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Hors ligneMessageMarcoVanBasten » mar. 24 janv. 2017 16:11

hélène29 a écrit :
hélène29 a écrit :Source of the post Mediapart vient de ressortir un article ...

https://www.mediapart.fr/


Qq'un d'abonné aurait moyen de faire un screenshot de l'article ?

Thx
"En tout cas, on te l'souhaite."

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Hors ligneMessagejames » mar. 24 janv. 2017 16:16

mediapart qui assure avoir la preuve que lopez cherchait des investisseurs pour venir avec lui sur le losc alors qu'il avait dit ne pas en avoir besoin et que le rachat n'est pas encore enteriné.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.

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Hors ligneMessageCRICRI » mar. 24 janv. 2017 16:20

james a écrit :Source of the post mediapart qui assure avoir la preuve que lopez cherchait des investisseurs pour venir avec lui sur le losc alors qu'il avait dit ne pas en avoir besoin et que le rachat n'est pas encore enteriné.


IL cherche des investisseurs pas pour le losc directement mais pour créer une académie foot en chine

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Hors ligneMessageCRICRI » mar. 24 janv. 2017 16:26


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Hors ligneMessagehélène29 » mar. 24 janv. 2017 16:33


Il nous em ----rde avec leur truc .... tous cela n'est pas un frein au projet !

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Hors ligneMessagenicolas » mar. 24 janv. 2017 16:33

Y avait pas une rumeur qui disait à un moment qu'il y avait un investisseur qui viendrait avec Lopes a hauteur de 50 millions jsutement ?

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Hors ligneMessageCRICRI » mar. 24 janv. 2017 16:40

F

Je trouve que l'article met en valeur le projet
- valorisation des jeunes
- académie en chine avec recherche investisseurs chinous
- confirmation que bielsa est associé au projet
- étude pour un rachat éventuel du stade
- projet immobilier sur le sport à Luchin
Donc gris gros projet

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Hors ligneMessagedidj » mar. 24 janv. 2017 16:41

hélène29 a écrit :Source of the post
hélène29 a écrit :Source of the post Mediapart vient de ressortir un article ...

https://www.mediapart.fr/


Mon dieu !!!! mediapart vient de découvrir le lobying :-)

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Hors ligneMessageBaratte » mar. 24 janv. 2017 16:43


Sont bien renseignés et c'est super précis ... le LOSC serait le club français ayant vendu le plus depuis 10 ans avec 175 M ... OK , faudra leur dire que Monaco a vendu pour 210 M en 2013 - 2014 et 2014 / 2015 .

pc
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Hors ligneMessagepc » mar. 24 janv. 2017 16:48

Baratte a écrit :Source of the post

Sont bien renseignés et c'est super précis ... le LOSC serait le club français ayant vendu le plus depuis 10 ans avec 175 M ... OK , faudra leur dire que Monaco a vendu pour 210 M en 2013 - 2014 et 2014 / 2015 .


Heu... ce ne sont pas les sommes citées (306 M).
Par ailleurs, il est question de meilleure balance vente-achat. (et ce sont les chiffres du document de Lopez).

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Hors ligneMessageCapitaine Hardrock » mar. 24 janv. 2017 17:04

pardoxalement ces documents censés jeter le trouble (dixit france 3 et mediapart) ont plutôt tendance à me rassurer. il y a un vrai projet qui certes est d'utiliser le LOSC et ses infrastructures afin de faire du fric et encore du fric mais si le projet ne fonctionne pas un minimum, ils n'en feront jamais du fric. il y a donc comme une obligation de résultat qui peut nous être profitable. juste la fin de l'article qui inquiete un peu, on risque de se retrouver avec de multiples partenaires qui ont chacun un petit bout du club

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Hors ligneMessageNamtok » mar. 24 janv. 2017 17:11

A la lecture de l'article, j'ai du mal à comprendre ce qu'on reproche à Lopez.

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Hors ligneMessageMrjo » mar. 24 janv. 2017 17:11

Football: de nouveaux documents jettent le trouble sur le rachat du club de Lille
24 JANVIER 2017 PAR YANN PHILIPPIN ET MICHAËL HAJDENBERG
Des documents confidentiels, obtenus par Mediapart, Mediacités et France 3, montrent que des proches de Gérard Lopez, le futur repreneur du club de football de Lille, ont démarché des investisseurs pour entrer au capital du club alors que Lopez avait assuré ne pas en avoir besoin. Le rachat du club n’est, lui, toujours pas bouclé.


Le financier luxembourgeois Gérard Lopez va-t-il enfin racheter le Losc ? De nouveaux documents confidentiels, obtenus par Mediapart, Mediacités et France 3 Nord-Pas-de-Calais, vont à nouveau jeter le trouble sur sa capacité à s’offrir le club de football de Lille. Selon nos informations, le bras droit de Lopez et futur patron du Losc, Marc Ingla, a rédigé un document destiné à séduire des investisseurs dès le 17 octobre 2016, deux jours après l’ouverture des négociations exclusives avec l’actuel propriétaire du club, Michel Seydoux.

Plus étonnant encore, un très proche de Lopez a démarché un partenaire potentiel juste avant la conférence de presse du 13 janvier, qui a officialisé la passation de pouvoir. Gérard Lopez a pourtant toujours assuré ne pas avoir besoin d’investisseurs extérieurs, qui n’arriveraient qu’« à terme ».


Il s’agit, au pire, d’une démarche inquiétante, au mieux d’un micmac qui fleure bon l’amateurisme. Joint par Mediapart, Gérard Lopez affirme en effet que le démarchage a été fait à son insu par l’un de ses amis financiers. Lequel nous a affirmé que les emails contenant les documents sont faux, puis seulement à moitié, même si Lopez ne dément pas leur authenticité…

C’est le nouvel épisode d’un mauvais feuilleton qui s’éternise : le 16 janvier, Mediapart, Mediacités et France 3 Nord-Pas-de-Calais révélaient les troubles montages financiers de Lopez, qui veut acquérir le Losc par l'intermédiaire d'une société offshore aux îles Vierges britanniques. Et dix jours après la passation de pouvoir, le rachat du club n’est toujours pas bouclé. Et pour cause : l’examen de passage devant la DNCG, l’organe de la Ligue de football professionnel (LFP) chargé d’évaluer le sérieux financier du projet, a déjà été décalé deux fois, à la demande du repreneur.

L’audition devrait finalement se tenir vendredi, selon La Voix du Nord. Mais Gérard Lopez se veut rassurant. Il martèle qu’il peut racheter le club tout seul, avec son argent et sans dette.

Des documents confidentiels, qui nous ont été transmis à la suite de notre première enquête, racontent pourtant une histoire différente. Ils ont été envoyés par mail à un investisseur potentiel par Laurent Pichonnier. Ce financier luxembourgeois est un ami de longue date de Lopez. Il avait monté en 2014 le fonds Fair Play Capital, spécialisé dans le négoce de morceaux de footballeurs (la TPO, lire nos enquêtes ici). Cette pratique ayant été interdite juste après par la Fifa, le fonds de Pichonnier est mort-né. Ce qui ne l’empêche pas de se déguiser en Daft Punk pour vanter cette expérience lors d’une conférence sur la finance.


En novembre 2016, juste après que Lopez est entré en négociations exclusives avec Michel Seydoux, Pichonnier fait une proposition par email à un partenaire potentiel : « C’est un club de Ligue 1 [valorisé] plus de 200 millions d’euros, et il est possible d’acheter une participation de 33 % dans le club » pour « 75 millions d’euros », avec en prime « un siège au conseil d’administration ». Un tarif hallucinant, puisque Lopez a indiqué que la valorisation du Losc était d’environ 80 millions d’euros, dette comprise.

Le second mail a été envoyé moins d’une semaine avant la conférence de presse du vendredi 13 janvier. « Le deal va devenir public à la fin de la semaine, donc on peut commencer à avancer avec vos homologues chinois », écrit Laurent Pichonnier. Le financier ajoute que Lopez « a racheté 95 % du Losc [ce qui est faux, le deal n’étant pas bouclé – ndlr] », et qu’« il cherche désormais à vendre 20 à 25 % des actions de la holding de détention à un partenaire, de préférence originaire de Chine, avec pour objectif d’y développer l’académie ».

Pour faire saliver les Chinois, le financier joint à son email une présentation du projet de reprise, intitulée « Losc : Renforcer l’excellence du football pour le succès ». Il s’agit d’une « présentation investisseurs » de 25 pages datée du mois de janvier 2017 (voir ci-dessous), estampillée « hautement confidentiel ». Elle émane de la société britannique Victory Soccer, l’une des holdings de la future chaîne de détention du club lillois.


La présentation créée par Marc Ingla, bras droit de Lopez et futur directeur général du Losc, pour attirer des investisseurs potentiels © Mediapart
La présentation a été rédigée sur l’ordinateur de Marc Ingla, l’ex-dirigeant du FC Barcelone que Lopez vient de nommer directeur général du Losc. Détail troublant : les métadonnées montrent que le fichier a été créé le 17 octobre 2016, soit le lendemain de l’annonce de l’ouverture des négociations exclusives entre Lopez et Seydoux. Ce qui suggère que le repreneur cherchait des investisseurs dès le départ.

À l’insu du plein gré de Gérard Lopez…

Joint lundi par Mediapart, Gérard Lopez assure que Pichonnier, un proche qu’il « connaît depuis longtemps », a agi dans son dos. Lorsque nous lui avons lu les mails, dont celui qui propose de vendre plus d’un tiers du Losc pour 75 millions d’euros, il n’en a pas contesté l'authenticité. « Cela ne vient pas de nous. Cela vient de monsieur Pichonnier. » Lopez affirme qu’il cherchait seulement un partenaire pour développer « des académies de football en Chine ». Il dit avoir fait rédiger la présentation pour son ami Pichonnier, car il « avait éventuellement des gens qui seraient intéressés ».

Selon Lopez, le financier aurait outrepassé son rôle. « Quand j'ai découvert ces emails, (…), je lui suis tombé dessus en disant “pourquoi est-ce que tu as envoyé ça ?”. Sa réponse a été qu'il pensait pouvoir faire un bon deal pour tout le monde. Moi, je n'ai pas recherché d'investisseur pour clôturer le deal, et si vous dites l'inverse vous mentez, parce que Laurent Pichonnier n'a pas de mandat, et parce que je n'ai rencontré aucun investisseur. » Avant d'asséner : ce qu'a fait Pichonnier est « grave, et c'est pour ça que mes avocats sont dessus ».

Joint lundi matin, Pichonnier nous a d’abord répondu que « ces emails sont des faux ». Lorsque nous l’avons rappelé pour lui dire que Lopez ne démentait pas leur authenticité, le financier s’est en partie ravisé. Il reconnaît en être l’auteur. Mais il affirme que les textes ont été « retravaillés » pour y ajouter de fausses informations, avec une « volonté de nuire ». En ce qui concerne le rachat de 33 % d’un club de Ligue 1, il affirme que cela ne concernait pas Lille mais le club des Girondins de Bordeaux. Dans le second mail, il dément avoir écrit le passage indiquant que 20 à 25 % du capital du club est à vendre. Mais Pichonnier a refusé de comparer ses emails avec les nôtres (lire notre Boîte noire).

Pour le reste, les deux hommes affirment de concert qu’il ne s’agissait pas de vendre des parts du Losc. Du moins, pas tout de suite. « Vous êtes en train de confirmer ce que j’ai toujours dit : je suis ouvert à terme à ce que quelqu'un entre au capital du Losc, en minoritaire, pour développer des académies en Chine », dit Lopez. Ses avocats nous ont précisé par écrit que l’arrivée de ces éventuels actionnaires n’est envisagée que dans un délai compris « entre 6 mois et 1 à 2 ans ».

Sauf que la présentation, élaborée à partir du 17 octobre et dont les deux hommes confirment l’authenticité, montre qu’il s’agit bien d’une proposition concernant l’entrée au capital du club. « Le Losc est une opportunité d’investissement très excitante » avec de belles « possibilités de croissance », dit le document. Il y est également question de l’« opportunité d’investir dans les actifs existants du Losc ».

Le 13 janvier, Lopez avait déclaré que « vendre pour vendre des joueurs n’est pas notre objectif. Notre objectif est avant tout sportif, on veut pérenniser le club ». La brochure fait portant miroiter aux investisseurs de juteuses plus-values sur les membres de l’équipe. « Le Losc a le meilleur bilan sur dix ans en Ligue 1 en matière de transferts, avec le solde le plus élevé entre ventes et achats de joueurs, avec 199 millions d’euros de profits », lit-on page 4. Puis, page 13 : « Le Losc est un “club de transition”, une plateforme pour vendre du rêve aux meilleurs jeunes talents, les promouvoir et les vendre aux meilleurs clubs – il a le meilleur potentiel en Europe pour multiplier le retour sur investissement avec Porto et une poignée d’autres. »

D’autres passages semblent également contredire les propos tenus publiquement par Lopez. Il a toujours dit qu’il n’aurait pas recours à la dette. Or, l’avertissement aux investisseurs qui figure en page 2 stipule qu’il est question de « financements qui pourraient inclure des souscriptions au capital ou de l’endettement au niveau de la société qui porte l’investissement ». Il s’agit d’une clause « standard » insérée pour « être protégé », assure Lopez.

Une autre bizarrerie concerne la caution sportive et médiatique du projet : l’ancien entraîneur vedette de l’OM Marcelo Bielsa, que Lopez veut attirer au Losc. « Il y a 50 % de chances qu’il vienne », a-t-il dit dimanche dans Téléfoot. Mais dans la brochure, Bielsa est présenté comme le « conseiller technique football » de sa holding Victory Soccer. Le technicien argentin a-t-il donné son accord pour être présenté ainsi à des investisseurs, alors qu’il n’a encore rien signé ? Lopez assure qu’« il est au courant » : « C’est mon ami effectivement, il travaille comme conseiller. Chaque fois que j’ai une question sur le foot, je l’appelle. (…) M. Bielsa, je l’ai au téléphone tous les jours, ou tous les deux jours. (…) C’est une des personnes de référence dans le projet. » Est-il rémunéré pour cela ? « Non, pas pour l’instant puisque c’est un ami. »

On apprend également dans la brochure que Lopez veut « évaluer une opération financière de rachat » du stade Pierre-Mauroy, achevé en 2012. Un projet pharaonique, puisque l’enceinte, construite par Eiffage moyennant un partenariat public-privé avec l’agglomération de Lille, a coûté au moins 325 millions d’euros. Lopez répond qu’« on n’en est pas du tout là pour l’instant », mais il assume la réflexion. « Vous ne pouvez pas reprendre un club comme le LOSC sans réfléchir à ce qu’un jour, le LOSC ait son propre stade ou [soit] en partie partenaire du stade. »

La présentation dévoile enfin un nouvel aspect de sa stratégie. Dans son “business plan”, Lopez a identifié deux « domaines prioritaires – plus gros générateurs de revenus » : la fameuse académie en Chine et l’« immobilier ». Lopez souhaiterait-il profiter du domaine de Luchin, le centre d’entraînement flambant neuf du Losc qui s’étend sur 49 hectares, en vendant des terrains ou en construisant des immeubles ? « Non, non, du tout. » Il indique que le projet immobilier en question est une future université du foot, dont les méthodes seraient « licenciées à des académies à l’étranger ».

Reste le point crucial : Gérard Lopez a-t-il vraiment l’argent nécessaire pour reprendre le Losc ? Il indique que le projet nécessitera environ « 80 millions d’euros », rachat de la dette compris, « à un moment donné » : « C’est l’enveloppe totale pour amener le club là où il doit aller. » Mais le financier luxembourgeois reste flou : « Aujourd’hui, j’ai la capacité effectivement d’investir un certain montant qui n’est pas 80 millions. (…) Si l’enveloppe totale est d’ici 18 mois de 80 millions, oui, à ce moment-là, j’ai la capacité de faire ça. »

Il réaffirme toutefois qu’il investira avec son propre argent (« je vais le prendre en fait sur une de mes holdings »), qu’il ne s’endettera pas, et qu’il sera bien actionnaire à 100 % des sociétés qui détiendront 95 % du club. Comme nous l’avions révélé, le Losc doit être racheté par une société française détenue par la société britannique Victory Soccer, elle-même détenue par Chimera Consulting à Hong Kong, laquelle appartient à une structure offshore ultra opaque baptisée Incredible Wealth, immatriculée aux îles Vierges britanniques.

Lorsque nous l’avons joint lundi, Gérard Lopez s’est expliqué précisément pour la première fois sur ce montage. Il affirme qu’Incredible Wealth était une « société de domiciliation » qui détenait Chimera « tant que la société était dormante ». Chimera « a été transférée à mon nom personnel lorsque j’ai commencé à l’utiliser ». Pour prouver sa bonne foi, Lopez nous a fait parvenir une attestation montrant qu’il est désormais actionnaire à 100 % de Chimera à Hong Kong (voir ci-dessous).

Le souci, c’est que sa version ne colle pas avec les faits. Chimera a bien été créée en 2014 par une société de domiciliation, mais une société de domiciliation basée à Hong Kong. Les parts ont ensuite été transférées à Incredible Wealth (qui n’est pas une société de domiciliation) le 17 février 2016, quelques mois avant que Chimera ne devienne active. Bref, il n’y avait aucune raison de passer par Incredible Wealth aux îles Vierges.

Enfin, il y a un loup dans le certificat que nous a adressé Gérard Lopez : la case indiquant la date est en blanc, alors même que le document stipule qu’il est « délivré à la date mentionnée ci-dessus ». En clair, rien ne dit que Lopez n’a pas transféré les parts de Chimera à son nom en catastrophe, suite à la publication de notre enquête… Sollicités sur cette étrange date manquante, ses avocats n’ont pas donné suite.

Il est peut-être temps que le feuilleton se termine et que l'on sache si l’homme qui a d’ores et déjà pris les commandes du Losc va bien finir par le racheter. Sauf nouvelle surprise, l’heure de vérité est proche : tout dépendra désormais de l’examen du dossier vendredi par la DNCG.

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Hors ligneMessagegglopeze » mar. 24 janv. 2017 17:13

de vrais morbacks ces gus de mediapart..

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Hors ligneMessageMrjo » mar. 24 janv. 2017 17:14

L'authenticité de la présentation destinée à séduire des investisseurs intéressés par le Losc nous a été confirmée à la fois par le repreneur du club, Gérard Lopez, et par son ami financier Laurent Pichonnier, qui reconnaît l'avoir envoyée à un « intermédiaire » qui aurait eu accès à des partenaires potentiels. Pichonnier assure que c’est cet intermédiaire qui l’a sollicité en premier au sujet du Losc, et qu’il aurait sollicité par la suite Gérard Lopez pour qu’il fournisse cette présentation. Lopez confirme que le document a été rédigé « entre autres » par son conseiller et futur directeur général du Losc, Marc Ingla, comme l’indiquent les métadonnées du fichier informatique. Bien que le document montre le contraire, les deux hommes affirment qu’il n’était pas question, dans un premier temps au moins, de solliciter des minoritaires pour entrer au capital du Losc.

Reste les deux emails envoyés par Laurent Pichonnier à des partenaires potentiels, qui mentionnent la possibilité d’acheter 33 % puis 20 à 25 % du capital du club. Lorsque nous les lui avons lus au téléphone, Gérard Lopez n’a pas démenti leur authenticité, précisant que Laurent Pichonnier a agi à son insu, alors qu’il n’avait « pas de mandat ».

Joint lundi matin, Pichonnier nous a d’abord répondu que « ces emails sont des faux ». Lorsque nous l’avons rappelé en début d’après-midi pour lui dire que Lopez ne démentait pas leur authenticité, le financier s’est en partie ravisé. Il reconnaît en être l’auteur, les dates d’envois, et même certains paragraphes. Mais il affirme n’avoir jamais écrit qu’une partie du capital du club était à vendre. Il affirme qu’il s’agit de « faux » passages, ajoutés à ses mails pour lui « nuire ».

Nous avons alors proposé à Laurent Pichonnier qu’il nous envoie ses emails. Face à son refus, nous lui avons proposé qu’il nous lise au téléphone les passages qu’il conteste, afin que nous puissions les comparer. Il a de nouveau refusé, et a demandé à plusieurs reprises que nous lui communiquions les emails en notre possession, en demandant qui nous les avait envoyés. Nous avons refusé, pour des raisons évidentes de protection de nos sources.

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Hors ligneMessagegglopeze » mar. 24 janv. 2017 17:17

Vivement que ça se termine tout ce chambard et espérons que ces nouveaux articles ne fassent pas repousser encore la date d'audition

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Hors ligneMessageeljano » mar. 24 janv. 2017 17:35

Espérons que ça ne pue pas trop le Mamadov, tout en commençant à sentir quand même...

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Hors ligneMessagegglopeze » mar. 24 janv. 2017 17:42

soit il a sous estimé l'administration française, soit il n'était pas prêt pour janvier, ou au pire un feu de paille.. On ne peut en tous cas penser un instant que Michel Seydoux certes très fatigué soit mêlé à tout ça

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Hors ligneMessagesamoht59 » mar. 24 janv. 2017 17:57

allons allons amis supporters, notre passion et amour du losc ne doit pas nous faire perdre un minimum de lucidité. Je suis le premier à vomir sur mediapart et l'autre connard de JD mais quand même. Comme j'aime à le penser quand c'est flou, y a un loup! Pas de quoi (j'espere) remettre en cause la vente mais en toute franchise je lirais des articles de la sorte avec notre gégé sur la reprise de l'om à l'epoque, je me serais dit, c'est louche et ca sent la magouille made in marseille !
" Votez à gauche c'est soit pour dézinguer la société soit pour cracher sur le patron qui te permet de bouffer " .

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Hors ligneMessageAutocrate » mar. 24 janv. 2017 18:01

Mrjo a écrit :Football: de nouveaux documents jettent le trouble sur le rachat du club de Lille
24 JANVIER 2017 PAR YANN PHILIPPIN ET MICHAËL HAJDENBERG
(...)



Bordel cette article de propagande que meme L'URSS aurait approuvé lol
Dans chaque phrase il en font des tonnes comme si Lopez était le diable en personne .

Vous croyez vraiment qu'un homme d'affaire international de 45 ans viendrait faire la tournée des médias Français ( Rmc, Téléfoot ) + une conférence de 45 min avec Michel Seydoux devant la France entière si il n'était pas sérieux ? Il risque d'etre décrédibilisé pour toute ces affaires si ça foire .
Et puis croyez vous que Marc Ingla et surtout Luis Campos qui avait l’embarras du choix pour travailler serait venue avec un hurluberlu ?
Non mes soyons sérieux, cette article c'est de la poudre au yeux de gauchiste stupide et naïf qui devait sans doute croire que la taxe à 75 pour cent servirait à quelque chose .
Tout l'article n'est pas faux mais l'interprétation des faits et juste scandaleuse !
Modifié en dernier par Djeunzzz le mar. 24 janv. 2017 18:08, modifié 1 fois.
Raison : Merci d'éviter les quotes de la taille d'un Everest.


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