Décathlon Arena-Stade Pierre-Mauroy
Posté : jeu. 2 nov. 2023 12:50
Et avec ce genre de toiture parapluie qu'ils vont installer, ça va le rester.
LE site des supporters du Losc
https://passionlosc.org/
eljano a écrit :Lors de l'épisode USEV, Gros Quinquin avait jadis promis la couverture complète du stade.
On attend toujours.
zarko a écrit :Source of the posteljano a écrit :Lors de l'épisode USEV, Gros Quinquin avait jadis promis la couverture complète du stade.
On attend toujours.
faut aller lui rappeler
PO a écrit :Source of the postdaddycool a écrit :Source of the post Le rugeby -
Olympique Marquois Rugby (Nationale 2) - https://www.omrugby.com/
Stade Villeneuvois Rugby Féminines (Elite 1) - http://www.lmrcv.fr/
Des compétions d'athlétisme
Les filles du Losc jouent sur le terrain Annexe 1
OK. Merci.
Et ils remplissent le stade au point de devoir couvrir les virages ?
L'Equipe du 15/09/2022 a écrit :
Le club de Lille veut acheter le stade Pierre-Mauroy
INFO L'EQUIPE. Le club nordiste a formulé l'hiver dernier deux offres auprès d'Eiffage pour devenir propriétaire de l'exploitation du stade Pierre-Mauroy. Le groupe de BTP a fermé la porte. Mais le club reste déterminé.
Joël Domenighetti et Romain Lafont
mis à jour le 15 septembre 2022 à 12h18
Depuis le rachat du LOSC par la holding Merlyn Partners, le club lillois s'est donné pour objectif de racheter la Decathlon Arena Stade Pierre-Mauroy. Cet hiver, le club nordiste a formulé auprès d'Eiffage, l'exploitant via sa filiale Elisa, deux offres de rachat de l'exploitation de l'enceinte située à Villeneuve-d'Ascq, qui a fêté à la mi-août ses dix ans.
La première a été transmise au mois de décembre par Olivier Létang, président-directeur-général. La deuxième en janvier. Elle comprend également le rachat d'ensembles immobiliers attenants au stade. Mais aussi la reprise de la dette globale de l'enceinte. Le groupe de BTP, qui avait financé 56 % de la construction du seul stade couvert de L1 dans le cadre d'un partenariat public-privé (coût total estimé à 322 M€, hors aménagements extérieurs), les a refusées.
Avant de refermer la porte des négociations dans la foulée de ce second refus, le Fonds d'investissement actionnaire du LOSC depuis décembre 2020 a toutefois tenté de rouvrir les négociations au mois d'avril. En vain. Au sein des Dogues, on considère que ces offres sont « plus qu'équitables ».
Du côté de la filiale Elisa (jointe ce mardi, la filiale d'Eiffage n'a pas souhaité s'exprimer publiquement.), le sujet est désormais considéré comme inexistant et le dossier clos.
Au sein du LOSC, on se veut toujours déterminé. On insiste sur le fait que le stade et ses environs ne sont pas exploités à leur juste valeur. Notamment les activités hors football liées aux concerts ou autres événements (Coupe Davis, championnat indoor de basket, volley-ball, etc). Du côté d'Elisa, on défend en revanche une programmation riche. Et l'opportunité pour la Métropole lilloise (MEL), qui reste dans tous les cas propriétaire du foncier, d'en tirer profit en termes de retombées commerciales (hôtels, commerces) mais aussi de prestige et de notoriété. Pour un coût annuel raisonnable.
Le LOSC estime le loyer actuel démesuré
S'il parvenait à devenir propriétaire du stade, le club aurait pour ambition de faire des économies dans l'organisation des matches. Et, surtout, de développer considérablement les activités commerciales, le sponsoring. L'idée est de faire passer un cap au champion de France 2021.
Chez les Dogues, on estime, enfin, que le loyer versé (environ 5 M€) est démesuré, tout du moins bien supérieur à ce qui se fait ailleurs en France. Elisa, déficitaire chaque année (hormis en 2017, année record), a forcément une autre vision. Pour équilibrer ses comptes, déficitaires, la filiale d'Eiffage cherche à densifier sa programmation et développer ses revenus commerciaux.
Le stade Pierre-Mauroy coûte un peu moins de 15 millions d'euros bruts annuels à la Métropole lilloise.
En 2043, l'écrin des Dogues réintégrera la propriété publique. Jusque-là, il en coûte un peu moins de 15 M€ bruts annuels à la MEL, donc aux contribuables. La Métropole récupère une partie variable selon les recettes récoltées lors des matches, encaisse le loyer du LOSC et le naming qui associe pour les quatre prochaines années la société nordiste Decathlon au nom de l'ancien maire de Lille et ex-Premier ministre Pierre-Mauroy. La contribution nette de la MEL, sensiblement réduite, tourne donc autour de 8,5 M€ annuels.
« Le rachat du Stade était déjà une envie de Michel Seydoux (ex-président 2002-2017), reconnaît Damien Castelain, président de la MEL joint ce mercredi au téléphone. Gérard Lopez (ex-président 2017-2020) a regardé la faisabilité. Il est normal que les nouveaux actionnaires du LOSC s'y intéressent. Comme vous le savez, c'est un ménage à trois. Seuls le LOSC et l'exploitant pouvaient entrer en négociations. S'ils s'étaient mis d'accord, ils seraient revenus vers la MEL. Et nous aurions rédigé un avenant au Partenariat Public Privé. Mais ils ne sont pas tombés d'accord. »
Il arrive également que le ménage à trois déclenche des frictions, notamment lorsqu'il s'agit d'évoquer l'organisation de manifestations culturelles. Lors de la livraison, la MEL et Eiffage étaient entrés en litige sur plusieurs points à propos de la construction du stade.
Des contentieux sont toujours en cours auprès du tribunal administratif de Lille après une conciliation qui s'est montrée infructueuse. Ils portent notamment sur l'interprétation de certaines clauses du contrat, sur des indemnités de surcoût de construction, des pénalités de retards, voire le mécanisme d'intéressement de la personne publique. « Les enjeux financiers sont très importants, précise M. Castelain. Ce sera à la justice de trancher clairement (pas avant 2023, a priori). »
La MEL était pourtant prête à mettre fin à ces litiges en cas de vente du stade, cette issue lui permettant le cas échéant de ne plus avoir à payer de redevance. Soit une économie substantielle sur la durée. À condition que le prix d'achat, qui ne nous a pas été communiqué, mais que plusieurs sources nous ont estimé autour d'une petite centaine de millions d'euros, soit en rapport avec la réelle valeur du stade.
Reste quelques questions en suspens. Dans quelle mesure le rachat du stade et de l'ensemble de la dette pourraient-ils servir la cause du club nordiste ? Cette opération immobilière lui permettrait-elle vraiment de réduire ses coûts ? Un rachat imposerait au LOSC de trouver le savoir-faire nécessaire à la gestion d'une telle enceinte et à son optimisation à moindre coût. Comme quarante kilomètres plus au Sud, à Lens, qui entend également acquérir le stade Bollaert-Delelis. La propriété du stade semble, en tout cas, être devenue pour les deux clubs des Hauts-de-France un enjeu majeur d'un processus de développement économique durable.
PauloFonseca a écrit :Source of the post Sinon on refait grimonprez 2
Prieto a écrit :Source of the post DA plus PM, merci.
J'ai à d'innombrables reprises sur ce site et dans les RS dénoncé l'iniquité sportive scandaleuse dont bénéficient les RâCLures via ce bail dérisoire. Très heureux que d"autres prennent le relais.
zaz a écrit :Source of the post Un gouffre ce stade... Faut trouver une solution.... Le loyer est énorme. De plus avec 'la dette laisser de Lopes.. Normal que nous n avons pas trop de thunes pour faire un bon mercato...
PauloFonseca a écrit :Source of the post Le banc fait un peu peur.
Quentin a écrit :Source of the post Un vrai problème ce stade et cette pelouse qui nuit à l'image du club.
Smith a écrit :Source of the postPauloFonseca a écrit :Source of the post Sinon on refait grimonprez 2
J'adorais ce projet.
On en serait à notre 280ème guichet fermé consécutif ^^
Losciste59 a écrit :Source of the postSmith a écrit :Source of the postPauloFonseca a écrit :Source of the post Sinon on refait grimonprez 2
J'adorais ce projet.
On en serait à notre 280ème guichet fermé consécutif ^^
Ça aurait été un superbe stade.