Miladin Béca a écrit :Source of the post
Après après on peut toujours parler du pourquoi le Losc ne donne pas ces salaires mais sans cela, y'a pas de miracle.
Bab a écrit :Source of the postMarcoVanBasten a écrit :- OL : Lui-même.
Sa réputation et lié à cela, le mode de gouvernance du club qu'on peine à comprendre encore aujourd'hui avec l'absence d'un Directeur Sportif / recrutement.
Mais c'est un peu blackbox sur ce point, rien ne filtrant à l'extérieur. Peut-être est-il ou sera-t-il plus ouvert sur ce point l'année prochaine dans un objectif de "construction d'équipe" > à faire obligatoirement avec un coach.
A l'inverse de l'objectif de cette année qui était de maintenir au max l'effectif, le schéma tactique etc...
J'ai quelques doutes quant à au fait que l'homme finisse par changer du jour au lendemain alors que ça fait de longues années qu'il traine ce "style" dictateur.
https://www.ouest-france.fr/sport/football/stade-rennais/stade-rennais-olivier-letang-les-raisons-du-depart-6727759
J'étais en train de fouiller dans ma mémoire et de lancer les pages transfermarkt pour voir un peu quels avaient été les mouvements de joueurs à Rennes sous Létang, versus depuis son départ quand l'actionnaire a sorti le portefeuille sous l'impulsion de Maurice (ex OL) et qu'on s'est mis à voir des coups sympa made in Ligue 1 (Mehling, Aguerd, Terrier, Tait, Laborde) mais aussi étrangers (Doku, Sulemana, Majer) avec réussites diverses.
Puis je suis tombé sur cet article qui résume plutôt bien les choses, je ne pensais pas qu'il avait mis le boxon à ce point à Rennes. En tout cas on retrouve les mêmes choses avec Armand l'homme de main, Ben Arfa le fouteur de merde...
Petit résumé :
Après avoir entretenu une fin de relation exécrable avec Sabri Lamouchi, Olivier Létang a enchaîné une seconde relation difficile avec son entraîneur, à la nomination de Julien Stéphan, le 3 décembre 2018. Létang lance Stéphan en intérim. (...) Le duo cohabite, sans véritable affinité, au sortir du nul contre Guingamp (1-1), Hatem Ben Arfa scelle l’éloignement définitif. Quinze jours après la victoire en Coupe de France, il critique vivement son entraîneur… après être passé dans la loge du président. Pourtant friand d’interventions médiatiques, Létang reste sans réaction. « Un peu plus de soutien aurait été appréciable », dira le coach ensuite.
(...)
Mais Létang opère seul sur le terrain du mercato. Stéphan affiche son mécontentement, mais réussit son début de saison. L’avant-veille du déplacement à Marseille (1-1 le 29 septembre), Sylvain Armand communique sur le site du club, à la demande du président, alors que l’équipe est quatrième. Julien Stéphan ne pardonnera pas ce nouvel acte public de défiance.
(...)
Alors que les victoires s’enchaînent et après avoir sommé l’actionnaire de trancher entre lui et le coach à l’automne, Létang bascule dans une valorisation de Stéphan à chaque intervention médiatique. Dans les faits, la relation reste minimale : Stéphan apprendra ainsi les prolongations d’Hunou et Bourigeaud juste avant l’officialisation sur le site du club.
(...)
Alors qu’il sortait d’une société d’agents et qu’il avait été directeur sportif adjoint du PSG, Olivier Létang semblait bénéficier d’un réseau conséquent sur le front du mercato, comme il le répétait à l’envi. Or, il aura cumulé les ratés coûteux. Dès son premier mercato, il recrute Diafra Sakho et Rafik Guitane, pour 8 M € et 10 M € (et des salaires en or) que le club ne reverra pas. Ensuite, il y aura Jordan Siebatcheu (12 M €), pari perdant parmi d’autres (Johansson, Doumbia, Martin, Güclü).
(...)
En vingt-sept mois d’ère Létang, une petite trentaine de salariés sont partis du SRFC, volontairement ou écartés. Parmi lesquels Éric Assadourian, trois mois après sa nomination par… Olivier Létang. Rapidement, le directeur du centre de formation a évoqué une impossibilité de travailler avec un président omniprésent.
(...)
Certes travailleur et ayant participé à plus professionnaliser le club, Olivier Létang « s’est pris pour l’actionnaire », confiait hier un interlocuteur fin connaisseur du club. L’ancien du PSG a négligé la figure de François Pinault, personnage le plus influent de toute l’histoire du club, qu’il n’a d’ailleurs même pas remercié dans son communiqué hier (...). Létang s’est fait trop d’ennemis à ne pas s’intéresser assez au tissu local.
Alors peut-être que OuestFrance n'est pas super objectif mais bon...
lamiduf a écrit :Bab a écrit :Source of the postMarcoVanBasten a écrit :- OL : Lui-même.
Sa réputation et lié à cela, le mode de gouvernance du club qu'on peine à comprendre encore aujourd'hui avec l'absence d'un Directeur Sportif / recrutement.
Mais c'est un peu blackbox sur ce point, rien ne filtrant à l'extérieur. Peut-être est-il ou sera-t-il plus ouvert sur ce point l'année prochaine dans un objectif de "construction d'équipe" > à faire obligatoirement avec un coach.
A l'inverse de l'objectif de cette année qui était de maintenir au max l'effectif, le schéma tactique etc...
J'ai quelques doutes quant à au fait que l'homme finisse par changer du jour au lendemain alors que ça fait de longues années qu'il traine ce "style" dictateur.
https://www.ouest-france.fr/sport/football/stade-rennais/stade-rennais-olivier-letang-les-raisons-du-depart-6727759
J'étais en train de fouiller dans ma mémoire et de lancer les pages transfermarkt pour voir un peu quels avaient été les mouvements de joueurs à Rennes sous Létang, versus depuis son départ quand l'actionnaire a sorti le portefeuille sous l'impulsion de Maurice (ex OL) et qu'on s'est mis à voir des coups sympa made in Ligue 1 (Mehling, Aguerd, Terrier, Tait, Laborde) mais aussi étrangers (Doku, Sulemana, Majer) avec réussites diverses.
Puis je suis tombé sur cet article qui résume plutôt bien les choses, je ne pensais pas qu'il avait mis le boxon à ce point à Rennes. En tout cas on retrouve les mêmes choses avec Armand l'homme de main, Ben Arfa le fouteur de merde...
Petit résumé :
Après avoir entretenu une fin de relation exécrable avec Sabri Lamouchi, Olivier Létang a enchaîné une seconde relation difficile avec son entraîneur, à la nomination de Julien Stéphan, le 3 décembre 2018. Létang lance Stéphan en intérim. (...) Le duo cohabite, sans véritable affinité, au sortir du nul contre Guingamp (1-1), Hatem Ben Arfa scelle l’éloignement définitif. Quinze jours après la victoire en Coupe de France, il critique vivement son entraîneur… après être passé dans la loge du président. Pourtant friand d’interventions médiatiques, Létang reste sans réaction. « Un peu plus de soutien aurait été appréciable », dira le coach ensuite.
(...)
Mais Létang opère seul sur le terrain du mercato. Stéphan affiche son mécontentement, mais réussit son début de saison. L’avant-veille du déplacement à Marseille (1-1 le 29 septembre), Sylvain Armand communique sur le site du club, à la demande du président, alors que l’équipe est quatrième. Julien Stéphan ne pardonnera pas ce nouvel acte public de défiance.
(...)
Alors que les victoires s’enchaînent et après avoir sommé l’actionnaire de trancher entre lui et le coach à l’automne, Létang bascule dans une valorisation de Stéphan à chaque intervention médiatique. Dans les faits, la relation reste minimale : Stéphan apprendra ainsi les prolongations d’Hunou et Bourigeaud juste avant l’officialisation sur le site du club.
(...)
Alors qu’il sortait d’une société d’agents et qu’il avait été directeur sportif adjoint du PSG, Olivier Létang semblait bénéficier d’un réseau conséquent sur le front du mercato, comme il le répétait à l’envi. Or, il aura cumulé les ratés coûteux. Dès son premier mercato, il recrute Diafra Sakho et Rafik Guitane, pour 8 M € et 10 M € (et des salaires en or) que le club ne reverra pas. Ensuite, il y aura Jordan Siebatcheu (12 M €), pari perdant parmi d’autres (Johansson, Doumbia, Martin, Güclü).
(...)
En vingt-sept mois d’ère Létang, une petite trentaine de salariés sont partis du SRFC, volontairement ou écartés. Parmi lesquels Éric Assadourian, trois mois après sa nomination par… Olivier Létang. Rapidement, le directeur du centre de formation a évoqué une impossibilité de travailler avec un président omniprésent.
(...)
Certes travailleur et ayant participé à plus professionnaliser le club, Olivier Létang « s’est pris pour l’actionnaire », confiait hier un interlocuteur fin connaisseur du club. L’ancien du PSG a négligé la figure de François Pinault, personnage le plus influent de toute l’histoire du club, qu’il n’a d’ailleurs même pas remercié dans son communiqué hier (...). Létang s’est fait trop d’ennemis à ne pas s’intéresser assez au tissu local.
Alors peut-être que OuestFrance n'est pas super objectif mais bon...
Très instructif cet article et pas rassurant du tout...
zaz a écrit :Source of the post Moi je lui demande de la compétence.. Tant que le club reste séduisant. Le reste je m en fou royal.. Je l attends pour la nomination du futur entraîneur.. Je ne comprends pas qu il puisse se passé d un directeur sportif. Putain de mélon.
PLE a écrit :Source of the post Oui c est clair il est omnipotent . Même la direction d elisa (grand stade) ne parle quasi plus avec lui .... je le répète . Et j ai appris hier une précision , c est bien letang qui a mis un veto sur la vente de Burak à Galtier (sic) . Gourvennec n était pas contre un départ et l avait fait savoir a Ylmaz , qu il ne le retiendrait pas . Donc burak en veut beaucoup à Letang et pas du tout Gourvennec ( qu il n a d ailleurs jamais descendu ) .
PLE a écrit :Source of the post Oui c est clair il est omnipotent . Même la direction d elisa (grand stade) ne parle quasi plus avec lui .... je le répète . Et j ai appris hier une précision , c est bien letang qui a mis un veto sur la vente de Burak à Galtier (sic) . Gourvennec n était pas contre un départ et l avait fait savoir a Ylmaz , qu il ne le retiendrait pas . Donc burak en veut beaucoup à Letang et pas du tout Gourvennec ( qu il n a d ailleurs jamais descendu ) .
Steven Girard a écrit :Vous avez tendance à oublier que Campos était tout aussi omnipotent et interventionniste.
Il était détesté des salariés, il a imposé ses hommes dans tous les compartiments du club, a obligé Galtier de changer de méthodologie d'entrainement, il a viré les anciens de la formation, il a eu la peau de Ingla, etc...
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