Namtok a écrit :Source of the post ça en devient suspect cette histoire. (Son contrat lui permet-il de jouer en L1 ? Collot a-t-il peur que son vestiaire explose en sortant Béria ou Palmieri du groupe ?)
Toujours 0 minute avec l'équipe première...
Comme a dit chépuki, s'il était si bon en tant qu'arrière gauche, on n'aurait pas recruté Alonso.
Mettre un jeune qui n'a jamais été titu voire remplaçant , pour un match a enjeu , ce n'est pas la bonne idée . On chamboule deja pas mal l'animation offensive , il faut des bases défensives . Avec beria on sait où l'on va , on connait ses défauts et ses qualités .
« La Photographie ne dit pas ce qui n’est plus, mais seulement et à coup sûr, ce qui a été" R. Barthes
Calamar a écrit :Source of the post à Lyon et à Paris, Béria et Palmieri ont été plutôt bons
et contre Lorient, c'était pas les plus mauvais non plus
je ne dis pas ça pour défendre Collot par rapport au non choix de Mendyl, mais la plupart de ceux qui le réclament ne l'ont pas vu joué une seule seconde
Ce que je vais dire n' engage que moi mais sincérement perso je ne taperais pas sur Collot vu que ( toujours selon moi ) ce n' est plus lui qui dirige quoique ce soit et Collot c' est spécial à Lille lui le sudiste devenu Nordiste en tous cas je souhaite de tout coeur qu' en fin de saison il soit toujours chez nous
Sur les derniers matches, l'équipe a joué avec une défense à 3 et deux latéraux plus ou moins haut selon l'adversaire.
Ce système correspond aux qualités de Béria (en stoppeur) et Palmieri (en latéral) actuellement, qui devraient être remplacés progressivement par Junior Alonso et Mendyl.
Enfin, c'est mon avis.
Sur le match contre Paris, j'ai noté qu'Enyeama relançait systématiquement sur Kishna et El Ghazi, sur les ailes, et plutôt avec succès car ce sont deux beaux gabarit avec un bon jeu de tête.
C'est plus sûr que de relancer dans l'axe car il y a moins d'opposition (1 sur l'aile vs 2 dans l'axe) et une perte de balle y est moins dangereuse.
Ce dispositif oriente aussi le profil de l'avant-centre en faveur de Benzia plutôt qu'Eder, dont les qualités de jeu dos au but sont moins exploitées.
Ce système correspond aux qualités de Béria (en stoppeur) et Palmieri (en latéral) actuellement, qui devraient être remplacés progressivement par Junior Alonso et Mendyl.
Enfin, c'est mon avis.
Sur le match contre Paris, j'ai noté qu'Enyeama relançait systématiquement sur Kishna et El Ghazi, sur les ailes, et plutôt avec succès car ce sont deux beaux gabarit avec un bon jeu de tête.
C'est plus sûr que de relancer dans l'axe car il y a moins d'opposition (1 sur l'aile vs 2 dans l'axe) et une perte de balle y est moins dangereuse.
Ce dispositif oriente aussi le profil de l'avant-centre en faveur de Benzia plutôt qu'Eder, dont les qualités de jeu dos au but sont moins exploitées.
PLE a écrit :Source of the post Mettre un jeune qui n'a jamais été titu voire remplaçant , pour un match a enjeu , ce n'est pas la bonne idée . On chamboule deja pas mal l'animation offensive , il faut des bases défensives . Avec beria on sait où l'on va , on connait ses défauts et ses qualités .
Alonso était titulaire avec son club argentin et il est international paraguayen. Mendyl est quant à lui, international marocain. Il parait que la L1 est faible d'après ce qu'on peut entendre.
Quant aux bases défensives, c'est clair qu'avec Béria et Palmiéri, on est armé.
Pour les qualités de Béria, je n'en vois plus, quant à ses défauts, la liste est non exhaustive tant il y en a.
Ces deux là s'en sortent dans une défense à 5, sinon c'est la cata.
Hamza Mendyl (Lille), la révélation du Maroc
![Image](https://medias.lequipe.fr/img-photo-jpg/-l-r-leonildo-soares-g-de-ceita-of-sao-tome-e-principe-hamza-mendyl-of-moroccoduring-the-africa-cu/1500000000786467/571%3A29%2C1893%3A579-1000-426-70/d86b4.jpg)
Brillant lors de la CAN 2017, Hamza Mendyl, le latéral gauche du Maroc, est une promesse d'avenir. Focus sur le jeune Lillois.
https://www.youtube.com/watch?v=YtaDB7pDgAo
À gauche toute pour le Maroc. Parmi les bonnes surprises de cette dernière CAN 2017, le latéral gauche du Maroc, Hamza Mendyl n'est pas loin d'avoir crevé l'écran. A 19 ans, il a tenu son couloir avec autorité, en démontrant des qualités de haut niveau. Puissant, endurant, Mendyl a pris des initiatives dans un schéma plutôt défensif chez les Lions de l'Atlas. Jamais apparu en L1, cet habitué de la réserve du Losc a rejoint les Lions en septembre dernier. Son sélectionneur Hervé Renard l'a notamment découvert lors de son passage à la tête des Dogues.
Sur le site officiel de son club, le natif de Casablanca racontait sa première : «Le coach m'a titularisé contre Sao Tomé et Principe (2-0, le 4 septembre) en éliminatoires de la CAN. J'ai joué 90 minutes et j'ai même été élu homme du match par les supporters. Comment je l'ai vécu ? Avec beaucoup de stress sur les vingt premières minutes, puis je me suis libéré. Mes partenaires m'ont beaucoup parlé, comme Mounir Obbadi ou Nabil Dirar. Le sélectionneur m'a félicité et aujourd'hui encore, ça reste un très grand souvenir pour moi.»
Retenu par Collot dès son retour de la CAN
Barré par Franck Beria ou Julian Palmieri, le jeune Mendyl est pourtant dans les plans du club. Dès son arrivée, comme Martin Terrier et Yves Bissouma, Luis Campos l'a supervisé à plusieurs reprises, et a validé son profil. Il correspond à la philosophie du club de faire grandir des prospects à valeur ajoutée. Dès son retour de la CAN, Patrick Collot l'a retenu dans le groupe pour le match de la 24e journée de Ligue 1 face au PSG (2-1).
Entre le Maroc et la Côte d'Ivoire, il a dû faire un choix
Lors de la grand-messe du football africain, ses sentiments ont été exacerbés... Il a croisé et battu un pays qui lui tient à coeur, celui de son père, la Côte d'Ivoire : «Mon papa aurait souhaité que je joue pour la Côte d'Ivoire, il respecte mon choix. Je suis né et j'ai grandi au Maroc. Pour moi, ç'a toujours été clair dans ma tête, je voulais mouiller ce maillot rouge», a-t-il justifié. Un match qui a partagé sa famille en deux : «Ma mère est pour le Maroc et mon père pour la Côte d'Ivoire... Il va un peu s'énerver, mais c'est pas grave», a-t-il fini par plaisanter.
Le jeune Lion de l'Atlas est une fierté pour le public marocain. En effet, à l'instar de l'Algérie, le Maroc puise beaucoup dans son réservoir de binationaux pour composer une équipe compétitive. Hamza Mendyl, c'est aussi la réussite de la formation marocaine. Il est un pur produit de l'académie Mohamed VI, centre de formation initié par l'Etat. Pour le gaucher, le chemin est encore long, mais les ambitions sont légitimes... «Mes objectifs ? Rester avec le groupe pro du Losc et faire quelques apparitions en équipe première. Avec le Maroc, j'aimerais aussi être appelé à chaque liste, me qualifier pour la Coupe du monde. Plus tard bien sûr, je voudrais m'imposer à mon poste de latéral gauche, même si ce sera difficile. Le titulaire actuel, Achraf Lazaar (Newcastle), est très fort. Mais j'ai le temps, je suis encore jeune.» Sage parole.
http://www.francefootball.fr
![Image](https://medias.lequipe.fr/img-photo-jpg/-l-r-leonildo-soares-g-de-ceita-of-sao-tome-e-principe-hamza-mendyl-of-moroccoduring-the-africa-cu/1500000000786467/571%3A29%2C1893%3A579-1000-426-70/d86b4.jpg)
Brillant lors de la CAN 2017, Hamza Mendyl, le latéral gauche du Maroc, est une promesse d'avenir. Focus sur le jeune Lillois.
https://www.youtube.com/watch?v=YtaDB7pDgAo
À gauche toute pour le Maroc. Parmi les bonnes surprises de cette dernière CAN 2017, le latéral gauche du Maroc, Hamza Mendyl n'est pas loin d'avoir crevé l'écran. A 19 ans, il a tenu son couloir avec autorité, en démontrant des qualités de haut niveau. Puissant, endurant, Mendyl a pris des initiatives dans un schéma plutôt défensif chez les Lions de l'Atlas. Jamais apparu en L1, cet habitué de la réserve du Losc a rejoint les Lions en septembre dernier. Son sélectionneur Hervé Renard l'a notamment découvert lors de son passage à la tête des Dogues.
Sur le site officiel de son club, le natif de Casablanca racontait sa première : «Le coach m'a titularisé contre Sao Tomé et Principe (2-0, le 4 septembre) en éliminatoires de la CAN. J'ai joué 90 minutes et j'ai même été élu homme du match par les supporters. Comment je l'ai vécu ? Avec beaucoup de stress sur les vingt premières minutes, puis je me suis libéré. Mes partenaires m'ont beaucoup parlé, comme Mounir Obbadi ou Nabil Dirar. Le sélectionneur m'a félicité et aujourd'hui encore, ça reste un très grand souvenir pour moi.»
Retenu par Collot dès son retour de la CAN
Barré par Franck Beria ou Julian Palmieri, le jeune Mendyl est pourtant dans les plans du club. Dès son arrivée, comme Martin Terrier et Yves Bissouma, Luis Campos l'a supervisé à plusieurs reprises, et a validé son profil. Il correspond à la philosophie du club de faire grandir des prospects à valeur ajoutée. Dès son retour de la CAN, Patrick Collot l'a retenu dans le groupe pour le match de la 24e journée de Ligue 1 face au PSG (2-1).
Entre le Maroc et la Côte d'Ivoire, il a dû faire un choix
Lors de la grand-messe du football africain, ses sentiments ont été exacerbés... Il a croisé et battu un pays qui lui tient à coeur, celui de son père, la Côte d'Ivoire : «Mon papa aurait souhaité que je joue pour la Côte d'Ivoire, il respecte mon choix. Je suis né et j'ai grandi au Maroc. Pour moi, ç'a toujours été clair dans ma tête, je voulais mouiller ce maillot rouge», a-t-il justifié. Un match qui a partagé sa famille en deux : «Ma mère est pour le Maroc et mon père pour la Côte d'Ivoire... Il va un peu s'énerver, mais c'est pas grave», a-t-il fini par plaisanter.
Le jeune Lion de l'Atlas est une fierté pour le public marocain. En effet, à l'instar de l'Algérie, le Maroc puise beaucoup dans son réservoir de binationaux pour composer une équipe compétitive. Hamza Mendyl, c'est aussi la réussite de la formation marocaine. Il est un pur produit de l'académie Mohamed VI, centre de formation initié par l'Etat. Pour le gaucher, le chemin est encore long, mais les ambitions sont légitimes... «Mes objectifs ? Rester avec le groupe pro du Losc et faire quelques apparitions en équipe première. Avec le Maroc, j'aimerais aussi être appelé à chaque liste, me qualifier pour la Coupe du monde. Plus tard bien sûr, je voudrais m'imposer à mon poste de latéral gauche, même si ce sera difficile. Le titulaire actuel, Achraf Lazaar (Newcastle), est très fort. Mais j'ai le temps, je suis encore jeune.» Sage parole.
http://www.francefootball.fr
pc a écrit :Source of the postJeanne Massa a écrit :Source of the postpc a écrit :Source of the post
Obbadi a joué 5 matches, 5 fois titulaire. Avec lui le LOSC a gagné 2 fois, perdu 2 fois et fait un nul.
Et sans Obbadi, donc ? :)
Tu nous as dit que, avec Obbadi, le LOSC gagnait. Déjà, ce n'est pas vrai.
Ensuite, tu veux faire des stats avec seulement 5 matches. Si encore c'était 5 victoires. Mais avec quelle période tu veux comparer? La première moitié de saison? la date de son départ du club, fin janvier? Si Obbadi avait joué un match de plus et que le LOSC avait perdu ce match, le pourcentage de victoires par rapport aux défaites serait à peu près le même. Un match peut donc tout changer.
Mais, puisque tu veux faire des stats, continuons. Obbadi, c'est 0 but, 0 passe décisive. Multipliés pour obtenir une stat sur 19 ou 22 matches, ça fait toujours 0. Même Sankharé, au rôle plus défensif, a marqué et fait des passes décisives.
ça me rappelle la remarque d'un PLien à l'époque de Plestan-Franquart. Le LOSC n'avait pas pris de but pendant 3 matches (il me semble), alors que l'un des deux (je ne sais plus lequel) jouait. Il en concluait que c'était grâce à la présence du joueur. Le match suivant, le LOSC prenait 4-0, avec le joueur. La conclusion du PLien était par terre, mais si le joueur avait été absent?
Sankharé a mis un but presque tout fait sur un controle totalement foiré d'Eder et a fait une passe qui n'a rien de décisif à Benzia, à Lyon.
On peut aussi prendre le nombre de passes décisives et de buts de Busquets ou Makélélé pour dire qu'ils sont bons ou nuls histoire de rendre le truc encore plus ridicule.
Le ratio de victoire avec Obbadi est meilleur que sans lui, maintenant si tu regrettes Sankharé plus qu'Obbadi, ça ne me pose aucun problème.
Xeka a l'air d'etre un bon joueur mais on va attendre un peu, pour l'instant il n'est en rien décisif non plus.
PLE a écrit :Source of the post Mettre un jeune qui n'a jamais été titu voire remplaçant , pour un match a enjeu , ce n'est pas la bonne idée . On chamboule deja pas mal l'animation offensive , il faut des bases défensives . Avec beria on sait où l'on va , on connait ses défauts et ses qualités .
Tous les matchs sont des matchs à enjeu depuis le début de la saison. Quand Mendyl aura sa chance, beaucoup regretterons qu'il ne l'ai pas eu avant.
Et puis on peut présenter les choses différemment : dans un match dans lequel on a besoin de marquer, ce serait pas stupide de profiter des qualités de débordement et de centre de Mendyl.
D'autant qu'il connaît déjà le 3-5-2 qui semble en vogue pour les prochaines semaines.
Tu es fou Namtok, Collot préfère de loin Béria offensivement et ses pertes de balle systématiques, ses petits ponts et grands ponts, plus ridicules les uns que les autres, les prises à la ceinture de l'adversaire, le ballon qu'il attrape avec les mains, etc...
Jeanne Massa a écrit :Source of the postpc a écrit :Source of the post
Tu nous as dit que, avec Obbadi, le LOSC gagnait. Déjà, ce n'est pas vrai.
Ensuite, tu veux faire des stats avec seulement 5 matches. Si encore c'était 5 victoires. Mais avec quelle période tu veux comparer? La première moitié de saison? la date de son départ du club, fin janvier? Si Obbadi avait joué un match de plus et que le LOSC avait perdu ce match, le pourcentage de victoires par rapport aux défaites serait à peu près le même. Un match peut donc tout changer.
Mais, puisque tu veux faire des stats, continuons. Obbadi, c'est 0 but, 0 passe décisive. Multipliés pour obtenir une stat sur 19 ou 22 matches, ça fait toujours 0. Même Sankharé, au rôle plus défensif, a marqué et fait des passes décisives.
ça me rappelle la remarque d'un PLien à l'époque de Plestan-Franquart. Le LOSC n'avait pas pris de but pendant 3 matches (il me semble), alors que l'un des deux (je ne sais plus lequel) jouait. Il en concluait que c'était grâce à la présence du joueur. Le match suivant, le LOSC prenait 4-0, avec le joueur. La conclusion du PLien était par terre, mais si le joueur avait été absent?
Sankharé a mis un but presque tout fait sur un controle totalement foiré d'Eder et a fait une passe qui n'a rien de décisif à Benzia, à Lyon.
On peut aussi prendre le nombre de passes décisives et de buts de Busquets ou Makélélé pour dire qu'ils sont bons ou nuls histoire de rendre le truc encore plus ridicule.
Le ratio de victoire avec Obbadi est meilleur que sans lui, maintenant si tu regrettes Sankharé plus qu'Obbadi, ça ne me pose aucun problème.
Xeka a l'air d'etre un bon joueur mais on va attendre un peu, pour l'instant il n'est en rien décisif non plus.
Je ne préfère pas Sankhare à Obbadi, Sankhare a été mauvais, je voulais seulement montrer le ridicule de tes affirmations basées sur des stats sur 5 matches.
D'ailleurs, tu le dis toi même en citant Busquets ou Makelele. Si on te suis, les stats des victoires du club sur 5 matches auraient un sens, mais pas les stats concernant les buts ou les passes.
Au passage, le but sur amorti foiré de Eder n'était peut-être pas difficile, mais bien plus que le but lamentablement raté par Obbadi suite à un mauvais contrôle, seul devant le but.
Maintenant, tu as peut-être l'impression d'avoir fait oeuvre scientifique avec ta stat.
Tu t'epuises inutilement là pc...
Sinon, les stats d'obbadi, elles ont aussi fait exploser le nombre de home-jacking en banlieue lilloise, c'est mathématique et prouvé par la presse, takavoir....
Sinon, les stats d'obbadi, elles ont aussi fait exploser le nombre de home-jacking en banlieue lilloise, c'est mathématique et prouvé par la presse, takavoir....
C'est fou comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde.
Boris Vian
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