dodger a écrit :Source of the postRobin_Hood a écrit :ça en dit long sur le niveau du foot fr...
Ça en dit long surtout sur cette mentalité populaire française qui se méfie des vainqueurs et glorifie des perdants. Le foot n'est pas le seul sport concerné, en cyclisme Poulidor était au moins populaire sinon plus qu'Anquetil.
C'est une explication... Moi je pense qu'on glorifie les perdants parce que c'est ce qu'on trouve en plus grande quantité par chez nous.
Merci Alain.
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
Je pense qu'on peut faire un résultat ce soir. Les Steph' me semblent clairement dans le dur ces derniers matchs, contre Toulouse où Ruffier à lui seul leur évite la défaite en multipliant les arrêts. Et à Nice où ils finissent par perdre le match et à 9 contre 11, les nerfs ont lâché (cf le geste de Tabanou). Bon, faudra être solides dans la tête et solidaires, parce que je pense qu'ils vont beaucoup provoquer, tenter de nous faire dégoupiller.
Foot - Ligue 1 : cinquième, sixième, ça change quoi pour le LOSC ?
Publié le 14/05/2016
YANN DUPLOYE
Ce samedi soir (21 h), le LOSC achève sa saison à Saint-Étienne, dans un stade Geoffroy-Guichard à guichets fermés. Le calcul est simple : une victoire – la huitième sur les dix derniers matchs – et il la bouclerait à la cinquième place. Tout autre résultat le laisserait à la sixième place qu’il occupe ce matin.
Balmont et les Lillois veulent finir la saison en beauté. Photo Stéphane MORTAGNEVDNPQR
Conclure là un championnat entamé à l’envers, c’est déjà pas mal. Alors cinquième ou sixième, après tout, qu’est ce que ça change ? Eh ben quelques petites choses quand même. Et pas franchement des détails…
Un bonus financier non négligeable
Première chose, grâce à sa remontée au classement, les Nordistes sont rentrés dans les clous et les dirigeants peuvent souffler. Le club avait en effet, en début de saison, budgétisé une sixième place, ce qu’il est déjà sûr d’atteindre. Gratter une petite place offrirait alors un bonus d’environ 1,3 million d’euros, correspondant à l’écart de gain entre le cinquième et le sixième. Toujours bon à prendre.
La Ligue Europa à coup sûr
Si Lille ne s’impose pas ce soir, il restera à la sixième place, ce qui, on le répète, n’offre pas – pour le moment – de billet pour le troisième tour préliminaire de la Ligue Europa. On précise pour le moment, parce que la donne pourrait changer en fonction de la finale de la Coupe de France, le 21 mai. En cas de succès des Parisiens sur les Marseillais, la sixième place du championnat deviendrait automatiquement qualificative pour la C3.
Si les Lillois ne gagnent pas ce samedi soir, ils devront donc attendre une semaine avant de savoir, les tongs aux pieds, s’ils sont européens ou pas. Ce qui, ça, c’est une certitude, influera aussi sur le mercato lillois.
http://www.lavoixdunord.fr/sports/foot- ... 04n3505541
Publié le 14/05/2016
YANN DUPLOYE
Ce samedi soir (21 h), le LOSC achève sa saison à Saint-Étienne, dans un stade Geoffroy-Guichard à guichets fermés. Le calcul est simple : une victoire – la huitième sur les dix derniers matchs – et il la bouclerait à la cinquième place. Tout autre résultat le laisserait à la sixième place qu’il occupe ce matin.
Balmont et les Lillois veulent finir la saison en beauté. Photo Stéphane MORTAGNEVDNPQR
Conclure là un championnat entamé à l’envers, c’est déjà pas mal. Alors cinquième ou sixième, après tout, qu’est ce que ça change ? Eh ben quelques petites choses quand même. Et pas franchement des détails…
Un bonus financier non négligeable
Première chose, grâce à sa remontée au classement, les Nordistes sont rentrés dans les clous et les dirigeants peuvent souffler. Le club avait en effet, en début de saison, budgétisé une sixième place, ce qu’il est déjà sûr d’atteindre. Gratter une petite place offrirait alors un bonus d’environ 1,3 million d’euros, correspondant à l’écart de gain entre le cinquième et le sixième. Toujours bon à prendre.
La Ligue Europa à coup sûr
Si Lille ne s’impose pas ce soir, il restera à la sixième place, ce qui, on le répète, n’offre pas – pour le moment – de billet pour le troisième tour préliminaire de la Ligue Europa. On précise pour le moment, parce que la donne pourrait changer en fonction de la finale de la Coupe de France, le 21 mai. En cas de succès des Parisiens sur les Marseillais, la sixième place du championnat deviendrait automatiquement qualificative pour la C3.
Si les Lillois ne gagnent pas ce samedi soir, ils devront donc attendre une semaine avant de savoir, les tongs aux pieds, s’ils sont européens ou pas. Ce qui, ça, c’est une certitude, influera aussi sur le mercato lillois.
http://www.lavoixdunord.fr/sports/foot- ... 04n3505541
Comme partout ailleurs puisqu'il n'y a forcément qu'un seul gagnant par catégorie !Robin_Hood a écrit :Moi je pense qu'on glorifie les perdants parce que c'est ce qu'on trouve en plus grande quantité par chez nous.
Blague à part, la réussite inquiète en France et semble toujours suspecte surtout auprès de ceux qui n'ont rien réussi.
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
daddycool a écrit :Source of the post Le Havre à remonté 6 buts hier ... il en fallait 7. Bon ils étaient à domicile et c'était pas un billard à 3 bandes.
Remue pas le couteau dans la plaie, 5 buts + 4 tirs sur les montants ! Comme si que Lens ne pouvait pas en mettre 2 !!!
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
immercurien a écrit :Source of the post c'est diffusé en intégrale sur Bein?
Canal+ Sport il me semble.
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
immercurien a écrit :Source of the post merci !
pourquoi s'abonner à Bein alors
Pour voir des matchs du losc toute l'année. Parce que s'il faut attendre la 38ème pour voir le losc sur Canal+ "SPORT" (que certains abonnés à Canal, n'ont même pas.
Chacun son métier, les vaches seront bien gardées - (Le Vacher et le Garde-chasse) - Jean Pierre Claris de Florian (1755-1794)
Renato Civelli (Lille) : «Un retour énorme»
Le 14/05/2016 - L'équipe.fr
Renato Civelli, le défenseur du LOSC, salue la fin de saison de son équipe qui a retrouvé sa force défensive et l'ambition de se hisser en Ligue Europa ce samedi soir à Saint-Étienne.
Expulsé pour avoir bousculé Carvalho contre Monaco (4-1 le 10 avril), Renato Civelli, 32 ans, a manqué quatre matches avant son retour contre Guingamp (0-0 le 7 mai), dont la finale de la Coupe de la Ligue contre le PSG (1-2). L’Argentin assume cette erreur et formule l'espoir de s’imposer ce samedi soir dans un stade Geoffroy-Guichard à guichets fermés afin de qualifier directement son équipe pour la Ligue Europa.
«Vous n’avez jamais terminé une saison de L1 sans marquer...
Il y a de grandes chances que cela arrive cette saison. Saint-Etienne a de bons joueurs de tête. C’est toujours le meilleur qui me prend. J’ai envie de marquer mais je me concentre avant tout sur ma tâche défensive. Je me suis posé des questions. Peut-être ai-je un peu moins travaillé après les entraînements devant le but. Quand les résultats ne sont pas là, tout le monde est un peu mois heureux, a moins d’envie. Est-ce l’explication ? Bon, ça ne trouble pas mon sommeil. Car défensivement, l’équipe a fait ce qu’il fallait collectivement. On va bien finir ce championnat.
Vous gérez la frustration de ne pas avoir disputé la finale de Coupe de la Ligue ?
L’avant-match a été très dur, les trois nuits qui ont suivi difficiles. J’ai eu la chance que l’entraîneur me prenne dans le groupe pour la vivre par procuration. J’ai commis une erreur. J’assume. Mais ils m’ont suspendu un peu trop.
Vous êtes tombé dans la provocation du monégasque Carvalho ?
Je m’en veux. J’ai eu le sentiment d’une injustice. Mais je cours vers l’arbitre et il est sur mon chemin. Je le heurte d’un coup d’épaule. Après la rencontre, l’arbitre assistant me dit : "Ce n’est pas un coup de coude". C’est pourtant écrit dans son rapport. Maintenant, le premier fautif, c’est moi.
Quelles ont été vos sensations contre Guingamp ?
Assez bonnes. L’interruption n’a pas été très longue. J’avais coupé une semaine pour ma cheville droite qui gonfle et où j’ai subi trois infiltrations.
Ce déplacement à Saint-Etienne, c’est donc votre finale ?
Non, ça n’a rien à voir. Deux très bonnes équipes s’affrontent dans un stade à guichets fermés. On sera 6e quoi qu’il arrive. La saison est réussie.
Quel a été le déclic ?
Le temps. Il en faut pour créer un groupe, trouver les repères, se sentir à l’aise, savoir qu’on n’est pas des mauvais gars. Quand les résultats sont absents, c’est plus long. On est plus crispés. J’aimerais que l'effectif ne bouge pas la saison prochaine, avec seulement un ou deux départs. On a fait un retour énorme, de gros matches contre de grosses équipes, une série (9 matches sans défaite en L1). Si on dispute la Coupe d’Europe, il faudra y aller à fond. Quitte à être en difficulté en championnat où, je sais, les places au classement valent des millions.»
Le 14/05/2016 - L'équipe.fr
Renato Civelli, le défenseur du LOSC, salue la fin de saison de son équipe qui a retrouvé sa force défensive et l'ambition de se hisser en Ligue Europa ce samedi soir à Saint-Étienne.
Expulsé pour avoir bousculé Carvalho contre Monaco (4-1 le 10 avril), Renato Civelli, 32 ans, a manqué quatre matches avant son retour contre Guingamp (0-0 le 7 mai), dont la finale de la Coupe de la Ligue contre le PSG (1-2). L’Argentin assume cette erreur et formule l'espoir de s’imposer ce samedi soir dans un stade Geoffroy-Guichard à guichets fermés afin de qualifier directement son équipe pour la Ligue Europa.
«Vous n’avez jamais terminé une saison de L1 sans marquer...
Il y a de grandes chances que cela arrive cette saison. Saint-Etienne a de bons joueurs de tête. C’est toujours le meilleur qui me prend. J’ai envie de marquer mais je me concentre avant tout sur ma tâche défensive. Je me suis posé des questions. Peut-être ai-je un peu moins travaillé après les entraînements devant le but. Quand les résultats ne sont pas là, tout le monde est un peu mois heureux, a moins d’envie. Est-ce l’explication ? Bon, ça ne trouble pas mon sommeil. Car défensivement, l’équipe a fait ce qu’il fallait collectivement. On va bien finir ce championnat.
Vous gérez la frustration de ne pas avoir disputé la finale de Coupe de la Ligue ?
L’avant-match a été très dur, les trois nuits qui ont suivi difficiles. J’ai eu la chance que l’entraîneur me prenne dans le groupe pour la vivre par procuration. J’ai commis une erreur. J’assume. Mais ils m’ont suspendu un peu trop.
Vous êtes tombé dans la provocation du monégasque Carvalho ?
Je m’en veux. J’ai eu le sentiment d’une injustice. Mais je cours vers l’arbitre et il est sur mon chemin. Je le heurte d’un coup d’épaule. Après la rencontre, l’arbitre assistant me dit : "Ce n’est pas un coup de coude". C’est pourtant écrit dans son rapport. Maintenant, le premier fautif, c’est moi.
Quelles ont été vos sensations contre Guingamp ?
Assez bonnes. L’interruption n’a pas été très longue. J’avais coupé une semaine pour ma cheville droite qui gonfle et où j’ai subi trois infiltrations.
Ce déplacement à Saint-Etienne, c’est donc votre finale ?
Non, ça n’a rien à voir. Deux très bonnes équipes s’affrontent dans un stade à guichets fermés. On sera 6e quoi qu’il arrive. La saison est réussie.
Quel a été le déclic ?
Le temps. Il en faut pour créer un groupe, trouver les repères, se sentir à l’aise, savoir qu’on n’est pas des mauvais gars. Quand les résultats sont absents, c’est plus long. On est plus crispés. J’aimerais que l'effectif ne bouge pas la saison prochaine, avec seulement un ou deux départs. On a fait un retour énorme, de gros matches contre de grosses équipes, une série (9 matches sans défaite en L1). Si on dispute la Coupe d’Europe, il faudra y aller à fond. Quitte à être en difficulté en championnat où, je sais, les places au classement valent des millions.»
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