Tu as du courage ! Moi j avoue je ne pourrais pas. Après effectivement tu as un boulot et tu ramènes chaque mois du pèze .
Allez courage à tous les travailleurs ces 2 prochains jours.
Allez courage à tous les travailleurs ces 2 prochains jours.
« La Photographie ne dit pas ce qui n’est plus, mais seulement et à coup sûr, ce qui a été" R. Barthes
Oui après les heures supps, si on veut de largent, y'a pas d'autres choix.
Merci mais bon je ne suis pas seul dans ce cas mais c'est vrai que mes kilos en trop vont peser pour ces deux jours :)
Le plus dur c'est surtout jusque minuit au lieu de 22h, ces deux jours vont être très longs.
Merci mais bon je ne suis pas seul dans ce cas mais c'est vrai que mes kilos en trop vont peser pour ces deux jours :)
Le plus dur c'est surtout jusque minuit au lieu de 22h, ces deux jours vont être très longs.
Je sors d'un WE vacances de 4 jours à Bordeaux (Prévu de longue date avec une bande de potes, donc plus possible de déprogrammer). Jolie ville, jolie région, par contre côté température : L'enfer sur terre.
Je vais sur les 60 piges, et je ne crois pas avoir eu aussi chaud de ma vie, notamment cette sensation de respirer l'air qui sort d'un sèche-cheveu. Et comme Bordeaux est très "minéral" (Peu d'arbres en ville) ça accroît cette oppression de chaleur.
Ayant passé 1 journée à Arcachon, je confirme que ça cramait très fort à la Teste de Buch, avec de la fumée qu'on voyait très bien de loin. Toute visite de près ou de loin du Pilat était interdite. Je n'ai jamais vu autant de camions de pompiers qu'au retour du bassin quand on a croisé les colonnes de renfort.
Hier sur Bordeaux-Mérignac, il y avait >40°C à l'ombre, mais sur le tarmac, suis sûr qu'on était entre 50 et 60°C. Irrespirable. Je ne sais comment les hommes de piste faisaient pour travailler.
PS : La région aidant, on s'est beaucoup "hydraté". Faut pas déconner avec l'hydratation, surtout à Bordeaux ;-)
Je vais sur les 60 piges, et je ne crois pas avoir eu aussi chaud de ma vie, notamment cette sensation de respirer l'air qui sort d'un sèche-cheveu. Et comme Bordeaux est très "minéral" (Peu d'arbres en ville) ça accroît cette oppression de chaleur.
Ayant passé 1 journée à Arcachon, je confirme que ça cramait très fort à la Teste de Buch, avec de la fumée qu'on voyait très bien de loin. Toute visite de près ou de loin du Pilat était interdite. Je n'ai jamais vu autant de camions de pompiers qu'au retour du bassin quand on a croisé les colonnes de renfort.
Hier sur Bordeaux-Mérignac, il y avait >40°C à l'ombre, mais sur le tarmac, suis sûr qu'on était entre 50 et 60°C. Irrespirable. Je ne sais comment les hommes de piste faisaient pour travailler.
PS : La région aidant, on s'est beaucoup "hydraté". Faut pas déconner avec l'hydratation, surtout à Bordeaux ;-)
J'ai lu l'histoire de Beca.
Dans un temps pas si lointain que ça, je travaillais dans une usine d'agro-alimentaire pour la boul-pat'. J'étais manutentionnaire, cariste, magasinier, et parfois j'intervenais en bout de chaîne pour la palettisation.
En plein été, malgré les extracteurs d'air qui fonctionnaient à plein régime, on avait des températures dans l'entrepôt qui montaient à 35, parfois même à 40 (alors que dehors on était à 30 degrés maxi).
On a râlé, la patron nous a dit, si la température moyenne dans l'entreprise est supérieure à 32, on doit aménager le travail.
On avait une chambre froide, à 5 degrés.
Ces enculés ne nous ont même jamais installé de fontaine à eau.
Dans un temps pas si lointain que ça, je travaillais dans une usine d'agro-alimentaire pour la boul-pat'. J'étais manutentionnaire, cariste, magasinier, et parfois j'intervenais en bout de chaîne pour la palettisation.
En plein été, malgré les extracteurs d'air qui fonctionnaient à plein régime, on avait des températures dans l'entrepôt qui montaient à 35, parfois même à 40 (alors que dehors on était à 30 degrés maxi).
On a râlé, la patron nous a dit, si la température moyenne dans l'entreprise est supérieure à 32, on doit aménager le travail.
On avait une chambre froide, à 5 degrés.
Ces enculés ne nous ont même jamais installé de fontaine à eau.
Alors qu'en Rhône-Alpes, y a un petit 37, tranquille, avec un peu d'air, fort supportable.
Bon, là, aujourd'hui, je suis à Mulhouse, pas trop le même port de pêche, 35, kiltran.
Bon, là, aujourd'hui, je suis à Mulhouse, pas trop le même port de pêche, 35, kiltran.
Courage également à mes collègues sur onduleuse. Papier chauffé à la vapeur. Plus de 50°C assuré sur poste de travail ! Putain.
J'ai l'impression que le deuxième mandat de not'bon président Macron va en énerver quelques-uns. dodger » sam. 29 déc. 2018 23:41
Tu es l'antechrist des climato-dubitatifs ! PO » jeu. 27 déc. 2018 17:27
Tu es l'antechrist des climato-dubitatifs ! PO » jeu. 27 déc. 2018 17:27
Casim' a écrit :Source of the post J'ai lu l'histoire de Beca.
Dans un temps pas si lointain que ça, je travaillais dans une usine d'agro-alimentaire pour la boul-pat'. J'étais manutentionnaire, cariste, magasinier, et parfois j'intervenais en bout de chaîne pour la palettisation.
En plein été, malgré les extracteurs d'air qui fonctionnaient à plein régime, on avait des températures dans l'entrepôt qui montaient à 35, parfois même à 40 (alors que dehors on était à 30 degrés maxi).
On a râlé, la patron nous a dit, si la température moyenne dans l'entreprise est supérieure à 32, on doit aménager le travail.
On avait une chambre froide, à 5 degrés.
Ces enculés ne nous ont même jamais installé de fontaine à eau.
Tu travailler dans quelle usine agro ? ;-)
Non, j'ai testé le correcteur... Il a pas voulu corriger...^^
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