Jeux Olympiques Rio 2016
Posté : ven. 19 août 2016 19:08
cubi' a écrit :Source of the post Mon commentaire était par rapport au sujet de dopage qui été évoqué juste avant. Un athlète du 50 kms marche, ça lui avancerait à quoi de se doper, vu la confidentialité de la discipline et vu la rémunération très faible en cas de victoire ? Encore faut il terminer la course...
Par contre, quand je vois le 200 m d'hier soir avec Bolt seul devant et intouchable... Mouais. Faudra pas jouer les surpris si on découvre dans quelques temps qu'il est chargé le garçon. Un peu comme Lance Armstrong dans les TDF. On n'a pas su tout de suite qu'il ne carburait pas à la cristaline le Ricain...
Moi, je crois rigoureusement le contraire !
A savoir que plus la performance dans un sport dépend de la faculté de résistance à la souffrance, et plus ce sport est une "proie" naturelle pour le vendeurs de "potion magique".
Alors, bien entendu, vu l'intensité physique de la très grande majorité des sports pratiqués à haut niveau, que ce soit durant la compétition même, ou pendant les phases d'entraînement, la douleur, la souffrance, est potentiellement partout, en natation, en cyclisme, au tennis, au 50 km marche, au marathon, en haltérophilie, et même dans le sprint.
Mais au sein de tout ce catalogue de sports de haut niveau, certains sont encore plus des sports de pure souffrance que d'autres.
Peu importe que le sport soit ou pas rémunérateur. Ils sont tous là pour la gagne, surtout dans les sports où justement ils n'ont pas beaucoup l'occasion de briller ailleurs qu'aux JO (Eté ou Hiver) ou aux Mondiaux (Contrairement au foot, au tennis, au golf, etc..), et à ce titre, certains peuvent avoir recours à tous les procédés, dopage, triche, menaces, etc.. (Rappelles-toi de la patineuse artistique qui avait fait casser les genoux de sa concurrente ! et on parle ici de patinage artistique, pas de Boxe pro poids lourds !)
"No pain, no gain !", comme le savent tous les sportifs de haut niveau.
Je me rappelle d'une ITW de Bernard Hinault à qui on demandait qu'elle était la recette de la réussite en cyclisme. Il avait répondu l'œil sombre, comme à son habitude, que celui qui gagne est celui parvient à repousser le seuil de sa douleur quand les cuisses brûlent.