PO a écrit :Source of the post Sans compter qu'il mange des enfants le matin au petit déjeuner.
Enfin, il parait...
En les trempant dans son café bouillant !
Namtok a écrit :Source of the post Sérieusement, vous avez lu le PDF ?
C'est juste une brochure détaillée du projet du club à moyen-terme, fait par proche de Lopez, alors que le club n'était même pas encore vendu.
ça ne prouve rien, en dehors du fait que la nouvelle direction envisage de faire entrer dans le capital des tiers étrangers, ce qui a déjà été écrit depuis des semaines dans d'autres articles, sans que ça n'émeuve personne.
Autant je suis favorable au journalisme d'investigation, et je suis favorable au fait qu'on fouille, même au LOSC, mais là, pour le coup, y'a rien qui justifie de faire un article aussi détaillé.
Un truc qui m'a marqué : on présente son projet d'achat/revente de joueurs avec plus-value comme si c'était infamant. C'est juste exactement le même projet que celui qui était en place depuis 10 ans, mais à une autre échelle...
solid-snake a écrit :Source of the post Rachat du LOSC : « Créer une société en France, ça permet surtout de sécuriser la transaction »
Sauf dernier retournement de situation, le rachat du LOSC par Gérard Lopez sera effectif ce mercredi soir, date du closing. Maître Kukula-Descelers, avocat spécialiste en droit des affaires, nous éclaire sur la transaction.
Par Recueilli par Yann Duploye | Publié le 24/01/2017
- Avant tout, en quoi consiste un closing ?
« Pour faire simple, c’est l’aboutissement d’un processus de cession. Cette cession se fait en plusieurs étapes. Il faut d’abord que le vendeur soir identifié. En l’occurrence, il l’est. Puis que l’acquéreur intéressé rédige une lettre d’intention avec les conditions d’acquisition, le prix proposé, etc. S’en suit une période d’audit, puis une autre pendant laquelle l’acquéreur monte son financement s’il en a besoin. Et puis la cession se termine le jour du closing. »
- Y-a-t-il une date butoir pour un closing ?
« C’est selon l’accord des deux parties. Elles peuvent se dire : on va se donner une date, à fin janvier par exemple, pour se donner un peu de temps. Si, pour une raison ou pour une autre, les conditions ne sont pas réunies à cette date, et si les deux parties sont d’accord, alors la date peut être reportée. »
- Mais faut-il s’inquiéter face à un report ?
« Il n’y a pas de raison de s’inquiéter. Tout dépend des conditions sur lesquelles se sont mises d’accord les deux parties. L’une des deux peut avoir besoin d’un peu plus de temps que prévu. Si, par exemple, le vendeur demande à ce que les sociétés off-shore soient plus proches, dans ce cas, un avenant est signé. »
- Le fait que M. Lopez passe, visiblement, par des sociétés off-shore a-t-il pu semer le doute ?
« Il ne faut pas tomber dans la paranoïa. C’est vrai qu’en France, la réglementation demande toujours à avoir la traçabilité de l’origine des fonds. »
- La création d’une société française par M. Lopez va-t-elle dans ce sens ?
« Aujourd’hui, la finance est internationale. Ce n’est pas anormal d’avoir des structures dans différents pays. C’est de la fiscalité internationale. Le problème, c’est qu’à partir du moment où on a beaucoup de structures dans beaucoup de pays, ça devient de plus en plus opaque. Le fait de créer une société en France, ça permet surtout de sécuriser la transaction puisque cette société est soumise à la législation française. »
- Un peu plus de trois mois pour arriver au closing, c’est long ?
« Non, c’est un délai normal dans ce genre de transaction. Il y a des cessions qui prennent beaucoup plus de temps. »
- La cession peut-elle encore tomber à l’eau dans les derniers instants ?
« Généralement, non parce qu’il y a un accord entre les deux parties. Mais les dernières heures jusqu’au closing sont toujours très intenses. C’est un travail qui se poursuit jusqu’à la dernière minute. Mais en cas de force majeure, si toutes les conditions ne sont pas réunies, la cession peut capoter. »
http://www.lavoixdunord.fr/108599/artic ... curiser-la
Namtok a écrit :Source of the post A la lecture de l'article, j'ai du mal à comprendre ce qu'on reproche à Lopez.
Zappa a écrit :Roooô putain je la sens de moins en moins cette histoire :-(
Vous imaginez qu'il nous arrive tout ce qu'on a souhaité aux racleux avec le feuilleton Mamadov ?
Zappa a écrit :Source of the post Roooô putain je la sens de moins en moins cette histoire :-(
Vous imaginez qu'il nous arrive tout ce qu'on a souhaité aux racleux avec le feuilleton Mamadov ?
gglopeze a écrit :Source of the postsolid-snake a écrit :Source of the post Rachat du LOSC : « Créer une société en France, ça permet surtout de sécuriser la transaction »
Sauf dernier retournement de situation, le rachat du LOSC par Gérard Lopez sera effectif ce mercredi soir, date du closing. Maître Kukula-Descelers, avocat spécialiste en droit des affaires, nous éclaire sur la transaction.
Par Recueilli par Yann Duploye | Publié le 24/01/2017
- Avant tout, en quoi consiste un closing ?
« Pour faire simple, c’est l’aboutissement d’un processus de cession. Cette cession se fait en plusieurs étapes. Il faut d’abord que le vendeur soir identifié. En l’occurrence, il l’est. Puis que l’acquéreur intéressé rédige une lettre d’intention avec les conditions d’acquisition, le prix proposé, etc. S’en suit une période d’audit, puis une autre pendant laquelle l’acquéreur monte son financement s’il en a besoin. Et puis la cession se termine le jour du closing. »
- Y-a-t-il une date butoir pour un closing ?
« C’est selon l’accord des deux parties. Elles peuvent se dire : on va se donner une date, à fin janvier par exemple, pour se donner un peu de temps. Si, pour une raison ou pour une autre, les conditions ne sont pas réunies à cette date, et si les deux parties sont d’accord, alors la date peut être reportée. »
- Mais faut-il s’inquiéter face à un report ?
« Il n’y a pas de raison de s’inquiéter. Tout dépend des conditions sur lesquelles se sont mises d’accord les deux parties. L’une des deux peut avoir besoin d’un peu plus de temps que prévu. Si, par exemple, le vendeur demande à ce que les sociétés off-shore soient plus proches, dans ce cas, un avenant est signé. »
- Le fait que M. Lopez passe, visiblement, par des sociétés off-shore a-t-il pu semer le doute ?
« Il ne faut pas tomber dans la paranoïa. C’est vrai qu’en France, la réglementation demande toujours à avoir la traçabilité de l’origine des fonds. »
- La création d’une société française par M. Lopez va-t-elle dans ce sens ?
« Aujourd’hui, la finance est internationale. Ce n’est pas anormal d’avoir des structures dans différents pays. C’est de la fiscalité internationale. Le problème, c’est qu’à partir du moment où on a beaucoup de structures dans beaucoup de pays, ça devient de plus en plus opaque. Le fait de créer une société en France, ça permet surtout de sécuriser la transaction puisque cette société est soumise à la législation française. »
- Un peu plus de trois mois pour arriver au closing, c’est long ?
« Non, c’est un délai normal dans ce genre de transaction. Il y a des cessions qui prennent beaucoup plus de temps. »
- La cession peut-elle encore tomber à l’eau dans les derniers instants ?
« Généralement, non parce qu’il y a un accord entre les deux parties. Mais les dernières heures jusqu’au closing sont toujours très intenses. C’est un travail qui se poursuit jusqu’à la dernière minute. Mais en cas de force majeure, si toutes les conditions ne sont pas réunies, la cession peut capoter. »
http://www.lavoixdunord.fr/108599/artic ... curiser-la
J'ai bien aimé l'interview jusqu' à la dernière phrase..
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