Blanc va certainement être en fin de droit, ça serait bien pour lui.
Interview de Givrais sur la VDN
L’ancien président de Lens (1988-2012 et 2013-2017) ne comprend pas que le football français débatte encore de l’arrêt des championnats en pleine crise sanitaire.
Qu’avez-vous pensé de l’intervention de Michel Seydoux ?
« Ce qui me choque, c’est qu’on essaie de réinventer l’eau chaude en fonction des intérêts personnels. Ce qui est important, c’est la santé des gens. C’est un cas de force majeure qui a entraîné l’arrêt du football. Ce sont des choses qui nous ont dépassés et sur lesquelles on ne peut rien faire. Ça part de là. Ce n’est pas une décision arbitraire ou le fait du prince, c’est contraint et forcé. Il fallait bien à un moment donné prendre une décision. Au vu des atermoiements, des savants calculs et des intérêts personnels des uns et des autres qui dépassent le cadre de la solidarité collective, il est normal que Noël Le Graët ait pris une décision. C’est son rôle, c’est lui le patron du football. »
N’est-on pas allé trop vite ?
« Les décisions sont toujours dures à prendre quand on est dans l’exceptionnel. Les gros malins qui disent que tous les championnats vont reprendre et aller au bout sauf la France, on verra. On verra le nombre de cas. Mais, même si ces championnats vont au bout, il faut toujours respecter les décisions qui sont prises, sinon ça s’appelle le bordel. Si aujourd’hui Michel Seydoux, que je respecte par ailleurs, ou d’autres personnes veulent que ce soit le bordel, qu’ils aillent s’occuper de football à l’extérieur de nos frontières. Lens aurait pu se retrouver 3e, j’aurais exactement la même position. C’est vraiment se foutre de la gueule des gens, du club et des supporters de dire que c’est des médailles en chocolat. C’est manquer de respect sur ce qui a été fait depuis le début de la saison. Ça m’a foutu en boule. »
Mais quand on voit l’exemple d’Amiens, on a du mal à ne pas être solidaire, non ?
« Oui mais aujourd’hui, on n’est pas en train de parler de terrain. C’est ça que les gens oublient. On parle malheureusement d’un problème de santé mondial. Et moi, si on m’avait posé la question de jouer à 22, ça ne me gênait pas. Avec une Coupe de la Ligue qui n’existe plus, qu’est-ce que ça coûtait ? Je ne suis pas choqué par la demande d’Amiens. Face à des choses imprévues, il faut prendre des décisions exceptionnelles. Ce que je trouve déplorable dans certains raisonnements, c’est le fait de privilégier la Ligue des champions et les gros sous. Le football, ce n’est pas que les gros sous. C’est aussi une ambiance populaire, la passion, le plaisir d’être ensemble. »
Les demandes de Jean-Michel Aulas ont-elles une chance d’aboutir ?
« Mais jamais, c’est impossible. Si à chaque fois qu’on a un problème personnel il faut écrire aux sénateurs… Après, Aulas, il a toujours été comme ça. Ça fait 30 ans que je le connais, il a toujours défendu son club, ça ne va pas changer à son âge. Il ne m’a pas surpris, il est dans son trip. Tout le monde subit les règles. Faisons-le dignement. »
Vous trouvez que c’est un débat indigne ?
« Indigne, insupportable. Des gens meurent tous les jours. Des soignants prennent des risques tous les jours. C’est autre chose que de savoir si tu joues à 22 ou si tu as fini troisième ou sixième. Voir ça, ça ne rehausse pas l’idée que je me fais du football. »
Mais on est un peu obligé de penser à l’après, non ?
« L’après, tu auras le temps de le voir. En France, on est un pays fabuleux : on est toujours en train de raconter les histoires avant qu’on les ait jouées. Quand il y aura un après, quand on pourra revenir dans les stades, quand on pourra faire la fête avec l’ensemble du public, quand on pourra revivre comme avant, ce sera formidable. Pour l’instant, ce n’est pas le cas. Donc il faut arrêter d’avoir des comptes d’apothicaire. Sortons de cette situation et après on pourra tous parler football et revivre notre passion de manière conviviale. »
L’ancien président de Lens (1988-2012 et 2013-2017) ne comprend pas que le football français débatte encore de l’arrêt des championnats en pleine crise sanitaire.
Qu’avez-vous pensé de l’intervention de Michel Seydoux ?
« Ce qui me choque, c’est qu’on essaie de réinventer l’eau chaude en fonction des intérêts personnels. Ce qui est important, c’est la santé des gens. C’est un cas de force majeure qui a entraîné l’arrêt du football. Ce sont des choses qui nous ont dépassés et sur lesquelles on ne peut rien faire. Ça part de là. Ce n’est pas une décision arbitraire ou le fait du prince, c’est contraint et forcé. Il fallait bien à un moment donné prendre une décision. Au vu des atermoiements, des savants calculs et des intérêts personnels des uns et des autres qui dépassent le cadre de la solidarité collective, il est normal que Noël Le Graët ait pris une décision. C’est son rôle, c’est lui le patron du football. »
N’est-on pas allé trop vite ?
« Les décisions sont toujours dures à prendre quand on est dans l’exceptionnel. Les gros malins qui disent que tous les championnats vont reprendre et aller au bout sauf la France, on verra. On verra le nombre de cas. Mais, même si ces championnats vont au bout, il faut toujours respecter les décisions qui sont prises, sinon ça s’appelle le bordel. Si aujourd’hui Michel Seydoux, que je respecte par ailleurs, ou d’autres personnes veulent que ce soit le bordel, qu’ils aillent s’occuper de football à l’extérieur de nos frontières. Lens aurait pu se retrouver 3e, j’aurais exactement la même position. C’est vraiment se foutre de la gueule des gens, du club et des supporters de dire que c’est des médailles en chocolat. C’est manquer de respect sur ce qui a été fait depuis le début de la saison. Ça m’a foutu en boule. »
Mais quand on voit l’exemple d’Amiens, on a du mal à ne pas être solidaire, non ?
« Oui mais aujourd’hui, on n’est pas en train de parler de terrain. C’est ça que les gens oublient. On parle malheureusement d’un problème de santé mondial. Et moi, si on m’avait posé la question de jouer à 22, ça ne me gênait pas. Avec une Coupe de la Ligue qui n’existe plus, qu’est-ce que ça coûtait ? Je ne suis pas choqué par la demande d’Amiens. Face à des choses imprévues, il faut prendre des décisions exceptionnelles. Ce que je trouve déplorable dans certains raisonnements, c’est le fait de privilégier la Ligue des champions et les gros sous. Le football, ce n’est pas que les gros sous. C’est aussi une ambiance populaire, la passion, le plaisir d’être ensemble. »
Les demandes de Jean-Michel Aulas ont-elles une chance d’aboutir ?
« Mais jamais, c’est impossible. Si à chaque fois qu’on a un problème personnel il faut écrire aux sénateurs… Après, Aulas, il a toujours été comme ça. Ça fait 30 ans que je le connais, il a toujours défendu son club, ça ne va pas changer à son âge. Il ne m’a pas surpris, il est dans son trip. Tout le monde subit les règles. Faisons-le dignement. »
Vous trouvez que c’est un débat indigne ?
« Indigne, insupportable. Des gens meurent tous les jours. Des soignants prennent des risques tous les jours. C’est autre chose que de savoir si tu joues à 22 ou si tu as fini troisième ou sixième. Voir ça, ça ne rehausse pas l’idée que je me fais du football. »
Mais on est un peu obligé de penser à l’après, non ?
« L’après, tu auras le temps de le voir. En France, on est un pays fabuleux : on est toujours en train de raconter les histoires avant qu’on les ait jouées. Quand il y aura un après, quand on pourra revenir dans les stades, quand on pourra faire la fête avec l’ensemble du public, quand on pourra revivre comme avant, ce sera formidable. Pour l’instant, ce n’est pas le cas. Donc il faut arrêter d’avoir des comptes d’apothicaire. Sortons de cette situation et après on pourra tous parler football et revivre notre passion de manière conviviale. »
La vie est belle!
Coupe du monde 2010 avec la Côte d'Ivoire, il a définitivement perdu mon respect quand il préférait mettre dans son onze-type un Dindane grabataire plutôt qu'un Gervinho qui marchait sur l'eau.
Quel baltringue ce givrais.
"Ne pas réinventer l'eau chaude en fonction d'intérêts personnels".
Genre l'arrêt du championnat ne sert pas les intérêts de son club ?
Quant au motif sanitaire absolu et impératif, qu' il aille l'expliquer aux Allemands, Anglais, Italiens et Espagnols. Et fissa, les allemands reprennent demain...
"Ne pas réinventer l'eau chaude en fonction d'intérêts personnels".
Genre l'arrêt du championnat ne sert pas les intérêts de son club ?
Quant au motif sanitaire absolu et impératif, qu' il aille l'expliquer aux Allemands, Anglais, Italiens et Espagnols. Et fissa, les allemands reprennent demain...
Et pourtant, je ne suis pas loin d'être d'accord avec lui.
Y a comme une indécence à se battre pour des places au classement pendant que des gens meurent encore du truc.
On joue à 22, pas de relégation et on se démerde comme ça.
Y a comme une indécence à se battre pour des places au classement pendant que des gens meurent encore du truc.
On joue à 22, pas de relégation et on se démerde comme ça.
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
Discours du bon côté de la barrière (coucou Amiens).
C'est plus facile que pour l'autre du bouchon.
Pas le même élan.
Magnanimes pour les gagnants, excités pour les perdants.
C'est plus facile que pour l'autre du bouchon.
Pas le même élan.
Magnanimes pour les gagnants, excités pour les perdants.
J'ai l'impression que le deuxième mandat de not'bon président Macron va en énerver quelques-uns. dodger » sam. 29 déc. 2018 23:41
Tu es l'antechrist des climato-dubitatifs ! PO » jeu. 27 déc. 2018 17:27
Tu es l'antechrist des climato-dubitatifs ! PO » jeu. 27 déc. 2018 17:27
[size=150]Imaginons la même version avec Lens Orléans 0-0[/size]
LENS EST TROISIÈME ET INJUSTEMENT NE MONTE PAS EN LIGUE 1.
Interview de Givrais sur la VDN
L’ancien président de Lens (1988-2012 et 2013-2017) comprend que le football français débatte encore de l’arrêt des championnats.
Qu’avez-vous pensé de l’intervention de Michel Seydoux ?
« Ce qui me choque, c’est qu’on essaie de réinventer l’eau chaude en fonction des intérêts personnels. Ce qui est important, c’est la santé mental des lensois. C’est un cas de force majeure de ne pas ordonner l’arrêt du football. Ce sont des choses qui nous ont dépassés et sur lesquelles on n'a manqué de discernement. Ça part de là. Ce est une décision arbitraire ou le fait du prince, c’est contraint et forcé. Il fallait bien à un moment donné réfléchir. Au vu des atermoiements, des savants calculs et des intérêts personnels des uns et des autres qui dépassent le cadre de la solidarité collective, il est prématuré que Noël Le Graët ait pris une décision. C’est quoi son rôle, il se prend pour le patron du football? »
On est allé trop vite ?
« Les décisions sont toujours dures à prendre quand on est dans l’exceptionnel mais il faut être malin. Certains championnats vont reprendre et aller au bout sauf la France. On verra le nombre de cas. Mais si ces championnats vont au bout, on pourra dire que ça s’appelle le bordel. Aujourd’hui Michel Seydoux, que je respecte, ou d’autres personnes veulent éviter ce bordel et pourraiti s’occuper de football à l’extérieur de nos frontières. Lens aurait pu se retrouver 2e, j’aurais exactement la même position. C’est vraiment se foutre de la gueule des gens, du club et des supporters de distribuer ces médailles en chocolat. C’est manquer de respect sur ce qui a été fait depuis le début de la saison. Ça m’a foutu en boule. »
Mais quand on voit l’exemple d’Amiens, on a du mal à ne pas être solidaire, non ?
« Oui mais aujourd’hui, on n’est pas en train de parler de terrain. C’est ça que les gens oublient. On parle malheureusement d’un problème de santé mental. Et moi, si on m’avait posé la question de jouer à 22, ça ne me gênait pas. Avec une Coupe de la Ligue qui n’existe plus, qu’est-ce que ça coûtait ? Je ne suis pas choqué par la demande d’Amiens. Face à des choses imprévues, il faut prendre des décisions exceptionnelles. Ce que je trouve déplorable dans certains raisonnements, c’est le fait de privilégier la Ligue des champions et les gros sous. Le football, ce n’est pas que les gros sous. C’est aussi une ambiance populaire, la passion, le plaisir d’être ensemble. »
Les demandes de Jean-Michel Aulas ont-elles une chance d’aboutir ?
« Mais oui, c’est possible. A chaque fois que j'ai eu un problème personnel j'ai écrit aux sénateurs… Après j'ai toujours été comme ça. Ça fait 30 ans que je sais, j'ai toujours défendu mon club, ça ne va pas changer à mon âge. Aulas ne m’a pas surpris, il est dans son trip. Tout le monde connait les règles. Faisons-lei ntelligement. »
Vous trouvez que c’est un débat indigne ?
« Indigne, insupportable. Des gens meurent tous les jours. Des soignants prennent des risques tous les jours. Que Lens soit en Ligue 1 ça rehausse l’idée que je me fais de la vie et du football. »
Mais on est un peu obligé de penser à l’après, non ?
« L’après, tu auras le temps de le voir. En France, on est un pays fabuleux : on est toujours en train de raconter les histoires avant qu’on les ait jouées. Quand il y aura un après, quand on pourra revenir dans les stades (Bollaert NDLR), quand on pourra faire la fête avec l’ensemble du public, quand on pourra revivre comme avant, ce sera formidable. Pour l’instant, ce n’est pas le cas. Donc il faut arrêter d’avoir des comptes d’apothicaire. Sortons de cette situation et après on pourra tous parler football et revivre notre passion de manière conviviale. »
LENS EST TROISIÈME ET INJUSTEMENT NE MONTE PAS EN LIGUE 1.
Interview de Givrais sur la VDN
L’ancien président de Lens (1988-2012 et 2013-2017) comprend que le football français débatte encore de l’arrêt des championnats.
Qu’avez-vous pensé de l’intervention de Michel Seydoux ?
« Ce qui me choque, c’est qu’on essaie de réinventer l’eau chaude en fonction des intérêts personnels. Ce qui est important, c’est la santé mental des lensois. C’est un cas de force majeure de ne pas ordonner l’arrêt du football. Ce sont des choses qui nous ont dépassés et sur lesquelles on n'a manqué de discernement. Ça part de là. Ce est une décision arbitraire ou le fait du prince, c’est contraint et forcé. Il fallait bien à un moment donné réfléchir. Au vu des atermoiements, des savants calculs et des intérêts personnels des uns et des autres qui dépassent le cadre de la solidarité collective, il est prématuré que Noël Le Graët ait pris une décision. C’est quoi son rôle, il se prend pour le patron du football? »
On est allé trop vite ?
« Les décisions sont toujours dures à prendre quand on est dans l’exceptionnel mais il faut être malin. Certains championnats vont reprendre et aller au bout sauf la France. On verra le nombre de cas. Mais si ces championnats vont au bout, on pourra dire que ça s’appelle le bordel. Aujourd’hui Michel Seydoux, que je respecte, ou d’autres personnes veulent éviter ce bordel et pourraiti s’occuper de football à l’extérieur de nos frontières. Lens aurait pu se retrouver 2e, j’aurais exactement la même position. C’est vraiment se foutre de la gueule des gens, du club et des supporters de distribuer ces médailles en chocolat. C’est manquer de respect sur ce qui a été fait depuis le début de la saison. Ça m’a foutu en boule. »
Mais quand on voit l’exemple d’Amiens, on a du mal à ne pas être solidaire, non ?
« Oui mais aujourd’hui, on n’est pas en train de parler de terrain. C’est ça que les gens oublient. On parle malheureusement d’un problème de santé mental. Et moi, si on m’avait posé la question de jouer à 22, ça ne me gênait pas. Avec une Coupe de la Ligue qui n’existe plus, qu’est-ce que ça coûtait ? Je ne suis pas choqué par la demande d’Amiens. Face à des choses imprévues, il faut prendre des décisions exceptionnelles. Ce que je trouve déplorable dans certains raisonnements, c’est le fait de privilégier la Ligue des champions et les gros sous. Le football, ce n’est pas que les gros sous. C’est aussi une ambiance populaire, la passion, le plaisir d’être ensemble. »
Les demandes de Jean-Michel Aulas ont-elles une chance d’aboutir ?
« Mais oui, c’est possible. A chaque fois que j'ai eu un problème personnel j'ai écrit aux sénateurs… Après j'ai toujours été comme ça. Ça fait 30 ans que je sais, j'ai toujours défendu mon club, ça ne va pas changer à mon âge. Aulas ne m’a pas surpris, il est dans son trip. Tout le monde connait les règles. Faisons-lei ntelligement. »
Vous trouvez que c’est un débat indigne ?
« Indigne, insupportable. Des gens meurent tous les jours. Des soignants prennent des risques tous les jours. Que Lens soit en Ligue 1 ça rehausse l’idée que je me fais de la vie et du football. »
Mais on est un peu obligé de penser à l’après, non ?
« L’après, tu auras le temps de le voir. En France, on est un pays fabuleux : on est toujours en train de raconter les histoires avant qu’on les ait jouées. Quand il y aura un après, quand on pourra revenir dans les stades (Bollaert NDLR), quand on pourra faire la fête avec l’ensemble du public, quand on pourra revivre comme avant, ce sera formidable. Pour l’instant, ce n’est pas le cas. Donc il faut arrêter d’avoir des comptes d’apothicaire. Sortons de cette situation et après on pourra tous parler football et revivre notre passion de manière conviviale. »
Modifié en dernier par Entonox le ven. 15 mai 2020 22:55, modifié 1 fois.
lucdelil a écrit :Source of the post Et moi, si on m’avait posé la question de jouer à 22, ça ne me gênait pas.
Et si on avait proposé de jouer à 20, pas de descentes, pas de montées ? Même discours ?
Facile d'avoir le discours de grand seigneur quand on est le grand gagnant de l'histoire.
Casim' a écrit :Source of the post Y a comme une indécence à se battre pour des places au classement pendant que des gens meurent encore du truc.
Je ne comprends pas. Quel est le rapport entre attendre et voir si on peut reprendre le championnat et les décès covid ?
On joue à 22, pas de relégation et on se démerde comme ça.
Pas d'accord. SI le championnat est arrêté et les classements figés, il faut être cohérent et en tirer les conséquences. On en reste là. Point barre.
Sinon, après tout, pourquoi pas jouer à 24 où 26, les 3, 4, 5 de ligue 2 sont privés de chances réelles de montée. Pourquoi ne pas organiser des play off ?
Il n'y a de toute manière plus de cadre réglementaire.
Smith a écrit :Source of the postCasim' a écrit :Source of the post Y a comme une indécence à se battre pour des places au classement pendant que des gens meurent encore du truc.
Je ne comprends pas. Quel est le rapport entre attendre et voir si on peut reprendre le championnat et les décès covid ?
Et puis dans ce cas, tout est indécent. Les débats sur la pertinence de rouvrir les plages, les établissements scolaires, les marchés ouverts ou fermés, la lancinante inquiétude des français qui se demandent s'ils pourront ou non partir en vacances, ou même les insistances des professionnels du tourisme, etc.
C'est un peu dommage que cette décision ait été prise de manière unilatérale et surtout un peu précipitée. On le disait déjà au moment où cela a été décidé, mais attendre deux semaines supplémentaires n'aurait pas coûté grand chose, et aurait pu changer la donne.
MrK a écrit :Source of the postlucdelil a écrit :Source of the post Et moi, si on m’avait posé la question de jouer à 22, ça ne me gênait pas.
Et si on avait proposé de jouer à 20, pas de descentes, pas de montées ? Même discours ?
Facile d'avoir le discours de grand seigneur quand on est le grand gagnant de l'histoire.
+1
"En tout cas si un jour on manque de viande bovine, je boufferai de l'écolo, ça doit être sain comme bidoche à toujours manger bio."
Dodger jeudi 3 août 2017 21h48
Dodger jeudi 3 août 2017 21h48
Étonnamment il me semble avoir lu qu’un allemand sur deux n’etait pas favorable à la reprise de la Buli
Je ne comprends pas l’argument “c’est indécent il y a toujours des gens qui en meurent” dans la mesure où :
• ils ne font rien d’autre que leur métier, à savoir divertir le peuple (et ne m’dites pas que c’est pas important dans une société, du pain et des jeux)
• et dans la mesure où, bien qu’ils n’aient pas de masque (mais ils seront testés plusieurs fois même si la sensibilité n’atteint évidemment pas 100%) ils seront bien moins en contact que des gens dans une rame de métro par exemple. Je vous rappelle par ailleurs que on sous-entends par contact proche une notion de durée d’au moins 15 min donc pas vraiment le cas sur un corner.
Y a un moment faut relancer la vie aussi, tant mieux si les allemands peuvent se le permettre plus tôt que nous, mais on ne va pas pouvoir attendre que le virus disparaisse totalement avant de reprendre une vie normale parce que ça ne risque pas d’arriver donc autant reprendre doucement et faudra bien commencer un jour.
Après j’oubliais qu’au XXI siècle le sujet de la mort reste toujours assez tabou mais bon, ça varie selon les pays j’imagine
Je ne comprends pas l’argument “c’est indécent il y a toujours des gens qui en meurent” dans la mesure où :
• ils ne font rien d’autre que leur métier, à savoir divertir le peuple (et ne m’dites pas que c’est pas important dans une société, du pain et des jeux)
• et dans la mesure où, bien qu’ils n’aient pas de masque (mais ils seront testés plusieurs fois même si la sensibilité n’atteint évidemment pas 100%) ils seront bien moins en contact que des gens dans une rame de métro par exemple. Je vous rappelle par ailleurs que on sous-entends par contact proche une notion de durée d’au moins 15 min donc pas vraiment le cas sur un corner.
Y a un moment faut relancer la vie aussi, tant mieux si les allemands peuvent se le permettre plus tôt que nous, mais on ne va pas pouvoir attendre que le virus disparaisse totalement avant de reprendre une vie normale parce que ça ne risque pas d’arriver donc autant reprendre doucement et faudra bien commencer un jour.
Après j’oubliais qu’au XXI siècle le sujet de la mort reste toujours assez tabou mais bon, ça varie selon les pays j’imagine
« Super le projet lillois ! », avait ironisé Jacques-Henri Eyraud dans un texto adressé à Andoni Zubizarreta, le 16 février dernier au soir, juste après la victoire marseillaise au stade Pierre-Mauroy (2-1).
publié le 15 mai 2020 à 22h17
B.Gh., M.Gr. mis à jour le 15 mai 2020 à 22h20
Des intermédiaires proches du Comex de l'OM n'ont pas attendu les derniers rebondissements pour envisager l'après André Villas-Boas. Lors de la deuxième quinzaine du mois d'avril, l'entourage de Christophe Galtier a ainsi été sondé. Sous contrat jusqu'en juin 2021 avec le LOSC, le technicien a fait savoir qu'il était concentré sur la suite de son aventure avec le club nordiste alors que son président Gérard Lopez n'a guère apprécié la manoeuvre. « Super le projet lillois ! », avait ironisé Jacques-Henri Eyraud dans un texto adressé à Andoni Zubizarreta, le 16 février dernier au soir, juste après la victoire marseillaise au stade Pierre-Mauroy (2-1). Mais il semble que le profil de Galtier, ancien entraîneur adjoint ou intérimaire de l'OM en des temps difficiles (1999-2001) corresponde à la nouvelle donne voulue par Eyraud, avec moyens limités et joueurs du centre de formation ou prometteurs à valoriser.
Le profil de Leonardo Jardim a aussi été examiné
Autre technicien dont le nom revient dans le landernau marseillais, et qui aurait été récemment examiné : Leonardo Jardim (45 ans). « JHE » a toujours apprécié cet entraîneur qui a connu quatre belles saisons à la tête de Monaco avant un double limogeage. Habitué de la L1 et des politiques de trading, aussi roué et pragmatique que Villas-Boas, il adore Marseille. Mais il a un prix, élevé, et un proche, contacté, a avoué son scepticisme. L'OM a aussi pris des informations sur Bruno Genesio mais aucun contact direct n'a été lancé.
Beaucoup de techniciens intéressés sont ainsi en attente du montant des rémunérations possibles, et celui-ci ne devrait plus atteindre les cimes Rudi Garcia (350 000 € brut mensuels après sa prolongation d'octobre 2019) ou AVB (300 000 € brut, mais il bénéficiait du régime des impatriés). Guère fan des profils type Bielsa, et après une relation idyllique avec le corporate Garcia suivie d'une expérience mouvementée avec le libre-penseur Villas-Boas, il apparaît peu probable qu'Eyraud aille vers des personnages trop animés, comme Gabriel Heinze.
https://www.lequipe.fr/Football/Actuali ... as/1135020
publié le 15 mai 2020 à 22h17
B.Gh., M.Gr. mis à jour le 15 mai 2020 à 22h20
Des intermédiaires proches du Comex de l'OM n'ont pas attendu les derniers rebondissements pour envisager l'après André Villas-Boas. Lors de la deuxième quinzaine du mois d'avril, l'entourage de Christophe Galtier a ainsi été sondé. Sous contrat jusqu'en juin 2021 avec le LOSC, le technicien a fait savoir qu'il était concentré sur la suite de son aventure avec le club nordiste alors que son président Gérard Lopez n'a guère apprécié la manoeuvre. « Super le projet lillois ! », avait ironisé Jacques-Henri Eyraud dans un texto adressé à Andoni Zubizarreta, le 16 février dernier au soir, juste après la victoire marseillaise au stade Pierre-Mauroy (2-1). Mais il semble que le profil de Galtier, ancien entraîneur adjoint ou intérimaire de l'OM en des temps difficiles (1999-2001) corresponde à la nouvelle donne voulue par Eyraud, avec moyens limités et joueurs du centre de formation ou prometteurs à valoriser.
Le profil de Leonardo Jardim a aussi été examiné
Autre technicien dont le nom revient dans le landernau marseillais, et qui aurait été récemment examiné : Leonardo Jardim (45 ans). « JHE » a toujours apprécié cet entraîneur qui a connu quatre belles saisons à la tête de Monaco avant un double limogeage. Habitué de la L1 et des politiques de trading, aussi roué et pragmatique que Villas-Boas, il adore Marseille. Mais il a un prix, élevé, et un proche, contacté, a avoué son scepticisme. L'OM a aussi pris des informations sur Bruno Genesio mais aucun contact direct n'a été lancé.
Beaucoup de techniciens intéressés sont ainsi en attente du montant des rémunérations possibles, et celui-ci ne devrait plus atteindre les cimes Rudi Garcia (350 000 € brut mensuels après sa prolongation d'octobre 2019) ou AVB (300 000 € brut, mais il bénéficiait du régime des impatriés). Guère fan des profils type Bielsa, et après une relation idyllique avec le corporate Garcia suivie d'une expérience mouvementée avec le libre-penseur Villas-Boas, il apparaît peu probable qu'Eyraud aille vers des personnages trop animés, comme Gabriel Heinze.
https://www.lequipe.fr/Football/Actuali ... as/1135020
Bab a écrit :Étonnamment il me semble avoir lu qu’un allemand sur deux n’etait pas favorable à la reprise de la Buli
Je ne comprends pas l’argument “c’est indécent il y a toujours des gens qui en meurent” dans la mesure où :
• ils ne font rien d’autre que leur métier, à savoir divertir le peuple (et ne m’dites pas que c’est pas important dans une société, du pain et des jeux)
• et dans la mesure où, bien qu’ils n’aient pas de masque (mais ils seront testés plusieurs fois même si la sensibilité n’atteint évidemment pas 100%) ils seront bien moins en contact que des gens dans une rame de métro par exemple. Je vous rappelle par ailleurs que on sous-entends par contact proche une notion de durée d’au moins 15 min donc pas vraiment le cas sur un corner.
Y a un moment faut relancer la vie aussi, tant mieux si les allemands peuvent se le permettre plus tôt que nous, mais on ne va pas pouvoir attendre que le virus disparaisse totalement avant de reprendre une vie normale parce que ça ne risque pas d’arriver donc autant reprendre doucement et faudra bien commencer un jour.
Après j’oubliais qu’au XXI siècle le sujet de la mort reste toujours assez tabou mais bon, ça varie selon les pays j’imagine
C'est quoi ton truc de 15mn Bab ? on peut se rouler des pelles dans la limite de 15mn par exemple ? je force le trait, mais 15mn de quoi ?
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