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Hors ligneMessageLeelh osc » jeu. 6 déc. 2018 20:20

https://www.youtube.com/watch?v=VEixmWp6NaY
J'avais ça dans mes suggestions Youtube.

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Hors ligneMessagedenisplaya » sam. 8 déc. 2018 21:43

Ce coup de patte de Bodmer, comme au bon vieux temps. Bravo champion !

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Hors ligneMessagedenisplaya » sam. 8 déc. 2018 21:52

Sinon Mendyl était titulaire avec Schalke dans le derby de la Ruhr, finalement remporté par Dortmund (1-2).

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Hors ligneMessageLeelh osc » ven. 14 déc. 2018 05:28

Bahlouli au repas de "Noël" du LOSC. Le Retour.

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Hors ligneMessagesolid.snake » sam. 15 déc. 2018 11:51

Interview

Lebo Mothiba :«L’Afrique du Sud m’a manqué. Les rigolades, la douceur de vivre…»
Par Grégory Schneider, envoyé spécial à Strasbourg, photo Pascal Bastien — 14 décembre 2018 à 20:06
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Lebo Mothiba, au stade de la Meinau, à Strasbourg, le 29 novembre. Photo Pascal Bastien

Lebo Mothiba, attaquant de 22 ans, est né à Johannesburg. Il passe avec succès un test à Lille, qui l’engage en 2014. Il est ensuite prêté à un autre club nordiste, Valenciennes, avant d’être transféré à Strasbourg.

L’exil est inséparable du métier de footballeur, à tout le moins dans les jeunes années du joueur : l’un d’eux nous faisait il y a quelques années la remarque que le déracinement commence «quand tu ne dors pas dans ton lit», et une écrasante majorité de ceux qui sont en formation, dans l’Hexagone ou ailleurs, vivent dès 11 ans dans un centre où ils apprennent leur métier, ne rentrant chez eux que pour les week-ends. Reste qu’historiquement, le football a fait la trace : aucune activité humaine n’a été autant affectée par l’effacement des frontières et la libre circulation des personnes que le ballon rond, lui-même se vivant comme une sorte d’avant-garde - les compétences priment sur tout, à commencer par le passeport - mettant sur un pied d’égalité les citoyens de tous les pays.

Deux joueurs du Racing Club de Strasbourg, l’attaquant sud-africain Lebo Mothiba (22 ans), né à Johannesburg, et le défenseur serbe Stefan Mitrovic (28 ans), qui a vu le jour à Belgrade et qui s’est vu remettre le brassard de capitaine de l’équipe alsacienne alors qu’il n’était pas arrivé en France depuis un mois (ce qui confine au tour de force), se sont longuement racontés sur leur parcours et ils éclairent un point important : il y a autant d’histoires et de ressentis qu’il y a de joueurs ayant franchi ce cap de l’exil. Pour autant, il y a aussi des points communs, et ceux-ci ne sont en aucun cas réductibles au football : une forme d’effacement (on vous voit par la force des choses comme un professionnel avant de voir l’homme), une force de caractère particulière et une capacité exacerbée à comprendre et donner très vite ce que les autres attendent de vous.

Huitième au classement de Ligue 1, le Racing Club de Strasbourg se déplacera sur la pelouse du Stade de Reims samedi soir pour le compte de la 18e journée. En hommage aux victimes de l’attentat de mardi, les joueurs alsaciens porteront un maillot distinctif, et sans publicité.

«Quand tu grandis en tant que footballeur en Afrique du Sud, ton idée, c’est de partir en Europe. C’est toujours difficile à décider parce que tu es jeune, mais c’est ta carrière, et c’est ce que tu veux. A l’académie Diambars de Johannesburg, où j’ai été formé, je me souviens que l’on chantait toujours avant les matchs - même la sélection sud-africaine chante avant les matchs : c’est joyeux, c’est bien pour la confiance.

«Entre aspirants joueurs, on s’encourageait énormément. Quand le recruteur de Lille est venu voir les jeunes joueurs à l’académie, je m’étais cassé la cheville : sept mois sur le flanc, entre juin 2013 et janvier 2014. Pour autant, mon entraîneur a parlé de moi en bien : Lebo est un mec souriant, il a bon esprit… Donc, je me suis retrouvé dans l’avion, puis dans le TGV et enfin dans une voiture qui m’emmenait au domaine de Luchin [à Camphin-en-Pévèle, non loin de la frontière belge, ndlr]. Ma cheville était… ça allait, mais il y avait encore une plaque et quatre vis pour tenir l’os, elle n’était pas flexible. Le test consistait à jouer deux matchs.

«Il pleuvait un peu. J’étais stressé. Je me souviens avoir énormément couru et travaillé pour l’équipe aussi : replis défensifs, prise de la profondeur pour aérer le jeu, conservation du ballon pour permettre à l’équipe de remonter plus haut sur le terrain. Dans mon idée, les buts viendraient après. S’ils devaient venir. Il fallait d’abord donner collectivement, montrer une bonne mentalité. J’ai marqué lors du premier match, pas lors du second. Il y avait 31 joueurs lors de ce test, des Européens pour la plupart. Beaucoup étaient plus forts que moi. Mais j’ai été le seul retenu. Je devais enchaîner avec un autre test en Norvège, où j’étais déjà allé auparavant : on m’a dit non, pas la peine, à 18 ans tu es déjà "vieux" [rires], reste à Lille. Les premiers mois, j’ai été très surpris par le sérieux des entraînements. Je me souviens de Stéphane Dumont, mon coach pour les moins de 19 ans : rien ne lui échappait, pas un détail. Les joueurs donnent tout, ils crient les uns sur les autres. En Afrique du Sud, c’était plus tranquille. On rigole, on touche le ballon une fois, deux fois… En Europe, non : tu cherches la vitesse. Et surtout la profondeur, toujours.

L’appart de Pavard
«Ceux qui résidaient au centre de formation à Luchin avaient droit à deux sorties hebdomadaires, le mercredi et le vendredi : de 15 heures à 18 heures, un bus te dépose et vient te chercher. Difficile de caler une séance de ciné : les horaires n’avaient aucune raison de coïncider avec le fameux 15 heures-18 heures. Du coup, on déambulait avec des jeunes joueurs qui étaient du coin et connaissaient la ville. On discutait, on mangeait un gâteau. Et on rentrait. Benjamin Pavard a eu son appartement en ville avant moi : du coup, il expliquait au responsable du centre que j’étais sous sa responsabilité et je n’étais plus tout à fait soumis aux mêmes horaires que les autres, c’était plus souple. Il m’a beaucoup aidé durant les entraînements. Comme je ne comprenais pas tout, Benjamin se mettait à côté de moi quand l’entraîneur donnait ses consignes et il me répétait les choses lentement. Je me souviens de ce qu’il me disait avant les matchs : "Frérot, tu marques aujourd’hui !" C’est devenu un rituel.

«L’Afrique du Sud m’a manqué. Les rigolades, la douceur de vivre… On dit que c’est un pays dangereux mais en vérité, certains quartiers le sont, pas tous, et quand tu sais où tu mets les pieds, tu ne crains pas grand-chose. En revanche, je n’ai pas regretté le foot sud-africain. Je préfère le jeu ici : il n’y a pas de frustration [d’attendre un ballon qui ne vient pas], on joue tout de suite vers l’avant, pour faire mal à la défense adverse. A l’académie de Johannesburg, je me réveillais souvent bien avant l’école pour aller courir pour faire monter le cœur et gagner en endurance - on n’avait entraînement que l’après-midi. A Lille, j’ai couru aussi. De façon beaucoup plus intense que ce que je faisais tout seul.

«Changer de club, c’est la vie du footballeur. Tu ne sais pas où tu tombes. A Strasbourg, dès le premier jour, tout le monde a été accueillant - je dis bien tout le monde : les services administratifs, le président, le coach… Les joueurs sont tous venus vers moi, immédiatement. Il y avait des blagues, ça rigolait beaucoup, j’étais à la maison. Concernant mon transfert au Racing, on m’a dit : ça peut se faire, réfléchis-y et moi, je me suis dit : j’ai une ou deux heures pour y penser. Mais en fait non, on m’a rappelé tout de suite pour me dire "ils sont là, décide-toi", et j’ai été transféré dans la foulée [le Losc avait beaucoup d’attaquants de son profil sous contrat]. Je suis sud-africain, mais Lille, c’est le club qui m’a permis de mettre un pied en France et en Ligue 1 et ça… le Losc est dans mon cœur.

Galtier sait
«J’ai été prêté à Valenciennes [en Ligue 2, pour qu’il s’aguerrisse] durant l’été 2017 et de loin, j’ai vu les résultats de Lille en L1 se dégrader : 18e, 19e… J’ai souffert. J’avais l’impression d’être impuissant, de ne pas rendre au club l’opportunité extraordinaire qu’il m’avait donnée. Quand ils m’ont fait revenir en janvier 2018, le président valenciennois ainsi que le coach ne voulaient pas me laisser partir : "Si on te laisse partir, les supporteurs [valenciennois] vont nous tuer."

«Mais je n’avais pas le choix. Lille, c’était mon club. Et c’était la Ligue 1. Les joueurs valenciennois, eux, comprenaient très bien : on se met à ta place, c’est bon pour toi. A Lille, c’est donc [l’entraîneur] Christophe Galtier qui, le premier, m’a lancé en L1. Ça, tu ne l’oublies jamais. Il sait, et je sais qu’il sait. Avec moi, il était… marrant, souvent. Puis sérieux, tout le temps sur mon dos. Puis il rigolait. Une fois, il m’a dit qu’il fallait que j’aille sur le défenseur latéral gauche de l’équipe adverse lorsqu’on avait le ballon : "Il est petit, donc toi tu t’imposes physiquement, tu amortis de la poitrine, et l’équipe avance". J’ai fait oui, oui, et en match j’ai fait le contraire. La rencontre suivante, pareil : "Lebo, le mec à gauche est petit donc, tu vas sur son aile, tu amortis de la poitrine…" et là, je dis OK, et je fais encore tout le contraire.

Troisième match : le mec à gauche est encore plus petit, discours de Galtier, je fais oui, oui et là, il éclate de rire : "Ecoute, tu dis oui, mais tu ne comprends rien. Comment veux-tu que je te le dise ?" On sentait de la sympathie pour moi, mais en même temps, les choses étaient dites.
Justifier ma présence

«J’ai été appelé pour la première fois dans la sélection sud-africaine des espoirs [moins de 23 ans] alors que j’avais 19 ans, j’ai été prévenu par un coup de fil du directeur de l’académie Diambars. Ce n’est pas une fin, mais un commencement : j’étais parti d’Afrique du Sud tellement jeune que personne ne me connaissait, il fallait justifier ma présence. Certains partenaires [en sélection] n’avaient jamais entendu parler de moi, d’autres si mais bon, personne ne m’avait vu jouer, ils m’ont découvert à l’entraînement.

«Pour mon premier match [contre la Tunisie], j’ai mis un doublé et je crois que ça a facilité mon intégration. En Afrique du Sud, vous avez des joueurs qui ont tout : la vivacité, la vitesse, la technique ; il m’arrive de penser que je serais un joueur différent si j’avais leur talent. Après, c’est la chance et le mental qui font qu’un footballeur fait carrière. Jeune, j’ai côtoyé Thabo Matlaba, qui évolue encore comme défenseur aux Orlando Pirates [le plus grand club de Johannesburg]. Il avait joué avec mon père. C’est un homme que j’admire beaucoup. Thabo me disait : donne ton ballon, bouge. Et sois concentré sur tout ce que tu fais, et concentré tout le temps. Il faut du caractère.

https://www.liberation.fr/sports/2018/1 ... re_1697995

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Hors ligneMessageMiladin Béca » sam. 15 déc. 2018 12:55

Je vais me répéter pendant des mois mais quelle connerie d'avoir vendu un mec comme ça.

Il me fait penser à Enyeama.

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Hors ligneMessagejames » sam. 15 déc. 2018 17:10

dommage co-latéral de la DNCG
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.

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Hors ligneMessagespace_ritual » sam. 15 déc. 2018 17:32

Je veux bien qu'il prêche pour sa paroisse mais quand il dit que l'Afrique du Sud c'est pas dangereux... je veux bien que tout soit relatif mais quand même, c'est fort de café de dire ça. Le hasard fait que j'ai lu des trucs sur ce pays il y a quelques jours, j'ai plus la même vision de ce pays maintenant... si ça en intéresse quelques uns : https://fr.wikipedia.org/wiki/Violence_ ... que_du_Sud
Président officiel du fan club de Gabisson Gudmundriel.

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Hors ligneMessagegblosc » sam. 15 déc. 2018 17:54

Ca m'intéresse, j'y passe 11 jours en circuit en mars prochain ...

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Hors ligneMessageblackeyedpeas » sam. 15 déc. 2018 18:14

Merci Solid.

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Hors ligneMessagesolid.snake » mer. 19 déc. 2018 10:34

ENTRETIEN - Gervinho (Parme) : "Il n'y a qu'un seul Gervinho dans le monde"
: « Je reviens souvent en France. J'ai toujours ma maison à Lille, ma famille est là-bas. Lille, vous savez, c'est mon club de cœur en France. Je suis toujours dans le Nord. Je suis Lillois. »
https://www.goal.com/fr/news/entretien- ... 5de55xx1eu

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Hors ligneMessagelenormal » mer. 19 déc. 2018 11:53

space_ritual a écrit :Source of the post Je veux bien qu'il prêche pour sa paroisse mais quand il dit que l'Afrique du Sud c'est pas dangereux... je veux bien que tout soit relatif mais quand même, c'est fort de café de dire ça. Le hasard fait que j'ai lu des trucs sur ce pays il y a quelques jours, j'ai plus la même vision de ce pays maintenant... si ça en intéresse quelques uns : https://fr.wikipedia.org/wiki/Violence_ ... que_du_Sud

Pour avoir bien bourlingué, mais pas en AfSud, je peux te dire qu'il y a un énorme delta entre ce qui est écrit dans les journaux et ce que tu vois quand tu vas dans un pays...

... par exemple, fin des années 70, il ne fallait pas traverser le pays basque (la ETA tire sur les voitures qui ont des phares jaunes), j'arrive un peu après minuit à San Sebastian, je m'y perds (pas de GPS à l'époque), je tourne pas mal... mais je n'ai vu personne pour m'indiquer la route et je pourrais donner bien d'autres exemples.
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Hors ligneMessagedodger » mer. 19 déc. 2018 12:27

J'ai bossé en Afrique tout le long des années 90. Ce que j'y ai vu et également vécu dépassait largement tout ce que j'avais lu sur le sujet. Par contre c'était parfois mieux que ce à quoi je m'attendais.
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Hors ligneMessageBaratte » mer. 19 déc. 2018 12:33

dodger a écrit :Source of the post J'ai bossé en Afrique tout le long des années 90. Ce que j'y ai vu et également vécu dépassait largement tout ce que j'avais lu sur le sujet. Par contre c'était parfois mieux que ce à quoi je m'attendais.

Afrique de l'Ouest sans doute où ça allait du pire de ce que l'on pensait , au mieux quand on était expat' . Af Sud et Af Est , en touriste pour 15 jours ça doit être supportable .

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Hors ligneMessagedodger » mer. 19 déc. 2018 13:08

Afrique francophone principalement (Maghreb compris hors Algérie), lusophone et le Nigeria. Le reste je ne sais pas, j'y suis pas allé.
Au fait, j'étais pas expat'.
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Hors ligneMessagespace_ritual » sam. 22 déc. 2018 01:22

lenormal a écrit :Source of the post
space_ritual a écrit :Source of the post Je veux bien qu'il prêche pour sa paroisse mais quand il dit que l'Afrique du Sud c'est pas dangereux... je veux bien que tout soit relatif mais quand même, c'est fort de café de dire ça. Le hasard fait que j'ai lu des trucs sur ce pays il y a quelques jours, j'ai plus la même vision de ce pays maintenant... si ça en intéresse quelques uns : https://fr.wikipedia.org/wiki/Violence_ ... que_du_Sud

Pour avoir bien bourlingué, mais pas en AfSud, je peux te dire qu'il y a un énorme delta entre ce qui est écrit dans les journaux et ce que tu vois quand tu vas dans un pays...

... par exemple, fin des années 70, il ne fallait pas traverser le pays basque (la ETA tire sur les voitures qui ont des phares jaunes), j'arrive un peu après minuit à San Sebastian, je m'y perds (pas de GPS à l'époque), je tourne pas mal... mais je n'ai vu personne pour m'indiquer la route et je pourrais donner bien d'autres exemples.


Ouai fin le chiffre de 25% de mecs qui ont déjà violé au moins là-bas tombe pas du ciel... et les chiffres sur la pédophilie sont apparemment très minorés. ça donne l'impression que c'est culturel comme truc là-bas, c'est édifiant...
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Hors ligneMessageBaratte » sam. 22 déc. 2018 08:16

dodger a écrit :Afrique francophone principalement (Maghreb compris hors Algérie), lusophone et le Nigeria. Le reste je ne sais pas, j'y suis pas allé.
Au fait, j'étais pas expat'.

Oué je crois qu'on voulait dire la même chose .
J'ai un pote qui est expat' au Burkina depuis une dizaine d'années , et en faits , c'est encore pire qu'avant à cause des entreprises chinoises .

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Hors ligneMessageLeelh osc » dim. 23 déc. 2018 16:40


https://twitter.com/jplusun/status/1076853719730409474

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Hors ligneMessageDonnieD » dim. 23 déc. 2018 19:51

Élana, juste avant Lille-Sochaux... Je vais commencer à croire à la théorie du complot. Qui veut la peau du LOSC?

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Hors ligneMessageemille » dim. 23 déc. 2018 20:43

Miladin Béca a écrit :Source of the post Je vais me répéter pendant des mois mais quelle connerie d'avoir vendu un mec comme ça.

Il me fait penser à Enyeama.

on pense tous la même chose ! Et voir remy n'est pas pour ns consoler...


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