PassionLosc

curiste a écrit :

Miladin Béca a écrit :Source of the post Oui après on a beau moins consommer, ce n'est pas pour ça que l'on donne moins, c'est même le contraire.

Je viens de regarder mon compte Engie, j'ai consommé 46% de moins en mai 2024 par rapport à mai 2023, c'est énorme. Tout simplement parce que j'ai coupé le chauffage début mai, y'a pas de secret.

Mais l'année dernière je donnais 144 euros par mois, là je suis à 177 euros.

Pour nous ça fait 47 euros de plus par mois, ça commence à piquer.

Casim' a écrit :Source of the post

https://twitter.com/sergezaka/status/1796894568358552003

Ursulet a écrit :Source of the post On est à mi-juin et on croise encore des gens qui portent des doudounes....

dirk a écrit :Source of the post L'extrême droite gagne une élection, dès le lendemain le réchauffement climatique a disparu
Sont forts, y a pas à dire

dodger a écrit :Source of the post

dirk a écrit :Source of the post L'extrême droite gagne une élection, dès le lendemain le réchauffement climatique a disparu
Sont forts, y a pas à dire

Les écolos sont à 5% aux dernières élections après avoir fait un peu moins de 5% aux dernières présidentielles.
Le réchauffement climatique c'est comme la culture à la télévision, dans les sondages tout le monde est pour et en privé, tout le monde où presque s'en contrefiche.
Quand on galère pour finir le mois, l'écologie est un passe-temps de désœuvrés.

Galfer a écrit :Source of the post
Ah bon on galère en France ? J’avais cru comprendre sur un autre post que l’économie marchait du feu de Dieu

ced59 a écrit :Source of the post quelque chose d’utile comme l’écologie,

dodger a écrit :

ced59 a écrit :Source of the post quelque chose d’utile comme l’écologie,

C'est tout de même à cause de ces zozos que la gauche socialiste a cassé le plan énergétique de Giscard !

Nucléaire : le « plan Messmer », un programme Apollo à la française

Grâce à une solide organisation industrielle, EDF a su répondre à une commande de 26 réacteurs nucléaires, annoncée le 6 mars 1974 et portée ensuite à 58 tranches. Une réussite qui interroge sur les difficultés actuelles de la filière.

En ce jour de décembre 1973, Marcel Boiteux n’a pas eu le temps de faire de savants calculs, lui le mathématicien de haut vol passé par Normale-Sup, l’équipe du futur Prix Nobel d’économie Maurice Allais et la puissante direction des études d’EDF. Quand l’un des missi dominici du gouvernement l’appelle au petit matin,il ne donne que quelques heures au directeur général du groupe d’électricité pour dire combien de réacteurs nucléaires il est capable de construire chaque année. Il y a urgence : deux mois plus tôt, la guerre israélo-arabe a fait flamber les prix du pétrole et la France a malheureusement de nombreuses centrales au fioul. Le premier ministre, Pierre Messmer, vient d’annoncer une brutale accélération du programme nucléaire lancé en 1970 avec le projet de Fessenheim (Haut-Rhin), mais sans disposer encore de tous les éléments.

La réponse du patron d’EDF tombe quelques heures plus tard : « Pas plus de six ou sept. » Ce « pas plus » sonne drôlement, quand la construction du seul EPR de Flamanville (Manche) se sera éternisée de 2007 à au moins 2024. Et qu’EDF prévoit de mettre en service six EPR 2 entre 2035 et 2045. « Ce qui me frappe, c’est le sentiment d’urgence de l’époque, souligne l’historien Alain Beltran, directeur de recherche au CNRS et président honoraire du Comité d’histoire de l’électricité et de l’énergie. En quelques semaines, on a décidé un programme sans précédent. Le pouvoir politique avait alors une très grande confiance en EDF. » Et la France ne partait pas de rien.

eljano a écrit :Source of the post Ça n'était pas Giscard, ce fut une décision de Pierre Messmer sous la présidence de Georges Pompidou