J'spr que sahraoui va nous la faire comme contre feyenord...
Faut faire jouer les gars frais : gud MFP sahraoui akpom André Gomes, bentaleb, Mandi.
Z'etes des bons les gars c'est le moment!!
space_ritual a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post
Un gros Covid ou grippe, c'est 2 semaines en ce moment.
J'étais un peu sarcastique, je commence sérieusement à soupçonner que le club omet volontairement de communiquer sur la réalité des blessures
Rien que la vraie fausse pubalgie de Zhegrova... là Mbappé qui non content d'être fortement suspecté de fragilité, en plus de ça il chope une grippe de 2 semaines ? Je commence à avoir des doutes...
Gud a aussi chopé une grippe ou autre qui a duré longtemps
Jooo a écrit :Source of the postAbred a écrit :Source of the post Ce gamin est en carton ou je me trompe ?
https://youtu.be/vPRqkxD9SjY?si=rI5qtsXgPhcV7Y5d
Excellent ^^. Toutânkharton c'est décidé si tu le nippes comme il faut.
Bérurier 2023 / Dès qu'on perd le ballon y'a mon slip fétiche qui reprend des couleurs. Mais ça tient pour l'instant.
LudwigVon 2025 / Sinon t'as la date de la fin du monde ? C'est pour un ami.
LudwigVon 2025 / Sinon t'as la date de la fin du monde ? C'est pour un ami.
Jooo a écrit :Source of the postAbred a écrit :Source of the post Ce gamin est en carton ou je me trompe ?
https://youtu.be/vPRqkxD9SjY?si=rI5qtsXgPhcV7Y5d
C’est tamalou !
« Cher Lillois vous allez me manquer »José Fonte
L'Épique
Si les larmes n’ont pas coulé sur les visages lillois mercredi soir, une atmosphère de fin de vacances, avec la boule au ventre qui va avec, flottait sur eux après l’élimination en huitièmes de finale de la Ligue des champions, à l’issue d’un retour à domicile où ils ont perdu leurs moyens contre le Borussia Dortmund (1-2, 1-1 à l’aller).
La bande de Bruno Genesio s’était tellement habituée à jouer les trublions contre les gros qu’elle avait fini par se convaincre qu’aucune barrière n’était assez haute pour l’effrayer. Mais le BVB, supérieur dans les moments clés, l’a ramenée sur terre.
Une fin d’histoire assez brutale mais qui n’enlève absolument rien à ce qu’il s’est passé avant, la plus belle épopée continentale du club et l’une des plus remarquées du foot français au XXIe siècle. « Les souvenirs, il y en aura plein, reconnaissait Bruno Genesio. Déjà les matches du mois d’août (Fenerbahçe, 2-1, 1-1, puis le Slavia Prague, 2-0, 1-2), très difficiles et qu’on a réussi à passer. Puis tous ceux de la phase de ligue, le Real ici (1-0, le 2 octobre), l’Atlético chez lui (3-1, le 23 octobre), la Juve ici (1-1, le 5 novembre), la maîtrise à Bologne (2-1, le 27 novembre), la qualif pour les 8es contre Feyenoord (6-1, le 29 janvier). Beaucoup de belles images, d’émotions partagées, c’est ça que je vais garder. » Et d’ajouter, hier : « je n’ai pas dit grand-chose à mes joueurs, simplement de se remémorer d’où on vient et tout ce qu’on a fait de bien. On peut être fiers et les félciter pour ça. » Si tout un collectif a laissé son empreinte, certaines individualités ont changé de dimension durant la campagne, del’enfant du coin Lucas Chevalier, désormais au premier plan international, au buteur providentiel Jonathan David (9 buts depuis août), en passant par l’émergence de l’ovni Ayyoub Bouaddi (17 ans) ou la charnière Alexsandro-Diakité, inattendue à cette altitude.
Les deux dynamiteurs Tiago Santos et Edon Zhegrova ont hélas manqué les derniers épisodes sur blessure, et la désillusion de mercredi a rappelé tout le poids de leur absence à droite
Si le départ en fin de contrat de David est attendu comme celui d’Angel Gomes, voire de Rémy Cabella, difficile d’avoir une vision précise du onze 2025-2026, tant le téléphone d’Olivier Létang va chauffer cet été. Zhegrova a un bon de sortie, mais il faudra être solide pour résister aux attaques pour tous ceux qui ont baigné dans la lumière européenne.
L’architecte Genesio possède lui un contrat jusqu’en 2026, mais prendra, certainement, le temps de bien réfléchir également.
La fin de saison conditionnera énormément de choses. Après avoir savouré à ce point la Ligue des champions, Lille aura du mal à supporter de ne pas y regoûter. « Si on veut revivre ces émotions-là, ça passe par la Ligue 1 », a martelé le président Létang, rejoint par son entraîneur, déjà tourné sur Nantes ce samedi, « à 17 heures grâce à une programmation que même l’intelligence artificielle n’aurait pas faite ». « On a tous une responsabilité en termes de comportement et de résultat envers le club qui nous paie, rappelait Genesio vendredi midi. Pour nos supporters aussi qui méritent qu’on continue. Il faut savoir digérer les grosses
déceptions et être capable de rebondir. Les joueurs sont déçus, mais pas abattus. Ils sont prêts à relever le défi de la fin de saison pour revivre ce qu’on a déjà vécu cette année. Ce sera notre principale motivation dans le sprint final. Il faudra surtout être réguliers et très forts sur le plan mental. »
Cinquièmes à 2 points du podium, les Lillois boucleront l’exercice avec 51 matches au compteur et doivent rassembler leurs forces pour les neuf derniers, et dès ce match à Nantes (17heures), soixante-huit heures après Dortmund, sans Thomas Meunier ou Ethan Mbappé. Puis il y aura un derby contre Lens (30 mars) sans Alexsandro, suspendu, sachant que dix internationaux n’auront pas coupé. Un déplacement à Lyon le 5 avril, ou encore la réception de l’OM (33e journée).
L’envie est évidemment d’éviter la quatrième place et la case tours préliminaires qui va avec. Tandis qu’il a remémoré les deux derniers dénouements ratés – à Troyes il y a deux ans (1-1) et contre Nice l’an passé (2-2) –, Genesio espère capitaliser sur l’expérience européenne pour négocier ce sprint : « Il faudra peut-être un peu plus gérer les émotions et ce genre de match (contre Dortmund) doit nous faire grandir dans ce domaine. »
Si les larmes n’ont pas coulé sur les visages lillois mercredi soir, une atmosphère de fin de vacances, avec la boule au ventre qui va avec, flottait sur eux après l’élimination en huitièmes de finale de la Ligue des champions, à l’issue d’un retour à domicile où ils ont perdu leurs moyens contre le Borussia Dortmund (1-2, 1-1 à l’aller).
La bande de Bruno Genesio s’était tellement habituée à jouer les trublions contre les gros qu’elle avait fini par se convaincre qu’aucune barrière n’était assez haute pour l’effrayer. Mais le BVB, supérieur dans les moments clés, l’a ramenée sur terre.
Une fin d’histoire assez brutale mais qui n’enlève absolument rien à ce qu’il s’est passé avant, la plus belle épopée continentale du club et l’une des plus remarquées du foot français au XXIe siècle. « Les souvenirs, il y en aura plein, reconnaissait Bruno Genesio. Déjà les matches du mois d’août (Fenerbahçe, 2-1, 1-1, puis le Slavia Prague, 2-0, 1-2), très difficiles et qu’on a réussi à passer. Puis tous ceux de la phase de ligue, le Real ici (1-0, le 2 octobre), l’Atlético chez lui (3-1, le 23 octobre), la Juve ici (1-1, le 5 novembre), la maîtrise à Bologne (2-1, le 27 novembre), la qualif pour les 8es contre Feyenoord (6-1, le 29 janvier). Beaucoup de belles images, d’émotions partagées, c’est ça que je vais garder. » Et d’ajouter, hier : « je n’ai pas dit grand-chose à mes joueurs, simplement de se remémorer d’où on vient et tout ce qu’on a fait de bien. On peut être fiers et les félciter pour ça. » Si tout un collectif a laissé son empreinte, certaines individualités ont changé de dimension durant la campagne, del’enfant du coin Lucas Chevalier, désormais au premier plan international, au buteur providentiel Jonathan David (9 buts depuis août), en passant par l’émergence de l’ovni Ayyoub Bouaddi (17 ans) ou la charnière Alexsandro-Diakité, inattendue à cette altitude.
Les deux dynamiteurs Tiago Santos et Edon Zhegrova ont hélas manqué les derniers épisodes sur blessure, et la désillusion de mercredi a rappelé tout le poids de leur absence à droite
Si le départ en fin de contrat de David est attendu comme celui d’Angel Gomes, voire de Rémy Cabella, difficile d’avoir une vision précise du onze 2025-2026, tant le téléphone d’Olivier Létang va chauffer cet été. Zhegrova a un bon de sortie, mais il faudra être solide pour résister aux attaques pour tous ceux qui ont baigné dans la lumière européenne.
L’architecte Genesio possède lui un contrat jusqu’en 2026, mais prendra, certainement, le temps de bien réfléchir également.
La fin de saison conditionnera énormément de choses. Après avoir savouré à ce point la Ligue des champions, Lille aura du mal à supporter de ne pas y regoûter. « Si on veut revivre ces émotions-là, ça passe par la Ligue 1 », a martelé le président Létang, rejoint par son entraîneur, déjà tourné sur Nantes ce samedi, « à 17 heures grâce à une programmation que même l’intelligence artificielle n’aurait pas faite ». « On a tous une responsabilité en termes de comportement et de résultat envers le club qui nous paie, rappelait Genesio vendredi midi. Pour nos supporters aussi qui méritent qu’on continue. Il faut savoir digérer les grosses
déceptions et être capable de rebondir. Les joueurs sont déçus, mais pas abattus. Ils sont prêts à relever le défi de la fin de saison pour revivre ce qu’on a déjà vécu cette année. Ce sera notre principale motivation dans le sprint final. Il faudra surtout être réguliers et très forts sur le plan mental. »
Cinquièmes à 2 points du podium, les Lillois boucleront l’exercice avec 51 matches au compteur et doivent rassembler leurs forces pour les neuf derniers, et dès ce match à Nantes (17heures), soixante-huit heures après Dortmund, sans Thomas Meunier ou Ethan Mbappé. Puis il y aura un derby contre Lens (30 mars) sans Alexsandro, suspendu, sachant que dix internationaux n’auront pas coupé. Un déplacement à Lyon le 5 avril, ou encore la réception de l’OM (33e journée).
L’envie est évidemment d’éviter la quatrième place et la case tours préliminaires qui va avec. Tandis qu’il a remémoré les deux derniers dénouements ratés – à Troyes il y a deux ans (1-1) et contre Nice l’an passé (2-2) –, Genesio espère capitaliser sur l’expérience européenne pour négocier ce sprint : « Il faudra peut-être un peu plus gérer les émotions et ce genre de match (contre Dortmund) doit nous faire grandir dans ce domaine. »
Ayrton a écrit :Source of the postspace_ritual a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post
Un gros Covid ou grippe, c'est 2 semaines en ce moment.
J'étais un peu sarcastique, je commence sérieusement à soupçonner que le club omet volontairement de communiquer sur la réalité des blessures
Rien que la vraie fausse pubalgie de Zhegrova... là Mbappé qui non content d'être fortement suspecté de fragilité, en plus de ça il chope une grippe de 2 semaines ? Je commence à avoir des doutes...
Gud a aussi chopé une grippe ou autre qui a duré longtemps
Pour fréquenter le milieu universitaire, beaucoup d'étudiant chope des gros grippe d'une à deux semaine depuis janvier.
Je ne vois pas pourquoi un club de foot serait épargné;
Erwinvdb a écrit :Source of the post Vous le sentez venir ?
Nantes pas un clean sheet sur les 22 derniers matchs..
Tout dépend de la compo
Si on joue sans dribbleur/dynamiteur comme contre la Paillade ou Dortmund on va avoir un mal fou à marquer oui
Si par contre on commence avec ne serait-ce qu'un Sahraoui alors ça devrait le faire pour en marquer au moins un !
Et Hakon à son poste également
Bref la rengaine habituelle
Président officiel du fan club de Gabisson Gudmundriel.
Bérurier 2023 / Dès qu'on perd le ballon y'a mon slip fétiche qui reprend des couleurs. Mais ça tient pour l'instant.
LudwigVon 2025 / Sinon t'as la date de la fin du monde ? C'est pour un ami.
LudwigVon 2025 / Sinon t'as la date de la fin du monde ? C'est pour un ami.
zarko a écrit :Source of the post L'Épique
Si les larmes n’ont pas coulé sur les visages lillois mercredi soir, une atmosphère de fin de vacances, avec la boule au ventre qui va avec, flottait sur eux après l’élimination en huitièmes de finale de la Ligue des champions, à l’issue d’un retour à domicile où ils ont perdu leurs moyens contre le Borussia Dortmund (1-2, 1-1 à l’aller).
La bande de Bruno Genesio s’était tellement habituée à jouer les trublions contre les gros qu’elle avait fini par se convaincre qu’aucune barrière n’était assez haute pour l’effrayer. Mais le BVB, supérieur dans les moments clés, l’a ramenée sur terre.
Une fin d’histoire assez brutale mais qui n’enlève absolument rien à ce qu’il s’est passé avant, la plus belle épopée continentale du club et l’une des plus remarquées du foot français au XXIe siècle. « Les souvenirs, il y en aura plein, reconnaissait Bruno Genesio. Déjà les matches du mois d’août (Fenerbahçe, 2-1, 1-1, puis le Slavia Prague, 2-0, 1-2), très difficiles et qu’on a réussi à passer. Puis tous ceux de la phase de ligue, le Real ici (1-0, le 2 octobre), l’Atlético chez lui (3-1, le 23 octobre), la Juve ici (1-1, le 5 novembre), la maîtrise à Bologne (2-1, le 27 novembre), la qualif pour les 8es contre Feyenoord (6-1, le 29 janvier). Beaucoup de belles images, d’émotions partagées, c’est ça que je vais garder. » Et d’ajouter, hier : « je n’ai pas dit grand-chose à mes joueurs, simplement de se remémorer d’où on vient et tout ce qu’on a fait de bien. On peut être fiers et les félciter pour ça. » Si tout un collectif a laissé son empreinte, certaines individualités ont changé de dimension durant la campagne, del’enfant du coin Lucas Chevalier, désormais au premier plan international, au buteur providentiel Jonathan David (9 buts depuis août), en passant par l’émergence de l’ovni Ayyoub Bouaddi (17 ans) ou la charnière Alexsandro-Diakité, inattendue à cette altitude.
Les deux dynamiteurs Tiago Santos et Edon Zhegrova ont hélas manqué les derniers épisodes sur blessure, et la désillusion de mercredi a rappelé tout le poids de leur absence à droite
Si le départ en fin de contrat de David est attendu comme celui d’Angel Gomes, voire de Rémy Cabella, difficile d’avoir une vision précise du onze 2025-2026, tant le téléphone d’Olivier Létang va chauffer cet été. Zhegrova a un bon de sortie, mais il faudra être solide pour résister aux attaques pour tous ceux qui ont baigné dans la lumière européenne.
L’architecte Genesio possède lui un contrat jusqu’en 2026, mais prendra, certainement, le temps de bien réfléchir également.
La fin de saison conditionnera énormément de choses. Après avoir savouré à ce point la Ligue des champions, Lille aura du mal à supporter de ne pas y regoûter. « Si on veut revivre ces émotions-là, ça passe par la Ligue 1 », a martelé le président Létang, rejoint par son entraîneur, déjà tourné sur Nantes ce samedi, « à 17 heures grâce à une programmation que même l’intelligence artificielle n’aurait pas faite ». « On a tous une responsabilité en termes de comportement et de résultat envers le club qui nous paie, rappelait Genesio vendredi midi. Pour nos supporters aussi qui méritent qu’on continue. Il faut savoir digérer les grosses
déceptions et être capable de rebondir. Les joueurs sont déçus, mais pas abattus. Ils sont prêts à relever le défi de la fin de saison pour revivre ce qu’on a déjà vécu cette année. Ce sera notre principale motivation dans le sprint final. Il faudra surtout être réguliers et très forts sur le plan mental. »
Cinquièmes à 2 points du podium, les Lillois boucleront l’exercice avec 51 matches au compteur et doivent rassembler leurs forces pour les neuf derniers, et dès ce match à Nantes (17heures), soixante-huit heures après Dortmund, sans Thomas Meunier ou Ethan Mbappé. Puis il y aura un derby contre Lens (30 mars) sans Alexsandro, suspendu, sachant que dix internationaux n’auront pas coupé. Un déplacement à Lyon le 5 avril, ou encore la réception de l’OM (33e journée).
L’envie est évidemment d’éviter la quatrième place et la case tours préliminaires qui va avec. Tandis qu’il a remémoré les deux derniers dénouements ratés – à Troyes il y a deux ans (1-1) et contre Nice l’an passé (2-2) –, Genesio espère capitaliser sur l’expérience européenne pour négocier ce sprint : « Il faudra peut-être un peu plus gérer les émotions et ce genre de match (contre Dortmund) doit nous faire grandir dans ce domaine. »
C'est un torchon. L'écriture est étonnamment pauvre journalistiquement avec un savant mélange d'arbitraire et d'émotionnel de la part de la Plume. C'est qui le bonhomme derrière ?
Jooo a écrit :Source of the postAbred a écrit :Source of the post Ce gamin est en carton ou je me trompe ?
https://youtu.be/vPRqkxD9SjY?si=rI5qtsXgPhcV7Y5d
Modifié en dernier par Abred le sam. 15 mars 2025 16:19, modifié 1 fois.
Bérurier 2023 / Dès qu'on perd le ballon y'a mon slip fétiche qui reprend des couleurs. Mais ça tient pour l'instant.
LudwigVon 2025 / Sinon t'as la date de la fin du monde ? C'est pour un ami.
LudwigVon 2025 / Sinon t'as la date de la fin du monde ? C'est pour un ami.
space_ritual a écrit :Source of the postErwinvdb a écrit :Source of the post Vous le sentez venir ?
Nantes pas un clean sheet sur les 22 derniers matchs..
Tout dépend de la compo
Si on joue sans dribbleur/dynamiteur comme contre la Paillade ou Dortmund on va avoir un mal fou à marquer oui
Si par contre on commence avec ne serait-ce qu'un Sahraoui alors ça devrait le faire pour en marquer au moins un !
Et Hakon à son poste également
Bref la rengaine habituelle
Oui cela dépendra aussi beaucoup de la volonté du corps arbitral et du VAR de réprimer les bouchers de Konbouaré.
Vraiment, le peu de morale que je sais, je l'ai appris sur les terrains de football et les scènes de théâtre qui resteront mes vraies universités. Albert Camus
Composition intéressante.
Bakker sera utile pour donner du renfort à Mandi quand il s'agira de défendre sur Simon.
Sahraoui à la place de Fernandez-Pardo, c'est pas déconnant. Fernandez-Pardo est plus un joueur qui avale les espaces alors que Sahraoui est plus intéressant pour les petits espaces.
Je m'attendais à ce que Nantes joue à 5 derrière et même pas.
Bakker sera utile pour donner du renfort à Mandi quand il s'agira de défendre sur Simon.
Sahraoui à la place de Fernandez-Pardo, c'est pas déconnant. Fernandez-Pardo est plus un joueur qui avale les espaces alors que Sahraoui est plus intéressant pour les petits espaces.
Je m'attendais à ce que Nantes joue à 5 derrière et même pas.
