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Hors ligneMessagelenormal » ven. 19 mars 2021 20:53

Bernard Lions de L'ÉQUIPE a écrit :Christophe Galtier : « Je crois qu'on naît entraîneur »
Leader de Ligue 1, le coach de Lille, Christophe Galtier, raconte un métier qui le dévore autant qu'il l'épanouit. Les moments difficiles, les victoires inoubliables, le sacrifice permanent...

Bernard Lions, à Lille
19 mars 2021 à 12h00


Affûté, détendu et souriant, Christophe Galtier, 54 ans, est dans son élément à Lille. Entraîneur du club depuis décembre 2017 après en avoir porté les couleurs comme joueur de 1987 à 1990, le Marseillais de naissance brille cette saison. En 2018, il avait sauvé le LOSC de la relégation ; désormais, l'ancien coach des Verts (2009-2017) se bat pour les sommets. Passée la découverte de la Ligue des champions en tant que coach numéro 1 à l'automne, Galtier et ses Dogues sont en tête de la Ligue 1 à neuf journées de la fin, avec trois points d'avance sur le PSG, contre qui ils ont perdu (0-3) mercredi dernier en Coupe de France.

À l'occasion du premier épisode de la série de podcasts L'Enfer du banc, à écouter sur le site de L'Équipe, le coach s'est longuement confié sur son métier. De la naissance de la vocation jusqu'à ses dernières évolutions, comme la récente règle des cinq remplacements, en passant par les plus grandes joies et les moments de doute d'un entraîneur arrivé à maturité.

« Selon vous, on naît entraîneur ou on le devient ?
On a ça en soi. Lorsqu'ils évoquent l'un d'entre eux devenu entraîneur, les anciens joueurs disent souvent qu'il avait déjà l'âme d'un coach dans le vestiaire. Une flamme intérieure. Après, certains sont très intéressés par le jeu, l'aspect technico-tactique. D'autres, très attachés à l'esprit de groupe, à la capacité à fédérer à travers un projet.

Embrayer sur une carrière d'entraîneur, cela revient à se créer de nouveaux problèmes ?
Ah oui ! Quand on est joueur, on se concentre sur soi, son corps, son mental... Généralement, le joueur est égoïste. Quand on est entraîneur, l'homme et la vie qui va avec passent après tout. Entraîner, c'est automatiquement souffrir. L'entraîneur souffre parce qu'il n'a pas beaucoup de temps de plaisir. Il est dans l'action totale, l'instant « T », dans le match qu'il doit gagner. Après une victoire, j'ai peut-être 30 ou 60 minutes de réel plaisir que je partage avec mon staff et mes proches.

À l'image de ce qui se fait en Angleterre, j'avais fait aménager une salle de réception au stade afin de recevoir mes collègues coaches après les rencontres. Mais il n'y en avait pas beaucoup qui voulaient venir... C'est un peu dommage. Moi, j'ai besoin de voir du monde après les matches. D'être entouré par des proches. Par ma direction, aussi. Sa présence après la rencontre est importante pour moi, même lorsqu'on gagne. Parce que quitter le stade le dernier sans avoir croisé personne d'autre que mon staff, ça fait drôle...

Entraîner, cela va de pair avec la notion de sacrifice ?
Oui. Le sacrifice est total. On s'en rend compte au fur à mesure que l'on avance dans le métier et dans l'âge. Souvent, j'entends dire ''l'entraîneur est égoïste'', ''il fait ça pour l'argent''. Non, il est absorbé par sa passion. Il est intoxiqué. On est toxicomanes du football et de la fonction d'entraîneur. Quand tu vois messieurs Lippi (72 ans) et Benitez (60 ans) vouloir replonger à leur âge et après avoir tant gagné, ils ne sont pas drogués ? Je crois qu'on a simplement peur de la solitude, du vide ou de ne plus exister. C'est une erreur. Et c'est vrai qu'une fois qu'on est dedans, on en occulte quelquefois les priorités de la vie que sont les parents, les enfants, l'épouse. On passe peu de temps ensemble. On n'est pas dans l'éducation de nos enfants. Évidemment, j'essaie de les aider, les soutenir, les conseiller. Mais on se voit très peu. Pareil pour mes parents, c'est à distance. Car l'une des premières grandes qualités que doit avoir l'entraîneur, c'est la mobilité. On est des nomades. Heureusement, pour l'instant, j'ai eu le privilège de durer assez longtemps dans chaque club.

Quand un entraîneur n'entraîne plus, est-il en manque ?
Oui. Quand j'ai arrêté à Saint-Étienne (en 2017) et que je me suis fait opérer de la hanche, j'avais décidé de couper six mois. Mais au bout de deux mois, ça commençait à gratter de partout, et trois mois, après je tournais en rond. On n'apprécie même pas les plaisirs de la vie parce qu'on a que le football, le jeu et la fonction en tête.

À quoi êtes-vous accro ?
À la gestion du groupe, la préparation, l'adrénaline du match. Avec une seule obsession : la gagne. Au niveau professionnel, on ne choisit pas un entraîneur pour entraîner mais pour gagner. On lui définit des objectifs et il doit les atteindre.

Pour cela, doit-il apprendre à savoir perdre ?
La défaite fait partie du métier. Il faut l'intégrer et s'en servir. Mais il ne faut pas l'accepter, sauf si on joue contre vraiment plus fort que soi. Mais quand les forces sont équilibrées et que ça ne passe pas, là, c'est très douloureux. Mentalement mais aussi physiquement, parce que j'en prends une énorme part de responsabilité. Avec la blessure grave d'un joueur, la défaite est ce qui me fait le plus souffrir.

Comment gérez-vous ce moment ?
Je ne dors pas de la nuit. Mais j'attends 24 heures pour revoir le match. Je réfléchis d'abord sur le plan de jeu, sur ce qu'on a travaillé dans la semaine, sur les choix que j'ai faits avant et pendant le match. Je prends des notes, je cherche ce qui n'a pas fonctionné. Je ne donne alors aucune responsabilité aux joueurs. Leur performance leur appartient. Dans les heures qui suivent la rencontre, je ne suis que sur la mienne. Ce serait trop facile de dire : ''Le joueur n'a pas compris, il n'est pas bon en ce moment...'' Non, mon métier, c'est de faire en sorte qu'il comprenne et qu'il soit bon. Après, si ses contre-performances se répètent, ce joueur-là est souvent remplaçant. (Il sourit.) Puis il y a l'image. On a beaucoup de données et de data aujourd'hui. Je m'intéresse alors aux contre-performances collectives et individuelles. C'est là que c'est dur, parce que ça fait mal au ventre et à la tête.

La défaite est-elle synonyme de culpabilité ?
De colère. Une confidence : je ne suis pas rentré dans le vestiaire après notre victoire contre Dijon (1-0, le 31 janvier). Comme j'étais très agacé, mais pas après moi pour une fois, je suis allé m'isoler. J'ai d'ailleurs ensuite appris que les joueurs n'avaient pas spécialement fêté cette victoire parce qu'ils étaient conscients de leur seconde période très médiocre. Chez moi, la pression se fait autant sentir quand mon équipe est en haut que quand elle est en bas, comme je l'ai connue quand j'ai pris la relève d'Alain Perrin à Saint-Étienne (en 2009). Voire plus, parce que près du sommet, il y a une grosse exposition médiatique. Et ça, c'est un côté pervers.

Les ondes négatives l'emportent-elles sur le positif ?
Quand même pas.

Pourquoi ?
Parce que j'adore ce métier. Mais est-ce que je suis en hyper protection par rapport à cela ou formaté comme ça ? Je ne sais pas. Ou alors, je m'habitue à être au centre de tous les regards et de toutes les critiques. (Il réfléchit.) En fait, on est préparés mais pas formés à ça. C'est pour cette raison que je vous ai dit qu'on naît entraîneur. Mais je pense être un des rares entraîneurs à avoir quelqu'un sur qui je peux m'appuyer pour décharger beaucoup de choses, m'aider à évacuer de la frustration, de la colère et la pression.

Vous vous faites aider par un psy ?
Non, par un préparateur mental. Un jour, en échangeant avec des cadres de Winamax (alors partenaire de l'AS Saint-Étienne), j'ai découvert que la Team Winamax Poker en avait un. « Ah bon ? Bizarre... » J'ai alors rencontré Pier Gauthier, un ancien joueur de tennis, dans le sud de la France, et on a commencé à collaborer. Pas pour me découvrir mais pour avoir des clés quand ça ne passe pas avec un joueur. Parfois, tu n'arrives pas à aller chercher chez lui un déclic, à rentrer un peu dans sa tête. Pier m'a aussi donné des techniques pour me délester de ce sac à dos que tout le monde porte.

Dès que tu te lèves, que tu es au téléphone, à la télévision, dans la rue ou quand tu arrives au boulot, tu ajoutes un caillou là, puis un autre. À la fin, quand tu te présentes au match, ton sac à dos pèse 120 kg. Ensemble, on échange des sentiments pour pouvoir m'alléger sur le plan mental et libérer la parole. C'est très important. Denis Troch (ancien coach devenu préparateur mental) est aussi très bon dans ce domaine. Quand tu fais parler les gens, tu trouves 80 % des solutions aux problèmes. Et Dieu sait qu'il y en a tous les jours. Il ne faut pas les entasser dans un sac à dos. Sinon, ça finit par exploser.

Un entraîneur doit donc être entraîné ?
Il doit être aidé, pas coaché. On passe nos diplômes d'entraîneur, on est formés sur l'aspect pédagogique mais pas psychologique. Et à la sortie, parfois, ça bugue avec un joueur parce qu'il te manque quelque chose.

Un entraîneur doit-il être infaillible ?
Il doit montrer très peu de failles, mais il doit en montrer quand même parce qu'il doit rester humain. Si tu fais croire à tes joueurs et à ton staff que tu n'as pas de failles, tu te perds. Il faut rester naturel. En revanche, il ne doit pas laisser paraître une fragilité et il lui faut toujours garder le cap tout en restant à l'écoute. Cela implique d'accepter de changer d'orientation quand ton vestiaire t'a parlé. Ce n'est pas un signe de faiblesse, bien au contraire. Si plusieurs personnes te disent que ça ne peut pas le faire comme ça, c'est que tu vas droit dans le mur.

Comment un entraîneur se repose-t-il ?
Quand on joue tous les trois jours, c'est difficile. Je jouais beaucoup au golf au début chez les Verts, parce qu'entre le centre d'entraînement de L'Étrat et le golf de Saint-Étienne, il n'y a que quelques kilomètres. Mais je n'ai plus le temps. Je me suis rapidement aperçu que pour progresser, dans mon cas, il fallait y passer beaucoup de temps et parfois occulter complètement mon métier. Je n'arrivais pas à le faire. Ça partait à droite, à gauche, dans l'eau, dans les arbres... (Il rit.) Aujourd'hui, je fais un peu de vélo. C'est le sport qui me nettoie le plus la tête et le corps, et qui me fait le moins mal sur le plan articulaire. J'adore. Pour être performant, c'est-à-dire avoir les idées claires, car un vestiaire c'est de la confrontation, il faut être en forme physiquement. Cela passe aussi par une hygiène alimentaire. Les entraîneurs sont d'ailleurs de plus en plus jeunes. C'est pour ça que j'envisage des injections pour masquer mes rides. (Il sourit.)

Ce « jeunisme » vous surprend-il ?
Non. Aujourd'hui, il y a tellement d'outils à disposition, les réseaux sociaux, internet, les logiciels et toutes les compétences que l'on peut amener autour de soi, que l'on peut devenir plus rapidement entraîneur professionnel, sans être forcément issu du jeu. Tu peux avoir un point fort, l'analyse du jeu ou le développement d'une équipe, et devenir un jeune entraîneur. Certains analystes vidéo font de bons coaches. En tout cas, les entraîneurs doivent avoir une grande ouverture sur tout ce qu'on peut leur proposer pour être performant.

Un entraîneur ne marche donc plus seul ?
Si, il reste seul. Quand j'étais adjoint, pendant onze ans, j'ai connu la défaite bien sûr. Mais une fois à la maison, tu passes à autre chose. Il n'y a pas la pression du résultat. J'ai adoré ma fonction d'adjoint. Je me suis formé ainsi, j'ai pris le meilleur de chaque coach avec qui j'ai travaillé. Quand je suis devenu entraîneur principal, j'ai découvert la solitude après un match ou dans une prise de décision. Avant de prendre une décision, je partage énormément avec mon staff, mais c'est moi qui décide. Les gens ne peuvent pas comprendre ni imaginer tout le questionnement que cela implique.

Un exemple : lorsque je décide de titulariser Kurt Zouma à la place de Moustapha Bayal Sall en finale de la Coupe de la Ligue (1-0 devant Rennes, le 20 avril 2013), je suis dans l'intime conviction. Je me demande à quel moment je vais l'annoncer et de quelle manière, pour à la fois ne pas mettre de pression sur un jeune de 18 ans et garder Mouss à fond derrière le projet de l'équipe. Là, croyez-moi, vous êtes seul. Il faut rentrer dans la chambre du joueur. Quand tu ouvres la porte, il sait que ça va lui tomber dessus. Cela dure vingt secondes. Je donne l'information, je ferme la porte, je marche dans le couloir et j'entends la chambre se faire démonter. Humainement, c'est dur, parce que pour Saint-Étienne, Mouss et moi, cette finale de Coupe de la Ligue, c'est quelque chose.

Quelle est la place des adjoints ?
L'entraîneur n'est pas dans l'expérimentation, le « tiens, je vais essayer ça », mais dans l'aboutissement d'un processus. Ce sont les gens autour de lui qui doivent amener une certaine compétence pour faire en sorte qu'à un moment l'entraîneur évolue. Parce qu'eux ont plus de temps pour réfléchir. Exemple : tel joueur va devoir remplacer tel joueur dans 18 mois, comment fait-on pour le hisser à ce niveau-là ? C'est ce qu'on avait fait à Saint-Étienne pour que Josuha Guilavogui devienne le successeur de Gelson Fernandes. Avec mon staff, il fallait tout mettre en oeuvre pour l'y aider.

Quelles furent vos plus grandes joies d'entraîneur ?
Cette victoire en Coupe de la Ligue (en 2013) avec Saint-Étienne, le stade vert et blanc, la folie dans la ville, un trophée qui était attendu (depuis 1981), un parcours incroyable avec un groupe extraordinaire. Et la deuxième place avec le LOSC (en 2019). Parce qu'on revenait de loin. En treize mois, on est passé de l'enfer au paradis. C'est un moment fort parce que j'ai accepté de me remettre en question sur beaucoup de choses dans ma manière de travailler. Accepter, et c'est un clin d'oeil à Luis Campos (alors directeur sportif de Lille), de travailler avec un staff international, avec différentes technologies, différentes cultures, un mix de joueurs de nationalités et d'âges différents. Je me suis épanoui là-dedans. Cela m'a permis de gommer ma dernière saison, très difficile, à Saint-Étienne, parce que je n'aimais pas comment jouait l'équipe et que c'est moi qui la faisais jouer ainsi... À l'époque, c'était terrible, je voulais gagner, mais les gens qui critiquaient notre jeu avaient raison. Je n'étais pas le seul responsable, il doit y avoir des garde-fous, en l'occurrence la direction. Mais quand ça fait sept-huit ans que tu es là, les gens n'osent plus te dire les choses.

Quelle est l'alchimie parfaite dans un club ?
Il est fondamental qu'il y ait trois personnes à sa tête : un président qui dirige, s'occupe des finances et de la politique du club, un conseiller ou directeur sportif qui gère l'organisation et le recrutement, et un entraîneur qui doit entraîner pour gagner. Chacun doit être dans son secteur de compétence. Pour moi, l'entraîneur qui veut s'occuper du budget, de l'enveloppe du recrutement et visionner des futures recrues perd tout ce temps pour préparer au mieux ses joueurs. Le jour où il n'est plus entraînant, il faut l'écarter. Mais je pense qu'il y a encore de la place pour des entraîneurs bâtisseurs.

Quelle sera selon vous la prochaine évolution dans le métier d'entraîneur ?
Elle se situera dans le secteur athlétique. Les joueurs risquent de jouer encore plus de matches. Il va falloir qu'ils encaissent. Et je suis convaincu que le jeu va aller encore plus vite - et il va déjà très vite - et qu'il y aura une augmentation du temps de jeu effectif. Il va aussi y avoir une évolution dans le coaching et on la découvre cette année avec les cinq remplacements.

Cela change beaucoup de choses, et là on est dans l'essence même du rôle d'entraîneur. Le terme coaching, il est là. Garder les cinq changements serait un progrès car le match garderait sa qualité sur la durée. Ce qui permet également de travailler sur différents systèmes et animations. Cela creuse automatiquement des écarts en fonction des moyens des clubs : par exemple, si tes cinq rentrants sont au niveau des titulaires de l'équipe d'en face... Mais à la base de tout, il reste l'aventure humaine. Le jour où elle n'est plus là, cela ne sert à rien de continuer. C'est pour ça que j'ai accroché l'affiche du film L'aventure c'est l'aventure dans mon bureau. »

publié le 19 mars 2021 à 12h00
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”

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Hors ligneMessageFEEJ » ven. 19 mars 2021 21:19

Merci Alain, très intéressant à lire
L’idiot du villaz, j’ai jamais été fan

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Hors ligneMessageNekfra » ven. 19 mars 2021 22:10

Merci pour l'article.
"Yusuf est de retour. Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la Création."

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Hors ligneMessageNekfra » ven. 19 mars 2021 22:12

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Hors ligneMessageraymondbarh » ven. 19 mars 2021 23:11

Nekfra a écrit :Source of the post Image

:D

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Hors ligneMessageblackeyedpeas » sam. 20 mars 2021 00:48

Merci Lenormal.

Calin Vitakic

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MessageCalin Vitakic » sam. 20 mars 2021 00:51

Nekfra a écrit :Image

Manque juste Yusuf pour être parfait.

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Hors ligneMessageSmith » sam. 20 mars 2021 08:42

Merci lenormal

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Hors ligneMessagedodger » sam. 20 mars 2021 09:24

Merci pour la presse matinale.
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo

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Hors ligneMessageRicosore » sam. 20 mars 2021 10:31

Merci pour la presse.
J’apprends que Pascal Plancque n’a pas digéré son départ du LOSC en 2009 et en veut à Rudi Garcia.

Ben ça tombe bien Pascal, si tu pouvais te venger à la 37 éme journée avec ce Nimes-Lyon,on t’en serait reconnaissant.
Merci Pascal et bonne continuation ...à partir de Dimanche 19h.
GO LE LOSC GO GO!

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Hors ligneMessageMrjo » sam. 20 mars 2021 10:53

Nîmes jouera son maintien en L1 en plus...

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Hors ligneMessageRicosore » sam. 20 mars 2021 13:21

Si on parvient à battre Nimes demain,j’ai comme l’impression que je vais apprécier mater le choc Lyon-PSG,en espérant un nul ,au pire une victoire parisienne.
GO LE LOSC GO GO!

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Hors ligneMessagelenormal » sam. 20 mars 2021 17:34

Ricosore a écrit :Source of the post Si on parvient à battre Nimes demain,j’ai comme l’impression que je vais apprécier mater le choc Lyon-PSG,en espérant un nul ,au pire une victoire parisienne.

Surtout si elle est assortie d'un carton pour diminuer la différence de buts de Lyon.
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Hors ligneMessagesolid.snake » sam. 20 mars 2021 17:41

Nîmes avec Andrés Cubas à Lille

Alors que Nîmes, retombé à la 19e place du classement après la victoire inattendue de Nantes à Paris (2-1), devra encore faire sans Anthony Briançon et Karim Aribi (en phase de réathlétisation), Florian Miguel (protocole commotion), Pablo Martinez (genou) et Sidy Sarr (mollet) sur la pelouse du leader lillois dimanche (17h05), Pascal Plancque pourra finalement compter sur Andrés Cubas.

Le milieu international paraguayen de 24 ans, incontournable depuis son arrivée au club l'été dernier (21 titularisations en 22 matches), s'est plaint de douleurs à une cuisse cette semaine. Si son entraîneur avouait samedi matin ne pas être « très optimiste », Cubas sera bien du déplacement dans le Nord.

Suspendu pour le derby contre Montpellier (1-1) le week-end dernier, le latéral gauche norvégien Birger Meling est de retour. La paire Loïck Landre - Naomichi Ueda devrait être reconduite dans l'axe de la défense.


Le groupe nîmois

Reynet, Dias - Meling, Burner, Ueda, Landre, Alakouch, Paquiez, Guessoum - Fomba, Cubas, Deaux, Ahlinvi - Eliasson, Ferhat, Ripart Benrahou, Duljevic, Roux, Mo. Koné

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Hors ligneMessageGuilain » sam. 20 mars 2021 17:51

Ricosore a écrit :Source of the post Si on parvient à battre Nimes demain,j’ai comme l’impression que je vais apprécier mater le choc Lyon-PSG,en espérant un nul ,au pire une victoire parisienne.

Pourquoi victoire parisienne ?
zaz le mar. 21 mai 2024 12:53 : "Tranquille les gars...ce n est que le début.ils faut rester zen .notre mercato bougera une fois .l entraîneur sera élu... La ca gesticule pour rien."

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Hors ligneMessagebast » sam. 20 mars 2021 18:05

Ricon est supporter du PSG.

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Hors ligneMessageRicosore » sam. 20 mars 2021 18:49

bast a écrit :Source of the post Ricon est supporter du PSG.


Il est là bastard.

Sinon,s'il doit y avoir une victoire, entre une victoire lyonnaise et une victoire lyonnaise,y a pas photo pour assurer la 2 éme place.
GO LE LOSC GO GO!

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Hors ligneMessageLudwigVon » sam. 20 mars 2021 18:51

Ricosore a écrit :Source of the post
bast a écrit :Source of the post Ricon est supporter du PSG.


Il est là bastard.

Sinon,s'il doit y avoir une victoire, entre une victoire lyonnaise et une victoire lyonnaise,y a pas photo pour assurer la 2 éme place.

Tu vois Lyon gagner deux fois là, c'est mal
C'est fou comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde.
Boris Vian

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Hors ligneMessageraymondbarh » sam. 20 mars 2021 18:52

"assurer la 2e place"
je chiale

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Hors ligneMessagenicolas » sam. 20 mars 2021 18:53

Pour moi rien à battre il faut gagner tous les matchs et on s en moque des autres. Apres tout on fait ca depuis le début de saison pourquoi arrêter ?


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