daddycool a écrit :Source of the post Je rappelle que BEP est contre un but de Balmont, car il ne le mérite pas.
Sauf à considérer que ce match sera son jubilé.
apollo a écrit :Source of the postdodger a écrit :Source of the post La Coupe de la Ligue c'est comme quand tu sortais en boite, que t'arrivais à rien et qu'au petit matin, plutôt que de rentrer les couilles pleines tu te tirais un boudin dans la R5.
T'en étais pas spécialement fier mais tout compte fait, t'avais sauver ton samedi soir.
ca dépend pour qui !
pour un puceau comme leelh, se taper un boudin serait aussi fort qu'une finale de Ligue des champions
ok
emille a écrit :Source of the postapollo a écrit :Source of the postdodger a écrit :Source of the post La Coupe de la Ligue c'est comme quand tu sortais en boite, que t'arrivais à rien et qu'au petit matin, plutôt que de rentrer les couilles pleines tu te tirais un boudin dans la R5.
T'en étais pas spécialement fier mais tout compte fait, t'avais sauver ton samedi soir.
ca dépend pour qui !
pour un puceau comme leelh, se taper un boudin serait aussi fort qu'une finale de Ligue des champions
Pour avoir un tel raisonnement tu n'as sans doute jamais tiré de boudin !
C'est parfois surprenant ce dont elles sont capable...
Les boudins se surpassent, je me suis tapé des bonnes meufs franchement des nunuches elles aiment pas grand chose niveau cul par contre le thon elle te fait la totale.
Le sage a écrit :Source of the postsolid.snake a écrit :Source of the post Malgré la difficulté d’un mercato, qui n’est pas toujours lisible, il est toujours important d’arriver avec un projet ambitieux. En janvier 2015, je prends Sofiane Boufal, alors que ce n’est pas la priorité du staff. Or je le fais avec l’ambition de retrouver du spectacle. Les gens veulent voir de belles équipes et avec cette arrivée, on a plus ou moins été heureux.
S'il y a bien une phrase importante... Boufal pas priorité du staff et imposé par Seydoux !?
Cela peut expliquer pas mal de choses du début de saison.
C'est Vandamme qui avait conseillé à Seydoux de prendre Boufal, comme Seydoux la déjà dit.
Girard voulait un 9. Il y en avait déjà 2, Origi et Roux, sans compter le retour de Diaby, et le LOSC aurait il eu mieux en recrutant?
Ça explique peut-être pourquoi Girard a mis autant de temps à utiliser Boufal.
Le sage a écrit :Source of the postsolid.snake a écrit :Source of the post Malgré la difficulté d’un mercato, qui n’est pas toujours lisible, il est toujours important d’arriver avec un projet ambitieux. En janvier 2015, je prends Sofiane Boufal, alors que ce n’est pas la priorité du staff. Or je le fais avec l’ambition de retrouver du spectacle. Les gens veulent voir de belles équipes et avec cette arrivée, on a plus ou moins été heureux.
S'il y a bien une phrase importante... Boufal pas priorité du staff et imposé par Seydoux !?
Cela peut expliquer pas mal de choses du début de saison.
C'est Vandamme qui avait conseillé à Seydoux de prendre Boufal, comme Seydoux la déjà dit.
Girard voulait un 9. Il y en avait déjà 2, Origi et Roux, sans compter le retour de Diaby, et le LOSC aurait il eu mieux en recrutant?
Ça explique peut-être pourquoi Girard a mis autant de temps à utiliser Boufal.
solid.snake a écrit :Source of the post Malgré la difficulté d’un mercato, qui n’est pas toujours lisible, il est toujours important d’arriver avec un projet ambitieux. En janvier 2015, je prends Sofiane Boufal, alors que ce n’est pas la priorité du staff. Or je le fais avec l’ambition de retrouver du spectacle. Les gens veulent voir de belles équipes et avec cette arrivée, on a plus ou moins été heureux.
Comme l'a déjà dit Seydoux, c'est Vandamme qui lui a conseillé de prendre Boufal.
Girard voulait un 9, il y en avait déjà deux, Roux et Origi, sans compter le retour de Diaby. Le LOSC aurait il pu recruter meilleur? De plus, il manquait de joueur de côté et d'organisateur.
Le fait d'avoir un joueur qu'il n'avait pas demandé plutôt qu'un avant centre explique peut-être pourquoi Girard a mis autant de temps à utiliser Boufal.
Foot - Coupe de la ligue - LOSC : à J-2, les supporters prêts à savourer ce cadeau inespéré
Publié le 21/04/2016
PAR OLIVIER FOSSEUX
Vingt mille supporters vont prendre la route de la capitale samedi, en bus, en minibus ou en voiture. L’A1 sera donc aux couleurs du LOSC. Régénérés par les résultats récents de leur équipe, ils espèrent un nouveau trophée. Une chose est certaine, ça va chanter dans la tribune Sud…
Comme en 2011 pour la finale de la Coupe de France, de nombreux supporters du LOSC rejoindront le Stade de France en bus samedi. PHOTO ARCHIVES PATRICK JAMES
Les supporters lillois ne s’en lassent pas. Ils sont même rodés à l’exercice. Un déplacement au Stade de France, ça se prépare, s’anticipe pour être prêt le jour J. « C’est beaucoup de stress car on veut que tout se passe bien », explique Mickaël, des Go Rijsels Spirits. Le président de la section a dû gérer dix bus, un dixième du total recensé par le LOSC. Le reste rejoindra Saint-Denis en voiture particulière.
Tickets nominatifs
L’engouement est réel puisque les tickets de la tribune Sud, qui rassemblera les Nordistes, se sont vendus beaucoup plus vite que ceux de la tribune d’en face. On est sur les mêmes bases qu’en 2011 en ce qui concerne le remplissage, même si l’aspect sécurité a pris une tout autre dimension. « Tous les tickets sont nominatifs et il ne faut pas oublier sa carte d’identité, insiste Benoît, des Dogues audomarois. On s’est limités à un bus. » Il partira du siège de la section, à Watten, au plus tard à 13 heures.
Quand on écoute les plus fidèles, on sent bien que l’espoir d’accrocher un nouveau trophée est revenu en même temps que les résultats. Six victoires de suite en Ligue 1, ça file aussi des ailes à celles et ceux qui donnent de la voix. « C’est quand même une situation inespérée quand on regarde nos résultats du début de saison, souffle Mickaël. C’est même quelque chose de magique. On croyait qu’on allait passer à la trappe et on se retrouve sixième au classement avec une finale de coupe. Maintenant, je pense qu’on est capable d’aller chercher un résultat. »
Dimension sociale
« Avec notre forme du moment, je n’ai pas peur, renchérit Benoît. Si on ramène le troisième trophée hexagonal en cinq ans, c’est quand même exceptionnel. À part Paris et Lyon, qui l’a fait ? »
Dans ce bus qui partira de Watten, il y aura de la couleur, de la chaleur. Il y aura aussi Bernard, retraité d’Arc international. « Ça va être son premier match au Stade de France, raconte Benoît. On a une dimension sociale. On organise des lotos pour emmener des jeunes deux fois par an voir le LOSC. Bernard nous a rejoints car il ne voulait pas aller seul au stade. Il est content d’être là je pense et on a réussi à le fidéliser… »
La « der » au Stade de France ?
La XXIIe édition de la Coupe de la Ligue marque la fin du monopole de France Télévisions. Depuis le 16 décembre, Canal+ partage avec FT les droits de diffusion pour les quatre prochaines éditions (2017 à 2020). Le service public se contentera d’une codiffusion de la plus belle affiche à partir des seizièmes de finale. La chaîne cryptée proposera à ses abonnés l’intégralité des rencontres.
Il est possible que PSG - Lille soit la dernière finale au Stade de France. La LFP juge que la location (environ 500 000 euros) est devenue trop chère pour l’organisation d’un match. Elle a lancé un appel d’offres ouvert aux stades français disposant d’une capacité d’accueil minimum de 40 000 places. O. F.
Le «SDF» leur réussit plutôt bien
Le LOSC est finalement un habitué du Stade de France. Il s’est déjà rendu à Saint-Denis pour y disputer des matchs de Ligue 1, de Ligue des champions et une finale de Coupe de France. Son bilan sportif est positif avec trois victoires, trois nuls et une défaite en sept voyages.
14/05/2011: Finale de la coupe de France PARIS SG-/ LOSC Lille Métropole
Sans stade homologué, le LOSC s’exilait à Saint-Denis lors de la saison 2005-2006 pour y disputer sa phase de groupes de Ligue des champions. Trois affiches y sont organisées, deux s’achevaient par un 0-0 contre Benfica et Villareal. Mais le LOSC y vit l’une des plus belles soirées de son histoire avec une victoire contre Manchester United. Le but d’Acimovic est encore dans toutes les mémoires.
Il y a cinq ans, les Dogues écrivaient aussi au « SDF » une autre belle page en s’adjugeant une nouvelle Coupe de France. Le 14 mai 2011, le héros s’appelait Obraniak (sur la photo).
UN RECORD D’AFFLUENCE EN L1
Lille et le Stade de France, c’est aussi trois rencontres de Ligue 1. En mars 2008, le LOSC délocalisait son match de gala contre Lyon, mais rentrait bredouille (0-1, but de Fred). L’opération fut renouvelée la saison suivante. Le record d’affluence était battu pour un match de L1 (78 056 spectateurs), Lille domina Lyon avec des buts de Vittek et Bastos. Mais de cette soirée, on retient surtout le drame survenu après le match. Deux jeunes supporters nordistes sont fauchés par un RER en rejoignant leur bus.
Le 7 décembre 2014, le LOSC fut aussi l’hôte de son voisin lensois pour un derby délocalisé en raison des travaux à Bollaert-Delelis. Coulibaly a répondu à Gueye. Samedi soir, il y aura un vainqueur pour le huitième match du LOSC au Stade de France. O. F.
http://www.lavoixdunord.fr
Publié le 21/04/2016
PAR OLIVIER FOSSEUX
Vingt mille supporters vont prendre la route de la capitale samedi, en bus, en minibus ou en voiture. L’A1 sera donc aux couleurs du LOSC. Régénérés par les résultats récents de leur équipe, ils espèrent un nouveau trophée. Une chose est certaine, ça va chanter dans la tribune Sud…
Comme en 2011 pour la finale de la Coupe de France, de nombreux supporters du LOSC rejoindront le Stade de France en bus samedi. PHOTO ARCHIVES PATRICK JAMES
Les supporters lillois ne s’en lassent pas. Ils sont même rodés à l’exercice. Un déplacement au Stade de France, ça se prépare, s’anticipe pour être prêt le jour J. « C’est beaucoup de stress car on veut que tout se passe bien », explique Mickaël, des Go Rijsels Spirits. Le président de la section a dû gérer dix bus, un dixième du total recensé par le LOSC. Le reste rejoindra Saint-Denis en voiture particulière.
Tickets nominatifs
L’engouement est réel puisque les tickets de la tribune Sud, qui rassemblera les Nordistes, se sont vendus beaucoup plus vite que ceux de la tribune d’en face. On est sur les mêmes bases qu’en 2011 en ce qui concerne le remplissage, même si l’aspect sécurité a pris une tout autre dimension. « Tous les tickets sont nominatifs et il ne faut pas oublier sa carte d’identité, insiste Benoît, des Dogues audomarois. On s’est limités à un bus. » Il partira du siège de la section, à Watten, au plus tard à 13 heures.
Quand on écoute les plus fidèles, on sent bien que l’espoir d’accrocher un nouveau trophée est revenu en même temps que les résultats. Six victoires de suite en Ligue 1, ça file aussi des ailes à celles et ceux qui donnent de la voix. « C’est quand même une situation inespérée quand on regarde nos résultats du début de saison, souffle Mickaël. C’est même quelque chose de magique. On croyait qu’on allait passer à la trappe et on se retrouve sixième au classement avec une finale de coupe. Maintenant, je pense qu’on est capable d’aller chercher un résultat. »
Dimension sociale
« Avec notre forme du moment, je n’ai pas peur, renchérit Benoît. Si on ramène le troisième trophée hexagonal en cinq ans, c’est quand même exceptionnel. À part Paris et Lyon, qui l’a fait ? »
Dans ce bus qui partira de Watten, il y aura de la couleur, de la chaleur. Il y aura aussi Bernard, retraité d’Arc international. « Ça va être son premier match au Stade de France, raconte Benoît. On a une dimension sociale. On organise des lotos pour emmener des jeunes deux fois par an voir le LOSC. Bernard nous a rejoints car il ne voulait pas aller seul au stade. Il est content d’être là je pense et on a réussi à le fidéliser… »
La « der » au Stade de France ?
La XXIIe édition de la Coupe de la Ligue marque la fin du monopole de France Télévisions. Depuis le 16 décembre, Canal+ partage avec FT les droits de diffusion pour les quatre prochaines éditions (2017 à 2020). Le service public se contentera d’une codiffusion de la plus belle affiche à partir des seizièmes de finale. La chaîne cryptée proposera à ses abonnés l’intégralité des rencontres.
Il est possible que PSG - Lille soit la dernière finale au Stade de France. La LFP juge que la location (environ 500 000 euros) est devenue trop chère pour l’organisation d’un match. Elle a lancé un appel d’offres ouvert aux stades français disposant d’une capacité d’accueil minimum de 40 000 places. O. F.
Le «SDF» leur réussit plutôt bien
Le LOSC est finalement un habitué du Stade de France. Il s’est déjà rendu à Saint-Denis pour y disputer des matchs de Ligue 1, de Ligue des champions et une finale de Coupe de France. Son bilan sportif est positif avec trois victoires, trois nuls et une défaite en sept voyages.
14/05/2011: Finale de la coupe de France PARIS SG-/ LOSC Lille Métropole
Sans stade homologué, le LOSC s’exilait à Saint-Denis lors de la saison 2005-2006 pour y disputer sa phase de groupes de Ligue des champions. Trois affiches y sont organisées, deux s’achevaient par un 0-0 contre Benfica et Villareal. Mais le LOSC y vit l’une des plus belles soirées de son histoire avec une victoire contre Manchester United. Le but d’Acimovic est encore dans toutes les mémoires.
Il y a cinq ans, les Dogues écrivaient aussi au « SDF » une autre belle page en s’adjugeant une nouvelle Coupe de France. Le 14 mai 2011, le héros s’appelait Obraniak (sur la photo).
UN RECORD D’AFFLUENCE EN L1
Lille et le Stade de France, c’est aussi trois rencontres de Ligue 1. En mars 2008, le LOSC délocalisait son match de gala contre Lyon, mais rentrait bredouille (0-1, but de Fred). L’opération fut renouvelée la saison suivante. Le record d’affluence était battu pour un match de L1 (78 056 spectateurs), Lille domina Lyon avec des buts de Vittek et Bastos. Mais de cette soirée, on retient surtout le drame survenu après le match. Deux jeunes supporters nordistes sont fauchés par un RER en rejoignant leur bus.
Le 7 décembre 2014, le LOSC fut aussi l’hôte de son voisin lensois pour un derby délocalisé en raison des travaux à Bollaert-Delelis. Coulibaly a répondu à Gueye. Samedi soir, il y aura un vainqueur pour le huitième match du LOSC au Stade de France. O. F.
http://www.lavoixdunord.fr
PSG–Losc. Cabaye : «Lille n'a pas le droit à la moindre erreur»
Yohan Cabaye est un ancien joueur des deux clubs. Il sera très attentif, samedi, à la finale de la Coupe de la Ligue.
Londres (Royaume-Uni) Propos recueillis par Bertrand Métayer | 21 Avril 2016, 00h00 | MAJ : 21 Avril 2016, 08h05
Yohan Cabaye a joué au PSG pendant plus d'un an entre 2014 et 2015. (LP/ Matthieu de Martignac.)
En mai 2011, Lille met fin à cinquante-six ans de disette en s'imposant en finale de la Coupe de France contre le PSG (1-0) quelques jours avant de signer un incroyable doublé en remportant la L 1. Yohan Cabaye est alors un des cadres du Losc.
La saison dernière, il a mis fin à une expérience d'un an et demi avec Paris. Le milieu de terrain de Crystal Palace jette un regard très intéressé à l'opposition entre ses deux anciens clubs.
Quels souvenirs gardez-vous de la finale de 2011 entre Lille et le PSG ?
YOHAN CABAYE. On avait fait une grande saison. On jouait de façon fantastique. Et la vie de groupe était extraordinaire. Tout se passait très bien. Mais en finale, on a eu du mal, on ne jouait pas bien. C'était une première pour la plupart d'entre nous. On était stressés, très timorés. Quand Obraniak nous libère sur coup franc (NDLR : à la 89e) , j'ai bien regardé l'arbitre puis je vois tout le monde courir. C'était un soulagement. Une finale de Coupe de France, on n'en joue pas tout le temps. Avec mon club formateur en plus, ça marque. Ce trophée-là restera très important pour moi.
Comment allez-vous vivre ce match entre deux de vos anciennes équipes ?
C'est particulier car Lille est mon club de coeur, j'ai tout connu là-bas. A Paris, même si je n'ai pas réussi comme je l'avais espéré, j'ai passé de grands moments, je garde des amis dans l'équipe et je suis leur parcours avec attention. Ce sera spécial pour moi mais j'espère une belle finale. Je suis très content de voir le Losc au Stade de France avec la possibilité de gagner un titre. Mais Paris aura à coeur de conserver son trophée, ce sera compliqué.
Quel conseil pouvez-vous donner aux Lillois ?
Franchement, je ne sais pas s'il y a un conseil qui fonctionne contre Paris. Il y a des équipes qui les attendent, cela peut fonctionner un moment mais il y a toujours un grand joueur qui va faire la différence à un moment. Les équipes qui les pressent n'arrivent pas forcément à le faire et les Parisiens profitent des espaces. Mais cela reste une finale et sur un match, tout est possible. Il faut que Lille joue le coup à fond. Ils auront des chances, il faudra les saisir et être efficace autant offensivement que défensivement. Lille devra faire le match parfait. Ils n'ont pas le droit à la moindre erreur.
http://www.leparisien.fr/psg-foot-paris ... 733013.php
Yohan Cabaye est un ancien joueur des deux clubs. Il sera très attentif, samedi, à la finale de la Coupe de la Ligue.
Londres (Royaume-Uni) Propos recueillis par Bertrand Métayer | 21 Avril 2016, 00h00 | MAJ : 21 Avril 2016, 08h05
Yohan Cabaye a joué au PSG pendant plus d'un an entre 2014 et 2015. (LP/ Matthieu de Martignac.)
En mai 2011, Lille met fin à cinquante-six ans de disette en s'imposant en finale de la Coupe de France contre le PSG (1-0) quelques jours avant de signer un incroyable doublé en remportant la L 1. Yohan Cabaye est alors un des cadres du Losc.
La saison dernière, il a mis fin à une expérience d'un an et demi avec Paris. Le milieu de terrain de Crystal Palace jette un regard très intéressé à l'opposition entre ses deux anciens clubs.
Quels souvenirs gardez-vous de la finale de 2011 entre Lille et le PSG ?
YOHAN CABAYE. On avait fait une grande saison. On jouait de façon fantastique. Et la vie de groupe était extraordinaire. Tout se passait très bien. Mais en finale, on a eu du mal, on ne jouait pas bien. C'était une première pour la plupart d'entre nous. On était stressés, très timorés. Quand Obraniak nous libère sur coup franc (NDLR : à la 89e) , j'ai bien regardé l'arbitre puis je vois tout le monde courir. C'était un soulagement. Une finale de Coupe de France, on n'en joue pas tout le temps. Avec mon club formateur en plus, ça marque. Ce trophée-là restera très important pour moi.
Comment allez-vous vivre ce match entre deux de vos anciennes équipes ?
C'est particulier car Lille est mon club de coeur, j'ai tout connu là-bas. A Paris, même si je n'ai pas réussi comme je l'avais espéré, j'ai passé de grands moments, je garde des amis dans l'équipe et je suis leur parcours avec attention. Ce sera spécial pour moi mais j'espère une belle finale. Je suis très content de voir le Losc au Stade de France avec la possibilité de gagner un titre. Mais Paris aura à coeur de conserver son trophée, ce sera compliqué.
Quel conseil pouvez-vous donner aux Lillois ?
Franchement, je ne sais pas s'il y a un conseil qui fonctionne contre Paris. Il y a des équipes qui les attendent, cela peut fonctionner un moment mais il y a toujours un grand joueur qui va faire la différence à un moment. Les équipes qui les pressent n'arrivent pas forcément à le faire et les Parisiens profitent des espaces. Mais cela reste une finale et sur un match, tout est possible. Il faut que Lille joue le coup à fond. Ils auront des chances, il faudra les saisir et être efficace autant offensivement que défensivement. Lille devra faire le match parfait. Ils n'ont pas le droit à la moindre erreur.
http://www.leparisien.fr/psg-foot-paris ... 733013.php
Raouliché a écrit :Source of the post Ah El Jano. tu m'as souvent agacé (sur l'ancien site) mais tes posts sur le Losc m'ont toujours convaincu que t'avais le Losc bien gravé au fond du coeur.
Merci Raoul.
J'ai quand même été abonné 2 saisons, après le titre, alors que j'habite à 230 bornes du stade...
2 heures aller, 2 heures de match et 2 heures de retour, et le dimanche quand le match était à 21h, rentré pas avant 1 à 2 heures du mat, c'était le bon temps.
J'ai fait toutes les campagnes de C1, avec les matchs au SdF, à Lens, suis même allé à Anderlecht avec toute une bande d'allumés...
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