Calamar a écrit :Source of the post on avait déjà l'odeur des frites qui arrivaient !
Les friteux se faisaient livrer à l'époque ?!?
Calamar a écrit :Source of the post on avait déjà l'odeur des frites qui arrivaient !
Cent a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post A tous ceux qui ont connu GJ, ça risque de rappeler des souvenirs...
http://www.lavoixdunord.fr/259160/article/2017-11-05/plus-d-une-heure-pour-sortir-des-parkings-du-champ-de-mars
À l’époque nous étions nombreux à choisir de se garer un peu partout pour éviter le parking. Même s’il fallait beaucoup marcher avant d’arriver au stade.
daddycool a écrit :Source of the post Un truc me revient.
Au début des années 60, mon père - ce héros - comme on était toujours à la bourre, garait sa 2cv carrément sur le pont Léon Jouhaux en face d'Henri Jooris.
Il laissait maman (qui n'a jamais eu son permis, 95 ans cette année) dans la bagnole au cas où. Je vais lui en parler demain, on va en rigoler.
Une autre époque.
daddycool a écrit :Source of the post Un truc me revient.
Au début des années 60, mon père - ce héros - comme on était toujours à la bourre, garait sa 2cv carrément sur le pont Léon Jouhaux en face d'Henri Jooris.
Il laissait maman (qui n'a jamais eu son permis, 95 ans cette année) dans la bagnole au cas où. Je vais lui en parler demain, on va en rigoler.
Une autre époque.
Xylophène a écrit :Source of the post Finale de la Coupe d'Ecosse 1973, Rangers/Celtic à Hampden Park :
Djeunzzz a écrit :Source of the postCalamar a écrit :Source of the post on avait déjà l'odeur des frites qui arrivaient !
Les friteux se faisaient livrer à l'époque ?!?
Octave.R.G.Bel a écrit :Source of the postdaddycool a écrit :Source of the post Un truc me revient.
Au début des années 60, mon père - ce héros - comme on était toujours à la bourre, garait sa 2cv carrément sur le pont Léon Jouhaux en face d'Henri Jooris.
Il laissait maman (qui n'a jamais eu son permis, 95 ans cette année) dans la bagnole au cas où. Je vais lui en parler demain, on va en rigoler.
Une autre époque.
Et on pouvait voir les joueurs partir s'échauffer en fendant la foule sous les tribunes