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Hors ligneMessageMacAloon » jeu. 23 nov. 2017 20:12

C'est ptet vrai ptet faux. Pas la peine de verser dans l'emotif non plus.

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Hors ligneMessagebredt » jeu. 23 nov. 2017 20:45

la version que j'ai entendue c'est que personne, ni Ingla, ni Lopes et encore moins Campos n'avaient leur mot à dire.
Même si Bielsa était un brave type, passionné et compétent, c'était sans doute une tête de mule, rigide dans ses idées. L'exemple en est son insistance à positionner Maïa latéral gauche.

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Hors ligneMessageimmercurien » jeu. 23 nov. 2017 21:01

y a quelqu'un qui connaissait maia ici en juillet et son vrai poste?

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Hors ligneMessageLudwigVon » jeu. 23 nov. 2017 21:06

immercurien a écrit :Source of the post y a quelqu'un qui connaissait maia ici en juillet et son vrai poste?

Je ne connaissais aucun des joueurs arrivés cet été. Même pas honte.
C'est fou comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde.
Boris Vian

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En ligneMessageDogue-Son » jeu. 23 nov. 2017 21:08

Même Malcuit ?
Damnant quod non intelligunt

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MessageRaouliché » jeu. 23 nov. 2017 22:13

Et Pépé !

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Hors ligneMessageMélenchon » jeu. 23 nov. 2017 22:22

Grégory Schneider qui reparle du journaliste bourré sur libération.
Palka?


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Hors ligneMessagezan » jeu. 23 nov. 2017 22:29

Non, ça colle pas. Rapport à l'âge indiqué dans l'article.

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Hors ligneMessageLudwigVon » jeu. 23 nov. 2017 22:30

LudwigVon a écrit :Source of the post
immercurien a écrit :Source of the post y a quelqu'un qui connaissait maia ici en juillet et son vrai poste?

Je ne connaissais aucun des joueurs arrivés cet été. Même pas honte.

Aucun de ceux qui ne jouaient pas en L1 je veux dire.
C'est fou comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde.
Boris Vian

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MessageRaouliché » jeu. 23 nov. 2017 22:34

Mélenchon a écrit :Source of the post Grégory Schneider qui reparle du journaliste bourré sur libération.
Palka?



Non le mec qui avait menacé Bielsa (puisque c'est de ça dont il s'agit dans l'article) c'est le journaliste de RTL. J'ai oublié son nom

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Hors ligneMessageblackeyedpeas » jeu. 23 nov. 2017 22:35

Merci Pff pour la presse.

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Hors ligneMessageMrK » jeu. 23 nov. 2017 22:43

Raouliché a écrit :Source of the post
Mélenchon a écrit :Source of the post Grégory Schneider qui reparle du journaliste bourré sur libération.
Palka?



Non le mec qui avait menacé Bielsa (puisque c'est de ça dont il s'agit dans l'article) c'est le journaliste de RTL. J'ai oublié son nom


Hervé Veughe

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Hors ligneMessageMiladin Béca » ven. 24 nov. 2017 04:38

Veughe n'a jamais été un "anti lillois" sur RTL.

Quand il passait à la radio ( y'a plus grand chose sur RTL pour le foot donc je ne sais pas actuellement ) c'était souvent pour défendre Lille mais bon c'était du temps de Garcia. J'ai toujours trouvé qu'il était assez correct avec nous.

Maintenant devoir parler à un mec qui ne te regarde pas....

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Hors ligneMessageVieuxxx » ven. 24 nov. 2017 07:26

dodger a écrit :
Vieuxxx a écrit :Source of the post 19eme après 1/3 de Championnat et 70 millions de transfert, et avoir choisi l'équipe... Pas besoin d'aller au Chili pour trouver une faute grave ? Si ?

L'incompétence est plus une tare qu'une faute. Ce qui est grave c'est de lui avoir donné les clefs du camion.


Je suis d'accord, c'est à croire qu'un supporter de Marseille a racheté le LOSC !

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Hors ligneMessageEric » ven. 24 nov. 2017 08:12

«Bielsa est un conférencier brillant, l’un des rares idéalistes qui subsiste dans le foot. Mais il joue avec la carrière des joueurs, pas avec la sienne. Et avec l’argent des actionnaires, pas avec le sien.»


Je suis toujours partagé à propos du départ de Bielsa, mais au final, cette phrase résume assez bien le personnage.
« Je connaissais Marie, Jean, Paul, Jean-Marie, Jean-Paul, et même Marie-Paule, mais Marijampole, connais pas. »

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Hors ligneMessageKwisatz- » ven. 24 nov. 2017 09:05

Eric a écrit :Source of the post «Bielsa est un conférencier brillant, l’un des rares idéalistes qui subsiste dans le foot. Mais il joue avec la carrière des joueurs, pas avec la sienne. Et avec l’argent des actionnaires, pas avec le sien.»


Je suis toujours partagé à propos du départ de Bielsa, mais au final, cette phrase résume assez bien le personnage.

C'est surtout un angle de communication de crise soigneusement choisi par le club pour égratigner Bielsa sans avoir l'air trop méchant.

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Hors ligneMessageCRICRI » ven. 24 nov. 2017 09:11

Eric a écrit :Source of the post «Bielsa est un conférencier brillant, l’un des rares idéalistes qui subsiste dans le foot. Mais il joue avec la carrière des joueurs, pas avec la sienne. Et avec l’argent des actionnaires, pas avec le sien.»


Je suis toujours partagé à propos du départ de Bielsa, mais au final, cette phrase résume assez bien le personnage.


Bien résumé À trop pris le LOSC comme un laboratoire d'idées et d'action Tel un chercheur qui se dit : "le vais mélanger tel produit avec tel autre je mélange et on verra"

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Hors ligneMessageCRICRI » ven. 24 nov. 2017 09:12

CRICRI a écrit :Source of the post
Eric a écrit :Source of the post «Bielsa est un conférencier brillant, l’un des rares idéalistes qui subsiste dans le foot. Mais il joue avec la carrière des joueurs, pas avec la sienne. Et avec l’argent des actionnaires, pas avec le sien.»


Je suis toujours partagé à propos du départ de Bielsa, mais au final, cette phrase résume assez bien le personnage.


Bien résumé Bielsa trop pris le LOSC comme un laboratoire d'idées et d'action Tel un chercheur qui se dit : "le vais mélanger tel produit avec tel autre je mélange et on verra"

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Hors ligneMessageXylophène » ven. 24 nov. 2017 10:39

Le Temps a écrit :Marcelo Bielsa, LOSC in translation

Avant-dernier de Ligue 1 malgré un projet ambitieux au financement risqué, Lille risque l’accident industriel. Mais c’est la «suspension momentanée» de son charismatique entraîneur argentin qui catastrophe les uns et réjouit les autres.

En vingt-sept ans de carrière, cela ne lui était jamais arrivé. Partout ailleurs, il était parti le premier, au nom de grands principes ou de petits détails. A Lille mercredi soir, Marcelo Bielsa a été viré. Comme un vulgaire entraîneur. Un sacrilège pour une moitié des amateurs de football, un soulagement pour les autres.

Le grand retour de Bielsa en France, deux ans après son départ surprise de l’Olympique de Marseille, n’aura donc duré que 13 matches (3 victoires, 3 nuls, 7 défaites). Officiellement, l’entraîneur argentin du Lille Olympique Sporting Club (LOSC) «a été suspendu momentanément […] dans le cadre d’une procédure engagée par le club». Selon L’Equipe, cette formulation inhabituelle respecte strictement le Code du travail et prépare un licenciement pour faute grave destiné à éviter de verser à Marcelo Bielsa les indemnités de licenciement prévues dans son contrat.

Jugement trop rapide

Cette annonce a profondément divisé la France du football, déjà partagée de longue date entre pro et anti-Bielsa. Impossible de rester neutre, chacun a un avis tranché sur l’Argentin. «Loco» pour les uns, «Profesor» pour les autres. Cette ligne de démarcation s’observe dans les forums, sur les réseaux sociaux comme sur les plateaux télé. Chaque camp reproche à l’autre son «manque de culture football» (l’insulte à la mode), quand bien même on retrouve des deux côtés entraîneurs et anciens joueurs.

Seul point de convergence: tous s’accordent à dire qu’il ne servait à rien d’enclencher la révolution Bielsa pour y mettre un terme au bout de cinq mois seulement. A Manchester City, Guardiola en a demandé dix-huit avant d’être jugé.

Une double promesse

Apprécier la situation de la manière la plus objective possible n’est pas chose aisée. En une saison et un match à Marseille, Marcelo Bielsa a plutôt échoué du point de vue comptable. Leader de la 6e à la 20e journée, l’OM termina le championnat sur les rotules, 4e du classement (2e attaque, 7e défense), non qualifié pour la Ligue des champions. Mais sa réussite était ailleurs: le club avait retrouvé une âme, renoué avec son public (52 000 spectateurs de moyenne, 33 000 abonnés) et valorisé de nombreux joueurs.

Les transferts l’été suivant de Morel, Ayew, Gignac, Payet, Thauvin et Imbula rapportèrent 52 millions d’euros. C’est sur cette double promesse – du spectacle et la mise en valeur de jeunes joueurs – que le nouveau propriétaire du LOSC, le financier luxembourgeois Gérard Lopez, avait choisi Bielsa. Il eut le tort de vouloir lui associer le «conseiller sportif» portugais Luis Campos, l’homme qui a transformé l’AS Monaco en cash machine avec les ventes record d'Anthony Martial, Kylian Mbappé, Benjamin Mendy ou Bernardo Silva.

Il a tout chamboulé

a réussite rapide la saison passée d’un Lucien Favre à l’OGC Nice a peut-être fait espérer une rentabilité immédiate à Gérard Lopez. Mais là où «Lulu» apporta prudemment et progressivement des retouches à un projet monté par son prédécesseur (Claude Puel), Marcelo Bielsa chamboula tout: 22 départs, prêts ou non-prolongations; 17 arrivées. Avec l’effectif le plus jeune d’Europe, la méthode ne pouvait pas fonctionner en quelques matches. Problème: Luis Campos n’avait aucune envie d’être patient, et Gérard Lopez (qui a racheté le club grâce à des emprunts réalisés auprès de fonds vautours) n’en avait sans doute pas les moyens.

Exit donc Bielsa, son survêt informe, son traducteur altermondialiste, ses yeux baissés, son 3-3-3-1, ses réponses alambiquées et son goût pour l’autoflagellation en conférence de presse. Il laisse le football français face à ses contradictions et à son éternelle querelle idéologique entre la quête du beau jeu et la recherche du résultat à tout prix. Rennes a déjà limogé Christian Gourcuff (au moment où, comme le LOSC de Bielsa, son équipe semblait aller mieux) et Saint-Etienne a remplacé un prometteur technicien formé au meilleur de l’école espagnole (Oscar Garcia) par un ancien joueur du cru sans diplôme (Julien Sablé). Comprenne qui pourra.

Un paradoxe et une énigme

Mais Marcelo Bielsa lui-même est un paradoxe et une énigme. On le prend à tort pour un romantique. C’est tout au plus un idéaliste, qui n’imagine gagner que par ses propres forces et toujours en attaquant. Mais c’est aussi un «nouveau barbare», tel que décrit par Alessandro Baricco, quelqu’un qui préfère la polyvalence à la compétence, des possibilités à une capacité. Paradoxaux également, ses admirateurs. Ils aiment les artistes, que Bielsa formate, et particulièrement Juan Roman Riquelme, qu’il ne faisait pas jouer en équipe d’Argentine parce que trop lent.

Il est faux de dire que Bielsa n’a jamais rien gagné. «Il est trois fois champion d’Argentine, champion olympique, finaliste de la Copa America et de la Copa Libertadores», énumère le journaliste Didier Roustan lorsqu’on le chauffe sur le sujet. En Argentine, Carlos Bianchi a un palmarès de club bien supérieur, mais aucun observateur n’a jamais considéré ses échecs à l’AS Roma et à l’Atlético Madrid comme des injustices.

Aura unique

Seul el maestro Bielsa jouit d’une aura unique. S’il est viré de Lille, c’est parce que la France ne le mérite pas. La Ligue 1 est pourtant le seul championnat à lui avoir confié, deux fois, un club ces cinq dernières années. Les autres, ceux qui ne lui proposent rien, ou alors seulement des conférences données aux entraîneurs, sauraient mieux apprécier sa valeur, laquelle est immense. Pep Guardiola l’a dit: «Marcelo Bielsa est le meilleur entraîneur du monde.»

Ses disciples – son ancien adjoint Jorge Sampaoli, actuel sélectionneur de l’Argentine, Mauricio Pochettino à Tottenham, Eduardo Berizzo au FC Séville – sèment sa bonne parole, mais tous adaptent la théorie bielsiste à la réalité d’un groupe humain ou d’un vestiaire. Ils s’en inspirent, parmi d’autres sources. Marcelo Bielsa est en réalité le Jean-Luc Godard du foot: tout le monde le considère comme un génie mais personne n'ose le suivre.

Les autres ont appris à le jouer

Une question, qui pourrait réconcilier pro et anti, est rarement posée: et s’il avait simplement fait son temps? Ses grands titres datent des années 1990. Depuis, il a révolutionné le football chilien, oui. Comme Roy Hodgson a transformé le football suisse, avant de décevoir partout ailleurs…

A Lille, Bielsa est souvent apparu plus nerveux, plus sensible à la critique, moins extrême qu’à la grande époque d’«El Loco». Surtout, les autres ont appris à le jouer. Son dernier vainqueur, l’entraîneur d’Amiens Christophe Pélissier, expliquait lundi 20 novembre: «On savait que le LOSC jouait en déséquilibre. Il ne fallait pas tomber dans ce piège, mais s’y engouffrer et, après avoir marqué, attendre qu’ils se cassent les dents sur nos transitions.»

Aux dernières nouvelles, le Chili voudrait le récupérer. Quoi qu’on en pense, Marcelo Bielsa est précieux dans le football moderne. Parce que rare, intègre, différent. Grand bourgeois de Rosario (sœur vice-gouverneure, frère ministre, épouse architecte), il a choisi le foot comme on entre dans les ordres. Le rouge et le noir, les couleurs de Newell’s Old Boys, son premier club.

En cinq mois à Lille, Marcelo Bielsa a ramené de la passion, de la tension, de la folie dans un football désespérément aseptisé. Son renvoi, un soir où le PSG battait sans forcer 7-1 un grand nom comme le Celtic, est une perte. Voilà pourquoi certains préféreront toujours avoir tort avec Bielsa que raison avec un autre pour qui «l’important, c’est les trois points».

https://www.letemps.ch/sport/2017/11/23/marcelo-bielsa-losc-in-translation?utm_source=twitter&utm_medium=share&utm_campaign=article
Qui mange du feu chie des étincelles.

(proverbe flamand)


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