Vince a écrit :Source of the post Pour cette nouvelle saison on ne s'échauffera plus dans les surfaces de réparation ,obligations aux clubs d'installer des buts mobiles sur les cotes du stade........termin2 les ballons d'échauffement subtilisés par les DVE
Si les joueurs cadraient un peu plus, ça ne se produirait pas...
c'est possiblz sinon probable mais on a remonté dans le classement avec une meilleure note depuis l arret.Djeunzzz a écrit :Source of the post En général, ils arrosent avant le match et parfois à la mi-temps pour accélérer le jeu, pas pour la bonne santé du champ.
Z'ont arrêté d'arroser parce que ça servait plus l'équipe adverse, en fait. Mais même à sec, on s'est souvent fait en... nuyer.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
Bérurier a écrit :Source of the post Par contre la pelouse de Charlee est première pour la 6eme année consécutive (certainement du à un arrosage intensif)
T'es sûr qu'il en reste ?
Perso, j'ai jamais vu d'herbe sur l'autoroute.
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
dodger a écrit :Source of the postBérurier a écrit :Source of the post Par contre la pelouse de Charlee est première pour la 6eme année consécutive (certainement du à un arrosage intensif)
T'es sûr qu'il en reste ?
Perso, j'ai jamais vu d'herbe sur l'autoroute.
Fini les pelouses elles sont tondues aujourd'hui.
A Lens c'était les corons.
La bière ça c'est leur boisson.
Ils aiment les petits garçons.
Leurs grand-père c'est aussi leurs darons.
La bière ça c'est leur boisson.
Ils aiment les petits garçons.
Leurs grand-père c'est aussi leurs darons.
frandsen a écrit :Fini les pelouses elles sont tondues aujourd'hui.
Celles-là ne se tondent pas, elles s'épilent. ;0)
Mais bon, on trouve encore du ticket de métro et si je te racontais mes déplacements en Afrique je peux te dire que la différence entre la jungle et l'entrejambe d'une locale est plus olfactive que visuelle.
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
dodger a écrit :Source of the postfrandsen a écrit :Fini les pelouses elles sont tondues aujourd'hui.
Celles-là ne se tondent pas, elles s'épilent. ;0)
Mais bon, on trouve encore du ticket de métro et si je te racontais mes déplacements en Afrique je peux te dire que la différence entre la jungle et l'entrejambe d'une locale est plus olfactive que visuelle.
Ptdr.
A Lens c'était les corons.
La bière ça c'est leur boisson.
Ils aiment les petits garçons.
Leurs grand-père c'est aussi leurs darons.
La bière ça c'est leur boisson.
Ils aiment les petits garçons.
Leurs grand-père c'est aussi leurs darons.
dodger a écrit :Source of the postfrandsen a écrit :Fini les pelouses elles sont tondues aujourd'hui.
Celles-là ne se tondent pas, elles s'épilent. ;0)
Mais bon, on trouve encore du ticket de métro et si je te racontais mes déplacements en Afrique je peux te dire que la différence entre la jungle et l'entrejambe d'une locale est plus olfactive que visuelle.
et il y a des bêtes dans les deux ?
Chacun son métier, les vaches seront bien gardées - (Le Vacher et le Garde-chasse) - Jean Pierre Claris de Florian (1755-1794)
Villeneuve-d’Ascq Pourquoi la pelouse du stade Mauroy est-elle aussi « pourrie » ?
Carine Bausière (Avec O. F.) | 28/02/2019 18h01
Après l’Euro 2016, la pelouse a été changée pour la troisième fois en moins de deux mois. Le LOSC avait dû jouer son tour préliminaire de Ligue Europa au Stadium. Photo archives La Voix - VDNPQR
Si on se fie au championnat des pelouses de la LFP, le stade Mauroy est loin d’être une référence. À chaque match, une note est donnée à l’aire de jeu par chaque club, l’arbitre central et le réalisateur TV. Les critères concernent autant l’allure générale vue d’en haut par les caméras (couleur), que la réalité… de terrain décryptée par les acteurs du jeu (trajectoire du ballon au sol, qualité des appuis, etc.).
Pour Patrice Evra et Didier Deschamps en 2016, le terrain était déjà « catastrophique » et « désolant ».
Si le PSG et Guingamp font figure d’exemple en Ligue 1, le LOSC est loin derrière au classement. Le stade Pierre-Mauroy, pour être plus précis, puisque, rappelle le club, les joueurs se débrouillent avec ce qu’on leur donne. La pelouse fait partie de l’équipement qu’Elisa, la filiale d’Eiffage, met à leur disposition. Or, pour Christophe Galtier, la satisfaction client est loin d’être gagnée. « On est l’un des clubs qui payent le plus cher sa location de stade. Quand on loue quelque chose, on a aussi une obligation de résultat. »
Le technicien lillois n’est pas le premier à s’en plaindre. Avant lui, il y a eu Patrice Evra et Didier Deschamps, au lendemain d’un France-Suisse de l’Euro 2016. Le terrain était dans un état « catastrophique » et « désolant ». Pourtant, l’UEFA avait déjà tapé du poing sur la table quinze jours avant pour le faire changer.
Place à l’hybride
L’Euro terminé, le stade avait fait peau neuve et misé sur un gazon hybride. Une technologie de plus en plus répandue dans le football et le rugby. Concrètement, les brins d’herbe sont des vrais mais le substrat, en dessous, est synthétique. L’investissement tourne autour du million d’euros, une somme élevée qui s’amortit grâce à un entretien moins coûteux.
Malgré cela, le résultat n’est toujours pas à la hauteur. Effectivement, le modèle synthétique propose davantage de garanties de résistance aux intempéries. Mais dans un équipement à l’ensoleillement et à la ventilation restreints, le modèle montre ses limites. D’autant qu’il n’est pas ménagé. Même si on ne peut pas dire que les grands événements hors football se bousculent, le gazon supporte assez moyennement d’être soulevé (pour moitié) et mis à l’écart, sous lumière artificielle pendant plusieurs jours, pendant que l’Aréna accueille du handball, du volley-ball, du tennis ou de la musique. Alors il se dégrade. Et ça se voit.
Contactée, l’entreprise Elisa a la même réponse qu’à chaque fois que nous la sollicitons. Silence radio. Mais si la LFP appelle pour s’assurer de conditions de jeu optimales avant la finale de la Coupe de la Ligue, le 30 mars, le téléphone arrêtera peut-être de sonner dans le vide.
http://www.lavoixdunord.fr/544412/artic ... -tourcoing
C’est la question que se pose Christophe Galtier. Selon l’entraîneur du LOSC, la pelouse « est pourrie ». Il l’a encore constaté après le match contre Montpellier. Il n’est pas le premier à s’en plaindre. Depuis l’ouverture du stade, le rectangle vert a souvent fait parler de lui… et pas en bien.
Carine Bausière (Avec O. F.) | 28/02/2019 18h01
Après l’Euro 2016, la pelouse a été changée pour la troisième fois en moins de deux mois. Le LOSC avait dû jouer son tour préliminaire de Ligue Europa au Stadium. Photo archives La Voix - VDNPQR
Si on se fie au championnat des pelouses de la LFP, le stade Mauroy est loin d’être une référence. À chaque match, une note est donnée à l’aire de jeu par chaque club, l’arbitre central et le réalisateur TV. Les critères concernent autant l’allure générale vue d’en haut par les caméras (couleur), que la réalité… de terrain décryptée par les acteurs du jeu (trajectoire du ballon au sol, qualité des appuis, etc.).
Pour Patrice Evra et Didier Deschamps en 2016, le terrain était déjà « catastrophique » et « désolant ».
Si le PSG et Guingamp font figure d’exemple en Ligue 1, le LOSC est loin derrière au classement. Le stade Pierre-Mauroy, pour être plus précis, puisque, rappelle le club, les joueurs se débrouillent avec ce qu’on leur donne. La pelouse fait partie de l’équipement qu’Elisa, la filiale d’Eiffage, met à leur disposition. Or, pour Christophe Galtier, la satisfaction client est loin d’être gagnée. « On est l’un des clubs qui payent le plus cher sa location de stade. Quand on loue quelque chose, on a aussi une obligation de résultat. »
Le technicien lillois n’est pas le premier à s’en plaindre. Avant lui, il y a eu Patrice Evra et Didier Deschamps, au lendemain d’un France-Suisse de l’Euro 2016. Le terrain était dans un état « catastrophique » et « désolant ». Pourtant, l’UEFA avait déjà tapé du poing sur la table quinze jours avant pour le faire changer.
Place à l’hybride
L’Euro terminé, le stade avait fait peau neuve et misé sur un gazon hybride. Une technologie de plus en plus répandue dans le football et le rugby. Concrètement, les brins d’herbe sont des vrais mais le substrat, en dessous, est synthétique. L’investissement tourne autour du million d’euros, une somme élevée qui s’amortit grâce à un entretien moins coûteux.
Malgré cela, le résultat n’est toujours pas à la hauteur. Effectivement, le modèle synthétique propose davantage de garanties de résistance aux intempéries. Mais dans un équipement à l’ensoleillement et à la ventilation restreints, le modèle montre ses limites. D’autant qu’il n’est pas ménagé. Même si on ne peut pas dire que les grands événements hors football se bousculent, le gazon supporte assez moyennement d’être soulevé (pour moitié) et mis à l’écart, sous lumière artificielle pendant plusieurs jours, pendant que l’Aréna accueille du handball, du volley-ball, du tennis ou de la musique. Alors il se dégrade. Et ça se voit.
Contactée, l’entreprise Elisa a la même réponse qu’à chaque fois que nous la sollicitons. Silence radio. Mais si la LFP appelle pour s’assurer de conditions de jeu optimales avant la finale de la Coupe de la Ligue, le 30 mars, le téléphone arrêtera peut-être de sonner dans le vide.
http://www.lavoixdunord.fr/544412/artic ... -tourcoing
LOSC La pelouse du stade Pierre-Mauroy est encore bien malade
Malgré quinze jours de traitement intensif imposés par la Ligue et par les services techniques d’Elisa, l’opérateur du stade, la pelouse du stade Pierre-Mauroy s’est rapidement dégradée lors de la finale de la Coupe de la Ligue entre Guingamp et Strasbourg.
Sébastien Noé | 31/03/2019
Le Strasbourgeois Kenny Lala peut sourpirer : la pelouse est en sale état. Photo Pascal Bonnière - la Voix du Nord
« Je veux bien qu’on me dise que ça n’a pas été un grand match, c’est vrai sans aucun doute. Maintenant, vous pouvez essayer de jouer sur une pelouse aussi mauvaise et vous verrez. ». Avec son franc-parler habituel, Thierry Laurey a résumé samedi soir l’état d’esprit des deux équipes. Certes Guingamp et Strasbourg ont sans doute livré l’une des pires finales de Coupe de la Ligue de l’histoire mais les acteurs n’ont pas été aidés par les conditions de jeu.
La pelouse, c’était la grosse inquiétude de la LFP depuis quelques semaines. Le Stade Mauroy qui avait décroché l’organisation de cette finale 2019 et son opérateur Elisa (que nous avons essayé de joindre sans succès ce dimanche matin) ont donc été mis sous pression. Des spécialistes recommandés par la Ligue sont même venus donner leurs conseils ou plutôt leurs préconisations pour tenter de rendre vie à un terrain qu’on avait vu vraiment catastrophique lors du dernier match de Lille contre Monaco et qui s’est dégradé tout au long de l’hiver. Notamment depuis l’organisation fin novembre de la finale de la Coupe Davis entre la France et la Serbie.
« Cette pelouse a un double souci, nous confiait cette semaine un membre de la Ligue. Elle ne voit pas assez la lumière, de par les conditions météorologiques et elle paie parfois la fonction multimodale de ce stade. » Les deux semaines qui séparaient le match entre Lille et Monaco et cette finale ont donc été une course contre la montre avec différentes mesures : ouverture la plus fréquente possible du toit, luminothérapie, ventilateurs installés tout autour et piquetage pour drainer l’eau.
Vendredi, lors des traditionnelles conférences de presse d’avant match, le DG de la Ligue Didier Quillot semblait confiant. Hélas, samedi, entre le spectacle pyrotechnique d’avant-match et les premières minutes de jeu, on a vite compris que l’effet visuel rassurant de la pelouse n’allait pas durer.
Pour Elisa, qui désormais deux semaines (si le match n’est pas remis) avant un autre gros rendez-vous, un certain Lille – PSG, il va falloir maintenant estimer les dégâts et réfléchir aux solutions à apporter pour la fin de saison. Les conditions de jeu pourraient compliquer la mission des hommes de Christophe Galtier, qui luttent pour la qualification en Ligue des champions. Un autre enjeu qui mériterait un terrain moins hostile.
http://lavdn.lavoixdunord.fr/561107/art ... 1554040957
Malgré quinze jours de traitement intensif imposés par la Ligue et par les services techniques d’Elisa, l’opérateur du stade, la pelouse du stade Pierre-Mauroy s’est rapidement dégradée lors de la finale de la Coupe de la Ligue entre Guingamp et Strasbourg.
Sébastien Noé | 31/03/2019
Le Strasbourgeois Kenny Lala peut sourpirer : la pelouse est en sale état. Photo Pascal Bonnière - la Voix du Nord
« Je veux bien qu’on me dise que ça n’a pas été un grand match, c’est vrai sans aucun doute. Maintenant, vous pouvez essayer de jouer sur une pelouse aussi mauvaise et vous verrez. ». Avec son franc-parler habituel, Thierry Laurey a résumé samedi soir l’état d’esprit des deux équipes. Certes Guingamp et Strasbourg ont sans doute livré l’une des pires finales de Coupe de la Ligue de l’histoire mais les acteurs n’ont pas été aidés par les conditions de jeu.
La pelouse, c’était la grosse inquiétude de la LFP depuis quelques semaines. Le Stade Mauroy qui avait décroché l’organisation de cette finale 2019 et son opérateur Elisa (que nous avons essayé de joindre sans succès ce dimanche matin) ont donc été mis sous pression. Des spécialistes recommandés par la Ligue sont même venus donner leurs conseils ou plutôt leurs préconisations pour tenter de rendre vie à un terrain qu’on avait vu vraiment catastrophique lors du dernier match de Lille contre Monaco et qui s’est dégradé tout au long de l’hiver. Notamment depuis l’organisation fin novembre de la finale de la Coupe Davis entre la France et la Serbie.
« Cette pelouse a un double souci, nous confiait cette semaine un membre de la Ligue. Elle ne voit pas assez la lumière, de par les conditions météorologiques et elle paie parfois la fonction multimodale de ce stade. » Les deux semaines qui séparaient le match entre Lille et Monaco et cette finale ont donc été une course contre la montre avec différentes mesures : ouverture la plus fréquente possible du toit, luminothérapie, ventilateurs installés tout autour et piquetage pour drainer l’eau.
Vendredi, lors des traditionnelles conférences de presse d’avant match, le DG de la Ligue Didier Quillot semblait confiant. Hélas, samedi, entre le spectacle pyrotechnique d’avant-match et les premières minutes de jeu, on a vite compris que l’effet visuel rassurant de la pelouse n’allait pas durer.
Pour Elisa, qui désormais deux semaines (si le match n’est pas remis) avant un autre gros rendez-vous, un certain Lille – PSG, il va falloir maintenant estimer les dégâts et réfléchir aux solutions à apporter pour la fin de saison. Les conditions de jeu pourraient compliquer la mission des hommes de Christophe Galtier, qui luttent pour la qualification en Ligue des champions. Un autre enjeu qui mériterait un terrain moins hostile.
http://lavdn.lavoixdunord.fr/561107/art ... 1554040957
piquetage pour drainer....voila voila on y vient à mon idée que c'est par ce que l'eau ne s'évacue pas assez vite qu'il y a dégradation, surtout quand il y a arrosage avant le match pour améliorer la rapidité du jeu,alors si tu laisses le toit fermé, il y a moins d eau , mais aussi moins de lumière et de vent qui sèche tout cela est en contradiction.
Parce qu'avec l'usina à gazon de camphin, c'est pas "la plante" qui doit poser probleme.
Parce qu'avec l'usina à gazon de camphin, c'est pas "la plante" qui doit poser probleme.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
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