Mr Attali, nous, on a hâte que vous preniez votre retraite.
Elles n' ont toujours pas compris les élites, que si nous vivons plus vieux qu'au début du siècle c'est parceque nous travaillons moins?
le petit copain de EM semble bien vouloir montrer la voie vers laquelle nous nous dirigeons avec le libéralisme, mais shhhuut, il parait que ceux qui s'opposent au libéralisme/ macronisme /libertarien n'ont rien compris à la complexité de l'évolution de la société, de l'économie et du monde.
Déjà, si nous commencions par arrêter de diriger un pays comme on gère une entreprise, certains y verraient plus clair. Le marché, l'économie, la finance , le gain, ont obnubilé nos élites. Rendez-vous compte à quel point ils ne pensent que rentabilité et excédent financier pour le moindre sujet. A tel point, que beaucoup de citoyens sont maintenant persuadés que cette variable économique est la seule qui vaille pour organiser une société.
Et bien moi, je rêve d'une société où l'ouverture d'esprit déterminerait la classe sociale.
Jacques Attali : "Je rêve d'une société sans retraite"http://mobile.francetvinfo.fr/societe/debats/jacques-attali-je-reve-d-une-societe-sans-retraite_867873.html#xtref=http://m.facebook.com"Je rêve d'une société où il n'y aurait pas de retraite, où travailler serait naturel..." Economiste, écrivain et conseiller d'Etat, Jacques Attali donne sa vision du temps et de l'organisation du travail au sein de notre société, dans une interview accordée au Monde magazine, vendredi 3 avril.
A 71 ans, l'homme qui a conseillé l'ancien président de la République François Mitterrand, et a été chargé d'une mission sur les freins à la croissance par Nicolas Sarkozy, puis sur l'économie positive par François Hollande, estime que "la réduction du temps de travail est un échec de la société industrielle".
"Une lutte pour la libération du temps"
"On ne devrait avoir que du travail créatif. Je crois vraiment que tout ce qui se joue aujourd'hui est une lutte pour la libération du temps", poursuit Jacques Attali. Il dit ne jamais s'ennuyer, et reconnaît qu'il n'a jamais "souffert de la contrainte". "Être son propre patron permet de maîtriser son propre temps, c'est confortable", juge-t-il.
"Je crois vraiment que le critère d'une bonne société, c'est la part de bon temps choisi que chacun peut avoir, résume-t-il. Une bonne société est une société où l'on préfère le lundi matin au vendredi soir, autrement c'est une société aliénée."