Feuille de match LOSC - Amiens SC
VS
Saison 2019/2020 - 1/4 de finale
Mercredi 08 janvier 2020 à 21H05
Stade Pierre Mauroy
Officiels
Arbitre centre : BASTIEN BENOIT
Arbitre assistant 1 : ZAKRANI HICHAM
Arbitre assistant 2 : DANIZAN ERIC
Arbitre remplaçant : STINAT JEREMY
Arbitre assistant sup / vidéo 1 : DELAJOD WILLY
Arbitre assistant sup / vidéo 2 : CHAOUI ABDELALI
Diffuseurs
VS
Saison 2019/2020 - 1/4 de finale
Mercredi 08 janvier 2020 à 21H05
Stade Pierre Mauroy
Officiels
Arbitre centre : BASTIEN BENOIT
Arbitre assistant 1 : ZAKRANI HICHAM
Arbitre assistant 2 : DANIZAN ERIC
Arbitre remplaçant : STINAT JEREMY
Arbitre assistant sup / vidéo 1 : DELAJOD WILLY
Arbitre assistant sup / vidéo 2 : CHAOUI ABDELALI
Diffuseurs
dodger a écrit :Source of the post Ça m'étonnerait qu'ils viennent avec leur équipe B.
Ont-ils une équipe A ?
Chacun son métier, les vaches seront bien gardées - (Le Vacher et le Garde-chasse) - Jean Pierre Claris de Florian (1755-1794)
daddycool a écrit :Source of the postdodger a écrit :Source of the post Ça m'étonnerait qu'ils viennent avec leur équipe B.
Ont-ils une équipe A ?
Faut se méfier, on n'est pas à l'abri d'un arbitrage de merde, d'une VAR contradictoire et d'un exploit d'un ex-lillois !
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
On perd plus qu'on ne gagne contre Amiens... mais bon, la dynamique et le terrain sont de notre coté.
"On va être Champions [...] Vous êtes des chiens de combat ! Ne vous inquiétez pas, on va être Champion la semaine prochaine. [...] Vous allez voir ! Contre n'importe qui ! Vous allez voir !" // Burak
Christophe Galtier (Lille) entraîneur français de l'année 2019 : «Pour être performant, il faut avoir la boule au ventre».
Adjoint durant dix ans
«J'ai été adjoint avec des entraîneurs différents, dans des clubs différents, dans des situations différentes. Durant toutes ces années, j'ai pris, j'ai fait l'éponge. C'est rangé dans un tiroir et ça ne demande qu'à sortir. Et quand on se retrouve en situation, ça ressort sans effort, naturellement. Je me souviens de ce que me disait Javier Clemente (côtoyé à l'OM au début des années 2000), et hop, avec le préparateur espagnol, j'ai une accroche. Même chose avec Abel Braga qui avait connu le Portugal, le Brésil, et comme j'ai des Portugais... Je me suis nourri dès ma première séance d'entraîneur adjoint. Nourri d'échanges, d'observations, de matches, de lectures... Je me suis nourri de tout pour me construire, grandir, me développer, m'améliorer, pour ne pas m'enfermer».
Saint-Etienne, Lille, deux clubs en dix ans
«Je ne suis pas quelqu'un de passage. J'ai besoin de relations humaines, je ne pense pas être un homme de coup, je n'aime pas changer pour changer. J'ai du mal à me projeter au-delà du LOSC. C'était la même chose à Saint-Etienne. Là-bas, c'était vert, toujours vert ; ici, c'est rouge, toujours rouge.»
Lille, l'incroyable saison
«À moi, avec mon équipe, avec la structure sportive, d'avoir des résultats, de faire grandir les joueurs, de les améliorer afin qu'ils partent au bout de dix-huit mois, deux ans. Le club est obligé de vendre».
«C'est inespéré si je me projette à mon arrivée, il y a deux ans. Un tel grand écart était impensable au début de la saison (2018-19). Le président, Luis (Campos), tous, on s'était dit : "Passons une saison agréable. On stabilise, on développe et on verra." Il a fallu redessiner l'effectif sur ce que je voulais voir de mon équipe, ce que je voulais vivre avec mon équipe. Je souhaitais que ce soit agréable, avec de l'exigence, des comportements irréprochables. Pour cela, il fallait que ces jeunes joueurs, qui sont au cœur du projet, soient encadrés par des joueurs référence, des exemples dans le comportement, dans le professionnalisme. Ça s'est mis en place assez vite. J'ai senti rapidement, dès le stage au Portugal, avec les modifications de l'effectif, qu'on allait la vivre, cette saison agréable. De là à penser qu'elle serait exceptionnelle !»
Le projet lillois
«Je dois avoir des résultats sportifs ET des résultats financiers. Des résultats financiers qui ne sont pas indexés sur les résultats sportifs, même si, évidemment, quand on termine deuxième, ç'a une incidence. Le club est obligé de vendre et de bien vendre chaque saison. Ce n'est pas simple, mais on est dans ce projet et ce projet est très clair. À moi, avec mon équipe, avec la structure sportive, d'avoir des résultats, de faire grandir les joueurs, de les améliorer a?n qu'ils partent au bout de dix-huit mois, deux ans. Le club est obligé de vendre, pas pour gagner de l'argent mais pour fonctionner, tout simplement».
L'avenir
«Je ne serai pas un vieil entraîneur. Disons que quand ce sera l'heure de la retraite, je la prendrai. J'ai trop de choses à partager avec mes proches. Et pourtant, j'ai vraiment le football dans le sang, et même sans doute plus la fonction d'entraîneur que de joueur. J'ai passé mon premier diplôme à 16 ans, j'ai eu mon deuxième degré à 27 ans. À 28, j'ai failli arrêter. J'ai toujours voulu - pas rêvé, voulu - être entraîneur. À quel niveau, je ne savais pas : adjoint, à la formation... Mais j'ai toujours voulu et très tôt encadrer des joueurs. Le football est très important pour moi, ce métier aussi, mais je crois qu'il y a un temps pour tout».
https://www.francefootball.fr/news/Chri ... 19/1095948
Élu par ses pairs et prédécesseurs «meilleur entraîneur français de l'année 2019», le coach de Lille a longuement reçu FF pour évoquer sa vie et sa vision de technicien, en toute transparence. Morceaux choisis.
Adjoint durant dix ans
«J'ai été adjoint avec des entraîneurs différents, dans des clubs différents, dans des situations différentes. Durant toutes ces années, j'ai pris, j'ai fait l'éponge. C'est rangé dans un tiroir et ça ne demande qu'à sortir. Et quand on se retrouve en situation, ça ressort sans effort, naturellement. Je me souviens de ce que me disait Javier Clemente (côtoyé à l'OM au début des années 2000), et hop, avec le préparateur espagnol, j'ai une accroche. Même chose avec Abel Braga qui avait connu le Portugal, le Brésil, et comme j'ai des Portugais... Je me suis nourri dès ma première séance d'entraîneur adjoint. Nourri d'échanges, d'observations, de matches, de lectures... Je me suis nourri de tout pour me construire, grandir, me développer, m'améliorer, pour ne pas m'enfermer».
Saint-Etienne, Lille, deux clubs en dix ans
«Je ne suis pas quelqu'un de passage. J'ai besoin de relations humaines, je ne pense pas être un homme de coup, je n'aime pas changer pour changer. J'ai du mal à me projeter au-delà du LOSC. C'était la même chose à Saint-Etienne. Là-bas, c'était vert, toujours vert ; ici, c'est rouge, toujours rouge.»
Lille, l'incroyable saison
«À moi, avec mon équipe, avec la structure sportive, d'avoir des résultats, de faire grandir les joueurs, de les améliorer afin qu'ils partent au bout de dix-huit mois, deux ans. Le club est obligé de vendre».
«C'est inespéré si je me projette à mon arrivée, il y a deux ans. Un tel grand écart était impensable au début de la saison (2018-19). Le président, Luis (Campos), tous, on s'était dit : "Passons une saison agréable. On stabilise, on développe et on verra." Il a fallu redessiner l'effectif sur ce que je voulais voir de mon équipe, ce que je voulais vivre avec mon équipe. Je souhaitais que ce soit agréable, avec de l'exigence, des comportements irréprochables. Pour cela, il fallait que ces jeunes joueurs, qui sont au cœur du projet, soient encadrés par des joueurs référence, des exemples dans le comportement, dans le professionnalisme. Ça s'est mis en place assez vite. J'ai senti rapidement, dès le stage au Portugal, avec les modifications de l'effectif, qu'on allait la vivre, cette saison agréable. De là à penser qu'elle serait exceptionnelle !»
Le projet lillois
«Je dois avoir des résultats sportifs ET des résultats financiers. Des résultats financiers qui ne sont pas indexés sur les résultats sportifs, même si, évidemment, quand on termine deuxième, ç'a une incidence. Le club est obligé de vendre et de bien vendre chaque saison. Ce n'est pas simple, mais on est dans ce projet et ce projet est très clair. À moi, avec mon équipe, avec la structure sportive, d'avoir des résultats, de faire grandir les joueurs, de les améliorer a?n qu'ils partent au bout de dix-huit mois, deux ans. Le club est obligé de vendre, pas pour gagner de l'argent mais pour fonctionner, tout simplement».
L'avenir
«Je ne serai pas un vieil entraîneur. Disons que quand ce sera l'heure de la retraite, je la prendrai. J'ai trop de choses à partager avec mes proches. Et pourtant, j'ai vraiment le football dans le sang, et même sans doute plus la fonction d'entraîneur que de joueur. J'ai passé mon premier diplôme à 16 ans, j'ai eu mon deuxième degré à 27 ans. À 28, j'ai failli arrêter. J'ai toujours voulu - pas rêvé, voulu - être entraîneur. À quel niveau, je ne savais pas : adjoint, à la formation... Mais j'ai toujours voulu et très tôt encadrer des joueurs. Le football est très important pour moi, ce métier aussi, mais je crois qu'il y a un temps pour tout».
https://www.francefootball.fr/news/Chri ... 19/1095948
Modifié en dernier par solid.snake le lun. 6 janv. 2020 16:08, modifié 2 fois.
Deux fois qu'il dit que le club est obligé de vendre...
D'ordinaire il ne parle pas de cet aspect.
On prépare tout doucement les esprits à la vente de quelques cadres?
D'ordinaire il ne parle pas de cet aspect.
On prépare tout doucement les esprits à la vente de quelques cadres?
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
Conférence de presse LOSC- ASC Christophe Galtier & Luiz Araújo aujourd'hui, à partir de 12h30 en live-vidéo sur Facebook et http://LOSC.FR
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Calamar, Charlypocket, daddycool, dimitar, dirk, Djeunzzz, Dogue-Son, Google [Bot], Lolo_the_bestNC, losc_vador, Med, MrK, Nick Cave, nikus, piaire-entouane, Quentin, sergent pepper, Xylophène, Yodiscut et 63 invités