Losc: Gérard Lopez prépare son organigramme, Frédéric Antonetti en danger
27/10/2016 à 22h56
![Image](http://img.bfmtv.com/c/1256/708/dcc/bead503b98f3ca5df6252113de77d.jpeg)
Losc: Gérard Lopez prépare son organigramme, Frédéric Antonetti en danger
Gérard Lopez devrait devenir le nouveau propriétaire de Lille d’ici la fin de l’année. L’homme d’affaires luxembourgeois va s’entourer d’un ancien dirigeant du Barça et de Luis Campos. Frédéric Antonetti pourrait en faire les frais sur le banc. En attendant des premières recrues lors du mercato d’hiver.
Gérard Lopez va enfin devenir le propriétaire d’un club de Ligue 1 ! Après s’être cassé les dents sur l’Olympique de Marseille, l’homme d’affaires luxembourgeois devrait, sauf retournement de situation, devenir le prochain propriétaire du Losc. Le closing avec Michel Seydoux, l’actuel patron du club nordiste, devrait avoir lieu entre début et mi-décembre, avec la volonté de passer devant la DNCG dans le courant de ce mois. L’ancien dirigeant de Lotus s’active déjà pour préparer la reprise. En plus de son costume d’actionnaire, Gérard Lopez devrait également endosser le rôle de président du club. Il nommera son fidèle bras droit Marc Ingla, un ancien dirigeant du FC Barcelone, comme président délégué et directeur général. Ingla s’occupera de toute l’organisation du club en dehors du domaine sportif.
Luis Campos, qui était en discussion avec l’OM, devrait finalement lui aussi rejoindre le Losc. Mais il ne sera pas l’un de ses salariés. Le Portugais deviendra conseiller spécial de Gérard Lopez et sera en charge de toute la partie sportive. Joint par RMC Sport, un proche de Campos confie : « Le feeling est très bien passé entre Luis et Gérard Lopez. Ils sont vraiment très proches et se parlent quotidiennement. Luis est très pressé de démarrer officiellement. » Campos a eu la garantie qu’il allait avoir les pleins pouvoirs sportifs, y compris sur la formation. Il aura un droit de regard sur le scouting (la détection de joueurs), une mission à laquelle il intégrera deux de ses collaborateurs.
Campos penche pour un départ d’Antonetti
Dans les prochaines semaines, avant le closing, Gérard Lopez, qui devrait se désengager de son équipe luxembourgeoise (le Club Sportif Fola Esch), étudiera avec précision les comptes du Losc. Et notamment les questions de l’actionnariat actuel, comme par exemple le cas de Marc Coucke, qui a quitté le conseil d’administration mais qui détient encore des parts dans le club.
Concernant le poste d’entraîneur, Gérard Lopez a discuté ces derniers jours avec Frédéric Antonetti. Un échange très cordial au cours duquel l’homme d’affaires de 44 ans a assuré l’actuel coach de Lille de sa confiance. Mais le technicien corse pourrait ne pas rester longtemps dans le Nord. Luis Campos penche pour son éviction dès l’arrivée du nouvel actionnaire. Pour deux raisons : le dirigeant portugais veut créer un choc psychologique au sein d’une équipe qui occupe la 16e place de Ligue 1 et surtout placer un homme de confiance sur le banc.
Du mouvement dès le mercato d’hiver
Luis Campos travaille d’ores et déjà sur le mercato d’hiver, comme il l’avait fait à l’OM. Il a contacté plusieurs agents afin de connaître la situation contractuelle de certains joueurs, qui pourraient être intéressés par un départ en janvier. Même si les investissements de Lopez seront plus conséquents l’été prochain, le nouveau Losc entend bien se montrer actif dès cet hiver sur le marché des transferts.
http://rmcsport.bfmtv.com/football/losc ... 53003.html
27/10/2016 à 22h56
![Image](http://img.bfmtv.com/c/1256/708/dcc/bead503b98f3ca5df6252113de77d.jpeg)
Losc: Gérard Lopez prépare son organigramme, Frédéric Antonetti en danger
Gérard Lopez devrait devenir le nouveau propriétaire de Lille d’ici la fin de l’année. L’homme d’affaires luxembourgeois va s’entourer d’un ancien dirigeant du Barça et de Luis Campos. Frédéric Antonetti pourrait en faire les frais sur le banc. En attendant des premières recrues lors du mercato d’hiver.
Gérard Lopez va enfin devenir le propriétaire d’un club de Ligue 1 ! Après s’être cassé les dents sur l’Olympique de Marseille, l’homme d’affaires luxembourgeois devrait, sauf retournement de situation, devenir le prochain propriétaire du Losc. Le closing avec Michel Seydoux, l’actuel patron du club nordiste, devrait avoir lieu entre début et mi-décembre, avec la volonté de passer devant la DNCG dans le courant de ce mois. L’ancien dirigeant de Lotus s’active déjà pour préparer la reprise. En plus de son costume d’actionnaire, Gérard Lopez devrait également endosser le rôle de président du club. Il nommera son fidèle bras droit Marc Ingla, un ancien dirigeant du FC Barcelone, comme président délégué et directeur général. Ingla s’occupera de toute l’organisation du club en dehors du domaine sportif.
Luis Campos, qui était en discussion avec l’OM, devrait finalement lui aussi rejoindre le Losc. Mais il ne sera pas l’un de ses salariés. Le Portugais deviendra conseiller spécial de Gérard Lopez et sera en charge de toute la partie sportive. Joint par RMC Sport, un proche de Campos confie : « Le feeling est très bien passé entre Luis et Gérard Lopez. Ils sont vraiment très proches et se parlent quotidiennement. Luis est très pressé de démarrer officiellement. » Campos a eu la garantie qu’il allait avoir les pleins pouvoirs sportifs, y compris sur la formation. Il aura un droit de regard sur le scouting (la détection de joueurs), une mission à laquelle il intégrera deux de ses collaborateurs.
Campos penche pour un départ d’Antonetti
Dans les prochaines semaines, avant le closing, Gérard Lopez, qui devrait se désengager de son équipe luxembourgeoise (le Club Sportif Fola Esch), étudiera avec précision les comptes du Losc. Et notamment les questions de l’actionnariat actuel, comme par exemple le cas de Marc Coucke, qui a quitté le conseil d’administration mais qui détient encore des parts dans le club.
Concernant le poste d’entraîneur, Gérard Lopez a discuté ces derniers jours avec Frédéric Antonetti. Un échange très cordial au cours duquel l’homme d’affaires de 44 ans a assuré l’actuel coach de Lille de sa confiance. Mais le technicien corse pourrait ne pas rester longtemps dans le Nord. Luis Campos penche pour son éviction dès l’arrivée du nouvel actionnaire. Pour deux raisons : le dirigeant portugais veut créer un choc psychologique au sein d’une équipe qui occupe la 16e place de Ligue 1 et surtout placer un homme de confiance sur le banc.
Du mouvement dès le mercato d’hiver
Luis Campos travaille d’ores et déjà sur le mercato d’hiver, comme il l’avait fait à l’OM. Il a contacté plusieurs agents afin de connaître la situation contractuelle de certains joueurs, qui pourraient être intéressés par un départ en janvier. Même si les investissements de Lopez seront plus conséquents l’été prochain, le nouveau Losc entend bien se montrer actif dès cet hiver sur le marché des transferts.
http://rmcsport.bfmtv.com/football/losc ... 53003.html
https://twitter.com/mohamedbouhafsi/status/791745939295834122
solid-snake a écrit :Source of the post Un échange très cordial au cours duquel l’homme d’affaires de 44 ans a assuré l’actuel coach de Lille de sa confiance.
Fredo est en train de préparer ses bagages...
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
daddycool a écrit :Source of the post Tant mieux pour lui. Joli cadeau fait par Michou : 4 ans de contrat à payer.
c'était dans le deal...
Le Graët : «Pas envie que la moitié de la Ligue 1 passe sous pavillon chinois, américain ou russe»
Par Martin Couturié et Baptiste Desprez
Mis à jour le 28/10/2016 à 10h45 – Publié le 27/10/2016 à 16h45
![Image](http://i.f1g.fr/media/ext/1152x648_crop/sport24.lefigaro.fr/var/plain_site/storage/images/football/ligue-1/actualites/le-graet-pas-envie-que-la-moitie-de-la-ligue-1-passe-sous-pavillon-chinois-americain-ou-russe-830345/22178166-2-fre-FR/Le-Graet-Pas-envie-que-la-moitie-de-la-Ligue-1-passe-sous-pavillon-chinois-americain-ou-russe.jpg)
Le président de la Fédération française de football livre un avis tranché sur la situation des clubs français et l’arrivée d’investisseurs étrangers dans le championnat.
Le Figaro. L’évolution du football vous plaît-elle?
Noël Le Graët. Pas toute l’évolution. Il y a des choses que l’on subit. Personnellement, je ne suis pas favorable à ce que nos clubs français soient achetés à 100 % par des investisseurs étrangers. Je trouverais catastrophique si demain tout le monde se bat pour trouver un investisseur qui n’apporte pas toutes les garanties nécessaires pour assurer la pérennité d’un club. Dans le sport français, les collectivités paient beaucoup de choses.
Le Qatar à Paris, un investisseur américain à l’OM, est-ce un phénomène qui vous inquiète?
Si ce sont des bons repreneurs… Il ne faut pas que les clubs se vendent à n’importe qui. Je pense que l’on peut intéresser davantage de sociétés françaises ou européennes.
Le foot français est-il assez attractif ?
Oui. La santé de nos clubs est soi-disant fragile. Mais au final, aucun n’est très endetté. Ce sont souvent des patrons de PME qui veulent vendre leur club, car ils sont un peu fatigués. Mais je n’ai pas envie que demain, la moitié des clubs de L1 soient sous pavillon chinois, américain ou russe.
Je pense que Marseille aurait pu intéresser des entreprises françaises
Que pouvez-vous faire pour ne pas aller dans ce sens ?
Il faudrait une loi. J’ai essayé d’en discuter. Mais on n’est pas prêt…
Quel type de loi ?
Comme le système allemand. C’est-à-dire qu’aucun club français ne pourrait être repris en totalité par un investisseur étranger. Je milite pour ça. C’est ce que j’aimerais. Après, entre le rêve et la réalité (il soupire)…
Quel regard portez-vous sur l’arrivée de Frank McCourt à l’OM ?
Je n’ai pas à juger. C’est peut-être très bien, mais je pense que Marseille aurait pu intéresser des entreprises françaises. C’est une ville de foot, un très beau club, un environnement passionnel. Il y a deux, trois grosses entreprises françaises dans le foot, il devrait y en avoir d’autres. Il y a des gens qui font ça sérieusement. Le groupe Pinault à Rennes par exemple. Il y a d’autres Pinault en France qui pourrait être propriétaires de clubs.
Si on se plaint tout le temps, il n’y a pas grand monde qui achète le produit
Comment expliquez-vous ce phénomène ?
On communique peut-être trop souvent négativement. Il y a trop de charges, de soucis de fiscalité, etc. C’est comme la France. Vous suivez l’actualité comme moi, on critique tout ce qu’on fait. On n’est jamais heureux nulle part. Le football donne aussi cette image. C’est tellement mieux ailleurs… Je ne suis pas d’accord. C’est tellement bien ici.
Les investisseurs français ont-ils peur ?
On n’en fait sans doute pas assez. À la fédération, on a trouvé des entreprises qui sont fières de travailler avec nous, d’être associés aux Bleus. Il faut mieux communiquer.
Est-ce plus un travail pour la Ligue ?
Pour la LFP, pour la FFF, pour l’ensemble du monde du football. J’ai toujours dit à la Ligue d’arrêter de se plaindre. Si on se plaint tout le temps, il n’y a pas grand monde qui achète le produit.
Quel est l’exemple à suivre ?
(Catégorique) Lyon. Le chef d’entreprise qu’est Jean-Michel Aulas a réussi. Il fait peut-être un peu trop de tweets de temps en temps (sourire). Il a réussi en étant associé à une autre belle entreprise (les Chinois d’IDG Capital Partners, NDLR) qu’il va faire entrer à hauteur de 20 % dans son capital, il a construit son stade. C’est l’exemple du Bayern qu’il est en train de faire. Il faut du temps, mais c’est brillant. Je reste persuadé qu’en Province, et même à Paris, la clientèle s’étale sur un rayon de 50 km. Partout, il y a des superbes entreprises françaises. Et ce sont celles-là qui devraient être propriétaires des clubs. Pas d’autres. Il y a un mouvement à créer. C’est compliqué, mais pas impossible.
http://sport24.lefigaro.fr/football/lig ... sse-830345
Par Martin Couturié et Baptiste Desprez
Mis à jour le 28/10/2016 à 10h45 – Publié le 27/10/2016 à 16h45
![Image](http://i.f1g.fr/media/ext/1152x648_crop/sport24.lefigaro.fr/var/plain_site/storage/images/football/ligue-1/actualites/le-graet-pas-envie-que-la-moitie-de-la-ligue-1-passe-sous-pavillon-chinois-americain-ou-russe-830345/22178166-2-fre-FR/Le-Graet-Pas-envie-que-la-moitie-de-la-Ligue-1-passe-sous-pavillon-chinois-americain-ou-russe.jpg)
Le président de la Fédération française de football livre un avis tranché sur la situation des clubs français et l’arrivée d’investisseurs étrangers dans le championnat.
Dans son bureau de la FFF avec vue imprenable sur la tour Eiffel, Noël Le Graët reçoit Le Figaro. Situation financière, compétitivité et vente de certains clubs, le président de la fédération livre un avis tranché sur l’arrivée d’investisseurs étrangers dans le championnat.
Le Figaro. L’évolution du football vous plaît-elle?
Noël Le Graët. Pas toute l’évolution. Il y a des choses que l’on subit. Personnellement, je ne suis pas favorable à ce que nos clubs français soient achetés à 100 % par des investisseurs étrangers. Je trouverais catastrophique si demain tout le monde se bat pour trouver un investisseur qui n’apporte pas toutes les garanties nécessaires pour assurer la pérennité d’un club. Dans le sport français, les collectivités paient beaucoup de choses.
Le Qatar à Paris, un investisseur américain à l’OM, est-ce un phénomène qui vous inquiète?
Si ce sont des bons repreneurs… Il ne faut pas que les clubs se vendent à n’importe qui. Je pense que l’on peut intéresser davantage de sociétés françaises ou européennes.
Le foot français est-il assez attractif ?
Oui. La santé de nos clubs est soi-disant fragile. Mais au final, aucun n’est très endetté. Ce sont souvent des patrons de PME qui veulent vendre leur club, car ils sont un peu fatigués. Mais je n’ai pas envie que demain, la moitié des clubs de L1 soient sous pavillon chinois, américain ou russe.
Je pense que Marseille aurait pu intéresser des entreprises françaises
Que pouvez-vous faire pour ne pas aller dans ce sens ?
Il faudrait une loi. J’ai essayé d’en discuter. Mais on n’est pas prêt…
Quel type de loi ?
Comme le système allemand. C’est-à-dire qu’aucun club français ne pourrait être repris en totalité par un investisseur étranger. Je milite pour ça. C’est ce que j’aimerais. Après, entre le rêve et la réalité (il soupire)…
Quel regard portez-vous sur l’arrivée de Frank McCourt à l’OM ?
Je n’ai pas à juger. C’est peut-être très bien, mais je pense que Marseille aurait pu intéresser des entreprises françaises. C’est une ville de foot, un très beau club, un environnement passionnel. Il y a deux, trois grosses entreprises françaises dans le foot, il devrait y en avoir d’autres. Il y a des gens qui font ça sérieusement. Le groupe Pinault à Rennes par exemple. Il y a d’autres Pinault en France qui pourrait être propriétaires de clubs.
Si on se plaint tout le temps, il n’y a pas grand monde qui achète le produit
Comment expliquez-vous ce phénomène ?
On communique peut-être trop souvent négativement. Il y a trop de charges, de soucis de fiscalité, etc. C’est comme la France. Vous suivez l’actualité comme moi, on critique tout ce qu’on fait. On n’est jamais heureux nulle part. Le football donne aussi cette image. C’est tellement mieux ailleurs… Je ne suis pas d’accord. C’est tellement bien ici.
Les investisseurs français ont-ils peur ?
On n’en fait sans doute pas assez. À la fédération, on a trouvé des entreprises qui sont fières de travailler avec nous, d’être associés aux Bleus. Il faut mieux communiquer.
Est-ce plus un travail pour la Ligue ?
Pour la LFP, pour la FFF, pour l’ensemble du monde du football. J’ai toujours dit à la Ligue d’arrêter de se plaindre. Si on se plaint tout le temps, il n’y a pas grand monde qui achète le produit.
Quel est l’exemple à suivre ?
(Catégorique) Lyon. Le chef d’entreprise qu’est Jean-Michel Aulas a réussi. Il fait peut-être un peu trop de tweets de temps en temps (sourire). Il a réussi en étant associé à une autre belle entreprise (les Chinois d’IDG Capital Partners, NDLR) qu’il va faire entrer à hauteur de 20 % dans son capital, il a construit son stade. C’est l’exemple du Bayern qu’il est en train de faire. Il faut du temps, mais c’est brillant. Je reste persuadé qu’en Province, et même à Paris, la clientèle s’étale sur un rayon de 50 km. Partout, il y a des superbes entreprises françaises. Et ce sont celles-là qui devraient être propriétaires des clubs. Pas d’autres. Il y a un mouvement à créer. C’est compliqué, mais pas impossible.
http://sport24.lefigaro.fr/football/lig ... sse-830345
Jooo a écrit :Source of the postdaddycool a écrit :Source of the post Tant mieux pour lui. Joli cadeau fait par Michou : 4 ans de contrat à payer.
c'était dans le deal...
Aaaah OK.
Tain 4 ans de salaire offerts (je prendrais bien la même chose).
Il a vraiment du fric a jeter par les fenêtres Gégé.
08/08/2023 - O. Létang : « Si on avait voulu recruter Keito Nakamura, on l’aurait déjà fait. »
Calamar a écrit :Source of the post ça marche comme ça dans toutes les boites, tu peux sous-traiter à un prestataire externe n'importe quelle tâche, tant que tu peux contrôler la qualité de son travail
c'est même plus souple
J'ai été pendant 14 ans Directeur du marketing et de la communication d'une entreprise française filiale d'un gros groupe allemand.
Sans jamais être salarié.
Indépendant, à temps partiel (20h par semaine comme même). Avec cartes de visite officielles et tout le tintouin.
Et j'ai pu garder mes autres clients en même temps.
Dur à gérer, mais passionnant.
Chacun son métier, les vaches seront bien gardées - (Le Vacher et le Garde-chasse) - Jean Pierre Claris de Florian (1755-1794)
Bérurier a écrit :Source of the post Hey Daddy, on devrait se refaire un bon resto un de ces 4.
Entièrement d'accord. C'était top chez Florent Ladeyne.
Chacun son métier, les vaches seront bien gardées - (Le Vacher et le Garde-chasse) - Jean Pierre Claris de Florian (1755-1794)
SamT a écrit :Source of the post +1
Fred, Lecot, Ursulet? et d'autres si parler de choses sérieuses les intéressent (le Losc, quoâ)
Chacun son métier, les vaches seront bien gardées - (Le Vacher et le Garde-chasse) - Jean Pierre Claris de Florian (1755-1794)