’influence actif.
L’avocat d’Henri Ségard, M e Romain Ruiz, dénonce « un passage en force », alors que le 31 mai dernier, il a déposé une demande d’actes auprès du juge d’instruction afin de lever « certaines zones d’ombre de ce dossier, et notamment sur l’implication de tiers qui n’ont jamais été inquiétés ou entendus ». « Des satellites qui ne travaillaient pas pour Eiffage », consent à préciser M e Ruiz. Sa demande rejetée, il a décidé de faire appel.
Plus largement, M e Ruiz estime qu’« on coupe aujourd’hui court à un débat qui ne faisait que commencer » et qu’on prive « la justice d’une seconde lecture de ce dossier », qualifié de « château de cartes », en ne permettant pas à un second juge d’instruction d’y porter un « œil nouveau ».
Une requête en nullité de la mise en examen et de la garde à vue a été déposée auprès de la chambre de l’instruction de Douai.
Dès lors que l’avis 175 a été signifié, le procureur dispose de quatre mois maximum pour soit renvoyer en correctionnel (voire aux assises pour le faux en écriture publique, ce qui apparaît peu probable de source judiciaire) soit décider d’un non-lieu.
Le juge Jean-Michel Gentil a achevé ses investigations dans l’affaire qui éclabousse l’attribution à Eiffage de la construction du Grand Stade. Cette étape ouvre la voie à d’éventuelles réquisitions du procureur du tribunal de grande instance de Lille.
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MÉTROPOLE LILLOISE.
Le procureur dispose de quatre mois maximum pour soit renvoyer en correctionnel, soit décider d’un non-lieu.
Alors qu’il s’apprête à quitter Lille pour la vice-présidence de la chambre d’instruction à Paris, le juge Jean-Michel Gentil n’a visiblement pas souhaité laisser le dossier en souffrance pour son successeur. Mardi a été envoyé à l’ensemble des parties le fameux « avis 175 » (lié à l’article 175 du code de procédure pénale) qui annonce la fin de l’enquête.
Depuis 2012 et l’ouverture d’une information judiciaire par la juge Fabienne Atzori consécutive au dépôt de plainte du militant anti-corruption Éric Darques, les enquêteurs s’interrogent sur les conditions d’attribution au groupe Eiffage, le 1 er février 2008, de la construction du Grand Stade à Villeneuve-d’Ascq.
En mai 2015, deux fonctionnaires de l’ex-Lille Métropole communauté urbaine (LMCU, aujourd’hui Métropole européenne de Lille) ont été mis en examen pour faux en écriture. La même année, le juge Jean-Michel Gentil ordonnait la perquisition des domiciles d’Henri Ségard et de Damien Castelain, soupçonnés d’avoir, en tant que conseillers communautaires à l’époque des faits, œuvré pour la candidature d’Eiffage.
« Certaines zones d’ombre »
À la lumière de nouveaux éléments apportés par un ancien responsable d’une filiale d’Eiffage, Henri Ségard et Damien Castelain (devenu entre-temps président de la MEL) ont été mis en examen, en avril, pour les délits de trafic d’influence passif et complicité de favoritisme, à l’issue de deux jours de garde à vue. Deux anciens cadres du groupe Jean-Luc Vergin et Alain Létard ont été également mis en examen pour trafic d’influence actif.
L’avocat d’Henri Ségard, M e Romain Ruiz, dénonce « un passage en force », alors que le 31 mai dernier, il a déposé une demande d’actes auprès du juge d’instruction afin de lever « certaines zones d’ombre de ce dossier, et notamment sur l’implication de tiers qui n’ont jamais été inquiétés ou entendus ». « Des satellites qui ne travaillaient pas pour Eiffage », consent à préciser M e Ruiz. Sa demande rejetée, il a décidé de faire appel.
Plus largement, M e Ruiz estime qu’« on coupe aujourd’hui court à un débat qui ne faisait que commencer » et qu’on prive « la justice d’une seconde lecture de ce dossier », qualifié de « château de cartes », en ne permettant pas à un second juge d’instruction d’y porter un « œil nouveau ».
Une requête en nullité de la mise en examen et de la garde à vue a été déposée auprès de la chambre de l’instruction de Douai.
Dès lors que l’avis 175 a été signifié, le procureur dispose de quatre mois maximum pour soit renvoyer en correctionnel (voire aux assises pour le faux en écriture publique, ce qui apparaît peu probable de source judiciaire) soit décider d’un non-lieu.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
Videmment,... toi tu compares la petite plaque de chocolat au noisettes, avec la grosse de chocolat ordinaire, que tu peux aussi utiliser pour cuireemille a écrit :Source of the post Comme quoi, les gouts et les couleurs...
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
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