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Hors ligneMessagetoones » mer. 15 nov. 2017 11:37

Mr je centre et je tombe ^^ jl' aimais bien merci je lirais ça ce soir posé

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Hors ligneMessagebenosc » mer. 15 nov. 2017 12:10

bel article sans langue de bois. Un battant ce Duncker, limité mais toujours à fond...une autre époque...

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Hors ligneMessagetoones » mer. 15 nov. 2017 13:38

J' avais la chance de le côtoyer à Raimes du temps où j' allais chez mon cousin pour les cours à Valenciennes un super type qui n' hésitait pas à jouer avec nous ! Comme tu dis une autre époque

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Hors ligneMessageXylophène » lun. 20 nov. 2017 22:04

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LOSC 1978/79

Debouts : René Marsiglia, Jean-Claude Chemier, Pierre Dréossi, Alain Grumelon, Serge Besnard, Alain Tirloit.

Accroupis : Arnaud Dos Santos, Roberto Cabral, Pierre Pleimelding, Didier Simon, Žarko Olarević.

https://thevintagefootballclub.blogspot.fr/2017/11/lille-osc-1978-79-by-panini.html

Mon maillot du LOSC préféré.
Qui mange du feu chie des étincelles.

(proverbe flamand)

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Hors ligneMessageMélenchon » lun. 20 nov. 2017 22:48

Xylophène a écrit :Source of the post Je vous conseille vivement la lecture de cette interview du mythique Arnaud Duncker :
http://droguebierecomplotlosc.unblog.fr/2017/11/15/arnaud-duncker-valenciennes-mon-club-formateur-lille-mon-club-de-coeur/

Je l'ai lu avec plaisir.
Belle époque.

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Hors ligneMessageXylophène » dim. 26 nov. 2017 11:50

UP !

Parce que le LOSC, ce n'est pas qu'une équipe de mercenaires et des traders prétentieux à sa tête.
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Hors ligneMessageXylophène » mar. 13 mars 2018 18:17

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Modifié en dernier par Xylophène le mar. 13 mars 2018 18:50, modifié 1 fois.
Qui mange du feu chie des étincelles.

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Hors ligneMessageemille » mar. 13 mars 2018 18:35

résultat 1/1

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En ligneMessagedaddycool » mar. 13 mars 2018 21:21

M’en souviens (pas du match) j’y étais invité en prėsi
Chacun son métier, les vaches seront bien gardées - (Le Vacher et le Garde-chasse) - Jean Pierre Claris de Florian (1755-1794)

Raouliché

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MessageRaouliché » mar. 13 mars 2018 21:35

But de Karasi qui inscrivit le premier but à GJ

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MessageRaouliché » mar. 13 mars 2018 21:36

Xylophène a écrit :Source of the post Image

LOSC 1978/79

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Mon maillot du LOSC préféré.


3 sont déjà décédés

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MessageRaouliché » mer. 14 mars 2018 11:53


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Hors ligneMessageLe sage » mer. 14 mars 2018 15:44

Xylophène a écrit :Source of the post Image

LOSC 1978/79

Debouts : René Marsiglia, Jean-Claude Chemier, Pierre Dréossi, Alain Grumelon, Serge Besnard, Alain Tirloit.

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Mon maillot du LOSC préféré.


C'était quoi la marque de ce maillot déjà ? ... marque disparue... On avait même cette marque de maillot en poussin, pupille...
Pas moyen de m'en souvenir !
" Patience les gars. Un transfert c est pas négocier un kilo de merguez... "
Zaz - 3 août 2023 à 18h23

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Hors ligneMessageCRICRI » mer. 14 mars 2018 16:01

Ah Marceau Sommerlinck il avait un bistrot au bout de l'avenue du lycée Gaston berger C'était notre refuge quand on séchait les cours Il y avait une chouette ambiance

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Hors ligneMessageBaratte » mer. 14 mars 2018 16:13

Le sage a écrit :Source of the post
Xylophène a écrit :Source of the post Image

LOSC 1978/79

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Mon maillot du LOSC préféré.


C'était quoi la marque de ce maillot déjà ? ... marque disparue... On avait même cette marque de maillot en poussin, pupille...
Pas moyen de m'en souvenir !

L'équipementier chaussures c'était Pony ... le logo du maillot était zarbi ... Patrick ?

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Hors ligneMessageLe sage » mer. 14 mars 2018 16:15

Baratte a écrit :
Le sage a écrit :Source of the post
Xylophène a écrit :Source of the post Image

LOSC 1978/79

Debouts : René Marsiglia, Jean-Claude Chemier, Pierre Dréossi, Alain Grumelon, Serge Besnard, Alain Tirloit.

Accroupis : Arnaud Dos Santos, Roberto Cabral, Pierre Pleimelding, Didier Simon, Žarko Olarević.

https://thevintagefootballclub.blogspot.fr/2017/11/lille-osc-1978-79-by-panini.html

Mon maillot du LOSC préféré.


C'était quoi la marque de ce maillot déjà ? ... marque disparue... On avait même cette marque de maillot en poussin, pupille...
Pas moyen de m'en souvenir !

L'équipementier chaussures c'était Pony ... le logo du maillot était zarbi ... Patrick ?


Non, le logo était une sorte de grand R...
On le voit sur la photo https://thevintagefootballclub.blogspot.fr/2017/11/lille-osc-1978-79-by-panini.html
J'ai beau chercher, je ne trouve nul part !
J'avais pensé à Rucanor mais c'était pas comme ça.
" Patience les gars. Un transfert c est pas négocier un kilo de merguez... "
Zaz - 3 août 2023 à 18h23

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Hors ligneMessageZappa » mer. 14 mars 2018 20:14

KOPA

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Hors ligneMessageLe sage » mer. 14 mars 2018 20:20

Zappa a écrit :Source of the post KOPA


Yesss, merci Zappa...
Marque de Raymond Kopa. Le logo en forme de R était sûrement pour Raymond. Ça m’a mené sur de fausses pistes !
Encore merci
" Patience les gars. Un transfert c est pas négocier un kilo de merguez... "
Zaz - 3 août 2023 à 18h23

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Hors ligneMessageZappa » mer. 14 mars 2018 20:22

J'ai juste zoomé l'image Panini sur mon téléphone. Aucun mérite ^^

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Hors ligneMessageXylophène » sam. 17 mars 2018 15:01

Libération le 26 avril 1997 a écrit :Lille, mal aimée du foot nordiste. Le Losc, relégable, joue son avenir en D1 chez le grand rival lensois.


Par Olivier VILLEPREUX — 26 avril 1997 à 00:17

Lille envoyé spécial

Sur la porte en contreplaqué bleu des vestiaires, «Entrée des joueurs» est écrit à la craie. Le stade Grimonprez-Jooris offre sa carcasse à la bise du nord, avec son tableau d'affichage grignoté par la rouille et son squelette de fer fondu dans le béton gris. L'équipage actuel de ce qui fut le vaisseau-amiral du football français dans les années 50 est régulièrement attendu par quelques fidèles, dont les plus bavards sont des retraités engoncés dans de lourdes vestes. Les jeunes sont très jeunes et réclament des autographes ou une pose photo-souvenir, les filles sont des lycéennes qui se plaisent à parcourir, au côté des joueurs, le court chemin de terre battue qui mène des douches au terrain d'entraînement.

Derby de la peur. Les joueurs ne sont pas gais. A peine se parlent-ils en se dirigeant en file indienne vers leur séance quotidienne de course et d'étirement. En perdant leur dernier match, contre Cannes à domicile (0-1), les quelques braises qu'ils avaient encore le coeur de ranimer, chaque fin de saison, pour sauver leur équipe de la chute en division 2 paraissent éteintes. Cédric Carrez et Frédéric Dindeleux, 24 ans, Fabien Leclercq, 26 ans, ont en commun de n'avoir connu que le Lille olympique Sporting-Club (Losc). Tous les trois ont un regard de cendre, les cheveux blond-châtain. Ils pourraient être frères, et ils le sont, d'une certaine façon. «Je ne pense pas que l'on se rende bien compte en ce moment d'être tout de même heureux de porter le maillot du Losc. On en est fier, on est nordiste, et on a été supporteurs du club», précise Fabien Leclercq, visiblement affecté par la perspective de se rendre à Lens, ce samedi, disputer ce match de la dernière chance, ce «derby de la peur», comme l'appelle Cédric Carrez. Une dernière déception dans ce duel fratricide du Nord ­ «Quand on est d'ici, les gens nous en parle comme si c'était le seul match de l'année à gagner» ­, et Lille sera condamné après vingt saisons sauvées sur le fil. L'esprit est là, le courage un peu moins. «On a appris à vivre avec cette volonté de se battre pour rester en D1. Moi, ça fait sept ans que ça dure. Même si ce n'est pas suffisant, cela me soulagerait même d'être dans le ventre mou du championnat», avance Cédric Carrez.

Recrutement interdit. Si Lens a connu le même début de saison pied au plancher que son voisin distant d'à peine 50 km, les deux équipes ont été comme prises de vertige après le premier tiers de la compétition avec, dans le panier, presque 30 points au classement. A la différence que le Losc, avec un budget de 60 millions de francs et une interdiction de recrutement imposée par la Ligue, n'a pu faire face aux soucis ordinaires d'une équipe de D1: blessures, suspensions, etc. Son président, Bernard Lecomte, délégué général de la CGE du Nord, explique avoir été «appelé il y a trois ans pour faire le pompier». «Le club a frôlé le dépôt de bilan, après des dépenses hasardeuses comme c'était souvent le cas à ce moment-là dans le foot français, mais je suis parvenu à monter un plan de redressement pour rembourser, avant juin 1998, 70 millions de francs de dettes.» A raison de 15 millions par an, le Losc éponge patiemment, mais se retrouve avec le plus petit budget de la D1, 60 millions, amputé de ces incontournables échéances annuelles. «La ville et la communauté urbaine font des efforts substantiels pour nous aider, mais ce n'est plus à elles de le faire», estime le président, qui rêve d'une équipe financée par les entreprises locales, pour qui le foot ne représente pas encore un moyen assez stable de se faire de la pub.

Peu de sponsors. Le grand rival de Lens, dans une ville de 30 000 habitants seulement, est parvenu sur sa seule image à drainer des sponsors qui lui permet de disposer d'un budget de 160 millions. Aussi, à Lille, le sentiment général est que le club est lâché. La maladie chronique du Losc est de ne pas intéresser les grandes sociétés traditionnelles qui se sont récemment installées dans la métropole du Nord, pas plus que le maire socialiste, Pierre Mauroy, qui a préféré miser sur les activités culturelles. Handicap supplémentaire, la masse des étudiants lillois ne goûte guère les fraîches soirées au stade, qui affiche pourtant une moyenne de 10 000 spectateurs par match, en dépit des mauvais résultats. Entraîneurs éphémères. Stupéfaits par l'engouement général des politiques, des hommes d'affaires et de la population pour la candidature de Lille aux Jeux olympiques, les hommes du Losc se sentent «floués», à l'instar de Bernard Lecomte. «50% des Nordistes s'intéressent au Losc, affirme Fabien Leclercq, sans nécessairement faire quelque chose pour nous. Généralement, cela se traduit en ville par des mots sympathiques, mais de moins en moins souvent.» Frédéric Dindeleux ajoute: «J'ai pourtant l'impression qu'on leur avait donné du plaisir quand on avait gagné contre Marseille en coupe de France. C'était l'euphorie. On est rentré en TGV avec les supporters, tous les autres nous attendaient à la gare.» Désabusés, les trois joueurs se cherchent du regard pour avancer une explication. Cédric Carrez: «Si on avait l'explication, on y remédierait. Sportivement, les quatre premiers mois étaient super, inconsciemment on s'est relâché. Le club manque de stabilité. Tous les deux ans, on change d'entraîneur, on ne travaille pas sur la durée.» Leclercq: «Ce sont de fausses soupapes, ça fait cinq ans que l'on nous dit que le prochain entraîneur va nous sauver. C'est faux: nous sommes les seuls à pouvoir nous sauver. Je crois que le problème, comme pour Lens cette saison, est que les dirigeants se sont trompés dans leurs délégations de pouvoir.Je ne dis pas ça pour notre président, il a fait l'effort d'être omniprésent, surtout dans les moments difficiles.»

Sans style. Sur le terrain, c'est flagrant, rien ne va plus. Les péniches paresseuses qui se coulent dans le décor en glissant sur le canal de la Deûle ajoutent à l'impression de langueur qui s'est emparée d'une équipe «sans style», comme le dit abruptement Fabien Leclercq. Le défenseur est plein de regrets: «Après la trêve, on ne s'est pas inquiété, on a commencé à perdre, c'était comme une blessure que l'on n'a jamais soignée.» Alors que Lens s'est pour l'instant sorti du guêpier, les Lillois 17e et aujourd'hui relégables (voir tableau) s'attendent au pire, en ayant perçu l'efficace tour de vis effectué chez le voisin nordiste par le nouvel entraîneur, Roger Lemerre. Mais l'hypothèse encore valable lors de la dernière journée de voir Lens et Lille s'avachir en D2 est énergiquement repoussée par les joueurs, qui n'en supportent pas l'idée.

http://www.liberation.fr/sports/1997/04/26/lille-mal-aimee-du-foot-nordiste-le-losc-relegable-joue-son-avenir-en-d1-chez-le-grand-rival-lensois_201584
Qui mange du feu chie des étincelles.

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