Au vu du standing de l’OM et de leur ambitions initiales,leur saison est merdique...ils sont éliminés de toutes les compét...par Limassol,Strasbourg à domicile et Andrezieux....mais bon comme la mode sur ce forum est de toujours trouver kekchose à redire,vous avez raison les gars,Marseille va se reprendre et finir 2eme et gagner les CDF et CL après avoir été repêché.
Bon sinon pour info,mon post relevait juste l’excés d’optimisme de Garcia malgré l’enchainement des contres performances,fin bref...
Ils sont éliminés précocement des 3 coupes, c'est un fait. Et comme ça c'est fait dans un laps de temps assez court, il y a un effet de zoom.
Au niveau du championnat, tu peux détourner le regard, mais les chiffres sont là. Si tu prends les 6 premiers de L1 et que tu observes les 5 derniers matchs joués :
LOSC 8 points
Lyon 8 points
Montpellier 5 points
Sainté 7 points
Marseille 8 points
Même Paris n'a inscrit "que" 11 pts. Il y a eu un coup de mou global avant les fêtes.
Suite au prochain épisode.
Au niveau du championnat, tu peux détourner le regard, mais les chiffres sont là. Si tu prends les 6 premiers de L1 et que tu observes les 5 derniers matchs joués :
LOSC 8 points
Lyon 8 points
Montpellier 5 points
Sainté 7 points
Marseille 8 points
Même Paris n'a inscrit "que" 11 pts. Il y a eu un coup de mou global avant les fêtes.
Suite au prochain épisode.
LOSC Vincent Enyeama : « Je n’ai même pas pu dire au revoir au public »
Absent des terrains depuis avril 2017, l’emblématique gardien nigérian du LOSC s’exprime pour la première fois depuis sa mise à l’écart du club nordiste, qu’il a officiellement quitté en août dernier. Enyeama évoque sa solitude pendant sa blessure, l’absence quasi-totale de contact avec ses anciens dirigeants et son envie toujours présente de trouver un dernier défi.
Sébastien Noé Et Olivier Fosseux | 09/01/2019
Libre depuis la résiliation de son contrat fin août, Vincent Enyeama se donne jusqu’à la fin de saison pour trouver un nouveau club. PHOTO FLORENT MOREAU
Le loft et sa blessure
Vincent, après votre blessure, vous n’imaginiez pas ne jamais rejouer avec le LOSC. Et pourtant, quelques semaines après, vous vous retrouvez dans le fameux loft…
« Bien sûr, je n’imaginais pas ça. J’ai tellement donné à Lille, j’étais l’un des joueurs importants de l’époque, malgré une dernière saison un peu plus difficile. Je n’avais jamais vécu une histoire comme celle du loft. Payer un joueur pour le mettre à l’écart, pour qu’il ne joue pas… Le laisser s’entraîner de son côté, je n’avais jamais vu ça dans le football. C’est Franck Béria qui m’a appelé pendant mes vacances au Nigéria. Il m’a dit : ‘’Oh Vincent, j’ai une mauvaise nouvelle. Tu ne vas plus t’entraîner avec l’équipe A’’. Je lui ai demandé pourquoi. Il m’a répondu : ‘’Je ne sais pas’’. Il m’a juste dit que c’était la décision des dirigeants… »
Vous aviez quand même été titulaire pendant quatre années…
« Mes performances sur les dernières années, elles ne sont pas venues de la lune. Je sais ce que je vaux. À cette époque, de toute manière, j’étais blessé, je ne pouvais pas revenir avant trois ou quatre mois. Cette situation a été difficile. Avant de me blesser à Rennes, j’ai joué de nombreux matchs avec des douleurs dans ce genou. Tout le monde le savait. Pendant plusieurs rencontres, mon genou était gonflé. On me faisait des injections pour retirer du liquide, on me donnait de la cortisone. C’est ça, à l’époque, qui me mettait en colère. Tout le monde savait que j’étais blessé. La question était de savoir combien de temps le genou allait tenir. J’avais déjà prévu de me faire opérer l’été suivant. »
Vincent Enyeama ne sait pas encore de quoi son avenir sera fait. PHOTO FLORENT MOREAU
La fin de l’aventure avec Lille
Au-delà de ce contexte, comprenez-vous que les dirigeants n’aient pas voulu vous conserver ?
« Ils ont mis en place un nouveau projet, il faut le respecter. J’ai bientôt 37 ans. Je sépare les deux choses. Je peux comprendre, je ne vais pas être en colère pour le choix. C’est plus sur la façon avec laquelle j’ai été écarté. Humainement, ce n’était pas bien pour moi, mais aussi pour d’autres mecs qui ont tout donné pour l’équipe, comme Marko Basa ou Rio Mavuba par exemple. Pour tous les autres en fait. »
Avec tous les joueurs écartés à l’époque, que ressentiez-vous ?
« On était tous très déçus. Marko, c’était un des meilleurs défenseurs de la Ligue 1. Rio a tout donné pour ce club. Et bam, du jour au lendemain, ils étaient écartés. Ils n’ont même pas été fêtés par les supporters. On ne leur a même pas rendu hommage. Je n’ai même pas pu dire au revoir au public, moi non plus… »
À cette époque, avez-vous eu l’occasion de parler avec Marcelo Bielsa ?
« Je ne connais pas Marcelo Bielsa. »
Vraiment ?
« Je ne sais pas qui est ce monsieur, vraiment. La première fois que je l’ai vu, j’étais sur une table de soins. Il a marché sans même me dire bonjour ou lever la tête. Ses assistants sont venus prendre de mes nouvelles quand même, me dire quelques mots. Et le jour suivant, plus personne ne m’a parlé. Je ne sais pas, peut-être qu’il était en colère parce qu’ils étaient venus me voir… Mais bon, peu importe… »
Et maintenant
Vincent Enyeama n’en perd pas son sourire pour autant. PHOTO FLORENT MOREAU
Vous êtes libre depuis septembre, est-ce que votre carrière professionnelle est terminée ?
« Non, pas pour le moment. J’ai envie de continuer un peu, mais c’est compliqué. Je m’entraîne tous les jours, ici dans ma maison. Je me maintiens en forme. J’avais quelques pistes en France, en Israël ou en Turquie. Mais, à mon âge, je n’ai pas envie de quitter encore une fois ma famille. Mes proches sont bien ici, on va rester à Lille. On est parfaitement intégré. On habite ici depuis 2011. »
C’est le mercato actuellement. Est-ce que vous avez des contacts ?
« Je n’ai rien en France en tout cas. Je me laisse encore jusqu’au mois de juin pour voir si un bon projet arrive. Je n’ai pas juste envie de rejouer, je veux prendre du plaisir. Et que ma famille soit bien. »
Est-ce que vous avez déjà imaginé l’après-carrière ? Ça vous tenterait par exemple d’être entraîneur des gardiens ?
« Honnêtement, je vis au jour le jour et je n’y pense pas. Après oui, transmettre mes connaissances, aider les jeunes gardiens comme j’ai pu le faire l’an dernier avec la réserve du LOSC, pourquoi pas ? »
http://lavdn.lavoixdunord.fr/518474/art ... -au-public
Absent des terrains depuis avril 2017, l’emblématique gardien nigérian du LOSC s’exprime pour la première fois depuis sa mise à l’écart du club nordiste, qu’il a officiellement quitté en août dernier. Enyeama évoque sa solitude pendant sa blessure, l’absence quasi-totale de contact avec ses anciens dirigeants et son envie toujours présente de trouver un dernier défi.
Sébastien Noé Et Olivier Fosseux | 09/01/2019
Libre depuis la résiliation de son contrat fin août, Vincent Enyeama se donne jusqu’à la fin de saison pour trouver un nouveau club. PHOTO FLORENT MOREAU
Le loft et sa blessure
Vincent, après votre blessure, vous n’imaginiez pas ne jamais rejouer avec le LOSC. Et pourtant, quelques semaines après, vous vous retrouvez dans le fameux loft…
« Bien sûr, je n’imaginais pas ça. J’ai tellement donné à Lille, j’étais l’un des joueurs importants de l’époque, malgré une dernière saison un peu plus difficile. Je n’avais jamais vécu une histoire comme celle du loft. Payer un joueur pour le mettre à l’écart, pour qu’il ne joue pas… Le laisser s’entraîner de son côté, je n’avais jamais vu ça dans le football. C’est Franck Béria qui m’a appelé pendant mes vacances au Nigéria. Il m’a dit : ‘’Oh Vincent, j’ai une mauvaise nouvelle. Tu ne vas plus t’entraîner avec l’équipe A’’. Je lui ai demandé pourquoi. Il m’a répondu : ‘’Je ne sais pas’’. Il m’a juste dit que c’était la décision des dirigeants… »
Vous aviez quand même été titulaire pendant quatre années…
« Mes performances sur les dernières années, elles ne sont pas venues de la lune. Je sais ce que je vaux. À cette époque, de toute manière, j’étais blessé, je ne pouvais pas revenir avant trois ou quatre mois. Cette situation a été difficile. Avant de me blesser à Rennes, j’ai joué de nombreux matchs avec des douleurs dans ce genou. Tout le monde le savait. Pendant plusieurs rencontres, mon genou était gonflé. On me faisait des injections pour retirer du liquide, on me donnait de la cortisone. C’est ça, à l’époque, qui me mettait en colère. Tout le monde savait que j’étais blessé. La question était de savoir combien de temps le genou allait tenir. J’avais déjà prévu de me faire opérer l’été suivant. »
Vincent Enyeama ne sait pas encore de quoi son avenir sera fait. PHOTO FLORENT MOREAU
La fin de l’aventure avec Lille
Au-delà de ce contexte, comprenez-vous que les dirigeants n’aient pas voulu vous conserver ?
« Ils ont mis en place un nouveau projet, il faut le respecter. J’ai bientôt 37 ans. Je sépare les deux choses. Je peux comprendre, je ne vais pas être en colère pour le choix. C’est plus sur la façon avec laquelle j’ai été écarté. Humainement, ce n’était pas bien pour moi, mais aussi pour d’autres mecs qui ont tout donné pour l’équipe, comme Marko Basa ou Rio Mavuba par exemple. Pour tous les autres en fait. »
Avec tous les joueurs écartés à l’époque, que ressentiez-vous ?
« On était tous très déçus. Marko, c’était un des meilleurs défenseurs de la Ligue 1. Rio a tout donné pour ce club. Et bam, du jour au lendemain, ils étaient écartés. Ils n’ont même pas été fêtés par les supporters. On ne leur a même pas rendu hommage. Je n’ai même pas pu dire au revoir au public, moi non plus… »
À cette époque, avez-vous eu l’occasion de parler avec Marcelo Bielsa ?
« Je ne connais pas Marcelo Bielsa. »
Vraiment ?
« Je ne sais pas qui est ce monsieur, vraiment. La première fois que je l’ai vu, j’étais sur une table de soins. Il a marché sans même me dire bonjour ou lever la tête. Ses assistants sont venus prendre de mes nouvelles quand même, me dire quelques mots. Et le jour suivant, plus personne ne m’a parlé. Je ne sais pas, peut-être qu’il était en colère parce qu’ils étaient venus me voir… Mais bon, peu importe… »
Et maintenant
Vincent Enyeama n’en perd pas son sourire pour autant. PHOTO FLORENT MOREAU
Vous êtes libre depuis septembre, est-ce que votre carrière professionnelle est terminée ?
« Non, pas pour le moment. J’ai envie de continuer un peu, mais c’est compliqué. Je m’entraîne tous les jours, ici dans ma maison. Je me maintiens en forme. J’avais quelques pistes en France, en Israël ou en Turquie. Mais, à mon âge, je n’ai pas envie de quitter encore une fois ma famille. Mes proches sont bien ici, on va rester à Lille. On est parfaitement intégré. On habite ici depuis 2011. »
C’est le mercato actuellement. Est-ce que vous avez des contacts ?
« Je n’ai rien en France en tout cas. Je me laisse encore jusqu’au mois de juin pour voir si un bon projet arrive. Je n’ai pas juste envie de rejouer, je veux prendre du plaisir. Et que ma famille soit bien. »
Est-ce que vous avez déjà imaginé l’après-carrière ? Ça vous tenterait par exemple d’être entraîneur des gardiens ?
« Honnêtement, je vis au jour le jour et je n’y pense pas. Après oui, transmettre mes connaissances, aider les jeunes gardiens comme j’ai pu le faire l’an dernier avec la réserve du LOSC, pourquoi pas ? »
http://lavdn.lavoixdunord.fr/518474/art ... -au-public
Zappa a écrit :Source of the post Putain, même au-delà de l'aspect sportif qu'on a déjà du mal à comprendre, faire ça à un mec d'une telle gentillesse, jovialité, respecté de tous ses coéquipiers etc ... c'est d'une telle bassesse :-(
C'est vrai mais cela a toujours existé dans le foot, écoute Zoot allures et cela va aller un peu mieux ;)
titish a écrit :Source of the postZappa a écrit :Source of the post Putain, même au-delà de l'aspect sportif qu'on a déjà du mal à comprendre, faire ça à un mec d'une telle gentillesse, jovialité, respecté de tous ses coéquipiers etc ... c'est d'une telle bassesse :-(
C'est vrai mais cela a toujours existé dans le foot, écoute Zoot allures et cela va aller un peu mieux ;)
The Torture Never Stops ! ... tu crois ?
Joli but de Lucas Digne aujourd'hui :-)
https://rmcsport.bfmtv.com/mediaplayer/video/resume-southampton-everton-2-1-premier-league-1133416.html
https://rmcsport.bfmtv.com/mediaplayer/video/resume-southampton-everton-2-1-premier-league-1133416.html
Ricosore a écrit :Source of the post Quelle vélocité...hors du commun.
Le poulet sans tête d’ursulet...
J’appelais comme ca manchevre... pas gervinho.
Burak à Lille, Irak à Lens!
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
