sergent pepper a écrit :Pepper a écrit :Source of the postsergent pepper a écrit :48 pour la coupe du monde. Je trouve cela très chouette.
quand on voit que lors du dernier euro, ce sont les petits pays qui ont crée l'ambiance et l'athmosphère, ainsi que des matchs passionants (je pense à l'Islande, l'iralande...)
La coupe du monde, est une coupe du "Monde" et pas seulement une coupe ou seuls les élites, donc les meilleurs doivent jouer. Je suis pour. Largement favorable.
L’islande aurait ete qualifié même avec l’ancien format de l’euro.
La coupe du monde commence avec les éliminatoires. Le but est justement qu’il reste les 32 meilleurs en phase finale. A ce moment là faisons une coupe du monde à 193 comme ça pas de jaloux.
et bien pourquoi pas? A part pour l'organisation, je ne vois pas ou serait le problème. Nous pourrions tous découvrir des manières différentes d'aborder le football que ce soit dans le jeu et l'environnement.
L'impression qu'à chaque tournoi nous tombons contre les même (le danemark c'est souvent...) Qu'on offre plus de place pour des africains, des asiatiques et américains sans amputer l'europe. Comme on dit en Chine, plus on est de fou, moins il n'y a de riz.
Les petites équipes ne sont pas nécessairement celles qui mettent le bus devant leur cage, au contraire, elles jouent souvent crânement leur chance.
Non mais la coupe du monde à 193 elle existe déjà, c’est celle qu’on a actuellement . Des “phases finales” à 193 c est impossible par contre.
Namtok a écrit :Source of the post
12 poules de 4 équipes.
Les trois premiers qualifiés pour les 1/16ème. Simple et efficace.
Par contre, presque plus aucun intérêt de suivre les poules : confort excessif pour les têtes de série, des matchs qui ressembleraient à une préparation pour la suite, des équipes qui se qualifieraient parfois avec un simple point...
Intéressant!
Pour moi, ça ne peut-être que cette solution. C'est la plus réaliste car elle n'allongerait la compète que d'une semaine.
D'ailleurs, en réalité, dans ce modèle, seraient qualifiés pour les 1/16è: les 2 premiers de chaque poule ainsi que les 8 meilleurs 3èmes (pas tous).
Comme lors de l'Euro 2016. Inconvénient: phase de poules chiante et complexe à suivre avec ses multiples calculs pour les 3èmes (coucou les portugais). Avantage: un tour à élimination directe supplémentaire, le vrai sel de la compétition.
Des poules croisées, ça peut être intéressant aussi.
C'est à dire que les 3 équipes d'une poule jouent les 3 équipes d'une autre. Moins de possibilités de collusions mais aussi plus de matchs (de 80 à 128).
C'est le problème à la base, ne pas passer au delà des 80 matchs. La formule proposée limite la hausse de matchs, diminue le nombre de matchs moyens par équipe (de 4 à 3.3) et ne demande toujours que 7 matchs pour être champion du monde. Elle a ses défauts, mais aussi un certain nombre de qualité. En fait, comme le dit l'article, le calendrier sera vraiment important. A-t-on 16 équipes nettement plus fortes ou nettement plus faibles? je ne pense pas.
C'est à dire que les 3 équipes d'une poule jouent les 3 équipes d'une autre. Moins de possibilités de collusions mais aussi plus de matchs (de 80 à 128).
C'est le problème à la base, ne pas passer au delà des 80 matchs. La formule proposée limite la hausse de matchs, diminue le nombre de matchs moyens par équipe (de 4 à 3.3) et ne demande toujours que 7 matchs pour être champion du monde. Elle a ses défauts, mais aussi un certain nombre de qualité. En fait, comme le dit l'article, le calendrier sera vraiment important. A-t-on 16 équipes nettement plus fortes ou nettement plus faibles? je ne pense pas.
Fifagate: 4 ans de prison pour l'ex-patron du foot brésilien José Maria Marin
L'ancien président de la Fédération brésilienne de football José Maria Marin arrive au palais de justice de Brooklyn, le 13 décembre 2017
New York (AFP) - L'ex-patron de la puissante fédération de football brésilienne, José Maria Marin, a été condamné mercredi à quatre ans de détention, devenant le premier grand patron du ballon rond à être envoyé derrière les barreaux par la justice américaine dans le scandale du "Fifagate".
José Maria Marin, 86 ans, avait été déclaré coupable en décembre dernier de six chefs d'inculpation, pour participation à la corruption de la fédération, fraude bancaire et blanchiment d'argent, au terme d'un procès-fleuve à New York sur la corruption au sein de la puissante instance de direction du football mondial.
M. Marin "aurait pu et dû dire "non" au lieu de tendre la main et d'entrer dans le jeu" de la corruption qui minait les responsables du football d'Amérique latine, a déclaré la juge fédérale de Manhattan Pamela Chen en annonçant sa sentence
Il "dit aimer le sport, mais lui et ses co-conspirateurs étaient le cancer du sport qu'il dit aimer", a ajouté la juge qui a présidé au dossier Fifa.
L'accusation avait requis contre lui 10 ans de prison, tandis que la défense voulait limiter la peine à 13 mois de détention, vu son âge et sa santé fragile.
Des témoins avaient affirmé lors du procès que M. Marin et son numéro deux, Marco Polo del Nero, avaient touché à eux deux quelque 6,55 millions de dollars de pots-de-vin, versés par des sociétés de marketing sportif en échange de l'octroi des droits de diffusion télé et de promotion de grands tournois de football sud-américains.
- Mourir en prison -
Les dépositions avaient étalé au grand jour la corruption entourant le sport le plus populaire au monde, exposant le train de vie luxueux de M. Marin et d'autres barons du football d'Amérique du Sud et d'Amérique centrale.
Détenu depuis le 22 décembre à la prison de Brooklyn, M. Marin a comparu mercredi en tenue beige de prisonnier.
Il n'a pas demandé pardon à l'audience, ni exprimé de remords. Mais il a lu une lettre, assurant qu'il ne savait pas au moment des faits que ce qu'il faisait été répréhensible.
Evoquant son épouse de presque 60 ans devant la juge, il a éclaté en sanglots: "Je peux mourir en prison (...) L'héritage de ma femme et de ma famille, ne leur enlevez pas les moyens de survivre!"
"Je suis très malade, je suis un homme sans avenir", a-t-il ajouté.
M. Marin a aussi été condamné à payer 1,2 million de dollars d'amende et à rembourser les 3,3 millions de dollars de pots-de-vin qu'il a perçus.
Une audience devrait avoir lieu en octobre pour arrêter les sommes à restituer aux victimes -- la Fifa, la confédération sud-américaine Conmebol et la Concacaf, confédération pour l'Amérique du Nord, centrale et les Caraïbes.
Les avocats de M. Marin avaient tenté de faire valoir au procès qu'en dépit de son titre formel de président de la puissante fédération brésilienne, il ne décidait rien sans Marco Polo del Nero, également inculpé par la justice américaine, mais qui a réussi à éviter l'extradition.
- Corruption toujours d'actualité -
Le procès a couronné des années d'enquête internationale par la police fédérale (FBI) et les services fiscaux américains, partis sur la trace de la Fifa en 2010, après l'attribution du Mondial-2022 au Qatar au détriment de la candidature américaine.
L'enquête avait été révélée au grand jour en mai 2015, avec l'arrestation à Zurich de M. Marin et d'autres responsables du football, en marge du congrès de la Fifa.
Si elle a provoqué la démission de l'ex-président de la Fédération internationale Sepp Blatter, la question de la corruption autour des juteux droits télévisés continue d'ébranler les grands du football.
Le patron du PSG et de BeIN Media, le Qatari Nasser Al-Khelaïfi, et l'ex-adjoint de M. Blatter, le Français Jérôme Valcke, sont aujourd'hui accusés par la justice suisse de corruption autour de l'attribution de droits télé des Coupes du monde 2026 et 2030. Des accusations qu'ils démentent.
Au total, la justice américaine a inculpé 42 responsables du football mondial, essentiellement des Sud-Américains, mais aussi des Américains comme Chuck Blazer, témoin-clé du FBI décédé en juillet 2017.
D'autres encore ont réussi à éviter leur extradition aux Etats-Unis, comme l'ancien vice-président de la Fifa Jack Warner, de Trinité-et-Tobago, ou Marco Polo del Nero, toujours en liberté au Brésil, même s'il a été exclu à vie de toute activité dans le football.
M. Marin avait été déclaré coupable en décembre en même temps que Juan Angel Napout, un Paraguayen ex-président de la Conmebol, accusé d'avoir perçu 10,5 millions de dollars de pots-de-vin. Napout, 60 ans, devrait connaître sa peine le 29 août.
L'ancien président de la Fédération brésilienne de football José Maria Marin arrive au palais de justice de Brooklyn, le 13 décembre 2017
New York (AFP) - L'ex-patron de la puissante fédération de football brésilienne, José Maria Marin, a été condamné mercredi à quatre ans de détention, devenant le premier grand patron du ballon rond à être envoyé derrière les barreaux par la justice américaine dans le scandale du "Fifagate".
José Maria Marin, 86 ans, avait été déclaré coupable en décembre dernier de six chefs d'inculpation, pour participation à la corruption de la fédération, fraude bancaire et blanchiment d'argent, au terme d'un procès-fleuve à New York sur la corruption au sein de la puissante instance de direction du football mondial.
M. Marin "aurait pu et dû dire "non" au lieu de tendre la main et d'entrer dans le jeu" de la corruption qui minait les responsables du football d'Amérique latine, a déclaré la juge fédérale de Manhattan Pamela Chen en annonçant sa sentence
Il "dit aimer le sport, mais lui et ses co-conspirateurs étaient le cancer du sport qu'il dit aimer", a ajouté la juge qui a présidé au dossier Fifa.
L'accusation avait requis contre lui 10 ans de prison, tandis que la défense voulait limiter la peine à 13 mois de détention, vu son âge et sa santé fragile.
Des témoins avaient affirmé lors du procès que M. Marin et son numéro deux, Marco Polo del Nero, avaient touché à eux deux quelque 6,55 millions de dollars de pots-de-vin, versés par des sociétés de marketing sportif en échange de l'octroi des droits de diffusion télé et de promotion de grands tournois de football sud-américains.
- Mourir en prison -
Les dépositions avaient étalé au grand jour la corruption entourant le sport le plus populaire au monde, exposant le train de vie luxueux de M. Marin et d'autres barons du football d'Amérique du Sud et d'Amérique centrale.
Détenu depuis le 22 décembre à la prison de Brooklyn, M. Marin a comparu mercredi en tenue beige de prisonnier.
Il n'a pas demandé pardon à l'audience, ni exprimé de remords. Mais il a lu une lettre, assurant qu'il ne savait pas au moment des faits que ce qu'il faisait été répréhensible.
Evoquant son épouse de presque 60 ans devant la juge, il a éclaté en sanglots: "Je peux mourir en prison (...) L'héritage de ma femme et de ma famille, ne leur enlevez pas les moyens de survivre!"
"Je suis très malade, je suis un homme sans avenir", a-t-il ajouté.
M. Marin a aussi été condamné à payer 1,2 million de dollars d'amende et à rembourser les 3,3 millions de dollars de pots-de-vin qu'il a perçus.
Une audience devrait avoir lieu en octobre pour arrêter les sommes à restituer aux victimes -- la Fifa, la confédération sud-américaine Conmebol et la Concacaf, confédération pour l'Amérique du Nord, centrale et les Caraïbes.
Les avocats de M. Marin avaient tenté de faire valoir au procès qu'en dépit de son titre formel de président de la puissante fédération brésilienne, il ne décidait rien sans Marco Polo del Nero, également inculpé par la justice américaine, mais qui a réussi à éviter l'extradition.
- Corruption toujours d'actualité -
Le procès a couronné des années d'enquête internationale par la police fédérale (FBI) et les services fiscaux américains, partis sur la trace de la Fifa en 2010, après l'attribution du Mondial-2022 au Qatar au détriment de la candidature américaine.
L'enquête avait été révélée au grand jour en mai 2015, avec l'arrestation à Zurich de M. Marin et d'autres responsables du football, en marge du congrès de la Fifa.
Si elle a provoqué la démission de l'ex-président de la Fédération internationale Sepp Blatter, la question de la corruption autour des juteux droits télévisés continue d'ébranler les grands du football.
Le patron du PSG et de BeIN Media, le Qatari Nasser Al-Khelaïfi, et l'ex-adjoint de M. Blatter, le Français Jérôme Valcke, sont aujourd'hui accusés par la justice suisse de corruption autour de l'attribution de droits télé des Coupes du monde 2026 et 2030. Des accusations qu'ils démentent.
Au total, la justice américaine a inculpé 42 responsables du football mondial, essentiellement des Sud-Américains, mais aussi des Américains comme Chuck Blazer, témoin-clé du FBI décédé en juillet 2017.
D'autres encore ont réussi à éviter leur extradition aux Etats-Unis, comme l'ancien vice-président de la Fifa Jack Warner, de Trinité-et-Tobago, ou Marco Polo del Nero, toujours en liberté au Brésil, même s'il a été exclu à vie de toute activité dans le football.
M. Marin avait été déclaré coupable en décembre en même temps que Juan Angel Napout, un Paraguayen ex-président de la Conmebol, accusé d'avoir perçu 10,5 millions de dollars de pots-de-vin. Napout, 60 ans, devrait connaître sa peine le 29 août.
Uruguay: La Fifa décide de prendre le contrôle d'une fédération en plein chaos
FOOTBALL - Le président de la fédération uruguayenne a démissionné à la surprise générale…
La Fifa a pris le contrôle de la Fédération uruguayenne de football (AUF), en plein chaos après la démission inattendue de son président fin juillet, a-t-on appris mardi.
L’instance internationale a mis en place un « comité de régularisation » qui doit remettre de l’ordre dans l’AUF. Son mandat s’achèvera le 28 février 2019 et d’ici là, ce comité en « révisera les statuts » et organisera de nouvelles élections.
L’enregistrement qui fait tache
La Fédération uruguayenne est en plein marasme depuis la démission le 30 juillet de Wilmar Valdez, président de l’AUF qui était favori pour un nouveau mandat lors de l’élection prévue le lendemain.
Cette démission soudaine est intervenue peu après la diffusion d’enregistrements qui mettraient en difficulté Valdez. Si le contenu de ces enregistrements n’est pas encore connu, des médias spécialisés évoquent des propos visant des dirigeants sportifs, un membre du gouvernement, des journalistes sportifs et des supporters.
FOOTBALL - Le président de la fédération uruguayenne a démissionné à la surprise générale…
La Fifa a pris le contrôle de la Fédération uruguayenne de football (AUF), en plein chaos après la démission inattendue de son président fin juillet, a-t-on appris mardi.
L’instance internationale a mis en place un « comité de régularisation » qui doit remettre de l’ordre dans l’AUF. Son mandat s’achèvera le 28 février 2019 et d’ici là, ce comité en « révisera les statuts » et organisera de nouvelles élections.
L’enregistrement qui fait tache
La Fédération uruguayenne est en plein marasme depuis la démission le 30 juillet de Wilmar Valdez, président de l’AUF qui était favori pour un nouveau mandat lors de l’élection prévue le lendemain.
Cette démission soudaine est intervenue peu après la diffusion d’enregistrements qui mettraient en difficulté Valdez. Si le contenu de ces enregistrements n’est pas encore connu, des médias spécialisés évoquent des propos visant des dirigeants sportifs, un membre du gouvernement, des journalistes sportifs et des supporters.
sergent pepper a écrit :
et bien pourquoi pas? A part pour l'organisation, je ne vois pas ou serait le problème. Nous pourrions tous découvrir des manières différentes d'aborder le football que ce soit dans le jeu et l'environnement.
L'impression qu'à chaque tournoi nous tombons contre les même (le danemark c'est souvent...) Qu'on offre plus de place pour des africains, des asiatiques et américains sans amputer l'europe. Comme on dit en Chine, plus on est de fou, moins il n'y a de riz.
Les petites équipes ne sont pas nécessairement celles qui mettent le bus devant leur cage, au contraire, elles jouent souvent crânement leur chance.
La Coupe du Monde a toujours été plus sympa a regarder qu'un Euro car bien plus exotique. Ce qui ne veut pas dire que le niveau global est meilleur, loin de là.
32 équipes pour un mondial est largement suffisant, et 5 pour l'Afrique c'est limite trop vu la faiblesse de ce football ces dernières saisons. Alors je sais bien qu'en Europe nous sommes culturellement plus proche du football Africain que du football Asiatique ou Nord-Américain, mais pour la différence de niveau est flagrante.
Alors si on doit en plus se taper le Soudan, l'Angola, le Tchad, ça va vraiment pas le faire.
Par contre, ça n'a rien à voir avec une quelconque histoire de "mettre le bus" ou pas, chaque équipe fait avec les moyens du bord.
Pour rappel, l'équipe championne du Monde en 2018 a volontairement totalement refusé le jeu à partir du second match de la compétition, et ça leur a réussi. Ce qui a du pousser dans la déprime nos mini-Guardiola, mini-Bielsa et nos mini-Renard présents sur le forum et précheurs du bofoutbol.
Didier Deschamps élu Meilleur Entraineur FIFA de l'année
Remporter ce qu'il y a de plus grand à gagner en tant que joueur et le refaire en tant qu'entraîneur est quelque chose d'exceptionnel.
Tellement remarquable que Didier Deschamps est devenu le troisième homme seulement dans l'histoire, après Mario Zagallo et Franz Beckenbauer, à soulever la Coupe du Monde de la FIFA™ comme joueur puis comme entraîneur.
Remporter ce qu'il y a de plus grand à gagner en tant que joueur et le refaire en tant qu'entraîneur est quelque chose d'exceptionnel.
Tellement remarquable que Didier Deschamps est devenu le troisième homme seulement dans l'histoire, après Mario Zagallo et Franz Beckenbauer, à soulever la Coupe du Monde de la FIFA™ comme joueur puis comme entraîneur.
Baratte a écrit :Source of the post Dani Alves dans le 11 mondial , alors que même en L1 il a pris le bouillon face à certains adversaires ( en Europe , j'en parle même pas ) et que Meunier lui est largement supérieur ...
+1 pour Meunier qui est vraiment excellent, même en ce moment
SamT a écrit :Source of the post Quelle mascarade cette cérémonie.....
On est victime du complot anti français et anti losc, on a vraiment pas de bol.
La FIFA n'aime pas la France et la lfp n'aime pas le losc.
A Lens c'était les corons.
La bière ça c'est leur boisson.
Ils aiment les petits garçons.
Leurs grand-père c'est aussi leurs darons.
La bière ça c'est leur boisson.
Ils aiment les petits garçons.
Leurs grand-père c'est aussi leurs darons.
DonnieD a écrit :Namtok a écrit :Source of the post
12 poules de 4 équipes.
Les trois premiers qualifiés pour les 1/16ème. Simple et efficace.
Par contre, presque plus aucun intérêt de suivre les poules : confort excessif pour les têtes de série, des matchs qui ressembleraient à une préparation pour la suite, des équipes qui se qualifieraient parfois avec un simple point...
Intéressant!
Pour moi, ça ne peut-être que cette solution. C'est la plus réaliste car elle n'allongerait la compète que d'une semaine.
D'ailleurs, en réalité, dans ce modèle, seraient qualifiés pour les 1/16è: les 2 premiers de chaque poule ainsi que les 8 meilleurs 3èmes (pas tous).
Comme lors de l'Euro 2016. Inconvénient: phase de poules chiante et complexe à suivre avec ses multiples calculs pour les 3èmes (coucou les portugais). Avantage: un tour à élimination directe supplémentaire, le vrai sel de la compétition.
Une compèt intéréssante à 48 équipes ?
16 équipes qualifiées d'office en seizième de finale
32 équipes qui disputent un pré-tour (1/32e de finale), les 16 vainqueurs de ce pré-tour rejoignent les 16 qualifiés d'office.
Tout en élimination directe.
Enfin du suspens ! Evidemment, ça ne se fera jamais, on préferera une coupe du monde avec le Bhoutan, le Sri Lanka et les Comores.
Mondial 2022 au Qatar: La Fifa renonce à son projet à 48 équipes
GEOPOLITIQUE Le blocus imposé par les pays voisins compliquait la tenue de matchs supplémentaires
Gianni Infantino devra attendre quatre ans de plus. Le président de la Fifa, dont la première décision avait été de faire passer le Mondial-2026 à 48 équipes, a échoué à faire adopter sa mesure dès le Mondial-2022 au Qatar, en raison notamment du blocus imposé par les pays voisins. Le Mondial-2022 au Qatar conserve donc son format original avec 32 équipes et « aucune proposition ne sera soumise au congrès de la Fifa le 5 juin à Paris », ajoute l’instance.
Le projet de Gianni Infantino se heurtait à un obstacle géopolitique majeur avec le blocus imposé au Qatar par plusieurs pays voisins. « L’implication de ces pays dans l’organisation du tournoi conjointement avec le Qatar implique la levée de ce blocus, en particulier la levée des restrictions sur les mouvements de personnes et de biens », soulignait ainsi l’étude de faisabilité soumise en mars aux membres du Conseil de la Fifa.
48 équipes en 2026
Ce format à 48 équipes, déjà entériné pour le Mondial-2026 qui sera disputé dans trois pays (Etats-Unis, Canada et Mexique), implique de passer de 64 à 80 matchs.
Une étude de faisabilité consultée par l’AFP assurait qu’une Coupe du monde au Qatar avec 48 équipes au lieu de 32 générerait « entre 300 et 400 millions de dollars (entre 265 et 354 millions d’euros) de revenus supplémentaires ». Dans le détail, la Fifa tablait sur 120 millions de dollars supplémentaires de droits TV, 150 millions en droits marketing et 90 millions en billetterie. Des spécialistes du marketing et des droits TV se disaient cependant « sceptiques » sur les prévisions « optimistes » de la Fifa concernant ces revenus supplémentaires.
GEOPOLITIQUE Le blocus imposé par les pays voisins compliquait la tenue de matchs supplémentaires
Gianni Infantino devra attendre quatre ans de plus. Le président de la Fifa, dont la première décision avait été de faire passer le Mondial-2026 à 48 équipes, a échoué à faire adopter sa mesure dès le Mondial-2022 au Qatar, en raison notamment du blocus imposé par les pays voisins. Le Mondial-2022 au Qatar conserve donc son format original avec 32 équipes et « aucune proposition ne sera soumise au congrès de la Fifa le 5 juin à Paris », ajoute l’instance.
Le projet de Gianni Infantino se heurtait à un obstacle géopolitique majeur avec le blocus imposé au Qatar par plusieurs pays voisins. « L’implication de ces pays dans l’organisation du tournoi conjointement avec le Qatar implique la levée de ce blocus, en particulier la levée des restrictions sur les mouvements de personnes et de biens », soulignait ainsi l’étude de faisabilité soumise en mars aux membres du Conseil de la Fifa.
48 équipes en 2026
Ce format à 48 équipes, déjà entériné pour le Mondial-2026 qui sera disputé dans trois pays (Etats-Unis, Canada et Mexique), implique de passer de 64 à 80 matchs.
Une étude de faisabilité consultée par l’AFP assurait qu’une Coupe du monde au Qatar avec 48 équipes au lieu de 32 générerait « entre 300 et 400 millions de dollars (entre 265 et 354 millions d’euros) de revenus supplémentaires ». Dans le détail, la Fifa tablait sur 120 millions de dollars supplémentaires de droits TV, 150 millions en droits marketing et 90 millions en billetterie. Des spécialistes du marketing et des droits TV se disaient cependant « sceptiques » sur les prévisions « optimistes » de la Fifa concernant ces revenus supplémentaires.
Mondial 2022 au Qatar: Platini en garde à vue, Guéant suspect libre
https://www.mediapart.fr/journal/france ... ampaign=CM
https://www.mediapart.fr/journal/france ... ampaign=CM
https://twitter.com/Mediapart/status/1140890479615197184