Mrjo a écrit :Source of the post Sinon le maire de Seoul se serait suicidé pour présomption d'harcèlement sexuel.
Chez nous, la double présomption de viol ouvre des portes... ^^
on va dire que la présomption d'innocence ne ferme pas de portes
La culture, c’est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale.
Jean Delacour ou Pierre Desproges
Jean Delacour ou Pierre Desproges
Mrjo a écrit :Source of the post Sinon le maire de Seoul se serait suicidé pour présomption d'harcèlement sexuel.
Chez nous, la double présomption de viol ouvre des portes... ^^
Si demain ta voisine va porter plainte contre toi pour viol, tu vas te suicider ?
Sinon, j'espère qu'au moins, tu vas démissionner de ton boulot, ce serait le minimum.
eljano a écrit :Mrjo a écrit :Source of the post Sinon le maire de Seoul se serait suicidé pour présomption d'harcèlement sexuel.
Chez nous, la double présomption de viol ouvre des portes... ^^
Si demain ta voisine va porter plainte contre toi pour viol, tu vas te suicider ?
Sinon, j'espère qu'au moins, tu vas démissionner de ton boulot, ce serait le minimum.
Heureusement caudron n'a pas fait pareil.
eljano a écrit :Source of the postMrjo a écrit :Source of the post Sinon le maire de Seoul se serait suicidé pour présomption d'harcèlement sexuel.
Chez nous, la double présomption de viol ouvre des portes... ^^
Si demain ta voisine va porter plainte contre toi pour viol, tu vas te suicider ?
Sinon, j'espère qu'au moins, tu vas démissionner de ton boulot, ce serait le minimum.
Mes voisines sont vieilles, de ce coté, non des deux cotés^^, je suis tranquille.
L'humour est un vaccin, y'a que les que les cons qui n'ont pas trouvé la pharmacie.
P. Perret.
P. Perret.
eljano a écrit :Source of the postMrjo a écrit :Source of the post Sinon le maire de Seoul se serait suicidé pour présomption d'harcèlement sexuel.
Chez nous, la double présomption de viol ouvre des portes... ^^
Si demain ta voisine va porter plainte contre toi pour viol, tu vas te suicider ?
Sinon, j'espère qu'au moins, tu vas démissionner de ton boulot, ce serait le minimum.
Quoi, Mrjo a violé sa voisine, j'aurais jamais cru !
bredt a écrit :eljano a écrit :Source of the postMrjo a écrit :Source of the post Sinon le maire de Seoul se serait suicidé pour présomption d'harcèlement sexuel.
Chez nous, la double présomption de viol ouvre des portes... ^^
Si demain ta voisine va porter plainte contre toi pour viol, tu vas te suicider ?
Sinon, j'espère qu'au moins, tu vas démissionner de ton boulot, ce serait le minimum.
Quoi, Mrjo a violé sa voisine, j'aurais jamais cru !
Ben non justement, c'est juste sa voisine qui l'accuse...
Christophe Aurier, footballeur amateur, frère de Serge Aurier. Tué par balle à Toulouse.
Apparemment il avait un passif judiciaire.
Cela dit 26 ans, c'est toujours trop jeune.
Apparemment il avait un passif judiciaire.
Cela dit 26 ans, c'est toujours trop jeune.
Vince a écrit :RIP J J Lionel: la danse des canards
https://pbs.twimg.com/card_img/12833360 ... name=small
Oh my God. J'allais justement l'écouter.
C'est fou comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde.
Boris Vian
Boris Vian
Il a sa place ici mon copain, on a passé le conseil de revision ensemble
LOCALE
18/07/2020
Le Club Mob pleure Michel Maes, son créateur, décédé jeudi
Par Carine Bausièrevilleneuvedascq@lavoixdunord.fr
Pendant plusieurs dizaines d’années, Michel Maes a mis ses compétences en mécanique au service des jeunes de la commune. Photo archives La Voix.
Le Club Mob récupérait de vieux engins que les jeunes retapaient.
Le conseil municipal de ce jeudi soir a démarré avec une triste nouvelle. Michel Maes, créateur du Club Mob, est décédé ce jeudi midi, à l’âge de 86 ans. Depuis cette annonce, les réactions et hommages se multiplient.
Faches-Thumesnil.
« Nous avons appris aujourd’hui… » Très ému, Patrick Proisy, le maire, n’a pas su aller au bout de sa phrase en ouverture de séance. C’est Fabien Podsiadlo-Régnier, l’un de ses adjoints, qui a pris le relais. « Nous avons appris aujourd’hui le décès de Michel Maes, que nous étions nombreux à connaître. »
Il a remis bien des jeunes de ma génération sur terre dans le respect et la pédagogie.
Dans l’attente de lui rendre hommage « comme il se doit », les élus ont observé une minute de silence en mémoire de cette figure. Car la moustache et la voix rocailleuse de Michel Maes étaient légendaires dans la commune. Humaniste, communiste convaincu, il a créé le Club Mob, une association de mécanique dont il a fait une véritable école de la vie.
D’abord en bas de chez lui, avec une rallonge électrique descendant de son appartement, puis dans un vrai local à l’entrée du stade Merchier, il a accueilli des centaines d’enfants et d’ados à qui il a mis les mains dans le cambouis. « Ils n’apprennent pas que la mécanique ici. Je veux leur transmettre la discipline et surtout, l’amour du travail. C’est avec ça qu’ils pourront revendiquer un métier… mais sans se laisser faire par le patronat quand même ! », nous expliquait-il en 2015, en plissant son éternel œil malicieux. Promis, dans les réservoirs des engins bricolés, il ne mettait pas « de faucilles ni de marteaux, juste de l’essence, hein ! ».
Mais pour le plomb dans les cervelles, c’était « open bar . Car s’il n’avait pas poussé très haut, Michel Maes n’avait pas besoin de crier pour se faire entendre. Un fanfaron vautré sur une selle, certain de pouvoir vivre sans travailler ? « Les chômeurs professionnels ? Non merci ! », rétorquait le « patron ». Et rien que pour cela, ils sont nombreux à pouvoir lui dire merci d’avoir trouvé une voie à suivre dans leur vie.
Son nom au Club Mob ?
Cela explique les nombreuses réactions à l’annonce de son décès. Les messages affluent sur les réseaux sociaux pour saluer « un homme rare », note un internaute, « un petit monsieur par la taille mais si grand par ses actes », ajoute une autre. « Il a consacré sa vie à aider les autres », rappelle René Pille, ancien conseiller municipal. Mais finalement, ce sont ses nombreux apprentis qui en parlent le mieux. « Il a remis bien des jeunes de ma génération sur terre dans le respect et la pédagogie. Mais il ne fallait pas trop le chatouiller tout de même ! », résume l’un d’eux. Ils sont aussi plusieurs à lancer la même idée : que le local du Club Mob, au stade, porte désormais le nom de ce « monsieur en or », « investi à 300 % pour les jeunes ».
LOCALE
18/07/2020
Le Club Mob pleure Michel Maes, son créateur, décédé jeudi
Par Carine Bausièrevilleneuvedascq@lavoixdunord.fr
Pendant plusieurs dizaines d’années, Michel Maes a mis ses compétences en mécanique au service des jeunes de la commune. Photo archives La Voix.
Le Club Mob récupérait de vieux engins que les jeunes retapaient.
Le conseil municipal de ce jeudi soir a démarré avec une triste nouvelle. Michel Maes, créateur du Club Mob, est décédé ce jeudi midi, à l’âge de 86 ans. Depuis cette annonce, les réactions et hommages se multiplient.
Faches-Thumesnil.
« Nous avons appris aujourd’hui… » Très ému, Patrick Proisy, le maire, n’a pas su aller au bout de sa phrase en ouverture de séance. C’est Fabien Podsiadlo-Régnier, l’un de ses adjoints, qui a pris le relais. « Nous avons appris aujourd’hui le décès de Michel Maes, que nous étions nombreux à connaître. »
Il a remis bien des jeunes de ma génération sur terre dans le respect et la pédagogie.
Dans l’attente de lui rendre hommage « comme il se doit », les élus ont observé une minute de silence en mémoire de cette figure. Car la moustache et la voix rocailleuse de Michel Maes étaient légendaires dans la commune. Humaniste, communiste convaincu, il a créé le Club Mob, une association de mécanique dont il a fait une véritable école de la vie.
D’abord en bas de chez lui, avec une rallonge électrique descendant de son appartement, puis dans un vrai local à l’entrée du stade Merchier, il a accueilli des centaines d’enfants et d’ados à qui il a mis les mains dans le cambouis. « Ils n’apprennent pas que la mécanique ici. Je veux leur transmettre la discipline et surtout, l’amour du travail. C’est avec ça qu’ils pourront revendiquer un métier… mais sans se laisser faire par le patronat quand même ! », nous expliquait-il en 2015, en plissant son éternel œil malicieux. Promis, dans les réservoirs des engins bricolés, il ne mettait pas « de faucilles ni de marteaux, juste de l’essence, hein ! ».
Mais pour le plomb dans les cervelles, c’était « open bar . Car s’il n’avait pas poussé très haut, Michel Maes n’avait pas besoin de crier pour se faire entendre. Un fanfaron vautré sur une selle, certain de pouvoir vivre sans travailler ? « Les chômeurs professionnels ? Non merci ! », rétorquait le « patron ». Et rien que pour cela, ils sont nombreux à pouvoir lui dire merci d’avoir trouvé une voie à suivre dans leur vie.
Son nom au Club Mob ?
Cela explique les nombreuses réactions à l’annonce de son décès. Les messages affluent sur les réseaux sociaux pour saluer « un homme rare », note un internaute, « un petit monsieur par la taille mais si grand par ses actes », ajoute une autre. « Il a consacré sa vie à aider les autres », rappelle René Pille, ancien conseiller municipal. Mais finalement, ce sont ses nombreux apprentis qui en parlent le mieux. « Il a remis bien des jeunes de ma génération sur terre dans le respect et la pédagogie. Mais il ne fallait pas trop le chatouiller tout de même ! », résume l’un d’eux. Ils sont aussi plusieurs à lancer la même idée : que le local du Club Mob, au stade, porte désormais le nom de ce « monsieur en or », « investi à 300 % pour les jeunes ».
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
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