Lucky a écrit :Source of the postPauloFonseca a écrit :Source of the post On a Le mobile du crime ?
Oui peut-être!
Cette fois, c'est d'un professeur de français dont il est question et celui-ci pourrait être une victime collatérale. Selon les premiers éléments communiqués dans la presse au sujet de l'attaque au couteau d'Arras, il aurait tenté de s'interposer alors que l'agresseur, un jeune d'origine Tchétchène radicalisé, visait plusieurs autres personnes et semblait chercher un prof d'histoire selon un témoin présent sur place. On compte deux autres victimes blessées dans cet assaut, dont un agent technique et un professeur d'EPS. L'un d'eux est en urgence absolue. Ils ont été transférés à l'hôpital d'Arras.
Des points communs déstabilisants
D'autres points communs relient ce drame avec l'assassinat de Samuel Paty il y a trois ans. L'auteur des coups de couteau est un ancien élève, comme Abdoullakh Anzorov qui avait décapité Samuel Paty. Comme lui, l'auteur présumé de l'attaque à Arras était armé d'un couteau. Comme lui, il était né en Russie, d'origine tchétchène.
Cette fois en revanche, l'auteur de l'attaque serait fiché S pour radicalisation et surveillé depuis plusieurs mois par la DGSI, contrairement à Abdoullakh Anzorov qui n'était pas fiché, bien que connu des services de police pour des faits de droit commun. Autre différence notable : si Abdoullakh Anzorov avait été tué à la suite de l'attaque, emportant avec lui ses derniers secrets, ce n'est pas le cas de l'assaillant d'Arras, qui pourra peut être livrer des détails sur sa psychologie et son passage à l'acte. Et être un jour au centre d'un procès, pour l'histoire et pour les familles des victimes.
Un cinglé.