Séquence incroyable, lundi soir, en Bundesliga. Le duel de bas de tableau entre Mayence, barragiste avant le coup d'envoi, et Fribourg, premier non-relégable, a été le théâtre d'une scène surréaliste en toute fin de première période.
Alors que les 22 acteurs se dirigeaient naturellement vers les vestiaires, à 0-0, l'arbitre de la rencontre a été interpellé par le VAR, le Video Assistant Referee. Celui-ci a signalé une main d'un défenseur de Fribourg, sur la toute dernière action, qui avait échappé à la vigilance du corps arbitral. M. Winkmann, selon la procédure, est allé consulter les images pour accorder un penalty qui n'a rien d'illogique. Mais il a fallu rappeler les joueurs sur le terrain pour exécuter le penalty, transformé par l'Argentin De Blasis plus de six minutes après la fin du temps réglementaire (1-0, 45e+7) !
Les joueurs de Fribourg ont logiquement eu du mal à comprendre cette décision pour le moins inhabituelle, mais tout sauf scandaleuse. Les visiteurs n'ont pas pu s'en remettre, et s'inclineront finalement 2-0 (De Blasis inscrira un doublé). Mayence cède à Fribourg la place de barragiste à 4 journées de la fin du championnat. Lourde conséquence.
http://www.beinsports.com/france/bundesliga/video/bundesliga-quand-mayence-obtient-un-penalty-a/847282?utm_source=t.co&utm_medium=referral
J'ose imaginer la même chose samedi à 17h45!Le bordel que ce serait.
Entre parenthèse, quand j'étais jeune et beau au siècle, que dis-je, millénaire dernier, et que je jouais au Basket à Templemars (Dont les Jr filles étaient un vivier ma foi fort agréable...), combien de fois je me suis retrouvé dans la situation de Harden sur cette photo.
Notre salle était si petite qu'on avait juste de quoi poser un banc tout le long des 2 murs latéraux en guise de tribune. Quand on faisait une remise en touche latérale (Ou sur une faute), les gens devaient rentrer leurs jambes. (Peut-être que certains d'entre vous la connaissent ?).
J'ai des souvenirs inoubliables des clubs du littoral qui arrivaient avec un bus, soit une 50aine de personnes. Rien qu'avec ça, la salle était pleine, alors les gens en trop se casaient à l'entrée des vestiaires. Les "littoraux" avaient bien eu le temps de se houblonner sur la route... Ca donnait une chaude ambiance, et du langage fleuri quand on longeait les lignes de touche.
On avait un capitaine, un type charmant dans la vie, mais qui se transformait tel un Greemlins, dès qu'il se faisait chauffer sous les panneaux (Et Dieu sait qu'il faut avoir joué au basket pour connaître tous les coups de pute que tu peux prendre, et donner bien entendu, dans la raquette, voire ailleurs). On était toujours obligés de le surveiller du coin de l'oeil, car une paire de fois il avait profité de la proximité de la rangée de bancs de supporters pour tester bien avant l'heure ce qu'on appelera plus tard une "Cantona".
Bizarrement, on avait toujours du mal à convaincre le mec qui se retouvait avec la trace de ses semelles d'Adidas "Top Ten"* sur la joue, que c'était juste un banal geste de nervosité. Les gens sont irascibles parfois...
( *) : Je vous parle début 80's où seuls ceux qui avaient accès à un catalogue Canado-Ricain comme "Sears" pouvait se payer une paire de Nike qui ne se commercialisaient pas encore en Europe (Sauf certains petits magasins en Belgique).
Notre salle était si petite qu'on avait juste de quoi poser un banc tout le long des 2 murs latéraux en guise de tribune. Quand on faisait une remise en touche latérale (Ou sur une faute), les gens devaient rentrer leurs jambes. (Peut-être que certains d'entre vous la connaissent ?).
J'ai des souvenirs inoubliables des clubs du littoral qui arrivaient avec un bus, soit une 50aine de personnes. Rien qu'avec ça, la salle était pleine, alors les gens en trop se casaient à l'entrée des vestiaires. Les "littoraux" avaient bien eu le temps de se houblonner sur la route... Ca donnait une chaude ambiance, et du langage fleuri quand on longeait les lignes de touche.
On avait un capitaine, un type charmant dans la vie, mais qui se transformait tel un Greemlins, dès qu'il se faisait chauffer sous les panneaux (Et Dieu sait qu'il faut avoir joué au basket pour connaître tous les coups de pute que tu peux prendre, et donner bien entendu, dans la raquette, voire ailleurs). On était toujours obligés de le surveiller du coin de l'oeil, car une paire de fois il avait profité de la proximité de la rangée de bancs de supporters pour tester bien avant l'heure ce qu'on appelera plus tard une "Cantona".
Bizarrement, on avait toujours du mal à convaincre le mec qui se retouvait avec la trace de ses semelles d'Adidas "Top Ten"* sur la joue, que c'était juste un banal geste de nervosité. Les gens sont irascibles parfois...
( *) : Je vous parle début 80's où seuls ceux qui avaient accès à un catalogue Canado-Ricain comme "Sears" pouvait se payer une paire de Nike qui ne se commercialisaient pas encore en Europe (Sauf certains petits magasins en Belgique).
PO a écrit :Source of the post Notre salle était si petite qu'on avait juste de quoi poser un banc tout le long des 2 murs latéraux en guise de tribune. Quand on faisait une remise en touche latérale (Ou sur une faute), les gens devaient rentrer leurs jambes. (Peut-être que certains d'entre vous la connaissent ?).
Hé, éh ! Une idée lumineuse de feu M. le maire Raymond Fleury qui avait revendu à la commune un hangar agricole pour en faire une salle de sports !
J'y jouais au tennis, 1m de recul derrière la ligne, fallait toucher sa balle en demi-volée...
#JeSuisVasseur
PO a écrit :Entre parenthèse, quand j'étais jeune et beau au siècle, que dis-je, millénaire dernier, et que je jouais au Basket à Templemars (Dont les Jr filles étaient un vivier ma foi fort agréable...), combien de fois je me suis retrouvé dans la situation de Harden sur cette photo.
Notre salle était si petite qu'on avait juste de quoi poser un banc tout le long des 2 murs latéraux en guise de tribune. Quand on faisait une remise en touche latérale (Ou sur une faute), les gens devaient rentrer leurs jambes. (Peut-être que certains d'entre vous la connaissent ?).
J'ai des souvenirs inoubliables des clubs du littoral qui arrivaient avec un bus, soit une 50aine de personnes. Rien qu'avec ça, la salle était pleine, alors les gens en trop se casaient à l'entrée des vestiaires. Les "littoraux" avaient bien eu le temps de se houblonner sur la route... Ca donnait une chaude ambiance, et du langage fleuri quand on longeait les lignes de touche.
On avait un capitaine, un type charmant dans la vie, mais qui se transformait tel un Greemlins, dès qu'il se faisait chauffer sous les panneaux (Et Dieu sait qu'il faut avoir joué au basket pour connaître tous les coups de pute que tu peux prendre, et donner bien entendu, dans la raquette, voire ailleurs). On était toujours obligés de le surveiller du coin de l'oeil, car une paire de fois il avait profité de la proximité de la rangée de bancs de supporters pour tester bien avant l'heure ce qu'on appelera plus tard une "Cantona".
Bizarrement, on avait toujours du mal à convaincre le mec qui se retouvait avec la trace de ses semelles d'Adidas "Top Ten"* sur la joue, que c'était juste un banal geste de nervosité. Les gens sont irascibles parfois...
( *) : Je vous parle début 80's où seuls ceux qui avaient accès à un catalogue Canado-Ricain comme "Sears" pouvait se payer une paire de Nike qui ne se commercialisaient pas encore en Europe (Sauf certains petits magasins en Belgique).
Paye ta parenthèse :)
Vivement la prochaine !!
Baratte a écrit :Source of the postBoidus a écrit :Source of the post Quand tu te choppes un mec comme ça dans la gueule avec l'élan de sa course, ça doit pas être agréable.
Selon Wiki, il fait :
Taille : 1,96 m
Poids : 99,8 kg
La batte de base-ball dans la gueule ça doit être pire , nan ?
Je ne préfère pas imaginer...
Pedro_Henrique a écrit :Source of the postPO a écrit :Entre parenthèse, quand j'étais jeune et beau au siècle, que dis-je, millénaire dernier, et que je jouais au Basket à Templemars (Dont les Jr filles étaient un vivier ma foi fort agréable...), combien de fois je me suis retrouvé dans la situation de Harden sur cette photo.
Notre salle était si petite qu'on avait juste de quoi poser un banc tout le long des 2 murs latéraux en guise de tribune. Quand on faisait une remise en touche latérale (Ou sur une faute), les gens devaient rentrer leurs jambes. (Peut-être que certains d'entre vous la connaissent ?).
J'ai des souvenirs inoubliables des clubs du littoral qui arrivaient avec un bus, soit une 50aine de personnes. Rien qu'avec ça, la salle était pleine, alors les gens en trop se casaient à l'entrée des vestiaires. Les "littoraux" avaient bien eu le temps de se houblonner sur la route... Ca donnait une chaude ambiance, et du langage fleuri quand on longeait les lignes de touche.
On avait un capitaine, un type charmant dans la vie, mais qui se transformait tel un Greemlins, dès qu'il se faisait chauffer sous les panneaux (Et Dieu sait qu'il faut avoir joué au basket pour connaître tous les coups de pute que tu peux prendre, et donner bien entendu, dans la raquette, voire ailleurs). On était toujours obligés de le surveiller du coin de l'oeil, car une paire de fois il avait profité de la proximité de la rangée de bancs de supporters pour tester bien avant l'heure ce qu'on appelera plus tard une "Cantona".
Bizarrement, on avait toujours du mal à convaincre le mec qui se retouvait avec la trace de ses semelles d'Adidas "Top Ten"* sur la joue, que c'était juste un banal geste de nervosité. Les gens sont irascibles parfois...
( *) : Je vous parle début 80's où seuls ceux qui avaient accès à un catalogue Canado-Ricain comme "Sears" pouvait se payer une paire de Nike qui ne se commercialisaient pas encore en Europe (Sauf certains petits magasins en Belgique).
Paye ta parenthèse :)
Vivement la prochaine !!
Je me le met de quoté (hihi),on sait jamais,si les conférences de Bielsa me manquent,ça a l'air aussi sujet à la somnolence.
Djeunzzz a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Notre salle était si petite qu'on avait juste de quoi poser un banc tout le long des 2 murs latéraux en guise de tribune. Quand on faisait une remise en touche latérale (Ou sur une faute), les gens devaient rentrer leurs jambes. (Peut-être que certains d'entre vous la connaissent ?).
Hé, éh ! Une idée lumineuse de feu M. le maire Raymond Fleury qui avait revendu à la commune un hangar agricole pour en faire une salle de sports !
J'y jouais au tennis, 1m de recul derrière la ligne, fallait toucher sa balle en demi-volée...
OK. Je m'étais toujours demandé pourquoi construire une salle de sport aussi exiguë par rapport aux habituelles surfaces de jeu d'une salle. Le Basket et le Tennis étaient au bord des murs, et pas de Handball : Trop petit. J'ai la réponse maintenant.
Quand j'ai rejoint ce club de 82 à 85, le parc des sports avait son stade de foot, et ses 2 terrains de tennis exter, et donc cette fameuse salle entre les 2 qui n'était en fait qu'un hangar.Je ne connaissais pas cette anecdote. Merci.
PS : Jouer là-bas 3 ans, m'a permis de passer régulièrement devant la fameuse Sainte Rita, devenue la Sainte patronne du LOSC l'espace de la saison 2017/2018...