PO a écrit :Source of the post Un match totalement symptomatique du mal dont nous souffrons : Maladresse et malchance.
Donc, si on résume, on joue plutôt pas mal, mais on continue à viser les barres, puis comme on trouve qu'à 10 contre 11 (Oui, quand Mendès est sur le terrain, on est déjà à 10), on domine encore un peu trop Sainté et sa pelouse malade, alors on décide de se saborder en donnant les cartouches à cet arbitre complaisant * pour permettre à Sainté de s'en sortir, alors qu'ils ne produisaient rien.
(*) Exemple : Comment Lacroix peut-il échapper au jaune en 1ère MT quand il retient par les 2 épaules Bauthéac à 30m du but stéphanois ?
Et puis comme si cela ne suffisait pas, le destin nous rappelle que quand rien ne va, il ne faut pas attendre de coup de pouce, avec ce 2nd but de Sainté qui plie le match, entaché me semble t-il d'un HJ de 2 bons mètres.
- Enyama : RAS
- Corchia : Dans les +
- Béria : No comment. Il était déjà très limite avant le 2nd jaune. L'arbitre le savait et l'avait dans le viseur. Et Franky les mains d'or mangea la feuille de match...
- Palmiéri : Toujours pareil, beaucoup d'allant offensif. Bon centreur, mais très perméable en défense.
- Civelli-Basa : Moyen. Civelli s'est fait enrhumer, mais Béric a une réussite maximale sur cette louche assez heureuse.
- Mavuba- Sankharé : Du coeur, mais gros déficit technique dans les contrôles et les passes.
- Mendès : Ne sert à rien. Niveau L2, et encore. Comment FA peut sortir Lopès et laisser Mendès ?
- Eder : La seule satisfaction du match. Il s'est démultiplié. Il est très souvent très juste techniquement, et semble retrouver de la vivacité physiquement. Espérons...
- Bauthéac. Je le trouve mieux depuis une paire de matchs. Dommage qu'il lui manque toujours cette capacité à dribbler.
- De Préville : Pas inintéressant, mais je le crois plus destiné à un poste de second attaquant, qu'à un poste de couloir
- Amalfitano : L'inverse de Bauthéac. De la technique, mais un engagement physique minimaliste.
Bref, quand ça veut pas, ça veut pas. Mais on paye clairement la conjugaison du départ de nos meilleurs joueurs, remplacés par des joueurs arrivés bien trop tard et pas opérationnels, et le déficit de confiance qui s'accumule et dont le destin se régale avec une gourmandise perverse.