J'ai découvert Bielsa, un peu par hasard, pendant la Ligue Europa disputée par Bilbao. Plutôt que Bielsa, c'est le jeu emballant pratiqué par Bilbao que j'ai découvert. J'ai alors suivi les matches de Bilbao dans cette compétition autant que possible. J'en avais parlé sur PL à l'époque.
Je lis plus haut que Bielsa n'a jamais rien gagné. Un post d'un PLien montre que ce n'est pas le cas. Et puis, c'est plus facile de gagner quelque chose avec Barcelone, le Réal, Chelsea... Luis Enrique, qui a gagné pas mal de titres avec le Barça, n'a pas fait grand chose avec la Roma.
Je lis aussi que Bielsa a laissé tomber l'OM. Il faut préciser que le contrat que lui proposait Margarita (et non Labrune) n'était pas conforme à celui qui avait été négocié. On peut comprendre sa décision. Par contre, son lâchage de la Lazio est incompréhensible..
Je n'ai jamais lu que Bielsa s'était battu avec un responsable de chantier à Bilbao.
Bielsa est reconnu comme ayant impulsé une remise en ordre là où il est passé, que ce soit à Bilbao ou au Chili. L'équipe nationale chilienne était en triste état à son arrivée, elle va bien mieux depuis qu'il s'en est occupé. D'ailleurs, son successeur Sampaoli lui a rendu hommage.
Il ne manque pas d'avis dithyrambiques sur Bielsa:
- Josep Guardiola (Bayern Munich) : "Bielsa est un des meilleurs entraîneurs du monde. Il m’a beaucoup appris. Ça a été un honneur d’être reçu chez lui en Argentine, c’était fantastique."
- Diego Simeone (Atlético Madrid) : "C'est un entraîneur extraordinaire. Quand on a joué dans une équipe de Bielsa, on n'est plus le même".
- Eric Cantona : "Je ne supporte pas beaucoup Marseille, mais j’aime bien Bielsa. Je trouve qu’il a du charisme, que c’est un personnage. Il a une personnalité, il connaît le football."
- Rudi Völler (Leverkusen) : "C’est un grand entraîneur. Il a fait du bien à l’Argentine, au Chili, à l’Athletic Bilbao aussi. Il fera sûrement beaucoup de bien à Marseille."
- Jorge Sampaoli (Chili) : "Je suis arrivé à un point où j'étais Bielsa-dépendant. Quand j'allais faire mon jogging, j'écoutais des cassettes des conférences de presse de Bielsa que j'avais enregistrées"...
Les supporters apprécient beaucoup le jeu pratiqué par ses équipes. Les dirigeants ont des difficultés avec le personnage et son intransigeance.
Ceci étant dit, le LOSC est toujours en position délicate et n'est pas sauvé. on lit "on n'a pas une équipe pour descendre"; c'est probablement ce que disaient nombre de supporters d'équipes qui se sont retrouvées en L2 les saisons précédentes. L'arrivée d'un nouvel entraîneur et l'adaptation à ses méthodes peuvent prendre un peu de temps. On peut quand même penser que Lopez et son équipe ne reprennent pas le LOSC, n'essaient pas de faire venir Bielsa, pour laisser le club descendre en L2 et qu'il y aura une recrutement qui renforcera l'équipe.
Djeunzzz a écrit :Source of the post Palmieri dit qu'Hull ne le tuerait pas, tout compte fait.
Vu que ta vanne fait plouf je vais te mettre un lol philanthropique.
LOL
la vdn disait hier n'y croire que quand il sera là mais...
SPORTS
10/01/2017
Bielsa, plus qu’un coach, une réputation
PAR OLIVIER FOSSEUXsports@lavoixdunord.fr
Marcelo Bielsa pourrait devenir en fin de semaine le prochain entraîneur du LOSC, le premier de l’ère Lopez. C’est en tout cas la piste numéro 1. Dans un livre intitulé « El Loco unchained », Thomas Goudin a tenté de décrypter le personnage au travers de multiples anecdotes sur l’Argentin.
>
FOOTBALL.
Ligue 1.
Quand l’offre d’un club lui paraît intéressante, il visionne au moins deux fois chaque match… THOMAS GOUDIN
1
Son surnom « Le Fou »
« El Loco » signifie le fou en espagnol. Pourquoi Bielsa est-il surnommé ainsi ? « Parce que certaines des réponses que je choisis ne correspondent pas à celles qui sont données communément », avait-il répondu lors de sa première conférence de presse à Marseille. Thomas Goudin affirme que les versions divergent.
Son surnom remonte à son enfance quand le petit Marcelo n’aimait pas s’habiller le matin pour aller au collège. Il dormait avec la veste de costard, la cravate et son pantalon « et les gens se disaient qu’il était fou », précise son frère aîné.
Une légende raconte qu’en 1992, une vingtaine de supporters se sont rendus à son domicile après une défaite de Rosario et que Bielsa leur aurait ouvert la porte une grenade à la main.
Il agit et réagit surtout comme un grand passionné, excès y compris.
2
Tout pour l’attaque
Selon le journaliste, la philosophie de Bielsa est d’accaparer le ballon pour passer la majeure partie du temps dans le camp adverse. Obsessionnel, Bielsa ne néglige aucun détail.
Il est capable de faire répéter inlassablement des enchaînements de passes. Un joueur raconte qu’il lui a fait tenter 70 centres consécutifs avant d’être satisfait.
3
Un accroc à la vidéo
Maniaque, méticuleux, Bielsa ne laisse rien au hasard et il reconnaît des vertus pédagogiques à la vidéo. En 1997, il s’est rendu au mariage de Martin Posse avec une cassette du dernier match de son équipe sous le bras.
Dans le même registre, en Corée pour le Mondial 2002, il s’est fait livrer une cargaison de 7 000 vidéos. Thomas Goudin précise : « Quand l’offre d’un club lui paraît intéressante, il visionne au moins deux fois chaque match de sa saison et édite un film sur chacun de ses joueurs. »
4
Souffrance et pénitence
En 1990, Bielsa avait confié : « La semaine suivant une défaite est un enfer. Je me sens inapte pour le bonheur pendant sept jours. » Concrètement, il refuse alors toute invitation chez des amis. Il peut s’enfermer pendant deux jours dans sa chambre pour analyser les raisons de l’échec.
Quelques minutes après l’élimination de l’Argentine en 2002, Bielsa se claquait la tête contre les casiers du vestiaire tout en sanglotant. Deux ans plus tard, après sa démission, il s’est isolé trois mois dans un couvent avec des livres de football, sans télévision, ni téléphone.
Marcelo Bielsa, « El Loco unchained », par Thomas
SPORTS
10/01/2017
Bielsa, plus qu’un coach, une réputation
PAR OLIVIER FOSSEUXsports@lavoixdunord.fr
Marcelo Bielsa pourrait devenir en fin de semaine le prochain entraîneur du LOSC, le premier de l’ère Lopez. C’est en tout cas la piste numéro 1. Dans un livre intitulé « El Loco unchained », Thomas Goudin a tenté de décrypter le personnage au travers de multiples anecdotes sur l’Argentin.
>
FOOTBALL.
Ligue 1.
Quand l’offre d’un club lui paraît intéressante, il visionne au moins deux fois chaque match… THOMAS GOUDIN
1
Son surnom « Le Fou »
« El Loco » signifie le fou en espagnol. Pourquoi Bielsa est-il surnommé ainsi ? « Parce que certaines des réponses que je choisis ne correspondent pas à celles qui sont données communément », avait-il répondu lors de sa première conférence de presse à Marseille. Thomas Goudin affirme que les versions divergent.
Son surnom remonte à son enfance quand le petit Marcelo n’aimait pas s’habiller le matin pour aller au collège. Il dormait avec la veste de costard, la cravate et son pantalon « et les gens se disaient qu’il était fou », précise son frère aîné.
Une légende raconte qu’en 1992, une vingtaine de supporters se sont rendus à son domicile après une défaite de Rosario et que Bielsa leur aurait ouvert la porte une grenade à la main.
Il agit et réagit surtout comme un grand passionné, excès y compris.
2
Tout pour l’attaque
Selon le journaliste, la philosophie de Bielsa est d’accaparer le ballon pour passer la majeure partie du temps dans le camp adverse. Obsessionnel, Bielsa ne néglige aucun détail.
Il est capable de faire répéter inlassablement des enchaînements de passes. Un joueur raconte qu’il lui a fait tenter 70 centres consécutifs avant d’être satisfait.
3
Un accroc à la vidéo
Maniaque, méticuleux, Bielsa ne laisse rien au hasard et il reconnaît des vertus pédagogiques à la vidéo. En 1997, il s’est rendu au mariage de Martin Posse avec une cassette du dernier match de son équipe sous le bras.
Dans le même registre, en Corée pour le Mondial 2002, il s’est fait livrer une cargaison de 7 000 vidéos. Thomas Goudin précise : « Quand l’offre d’un club lui paraît intéressante, il visionne au moins deux fois chaque match de sa saison et édite un film sur chacun de ses joueurs. »
4
Souffrance et pénitence
En 1990, Bielsa avait confié : « La semaine suivant une défaite est un enfer. Je me sens inapte pour le bonheur pendant sept jours. » Concrètement, il refuse alors toute invitation chez des amis. Il peut s’enfermer pendant deux jours dans sa chambre pour analyser les raisons de l’échec.
Quelques minutes après l’élimination de l’Argentine en 2002, Bielsa se claquait la tête contre les casiers du vestiaire tout en sanglotant. Deux ans plus tard, après sa démission, il s’est isolé trois mois dans un couvent avec des livres de football, sans télévision, ni téléphone.
Marcelo Bielsa, « El Loco unchained », par Thomas
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
SPORTS
10/01/2017
« Il est le coach qu’il faut »
YANN DUPLOYE
<
>
Lancé en Ligue 1 par Marcelo Bielsa, Baptiste Aloé, le défenseur de Valenciennes prêté par l’OM, nous éclaire sur la méthode de l’entraîneur argentin, proche de s’engager avec le LOSC.
– Baptiste, quels souvenirs gardez-vous de Marcelo Bielsa ?
« Je n’ai que de très bons souvenirs ! C’est un entraîneur qui m’a marqué. Il a une vision du football incroyable. Il connaît tout. Il est très pointilleux, très dans le détail et il pousse toujours ses joueurs vers le haut. »
– Justement, quel type de coach est-il ?
« À l’entraînement, il ne lâche pas les joueurs. Il ne parle pas français, mais avec son discours, toujours basé sur le football, on comprend assez vite. Parfois, il peut élever la voix, mais jamais sans raison. Et puis il délègue beaucoup à son staff. Il observe et intervient. »
– Est-il proche de ses joueurs ?
« Pas tellement. Ce sont surtout ses adjoints qui le sont. Il parle parfois aux joueurs en tête à tête sur le terrain mais c’est tout. »
– Quelle est sa philosophie de jeu ?
« Elle est beaucoup tournée vers l’offensive et sur le marquage individuel sur tout le terrain. Cela demande une préparation physique assez poussée, mais elle est incluse dans les entraînements qui peuvent être assez longs. On y travaille tout. Le physique, donc, et aussi beaucoup la tactique. »
– Pensez-vous que Marcelo Bielsa soit le bon coach pour le LOSC ?
« Je pense qu’avec le rachat, Lille va entrer dans une nouvelle ère. J’ai vu que le projet était de faire grandir de jeunes joueurs et c’est sa marque de fabrique ! Avec Campos au recrutement de jeunes talents, Bielsa est le coach qu’il faut. Il regarde beaucoup les jeunes. Lui ou ses adjoints assistent aux matchs des U17, des U19 ou de CFA et il intègre pas mal de jeunes joueurs dans son groupe aux entraînements. »
– Dans sa carrière, il n’est jamais resté longtemps en poste...
« C’est vrai, il est comme ça. Avec lui, on ne sait jamais. Mais s’il se sent bien dans le club et qu’on lui donne les moyens qu’il demande, il est capable de s’inscrire sur la durée. »
10/01/2017
« Il est le coach qu’il faut »
YANN DUPLOYE
<
>
Lancé en Ligue 1 par Marcelo Bielsa, Baptiste Aloé, le défenseur de Valenciennes prêté par l’OM, nous éclaire sur la méthode de l’entraîneur argentin, proche de s’engager avec le LOSC.
– Baptiste, quels souvenirs gardez-vous de Marcelo Bielsa ?
« Je n’ai que de très bons souvenirs ! C’est un entraîneur qui m’a marqué. Il a une vision du football incroyable. Il connaît tout. Il est très pointilleux, très dans le détail et il pousse toujours ses joueurs vers le haut. »
– Justement, quel type de coach est-il ?
« À l’entraînement, il ne lâche pas les joueurs. Il ne parle pas français, mais avec son discours, toujours basé sur le football, on comprend assez vite. Parfois, il peut élever la voix, mais jamais sans raison. Et puis il délègue beaucoup à son staff. Il observe et intervient. »
– Est-il proche de ses joueurs ?
« Pas tellement. Ce sont surtout ses adjoints qui le sont. Il parle parfois aux joueurs en tête à tête sur le terrain mais c’est tout. »
– Quelle est sa philosophie de jeu ?
« Elle est beaucoup tournée vers l’offensive et sur le marquage individuel sur tout le terrain. Cela demande une préparation physique assez poussée, mais elle est incluse dans les entraînements qui peuvent être assez longs. On y travaille tout. Le physique, donc, et aussi beaucoup la tactique. »
– Pensez-vous que Marcelo Bielsa soit le bon coach pour le LOSC ?
« Je pense qu’avec le rachat, Lille va entrer dans une nouvelle ère. J’ai vu que le projet était de faire grandir de jeunes joueurs et c’est sa marque de fabrique ! Avec Campos au recrutement de jeunes talents, Bielsa est le coach qu’il faut. Il regarde beaucoup les jeunes. Lui ou ses adjoints assistent aux matchs des U17, des U19 ou de CFA et il intègre pas mal de jeunes joueurs dans son groupe aux entraînements. »
– Dans sa carrière, il n’est jamais resté longtemps en poste...
« C’est vrai, il est comme ça. Avec lui, on ne sait jamais. Mais s’il se sent bien dans le club et qu’on lui donne les moyens qu’il demande, il est capable de s’inscrire sur la durée. »
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
Davidovitch a écrit :Djeunzzz a écrit :Source of the post Palmieri dit qu'Hull ne le tuerait pas, tout compte fait.
Vu que ta vanne fait plouf je vais te mettre un lol philanthropique.
LOL
Le ridic'Hull ne tue pas .
Ben moi j'avais compris …..
LOSC : Bielsa sera nommé dès que Lopez a les clés
Alors que le LOSC est en passe d'être vendu à l'homme d'affaires Gérard Lopez, Marcelo Bielsa reste bien le grand favori pour devenir le prochain entraîneur du club nordiste. Selon les informations de L'Equipe, le technicien argentin serait nommé dans les prochains jours sur le banc des Dogues. L unique obstacle reste désormais l'officialisation de la vente du club mais celle-ci devrait intervenir cette semaine, avant même la prochaine rencontre en Ligue 1 contre l'AS Saint-Etienne.
Comme d’autres, Julian Palmieri lit les journaux et regarde la télé. Et sait déjà que le LOSC accueillera un nouvel entraîneur dans les tous prochains jours. L’arrivée à la tête du LOSC de Gérard Lopez, à la place de Michel Seydoux, va en effet conduire le club lillois à modifier son staff. Et comme la rumeur Marcelo Bielsa se confirme un peu plus de jours en jours, au détriment de Patrick Collot, Julian Palmieri a accepté de donner son opinion à nos confrères d’Eurosport.
« Pour l’instant, il n’y a rien et j’évite d’y penser. On a un entraîneur qui est en place et on ne fait qu’entendre des bruits. Mais ce serait mentir de dire que ça ne nous rend pas curieux. Si il reprend l’équipe, je suis impatient de travailler avec lui. On a tous vu les matches de l’OM sous ses ordres,. Je me souviens de matches où l’arrière gauche se retrouvait à presser le gardien, où on sentait une envie de la première à la dernière minute. Forcément, en tant que joueur, ça donne envie. C’est un football et un état d’esprit qui me correspondent. »
Alors que le LOSC est en passe d'être vendu à l'homme d'affaires Gérard Lopez, Marcelo Bielsa reste bien le grand favori pour devenir le prochain entraîneur du club nordiste. Selon les informations de L'Equipe, le technicien argentin serait nommé dans les prochains jours sur le banc des Dogues. L unique obstacle reste désormais l'officialisation de la vente du club mais celle-ci devrait intervenir cette semaine, avant même la prochaine rencontre en Ligue 1 contre l'AS Saint-Etienne.
Comme d’autres, Julian Palmieri lit les journaux et regarde la télé. Et sait déjà que le LOSC accueillera un nouvel entraîneur dans les tous prochains jours. L’arrivée à la tête du LOSC de Gérard Lopez, à la place de Michel Seydoux, va en effet conduire le club lillois à modifier son staff. Et comme la rumeur Marcelo Bielsa se confirme un peu plus de jours en jours, au détriment de Patrick Collot, Julian Palmieri a accepté de donner son opinion à nos confrères d’Eurosport.
« Pour l’instant, il n’y a rien et j’évite d’y penser. On a un entraîneur qui est en place et on ne fait qu’entendre des bruits. Mais ce serait mentir de dire que ça ne nous rend pas curieux. Si il reprend l’équipe, je suis impatient de travailler avec lui. On a tous vu les matches de l’OM sous ses ordres,. Je me souviens de matches où l’arrière gauche se retrouvait à presser le gardien, où on sentait une envie de la première à la dernière minute. Forcément, en tant que joueur, ça donne envie. C’est un football et un état d’esprit qui me correspondent. »
Je ne critique pas son implication ni son envie de bien faire mais je suis beaucoup plus réservé sur ses relances.
Après il faut également admettre qu'il tente parfois des trucs assez limites donc il a forcément du déchet dans son jeu.
Après il faut également admettre qu'il tente parfois des trucs assez limites donc il a forcément du déchet dans son jeu.
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
pfff... a écrit :Source of the post Mouais. Il mouille le maillot au moins, De toute facon, c est l exercice le plus en vogue sur ce forum. Critiquer les arrieres lateraux. Sidibe ou Souare ne trouvaient pas grace a vos yeux.
Scuzez votre honneur, j'ai largement défendu Souaré contre vents et fredtu
La vie est belle!
rud a écrit :Source of the post Mêmes commentaires sur Corchia qui se faisait balader à différents postes sur l'aile droite :
- mauvais placement
- mauvais en défense
- manque de puissance
- et bien entendu centre au 3e poteau.
Tout à fait exact ! Et perso j'avais fait remarquer que quand Beria jouait latéral droit , là son pote Balmont ne rechignait pas à faire les efforts défensifs et ne le laissait pas se démerder seul .
Tout les latéraux du monde se font critiquer exepter quelque rare joueur hor norme et c'est logique si on y réfléchie .
C'est un poste qui demande des qualité physique, d'anticipation et de lecture du jeu exceptionnelle ainsi qu'une bonne qualité de centre .
On trouvera toujours quelqu'un pour dire qu'un tel est trop offensif et oublie son replie défensif ou inversement .
C'est un poste qui demande des qualité physique, d'anticipation et de lecture du jeu exceptionnelle ainsi qu'une bonne qualité de centre .
On trouvera toujours quelqu'un pour dire qu'un tel est trop offensif et oublie son replie défensif ou inversement .
KoHpHaNgAn a écrit :Source of the postJeanne Massa a écrit :Les 3 derniers clubs de Bielsa c'est :
Lazio, où il se casse sans même être vraiment arrivé.
Marseille : Il se casse dès la 1ere journée de championnat après avoir fait poireauter le club pendant deux mois.
Bilbao : il se casse après avoir frappé le chef des travaux qui selon lui n'avançait pas assez vite.
Ca donne envie dis donc !
commentaire très facile!
Marseille, il se casse car les dirigeants lui ont fait des promesses qu'ils n'ont pas tenu...
Bilbao, il a été renvoyé, il ne se casse pas... c'est pas pareil
Quand tu tabasses un salarié d'une meme entreprise, il y a licenciement pour faute grave. C'est comme si tu signais toi même ta démission, hein'.
Et Marseille, tu peux trouver tout les défauts du monde à Labrune and co mais tu ne fais pas poireauter un club 2 mois pendant tout l'été pour finalement te casser après la première journée, c'est scandaleux.
Pour Gégélopez, la selection du Chili n'a pas fonctionné moins bien avec Sampaoli, au contraire.
Ceci dit, rendons à César ce qui appartient à César, c'est Bielsa qui a remis cette sélection sur la bonne route.
Autocrate a écrit :Source of the post On trouvera toujours quelqu'un pour dire qu'un tel est trop offensif et oublie son replie défensif ou inversement .
Oui. C est pour ca que je regarde si le latéral est offensif ou pas. S il est offensif, je ne le critiquerai pas sur son jeu défensif. Et inversement. Je regarde surtout s il doit souvent tacler (est il en retard sur son adversaire?), doit il jouer des mains façon Beria (même sentence), était il au centre de la surface pour compenser l absence des défenseurs centraux, auquel cas forcement il ne pouvait pas être au marquage derrière lui........ Plein de trucs comme ça. Par contre, ses centres, a moins qu il fasse vraiment n importe quoi, et surtout s il y a un seul partenaire dans la surface façon Girard, j évite de hurler car si c était un super offensif, il ne serait pas rétrograder au rang de latéral.
Je connais quelqu un qui n aime pas Palmieri car il a tendance a faire une bévue par match (et je l ai effectivement vu rendre des ballons a l adversaire). Je peux comprendre. Mais de la a dire que c est une nullité absolue....Il fait le métier et vu la place du LOSC au classement, il fait parfaitement l affaire. Comme l ont surement fait Souare, Sidibe et le neo international Corchia, pourtant bien pourris eux aussi....
Après, j aime bien les défenseurs lateraux qui ont du coffre. Car c est vrai, ils doivent être physiquement au top pour bouffer de l attaquant et ensuite participer au jeu. Lischteiner, Sidibe voir Aurier au PSG. Maxwell, c est franchement la classe.
Raouliché a écrit :Source of the post Paolo Maldini a pourtant existé
Oui, il y a de très rares exemples de joueurs qui s'en approchent.
Lizarazu avait un équilibre assez remarquable entre son apport offensif avec ses potes Zizou et Duga, et son entente défensive avec Blanc et Dessailly.
Je ne sais pas s'il va encore évoluer ou si au contraire il va plafonner, mais Sidibé me semble avoir les qualités intrinsèques pour devenir également une référence en matière de latéral moderne.
