Pour moi, ça dépend du candidat NFP. Je peux voter pour un socialiste, mais pas un écolo antivax ou un LFI.
zaz le mar. 21 mai 2024 12:53 : "Tranquille les gars...ce n est que le début.ils faut rester zen .notre mercato bougera une fois .l entraîneur sera élu... La ca gesticule pour rien."
Guilain a écrit :Source of the post Ça s'écrit Mélenchon.
y a déjà un biais...ça fausse le résultat si on connait pas la personne désignée dans le sondage !
l'exploitation est déjà morte. Poubelle ^^
adri1 a écrit :Source of the post arrêtez de vouloir parler politique ici. Ce forum n'est absolument pas représentatif du vote du peuple français. Contentez vous de parler de foot, et encore c'est loin d’être fameux également dans ce domaine.
Passionfrontpopulaire serait plus adapté
Ben le Losc est en vacances... Et puis, le topic mercato est mort depuis que zaz a été banni.
zaz le mar. 21 mai 2024 12:53 : "Tranquille les gars...ce n est que le début.ils faut rester zen .notre mercato bougera une fois .l entraîneur sera élu... La ca gesticule pour rien."
Je crois me rappeler qu'il est inscrit dans la Constitution que seul le Président a le pouvoir de nommer un Premier Ministre, sans avoir à en rendre compte à quiconque.
A partir de là, constitutionnellement, imaginons qu'aucun groupe de parvienne à la majorité absolue. Que se passe t-il alors si Macron ne désigne pas le Premier Ministre au sein du groupe parlementaire majoritaire (Majorité relative) ?
A partir de là, constitutionnellement, imaginons qu'aucun groupe de parvienne à la majorité absolue. Que se passe t-il alors si Macron ne désigne pas le Premier Ministre au sein du groupe parlementaire majoritaire (Majorité relative) ?
Certes, mais je crois me rappeler que les députés ne peuvent pas être signataires de + de X motions de censure par cession parlementaire (Sinon, il y en aurait 20 par jour). Donc, ça a ses limites.
Ce qui tendrait à indiquer qu'un Président peut nommer un Premier Ministre de coalition, et pas forcément au sein du parti majoritaire.
Ce qui tendrait à indiquer qu'un Président peut nommer un Premier Ministre de coalition, et pas forcément au sein du parti majoritaire.
PO a écrit :Source of the post Je crois me rappeler qu'il est inscrit dans la Constitution que seul le Président a le pouvoir de nommer un Premier Ministre, sans avoir à en rendre compte à quiconque.
A partir de là, constitutionnellement, imaginons qu'aucun groupe de parvienne à la majorité absolue. Que se passe t-il alors si Macron ne désigne pas le Premier Ministre au sein du groupe parlementaire majoritaire (Majorité relative) ?
des alliances peuvent se faire, avec un gouvernement mixé.
Mais, au regard des configurations qui se présentent, de l'explosion qu'engendre une fois de plus la brutalité de la décision de dissolution...je n'arrive pas à imaginer de quelconques accords qui puissent tenir dans la durée. La situation aurait mérité plus de recul, pas un truc comme ça, sauf à vouloir en ressortir gagnant d'un chaos. Possible, mais pari pour l'instant qui semble impossible, et qui dans tous les cas laissera encore plus de fracture dans la société.
Pour moi, le mieux serait sa démission avant 2027 et tourner une page complète
adri1 a écrit :Source of the post arrêtez de vouloir parler politique ici. Ce forum n'est absolument pas représentatif du vote du peuple français. Contentez vous de parler de foot, et encore c'est loin d’être fameux également dans ce domaine.
Passionfrontpopulaire serait plus adapté
Personne ne t'oblige à lire un sujet dont le titre ne laisse aucun doute quant au contenu que tu vas y trouver si tu n'en as pas envie sinon...
T'as le droit aussi de passer ton chemin plutôt que de dire aux gens de quoi ils peuvent parler ou non.
On est toujours libre quand on a un idéal.
adri1 a écrit :Source of the post arrêtez de vouloir parler politique ici. Ce forum n'est absolument pas représentatif du vote du peuple français. Contentez vous de parler de foot, et encore c'est loin d’être fameux également dans ce domaine.
Passionfrontpopulaire serait plus adapté
Bin ouvre pas le topic. T'es con ou quoi?
Burak à Lille, Irak à Lens!
PO a écrit :Source of the post Je crois me rappeler qu'il est inscrit dans la Constitution que seul le Président a le pouvoir de nommer un Premier Ministre, sans avoir à en rendre compte à quiconque.
A partir de là, constitutionnellement, imaginons qu'aucun groupe de parvienne à la majorité absolue. Que se passe t-il alors si Macron ne désigne pas le Premier Ministre au sein du groupe parlementaire majoritaire (Majorité relative) ?
Il peut être destitué s'il ne joue pas le jeu parlementaire. Par contre, rien ne l'empêche de désigner un autre premier ministre que celui convenu au sein de l'alliance électorale qui arrive en tête.
Imaginons que le RN ait la majorité absolue, Macron peut désigner Marine Le Pen, alors que la campagne s'est faite autour de Bardella, ce qui foutrait un peu la merde chez eux. Idem, avec le NFP ; si le candidat premier ministre désigné est Mélenchon, Macron pourrait semer la division au sein du NFP en nommant Olivier Faure. Macron aurait tort de se priver.
A noter qu'en 1986, 1993 et 1997, le président a nommé le chef de l'alliance électorale ayant gagné les élections, mais c'était une autre époque, où il y avait encore un certain respect pour les institutions et entre PS-RPR-UDF.
zaz le mar. 21 mai 2024 12:53 : "Tranquille les gars...ce n est que le début.ils faut rester zen .notre mercato bougera une fois .l entraîneur sera élu... La ca gesticule pour rien."
M@SH a écrit :Source of the post Du coup, question rythme des élections, ça fait qu'après cette élection, les prochaines législatives seront en 2029, à mi-mandat présidentiel ?
Non, probablement pas.
Un président peut dissoudre l'assemblée tous les 18 mois de mémoire.
Le nouveau président élu fera une dissolution dès son entrée en fonction pour obtenir une assemblée plus proche de sa couleur politique.
Hypothèse du chaos: Macron peut refaire une dissolution peu avant de quitter son poste et laisser le successeur s'empêtrer avec une assemblée indéboulonable pour une année
On est toujours libre quand on a un idéal.
M@SH a écrit :Source of the post Du coup, question rythme des élections, ça fait qu'après cette élection, les prochaines législatives seront en 2029, à mi-mandat présidentiel ?
ah non
dissolution par le président qui vient d'être élu
Il ne veut rien dire ce sondage. Mélange de second tout RN contre FP ( dans quelles circonscriptions ?) et nomination de premier ministre.
Comprennez, Macron a utilisé le mot talisman par excellence : "progrès", ce terme qui flattant le narcissisme du demi-instruit baignant dans sa vacuité, le fait adhérer à n'importe quoi !
zarko a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Je crois me rappeler qu'il est inscrit dans la Constitution que seul le Président a le pouvoir de nommer un Premier Ministre, sans avoir à en rendre compte à quiconque.
A partir de là, constitutionnellement, imaginons qu'aucun groupe de parvienne à la majorité absolue. Que se passe t-il alors si Macron ne désigne pas le Premier Ministre au sein du groupe parlementaire majoritaire (Majorité relative) ?
des alliances peuvent se faire, avec un gouvernement mixé.
Mais, au regard des configurations qui se présentent, de l'explosion qu'engendre une fois de plus la brutalité de la décision de dissolution...je n'arrive pas à imaginer de quelconques accords qui puissent tenir dans la durée. La situation aurait mérité plus de recul, pas un truc comme ça, sauf à vouloir en ressortir gagnant d'un chaos. Possible, mais pari pour l'instant qui semble impossible, et qui dans tous les cas laissera encore plus de fracture dans la société.
Pour moi, le mieux serait sa démission avant 2027 et tourner une page complète
Vu les dynamiques en présence, je n'imagine pas une seule seconde une alliance "Macroniste" se dégager. Loin s'en faut. Je pense même que si Rennaissance et ses alliés de 2022 parviennent à maintenir la moitié de leur 250 députés de 2022 ça se serait déjà pas mal pour eux.
Tout comme je ne vois pas le RN obtenir la majorité absolue à 289 députés. Surtout s'ils se "fâchent" avec LR qui était leur seul vrai renfort de voix. Zemmour, ça ne compte pas, puisque les voix de reconquête étaient de toute façon acquises au RN, avec ou sans l'assentiment de Zemmour.
Il y a un "tout sauf le RN" qui est en train de se mettre en marche depuis dimanche dernier et l'annonce de la dissolution, et si la coalition de gauche qui est en train d'émerger parvient à ne pas se tirer dans les pattes, ni mettre un épouvantail à se tête, elle peut sans doute tutoyer le RN, et donc envisager de gouverner avec une coalition, comme dans d'autres pays.
En fait, comme déjà dit, tout va dépendre du taux de participation. Si on est dans un taux "Présidentielles" proche de 70%, ne pas avoir une majorité RN, ni absolue, ni relative, est envisageable.
Si par contre, ça tourne à < 50% comme aux législatives de 2022, et bien Bardella inaugurera les JO et Ciotti commandera les FDO... (Comme disait Yvain (Simon Astier) dans Kaamelott : "Et c'est en disant cela que je viens de faire une série de petits pets...").
La soudaineté de la dissolution est sans doute critiquable, mais elle a au moins le mérite d'obliger les politiques à aller à l'essentiel, et je suis persuadé qu'il en sera de même pour les électeurs.
Guilain a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Je crois me rappeler qu'il est inscrit dans la Constitution que seul le Président a le pouvoir de nommer un Premier Ministre, sans avoir à en rendre compte à quiconque.
A partir de là, constitutionnellement, imaginons qu'aucun groupe de parvienne à la majorité absolue. Que se passe t-il alors si Macron ne désigne pas le Premier Ministre au sein du groupe parlementaire majoritaire (Majorité relative) ?
Il peut être destitué s'il ne joue pas le jeu parlementaire. Par contre, rien ne l'empêche de désigner un autre premier ministre que celui convenu au sein de l'alliance électorale qui arrive en tête.
Imaginons que le RN ait la majorité absolue, Macron peut désigner Marine Le Pen, alors que la campagne s'est faite autour de Bardella, ce qui foutrait un peu la merde chez eux. Idem, avec le NFP ; si le candidat premier ministre désigné est Mélenchon, Macron pourrait semer la division au sein du NFP en nommant Olivier Faure. Macron aurait tort de se priver.
A noter qu'en 1986, 1993 et 1997, le président a nommé le chef de l'alliance électorale ayant gagné les élections, mais c'était une autre époque, où il y avait encore un certain respect pour les institutions et entre PS-RPR-UDF.
Certes. Mais ils peuvent refuser.
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