Losc In The Blood a écrit :Source of the post
https://twitter.com/DonFcgb/status/1800255809248719335
Génie incompris.
Son effectif est valorisé à combien? Sur l'échelle de Gégé évidemment (comme Ikoné qui valait 70 millions, méga loul), histoire de rembourser la dette au plus vite (non).
Il va tuer Bordeaux. Si c'est pas déjà fait...
L'escroc s'en sort toujours !
zaz le mar. 21 mai 2024 12:53 : "Tranquille les gars...ce n est que le début.ils faut rester zen .notre mercato bougera une fois .l entraîneur sera élu... La ca gesticule pour rien."
Guilain a écrit :Source of the postLosc In The Blood a écrit :Source of the post
https://twitter.com/DonFcgb/status/1800255809248719335
Génie incompris.
Son effectif est valorisé à combien? Sur l'échelle de Gégé évidemment (comme Ikoné qui valait 70 millions, méga loul), histoire de rembourser la dette au plus vite (non).
Il va tuer Bordeaux. Si c'est pas déjà fait...
L'escroc s'en sort toujours !
Vous n’y connaissez rien en financement et en gestion de la dette, tout comme la DNCG, cet organe incompétent, et les journalistes qui veulent causer du tort à notre grand Losc, glurps, j’ai trop lu PL, je voulais dire aux Girondins.
Guilain a écrit :Source of the post L'escroc s'en sort toujours !
C'est bien mon Gégé ! T'es le meilleur !
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
zarko a écrit :Source of the post Gégé à Bercy !!
Il s'y connaît en dettes !
zaz le mar. 21 mai 2024 12:53 : "Tranquille les gars...ce n est que le début.ils faut rester zen .notre mercato bougera une fois .l entraîneur sera élu... La ca gesticule pour rien."
zarko a écrit :Source of the post Gégé à Bercy !!
A l'Elysée ! Pas de demi-mesure !
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
Près de 7 millions d’euros réclamés au Boavista de Gérard Lopez (ex-LOSC) au Portugal.
Détenu par Gérard Lopez, ancien président du LOSC, le club de Boavista doit sept millions d’euros au gestionnaire de son stade, qui peut désormais saisir l’argent de ses transferts.
« Je voudrais bien qu’on prenne la chaîne des responsabilités et qu’on m’explique comment on a pu donner un club comme les Girondins de Bordeaux à Gérard Lopez » pointait récemment du doigt Olivier Létang, visant son prédécesseur à la tête du LOSC. Ce dernier a vu son club de Bordeaux être administrativement rétrogradé en National 2. Néanmoins, ses déboires ne s’arrêtent pas aux frontières hexagonales et se poursuivent jusqu’au Portugal, où Boavista, ne parvenant pas à rembourser ses dettes, traverse également une période délicate. Détenu aux deux tiers par l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois, le club portugais doit 6,8 millions d’euros au gestionnaire de son stade. Pour récupérer ce montant, selon les informations du média A Bola, le Tribunal de Porto a autorisé l’entreprise à saisir l’argent récupéré par Boavista sur le marché des transferts.
Cette énième frasque économique s’ajoute aux nombreux impayés du club de Gérard Lopez, qui finissait par débourser 3 millions d’euros pour indemniser les joueurs et salariés de Boavista et ainsi valider son maintien administratif dans l’élite. À ce jour, il fait toujours l’objet d’une enquête de la FIFA et d’une interdiction de recrutement.
Petit lillois
Détenu par Gérard Lopez, ancien président du LOSC, le club de Boavista doit sept millions d’euros au gestionnaire de son stade, qui peut désormais saisir l’argent de ses transferts.
« Je voudrais bien qu’on prenne la chaîne des responsabilités et qu’on m’explique comment on a pu donner un club comme les Girondins de Bordeaux à Gérard Lopez » pointait récemment du doigt Olivier Létang, visant son prédécesseur à la tête du LOSC. Ce dernier a vu son club de Bordeaux être administrativement rétrogradé en National 2. Néanmoins, ses déboires ne s’arrêtent pas aux frontières hexagonales et se poursuivent jusqu’au Portugal, où Boavista, ne parvenant pas à rembourser ses dettes, traverse également une période délicate. Détenu aux deux tiers par l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois, le club portugais doit 6,8 millions d’euros au gestionnaire de son stade. Pour récupérer ce montant, selon les informations du média A Bola, le Tribunal de Porto a autorisé l’entreprise à saisir l’argent récupéré par Boavista sur le marché des transferts.
Cette énième frasque économique s’ajoute aux nombreux impayés du club de Gérard Lopez, qui finissait par débourser 3 millions d’euros pour indemniser les joueurs et salariés de Boavista et ainsi valider son maintien administratif dans l’élite. À ce jour, il fait toujours l’objet d’une enquête de la FIFA et d’une interdiction de recrutement.
Petit lillois
Typhon a écrit :Source of the post Il est acculé mais toujours là... unbelievable
C'est vraiment un bel acculé !!!
Un Rocencourt de mes faubourgs sans classe.
PO 2016 / Millésime 2586 : 3 à 5 cm qui vont tomber vers 3 h du matin et qui tiendraient au sol selon France-Infos.
Bérurier 2023 /Millésime 3478 : Dès qu'on perd le ballon, y'a mon slip fétiche qui reprend des couleurs. Mais ça tient pour l'instant.
Bérurier 2023 /Millésime 3478 : Dès qu'on perd le ballon, y'a mon slip fétiche qui reprend des couleurs. Mais ça tient pour l'instant.
Bordeaux : Gérard Lopez sort du silence
Sous les ordres de Bruno Irlès, désormais nouvel entraîneur, Bordeaux va essayer d'entamer sa folle remontée. Gérard Lopez, le président, devenu la cible des supporters. L’homme d’affaires a décidé de prendre les devants, et essaye d'apaiser les tensions, avec un long message publié sur les réseaux sociaux. Il semble même reconnaître ses tords.
Le long message de Gérard Lopez
"Chères supportrices, Chers supporters, Chers partenaires, employés et vous tous amoureux du club,
Je viens vers vous après quelques semaines sans prise de parole qui s’explique tout d’abord par le fait que nous avons dû nous concentrer pleinement sur la préoccupation première qui était d’éviter la liquidation judiciaire du club, et donc sa disparition pure et simple, sans possibilité de se reconstruire une équipe et un projet sportif avant de nombreuses années.
Mon silence s’explique aussi en partie par la violence exceptionnelle de certains messages profondément malveillants. Ça n’est pas l’objet de cette lettre, mais rien ne justifie que l’on profère de telles menaces. Je comprends la passion qui entoure un club et la douleur engendrée par la situation économique et sportive mais cela n’excuse en rien ces agissements.
Je vous adresse cette lettre pour vous expliquer clairement la situation et notre projet, en assumant également les erreurs que j’ai pu commettre. J’ai analysé attentivement la situation et je considère que j’aurais dû m’investir davantage au niveau local. En effet, la situation du club ces dernières années m’a amené à consacrer une grande partie de mon temps et de mon énergie à mener des discussions financières qui ont notamment permis la diminution significative de la dette financière, mais je n’ai pas assez pris le temps de comprendre la ville et ses acteurs économiques désireux de soutenir sincèrement le club".
Gérard Lopez reconnaît ses torts
"Je pense qu’un relai local fort a manqué au club pour identifier et me signaler les bonnes volontés, désireuses de s’investir à nos côtés, mais également les dysfonctionnements et divisions qui se sont manifestés et qui sont autant d’héritages pesants d’un passé prestigieux mais parfois difficile. J’aurais également dû intervenir de manière plus agressive, et disons-le de manière plus autoritaire, sur le volet sportif, comme je l’avais d’ailleurs fait auparavant, et avec succès. Pourtant, les investissements consentis ces deux dernières saisons étaient sans aucune mesure avec ce qui a pu être historiquement investi dans un club de Ligue 2, dans le but de suivre la demande d’entraineurs et de la direction sportive. Malheureusement les résultats n’ont jamais été à la hauteur de nos attentes et des montants versés. Surtout, nous avons vécu lors de la descente en Ligue 2, tout comme la saison dernière, une faillite sportive totale, et cela à tous les niveaux de responsabilité, en commençant par moi-même"(...)
Les Girondins de Bordeaux retrouvent les terrains. Ils reprennent la saison en National 2 ce samedi contre Poitiers. l'occasion pour Gérard Lopez de s'exprimé après la descente aux enfers bordelaise.
Sous les ordres de Bruno Irlès, désormais nouvel entraîneur, Bordeaux va essayer d'entamer sa folle remontée. Gérard Lopez, le président, devenu la cible des supporters. L’homme d’affaires a décidé de prendre les devants, et essaye d'apaiser les tensions, avec un long message publié sur les réseaux sociaux. Il semble même reconnaître ses tords.
Le long message de Gérard Lopez
"Chères supportrices, Chers supporters, Chers partenaires, employés et vous tous amoureux du club,
Je viens vers vous après quelques semaines sans prise de parole qui s’explique tout d’abord par le fait que nous avons dû nous concentrer pleinement sur la préoccupation première qui était d’éviter la liquidation judiciaire du club, et donc sa disparition pure et simple, sans possibilité de se reconstruire une équipe et un projet sportif avant de nombreuses années.
Mon silence s’explique aussi en partie par la violence exceptionnelle de certains messages profondément malveillants. Ça n’est pas l’objet de cette lettre, mais rien ne justifie que l’on profère de telles menaces. Je comprends la passion qui entoure un club et la douleur engendrée par la situation économique et sportive mais cela n’excuse en rien ces agissements.
Je vous adresse cette lettre pour vous expliquer clairement la situation et notre projet, en assumant également les erreurs que j’ai pu commettre. J’ai analysé attentivement la situation et je considère que j’aurais dû m’investir davantage au niveau local. En effet, la situation du club ces dernières années m’a amené à consacrer une grande partie de mon temps et de mon énergie à mener des discussions financières qui ont notamment permis la diminution significative de la dette financière, mais je n’ai pas assez pris le temps de comprendre la ville et ses acteurs économiques désireux de soutenir sincèrement le club".
Gérard Lopez reconnaît ses torts
"Je pense qu’un relai local fort a manqué au club pour identifier et me signaler les bonnes volontés, désireuses de s’investir à nos côtés, mais également les dysfonctionnements et divisions qui se sont manifestés et qui sont autant d’héritages pesants d’un passé prestigieux mais parfois difficile. J’aurais également dû intervenir de manière plus agressive, et disons-le de manière plus autoritaire, sur le volet sportif, comme je l’avais d’ailleurs fait auparavant, et avec succès. Pourtant, les investissements consentis ces deux dernières saisons étaient sans aucune mesure avec ce qui a pu être historiquement investi dans un club de Ligue 2, dans le but de suivre la demande d’entraineurs et de la direction sportive. Malheureusement les résultats n’ont jamais été à la hauteur de nos attentes et des montants versés. Surtout, nous avons vécu lors de la descente en Ligue 2, tout comme la saison dernière, une faillite sportive totale, et cela à tous les niveaux de responsabilité, en commençant par moi-même"(...)
https://twitter.com/girondins/status/1829814504680538505