PO a écrit :Source of the post Dans ces boîtes-là, 9:00-21:00 n'a rien d'exceptionnel chez les cadres sup', pas plus d'ailleurs que de venir assez régulièrement le samedi matin, voire l'APM.
Totalement ridicule, juste une attitude de parfait petit fayot.
Dépasser un certain nombre d'heures par jour, dans un boulot qui demande à réfléchir, est une totale perte de temps. Le rendement tend vers zéro, et peut même être négatif.
Si on veut prendre la mauvaise décision, rien de tel que de la prendre à 20h10 après 10 heures de boulot acharné.
eljano a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Dans ces boîtes-là, 9:00-21:00 n'a rien d'exceptionnel chez les cadres sup', pas plus d'ailleurs que de venir assez régulièrement le samedi matin, voire l'APM.
Totalement ridicule, juste une attitude de parfait petit fayot.
Dépasser un certain nombre d'heures par jour, dans un boulot qui demande à réfléchir, est une totale perte de temps. Le rendement tend vers zéro, et peut même être négatif.
Si on veut prendre la mauvaise décision, rien de tel que de la prendre à 20h10 après 10 heures de boulot acharné.
Une fois n'est pas coutume, +1.
“Les économistes sont présentement au volant de notre société, alors qu’ils devraient être sur la banquette arrière.”
Je pense que tu connais assez mal ces métiers de la grande distribution.
J'en ai vu des dizaines, des centaines, qui avaient véritablement besoin de ce volume horaire pour réaliser tout ce qu'on leur demandait. C'est très fréquent dans les métiers des achats, de la gestion d'appro, dans le développement produits.
Une bonne partie de ta matinée jusque début d'après-midi est occupée par le relationnel avec tes fournisseurs, qui sont majoritairement entre h+5 et h+7, donc qui ont déjà bien entamé leur journée quand tu la commences. L'après-midi tu bosses sur d'autres dossiers pour que justement tes fournisseurs les aient quand eux arrivent au bureau à J+1.
Ce sont des univers "culturellement" de buveurs de sueur, où dès le départ on t'explique que tu voyageras le WE uniquement histoire d'être à pied d'œuvre le lundi en Asie.
Je ne crois pas du tout que ça soit du "fayotage". C'est juste que le taf est comme ça. Et comme quasiment tout le monde est sur ce tempo, tout le monde finit par trouver ça normal. Certains s'y adaptent, d'autres pas. Mais ça existe, et ça représente des centaines de milliers d'emplois.
J'en ai vu des dizaines, des centaines, qui avaient véritablement besoin de ce volume horaire pour réaliser tout ce qu'on leur demandait. C'est très fréquent dans les métiers des achats, de la gestion d'appro, dans le développement produits.
Une bonne partie de ta matinée jusque début d'après-midi est occupée par le relationnel avec tes fournisseurs, qui sont majoritairement entre h+5 et h+7, donc qui ont déjà bien entamé leur journée quand tu la commences. L'après-midi tu bosses sur d'autres dossiers pour que justement tes fournisseurs les aient quand eux arrivent au bureau à J+1.
Ce sont des univers "culturellement" de buveurs de sueur, où dès le départ on t'explique que tu voyageras le WE uniquement histoire d'être à pied d'œuvre le lundi en Asie.
Je ne crois pas du tout que ça soit du "fayotage". C'est juste que le taf est comme ça. Et comme quasiment tout le monde est sur ce tempo, tout le monde finit par trouver ça normal. Certains s'y adaptent, d'autres pas. Mais ça existe, et ça représente des centaines de milliers d'emplois.
Woody a écrit :Source of the posteljano a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Dans ces boîtes-là, 9:00-21:00 n'a rien d'exceptionnel chez les cadres sup', pas plus d'ailleurs que de venir assez régulièrement le samedi matin, voire l'APM.
Totalement ridicule, juste une attitude de parfait petit fayot.
Dépasser un certain nombre d'heures par jour, dans un boulot qui demande à réfléchir, est une totale perte de temps. Le rendement tend vers zéro, et peut même être négatif.
Si on veut prendre la mauvaise décision, rien de tel que de la prendre à 20h10 après 10 heures de boulot acharné.
Une fois n'est pas coutume, +1.
+ 1
Malébolgia a écrit :Source of the post Même des milliards!
Sinon demain je vois bien Amadou/Sankharé/Amalfitano au milieu de terrain.
ca "piqueauxyeux"
La vie est belle!
PO a écrit :Source of the post Je pense que tu connais assez mal ces métiers de la grande distribution.
J'en ai vu des dizaines, des centaines, qui avaient véritablement besoin de ce volume horaire pour réaliser tout ce qu'on leur demandait. C'est très fréquent dans les métiers des achats, de la gestion d'appro, dans le développement produits.
Une bonne partie de ta matinée jusque début d'après-midi est occupée par le relationnel avec tes fournisseurs, qui sont majoritairement entre h+5 et h+7, donc qui ont déjà bien entamé leur journée quand tu la commences. L'après-midi tu bosses sur d'autres dossiers pour que justement tes fournisseurs les aient quand eux arrivent au bureau à J+1.
Ce sont des univers "culturellement" de buveurs de sueur, où dès le départ on t'explique que tu voyageras le WE uniquement histoire d'être à pied d'œuvre le lundi en Asie.
Je ne crois pas du tout que ça soit du "fayotage". C'est juste que le taf est comme ça. Et comme quasiment tout le monde est sur ce tempo, tout le monde finit par trouver ça normal. Certains s'y adaptent, d'autres pas. Mais ça existe, et ça représente des centaines de milliers d'emplois.
Non mais je parlais de boulots où il fallait réfléchir.
Sinon, bizarre qu'un gars qui fait du développement produits s'occupent des fournisseurs.
Modifié en dernier par eljano le lun. 28 nov. 2016 14:23, modifié 1 fois.
PO a écrit :Quant à la comparaison avec les Allemands, ils ne sont pas devenus l'une des premières puissances industrielles mondiales en bossant 35 heures par semaine. Certes,
ils partent bien plus tôt que les Français ou les ricains (Et encore nous sommes des petits joueurs par rapports aux Chinois, ou pire aux Japonais), mais ils arrivent très tôt, et déjeunent frugalement le midi sur place.
J'ai déjà eu l'occasion d'en discuter avec une boîte allemande que le groupe pour lequel je travaillais à l'époque avait rachetée, et les cadres te disaient en "off" qu'effectivement, il était mal vu de dépasser les horaires contractuels, car c'était une marque de manque d'efficacité, mais que quand ils avaient du taf, ils l'emmenaient chez eux discrètement. Il n'y a pas de miracle, juste des différences de pratique professionnelle.
Je pense que si les Allemands commencent à bosser plus tôt le matin, c'est aussi parce que tout simplement le jour se lève plus tôt à l'est.
Sinon, c'est vrai qu'il est mal vu de terminer tard en Allemagne : ça montre que tu es incapable de t'organiser dans ton travail. La sacro-sainte organisation à l'allemande.
Qui mange du feu chie des étincelles.
(proverbe flamand)
(proverbe flamand)
PO a écrit :Source of the post ils partent bien plus tôt que les Français ou les ricains
Les ricains partent très tôt.
lucdelil a écrit :Source of the postMalébolgia a écrit :Source of the post Même des milliards!
Sinon demain je vois bien Amadou/Sankharé/Amalfitano au milieu de terrain.
ca "piqueauxyeux"
je pense plutôt que PC reconduira l'équipe de Nantes, en tous cas ce serait logique.
« Je connaissais Marie, Jean, Paul, Jean-Marie, Jean-Paul, et même Marie-Paule, mais Marijampole, connais pas. »
lucdelil a écrit :Malébolgia a écrit :Source of the post Même des milliards!
Sinon demain je vois bien Amadou/Sankharé/Amalfitano au milieu de terrain.
ca "piqueauxyeux"
Pouvez mettre qui vous voulez de l'effectif actuel, c'est du pareil au même.
lenormal a écrit :Source of the post Caen : sans Vercoutre, ni Yahia
Zut dommage... Décidemment on a pas de bol...
Nicolas De Preville : «Je ne regrette pas mon choix»
Le 28/11/2016 à 16:09:00 | Mis à jour le 28/11/2016 à 16:15:15
Nicolas De Preville, titulaire samedi à Nantes avec (0-0), espère enchaîner dès mardi contre Caen pour retrouver rythme et confiance.
Nicolas De Preville a joué contre Nantes. (N. Luttiau/L'Equipe)
«Avez-vous retrouvé le sourire dans les vestiaires?
Ça respire un peu mieux après un résultat positif.
Mais ce n'est qu'un match nul à Nantes (0-0)...
C'est peut-être le déclenchement d'une autre spirale. C'est un point sans prendre de but, alors on le prend. Maintenant, essayons de démarrer une dynamique positive.
Qu'est-ce qui aurait changé?
On ne peut pas dire que quelque chose a changé mais c'est un bon départ. Il n'y a plus qu'à. A Nantes (0-0, samedi), il nous a manqué du mieux dans le contenu et l'animation offensive. On aurait dû se créer plus d'occasions, mais défensivement, en revanche, on n'en a concédé aucune. Il faut progresser petit à petit.
«On a les qualités pour l'emporter»
Mais vous êtes dans l'urgence?
On y est depuis un moment. L'idée est de bonifier ce point en en prenant trois contre Caen. On est obligés de gagner tous les week-ends. Je crois qu'on a les qualités pour l'emporter.
Sauf que vous ne marquez pas...
Cela s'explique aussi par le manque de réussite. Il y a des choses à améliorer, c'est sûr. Mais on a aussi touché six fois les montants cette saison. Et si ces buts étaient rentrés, on ferait un autre bilan actuellement.
Le climat environnant est-il pesant?
Forcément, cela a une petite incidence. Surtout l'incertitude. On ne sait pas quand ni qui va venir (comme entraîneur). La seule chose que l'on sait, c'est qu'il nous faut être bons sur le terrain.
«Je n'ai aucun regret. Rien du tout. Si c'était à refaire, je ferais le même choix»
Dans cette situation, avez-vous des regrets d'avoir opté pour le LOSC?
Je n'ai aucun regret. Rien du tout. Si c'était à refaire, je ferais le même choix. Quand l'opportunité s'est présentée, j'ai de suite fait ce choix de venir ici.
Avez-vous digéré le montage juridique et financier de votre transfert avec Ostende (D1 belge)?
Psychologiquement, oui. Physiquement, c'est plus dur. J'ai connu une préparation tronquée. Je me suis reblessé deux fois aux ischio-jambiers, dont une rechute. Depuis fin avril, je n'avais pas enchaîné deux titularisations de suite. Il va me falloir encore un peu de temps de jeu pour pouvoir reprendre confiance et être plus déterminant pendant les matches.
Frédéric Antonetti nous expliquait qu'il vous avait sollicité pour votre jeu en profondeur et qu'il fallait, peut-être, y voir un lien de cause à effet concernant vos blessures.
Je ne pense pas que ce soit la raison. Je me blesse au moment où je me sentais bien. Dommage pour moi et l'équipe.
Les moments que vous vivez sont-ils les plus durs de votre carrière?
Non. A Reims, j'ai joué quatre ans le maintien. C'est compliqué quand on perd presque tous les week-ends. Les supporters s'impatientent. Maintenant, on s'est toujours réfugié dans le travail. En général, ça paye.»
Joël Domenighetti, à Camphin-en-Pévèle
http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... oix/754263
Le 28/11/2016 à 16:09:00 | Mis à jour le 28/11/2016 à 16:15:15
Nicolas De Preville, titulaire samedi à Nantes avec (0-0), espère enchaîner dès mardi contre Caen pour retrouver rythme et confiance.
Nicolas De Preville a joué contre Nantes. (N. Luttiau/L'Equipe)
Lille aborde la réception de Caen, ce mardi, sans Mavuba (cuisse gauche), Bauthéac (convalescence) ni Mothiba. Avec Sankharé, qui a purgé sa suspension, les Dogues espèrent marquer au moins une fois, ce qu'ils n'ont plus fait depuis quatre rencontres de L1. Cela explique, notamment, leur 19e place au classement de L1. Nicolas De Préville, transfuge de Reims (L2) cet été, via Ostende, qui l'a prêté dans le Nord avec option d'achat automatique, aimerait lui aussi être à la finition des actions, alors qu'il revient peu à peu dans l'équipe après deux blessures aux ischio-jambiers.
«Avez-vous retrouvé le sourire dans les vestiaires?
Ça respire un peu mieux après un résultat positif.
Mais ce n'est qu'un match nul à Nantes (0-0)...
C'est peut-être le déclenchement d'une autre spirale. C'est un point sans prendre de but, alors on le prend. Maintenant, essayons de démarrer une dynamique positive.
Qu'est-ce qui aurait changé?
On ne peut pas dire que quelque chose a changé mais c'est un bon départ. Il n'y a plus qu'à. A Nantes (0-0, samedi), il nous a manqué du mieux dans le contenu et l'animation offensive. On aurait dû se créer plus d'occasions, mais défensivement, en revanche, on n'en a concédé aucune. Il faut progresser petit à petit.
«On a les qualités pour l'emporter»
Mais vous êtes dans l'urgence?
On y est depuis un moment. L'idée est de bonifier ce point en en prenant trois contre Caen. On est obligés de gagner tous les week-ends. Je crois qu'on a les qualités pour l'emporter.
Sauf que vous ne marquez pas...
Cela s'explique aussi par le manque de réussite. Il y a des choses à améliorer, c'est sûr. Mais on a aussi touché six fois les montants cette saison. Et si ces buts étaient rentrés, on ferait un autre bilan actuellement.
Le climat environnant est-il pesant?
Forcément, cela a une petite incidence. Surtout l'incertitude. On ne sait pas quand ni qui va venir (comme entraîneur). La seule chose que l'on sait, c'est qu'il nous faut être bons sur le terrain.
«Je n'ai aucun regret. Rien du tout. Si c'était à refaire, je ferais le même choix»
Dans cette situation, avez-vous des regrets d'avoir opté pour le LOSC?
Je n'ai aucun regret. Rien du tout. Si c'était à refaire, je ferais le même choix. Quand l'opportunité s'est présentée, j'ai de suite fait ce choix de venir ici.
Avez-vous digéré le montage juridique et financier de votre transfert avec Ostende (D1 belge)?
Psychologiquement, oui. Physiquement, c'est plus dur. J'ai connu une préparation tronquée. Je me suis reblessé deux fois aux ischio-jambiers, dont une rechute. Depuis fin avril, je n'avais pas enchaîné deux titularisations de suite. Il va me falloir encore un peu de temps de jeu pour pouvoir reprendre confiance et être plus déterminant pendant les matches.
Frédéric Antonetti nous expliquait qu'il vous avait sollicité pour votre jeu en profondeur et qu'il fallait, peut-être, y voir un lien de cause à effet concernant vos blessures.
Je ne pense pas que ce soit la raison. Je me blesse au moment où je me sentais bien. Dommage pour moi et l'équipe.
Les moments que vous vivez sont-ils les plus durs de votre carrière?
Non. A Reims, j'ai joué quatre ans le maintien. C'est compliqué quand on perd presque tous les week-ends. Les supporters s'impatientent. Maintenant, on s'est toujours réfugié dans le travail. En général, ça paye.»
Joël Domenighetti, à Camphin-en-Pévèle
http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... oix/754263
Conférence de presse Collot :
#Collot "Mavuba, Bautheac, Mothiba et Kouamé ne seront pas dans le groupe demain. Terrier va quant à lui faire un essai cet après-midi"
Collot "Tout le club, tous les gens ici sont derrière moi pour me soutenir, pour soutenir l'équipe"
Collot "J'espère et je suis convaincu que le public sera derrière nous pour nous aider à emballer ce match, à être efficace" LOSC-SCM
Collot "Je suis plein d'enthousiasme, j'ai envie de jouer ce match-là devant nos supporters, gagner pour redonner un élan. Je me languis"
Collot "J'essaye de transmettre mon envie, ma détermination à mes joueurs, pour prendre plus d'initiatives. J'essaye de positiver"
Collot "Yassine Benzia peut évoluer à plusieurs postes. Il a des capacités et une intelligence de jeu pour jouer dans un milieu à 3"
Collot "Je n'ai aucune information sur la durée de mon intérim. Je prépare les matchs l'un après l'autre, à vue"
#Collot "Mavuba, Bautheac, Mothiba et Kouamé ne seront pas dans le groupe demain. Terrier va quant à lui faire un essai cet après-midi"
Collot "Tout le club, tous les gens ici sont derrière moi pour me soutenir, pour soutenir l'équipe"
Collot "J'espère et je suis convaincu que le public sera derrière nous pour nous aider à emballer ce match, à être efficace" LOSC-SCM
Collot "Je suis plein d'enthousiasme, j'ai envie de jouer ce match-là devant nos supporters, gagner pour redonner un élan. Je me languis"
Collot "J'essaye de transmettre mon envie, ma détermination à mes joueurs, pour prendre plus d'initiatives. J'essaye de positiver"
Collot "Yassine Benzia peut évoluer à plusieurs postes. Il a des capacités et une intelligence de jeu pour jouer dans un milieu à 3"
Collot "Je n'ai aucune information sur la durée de mon intérim. Je prépare les matchs l'un après l'autre, à vue"
Pour la rencontre LOSC-Stade Malherbe Caen de ce mardi (19h), Patrick Collot a retenu un groupe de 19 joueurs.
Gardiens : Vincent Enyeama, Mike Maignan
Défenseurs : Sébastien Corchia, Franck Béria, Julian Palmieri, Renato Civelli, Marko Basa, Adama Soumaoro, Stoppila Sunzu
Milieux de terrain : Younousse Sankharé, Mounir Obbadi, Ibrahim Amadou, Morgan Amalfitano, Naïm Sliti, Rony Lopes
Attaquants : Eder, Yassine Benzia, Nicolas De Préville, Ryan Mendes
Soins : Rio Mavuba, Eric Bauthéac, Yves Bissouma, Martin Terrier, Lebo Mothiba, Rominigue Kouamé
Reprise : Junior Tallo
Site officiel.
Gardiens : Vincent Enyeama, Mike Maignan
Défenseurs : Sébastien Corchia, Franck Béria, Julian Palmieri, Renato Civelli, Marko Basa, Adama Soumaoro, Stoppila Sunzu
Milieux de terrain : Younousse Sankharé, Mounir Obbadi, Ibrahim Amadou, Morgan Amalfitano, Naïm Sliti, Rony Lopes
Attaquants : Eder, Yassine Benzia, Nicolas De Préville, Ryan Mendes
Soins : Rio Mavuba, Eric Bauthéac, Yves Bissouma, Martin Terrier, Lebo Mothiba, Rominigue Kouamé
Reprise : Junior Tallo
Site officiel.
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
solid-snake a écrit :Source of the post Collot "Je suis plein d'enthousiasme, j'ai envie de jouer ce match-là devant nos supporters, gagner pour redonner un élan. Je me languis"
Défnition du mot Languir
Littéraire. S'ennuyer, se morfondre, souffrir de quelque chose et en dépérir.
Bienvenue au GSPM
La vie est belle!
eljano a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Je pense que tu connais assez mal ces métiers de la grande distribution.
J'en ai vu des dizaines, des centaines, qui avaient véritablement besoin de ce volume horaire pour réaliser tout ce qu'on leur demandait. C'est très fréquent dans les métiers des achats, de la gestion d'appro, dans le développement produits.
Une bonne partie de ta matinée jusque début d'après-midi est occupée par le relationnel avec tes fournisseurs, qui sont majoritairement entre h+5 et h+7, donc qui ont déjà bien entamé leur journée quand tu la commences. L'après-midi tu bosses sur d'autres dossiers pour que justement tes fournisseurs les aient quand eux arrivent au bureau à J+1.
Ce sont des univers "culturellement" de buveurs de sueur, où dès le départ on t'explique que tu voyageras le WE uniquement histoire d'être à pied d'œuvre le lundi en Asie.
Je ne crois pas du tout que ça soit du "fayotage". C'est juste que le taf est comme ça. Et comme quasiment tout le monde est sur ce tempo, tout le monde finit par trouver ça normal. Certains s'y adaptent, d'autres pas. Mais ça existe, et ça représente des centaines de milliers d'emplois.
Non mais je parlais de boulots où il fallait réfléchir.
Sinon, bizarre qu'un gars qui fait du développement produits s'occupent des fournisseurs.
Si tu trouves ça bizarre, c'est qu'on ne doit pas donner le même sens à ce mot, ou bien que tu ne sais réellement pas comment fonctionne une centrale d'achats de biens de consommation. Le développement produits, c'est l'interface technique entre les stylistes/designers qui conçoivent et les acheteurs qui achètent.
Entre les 2, il faut tout un staff de techniciens, experts dans leur domaine, qui sont capables de piloter à distance et sur place le développement de nouveaux produits auprès d'usines locales. Donc, le relationnel fournisseurs est omniprésent. C'est l'essence même de ce job.
Dans une centrale d'achats dont l'enjeu est de plusieurs milliards d'€, il arrive qu'on réfléchisse un peu. Mais juste un peu...
Modifié en dernier par PO le lun. 28 nov. 2016 17:48, modifié 1 fois.
lucdelil a écrit :Source of the postsolid-snake a écrit :Source of the post Collot "Je suis plein d'enthousiasme, j'ai envie de jouer ce match-là devant nos supporters, gagner pour redonner un élan. Je me languis"
Défnition du mot Languir
Littéraire. S'ennuyer, se morfondre, souffrir de quelque chose et en dépérir.
Bienvenue au GSPM
Il me semble que dans le midi, se languir c'est être en manque de qqch ou de qqn, attendre qqch.
Par exemple" je me languis de voir la prochaine victoire du Losc."
Ou bien: je me languis de revoir un jour l'OM être une grande équipe.
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
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