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Sinon, symboliquement on y est, plus d'un Français sur 1000 est mort cette année du COVID.
1 mort pour 977 habitants exactement.
En Belgique on s'approche tout doucement de 1 mort pour 500 habitants.

P'tit louis a écrit :Source of the post On voit quand même qu'un cabinet privé a pris les choses en main : les power points sont très sympas.

McKinsey powaaaaaaaa !!!!!!!

Namtok a écrit :Source of the post Sinon, symboliquement on y est, plus d'un Français sur 1000 est mort cette année du COVID.
1 mort pour 977 habitants exactement.
En Belgique on s'approche tout doucement de 1 mort pour 500 habitants.

UNE GRIPPETTE !!!

Un vrai magicien le Joe. 10 kg de patates, un sac de sciure et il te fabrique 3 litres de 3 étoiles à l'alambique !

https://youtu.be/00_vy-f22nE

Nicobungy a écrit:
> [quote="P'tit louis"][post]425862[/post] On voit quand même qu'un cabinet privé a
> pris les choses en main : les power points sont très sympas.[/quote]
> McKinsey powaaaaaaaa !!!!!!!

Je te rassure. C'était du second degré !

raymondbarh a écrit :Source of the post

Namtok a écrit :Source of the post Sinon, symboliquement on y est, plus d'un Français sur 1000 est mort cette année du COVID.
1 mort pour 977 habitants exactement.
En Belgique on s'approche tout doucement de 1 mort pour 500 habitants.

UNE GRIPPETTE !!!

Rapporté sur 1 an (ou presque) d’épidémie c’est pas ouf.

Ok...

Bab a écrit :Source of the post

raymondbarh a écrit :Source of the post

Namtok a écrit :Source of the post Sinon, symboliquement on y est, plus d'un Français sur 1000 est mort cette année du COVID.
1 mort pour 977 habitants exactement.
En Belgique on s'approche tout doucement de 1 mort pour 500 habitants.

UNE GRIPPETTE !!!

Rapporté sur 1 an (ou presque) d’épidémie c’est pas ouf.

70000 morts en plus... Spaouf...

Fin 2019, 612000 décès en France. Année "normale".
On n'a pas encore les chiffres de 2020, mais même si on peut considérer qu'il y aura une baisse sensible de la mortalité due aux accidents de la route, pour le reste, on est dans des chiffres normaux, hors-COVID (et canicule, mais on a eu une canicule aussi en 2019).
On peut donc estimer qu'on va se rapprocher singulièrement des 700000 décès.
Soit une hausse minimale de plus de 10%.

C'est sûr, spaouf.

Bab a écrit :Source of the post

raymondbarh a écrit :Source of the post

Namtok a écrit :Source of the post Sinon, symboliquement on y est, plus d'un Français sur 1000 est mort cette année du COVID.
1 mort pour 977 habitants exactement.
En Belgique on s'approche tout doucement de 1 mort pour 500 habitants.

UNE GRIPPETTE !!!

Rapporté sur 1 an (ou presque) d’épidémie c’est pas ouf.

On parle du coût économique et social de cette grippette?

Alias Fr a écrit :Source of the post

Bab a écrit :Source of the post

raymondbarh a écrit :Source of the post
UNE GRIPPETTE !!!

Rapporté sur 1 an (ou presque) d’épidémie c’est pas ouf.

On parle du coût économique et social de cette grippette?

Il aurait peut-être été moindre si on avait empêché les gens de se contaminer depuis la fin du 1er confinement ...

Je le crois volontiers, on vient d'enregistrer le premier mort depuis mars ici avec un début de retour de l'épidémie, enfin ils ont pas 200 cas non plus.

Bon par contre, pas d'affichette dans les aéroports, on peut pas tout avoir.

mlebbe a écrit :Il aurait peut-être été moindre si on avait empêché les gens de se contaminer depuis la fin du 1er confinement ...

ça veut dire quoi empêcher les gens de se contaminer ?

En 2020, la France a connu la plus importante mortalité de son histoire récente, selon les chiffres de l’Insee, et ce sans même prendre en compte les morts survenues en toute fin d’année, et qui n’ont pas encore pu être comptabilisés.
Le nombre de 613 395 décès, correspondant au bilan déjà sans précédent de la mortalité en 2019, a été atteint dès le 5 décembre 2020, explique l’Insee au Monde. Selon le bilan le plus récent, entre le 1er janvier et le 28 décembre 2020, la France avait enregistré 659 941 décès. Soit un écart de plus de 46 000 morts.
« Ce nombre reste toutefois encore provisoire et pourrait être révisé à la hausse dans les prochaines semaines », prévient l’Institut.



Donc on a pas les chiffres précis mais pour l’instant les 700k on y est pas.

Pour avoir déjà eu l'occasion de manier certaines statistiques démographiques, il faut se méfier de certains chiffres bruts lancés sans perspective pluri-annuelle et surtout sans référence à la population concernée.

Comme il est dit plus haut (je ne sais plus par qui) déjà en 2019 la mortalité avait atteint des niveaux élevés. Mais quoi de surprenant, avec une population qui vieillit puisque l'âge moyen augmente du fait du double effet conjugué de l'allongement de la vie et de la moindre croissance des naissances (en gros le solde naturel diminue). Paradoxe bien connu des démographes : plus l'espérance de vie augmente, plus le poids des décès augmente dans la population puisque la pyramide des âges s'élargit chez les plus âgés qui meurent plus que les plus jeunes. Donc il y a un effet structurel qu'i faut isoler.

Deuxièmement, on sait que le Covid "tue" plus chez les personnes âgées (je m'excuse pour l'expression). Donc à structure d'âge inchangée, normal qu'il y ait plus de morts là où il y a plus de vieux.

Et dernier point qui va en faire bondir certains, est on sûr qu'on meurt du Covid (au sens où c'est cette pathologie fait mourir ?) ou du fait de la conjonction avec d'autres pathologies, le Covid ne faisant qu'accélérer le processus. En gros, certaines personnes meurent 3, 6 ou 12 mois avant la date "fatidique" sans covid. Et donc pour mesurer l'effet covid, il faut se référer à des statistiques glissantes sur au moins 2 ou 3 années. D'ailleurs, des gens peuvent mourir porteurs du Covid sans qu'il soit prouvé que ce "portage" ait eu un quelconque effet sur leur pathologie principale (mais là c'est plus le boulot d'un démographe mais d'un spécialiste médical).

C'est juste une démonstration statistique ce qui ne veut pas dire comme pourrait le sous entendre certains qu'il ne faudrait pas lutter contre le Covid et tout faire pour en protéger les victimes et surtout les plus porteurs d'autres pathologies. Je précise ça pour qu'on ne vienne pas me faire un procès en eugénisme mais quand on veut manier des données démographiques de mortalité, il faut aussi rentrer dans ce genre de considérations qui peuvent paraitre morbides.C'est toute la difficulté des sciences sociales : faire la différence entre le jugement de valeur et l'analyse la plus objective possible (qui en l'état est impossible selon moi à atteindre).

dans tous les cas les PFG ne se plaignent pas

Dageek a écrit :Source of the post

mlebbe a écrit :Il aurait peut-être été moindre si on avait empêché les gens de se contaminer depuis la fin du 1er confinement ...

ça veut dire quoi empêcher les gens de se contaminer ?

Rester confinés un peu plus longtemps, ne pas ouvrir les vannes en période de vacances aurait peut-être permis une reprise quasi normale de l'économie en Septembre. Le coût social, sans le sous-estimer, j'en parle pas, c'est incalculable !

En gros, tu penses à un confinement de mars à fin août ?
Je n'imagine même pas comme cela peut être possible

Je n'ai plus en tête les chiffres de l'époque mais si on continuait de suivre la courbe, pas sûr qu'il ait fallu confiner jusque fin Août.
Après, les chiffres et les courbes, on peut leur faire dire ce qu'on veut, je ne suis pas spécialiste et je dis peut-être des conneries mais je me dis juste que si on avait poussé un peu plus le confinement, peut-être que la situation serait meilleure aujourd'hui, on le saura jamais ...

jem59 a écrit:
> dans tous les cas les PFG ne se plaignent pas

A court terme c'est vrai mais les personnes qu'elles enterrent aujourd'hui, elles ne les enterreront pas dans 6 mois.... :)

Avec ce couvre-feu, pour ceux qui pensaient partir au ski, ça craint