Et comme à chaque fois, il faudra un bon 6 mois pour que les automatismes se fassent, avec les résultats qui vont avec, soit un parcours en C1 difficile et un probable ventre mou en hiver.
J'espère qu'ils ont budgétisé une qualif en C3 et pas en C1 en fin de saison ...
J'espère qu'ils ont budgétisé une qualif en C3 et pas en C1 en fin de saison ...
gblosc a écrit :Source of the post Et comme à chaque fois, il faudra un bon 6 mois pour que les automatismes se fassent, avec les résultats qui vont avec, soit un parcours en C1 difficile et un probable ventre mou en hiver.
J'espère qu'ils ont budgétisé une qualif en C3 et pas en C1 en fin de saison ...
Vaut mieux rien budgétiser du tout, on repart pour un nouveau cycle, c'est le flou un peu
Gourvennec n'est pas un mauvais coach en soi (ou en tout cas, ce n'était pas l'idée que j'avais de lui).
En revanche, c'est le message envoyé par la Direction en le nommant. Et j'ai peur que cela ne fasse pas venir de bons joueurs, et cela ne retiendra pas les bons qu'on a chez nous (Botman, Sanches, Celik, Yazici, Burak, Ikoné...).
En revanche, c'est le message envoyé par la Direction en le nommant. Et j'ai peur que cela ne fasse pas venir de bons joueurs, et cela ne retiendra pas les bons qu'on a chez nous (Botman, Sanches, Celik, Yazici, Burak, Ikoné...).
Il nous fait prendre les 6 points habituels contre les bouseux et une victoire au vélodrome et c'est mon nouveau dieu.
Modifié en dernier par Bérurier le lun. 5 juil. 2021 20:49, modifié 1 fois.
Mon père inversait les S avec les V et comme il s'appelait Serge il a beaucoup souffert.
PO a écrit :Source of the post Ca prouve au moins que Létang et son staff savent garder un secret.
Tous ceux qui aiment les rumeurs risquent d'en être pour leurs frais pour d'éventuels futurs départs et arrivées.
LOL.
Maintenant que Gourvenec est confirmé sur le site officiel, je lui souhaite la bienvenue, comme on l'avait fait avec tous nos précédent coaches, parce qu'on est dans le Nord et qu'on ne va pas devenir aussi cons que des marseillais.
J'espère qu'il poursuivra le travail de Galtier. Je ne vois pas fondamentalement ce qu'il l'en empêcherait. C'est un entraîneur expérimenté de L1, tout comme l'étaient Galtier, Antonetti ou Girard en arrivant chez nous. Reste désormais à voir quel effectif le Président Létang va mettre à sa disposition. Si c'est un effectif à la Bordeaux ou à la Guingamp, il fera du Bordeaux ou du Guingamp. Et si c'est un effectif du niveau du LOSC de ces 3 dernières années, il y a matière à espérer.
A suivre donc.
La voix de la raison, je plussoie.
Laissons le travailler, on est pas à l'abri d'une bonne surprise. Bienvenue Jocelyn, fan de Morrissey !
Lucky a écrit :Source of the postMiladin Béca a écrit :Moi je l'aime bien Gourvennec même si je n'aurais jamais imaginé le voir signer au Losc.
On fera le bilan dans 10 mois, comme pour tous les autres.
Tu veux dire dans 10 matchs de L1:)
Victoire contre Nice obligatoire!
Bordeaux : naissance d’un nouveau projet de jeu
PAR FLORENT TONIUTTI · PUBLICATION 12 AOÛT 2016 · MIS À JOUR 11 DÉCEMBRE 2016
Après une saison 2015-16 catastrophique à tous points de vue, les Girondins repartent pour un nouvel exercice avec de vraies ambitions. S’il n’est peut-être pas terminé, le mercato est d’ores et déjà une réussite avec l’arrivée d’anciens internationaux (Toulalan, Ménez) et surtout le départ de joueurs qui ont déçu ces dernières saisons.
Mais la meilleure recrue se trouve peut-être sur le banc de touche en la personne de Jocelyn Gourvennec. L’ex-entraîneur de l’En Avant de Guingamp est arrivé avec les idées claires et a très vite posé son empreinte sur le collectif girondin avec son traditionnel 4-4-2. Alors que faut-il retenir de la pré-saison bordelaise sur le plan tactique ? Analyses détaillées après avoir visionné les rencontres face à Angers (0-3), Lorient (3-1) et Osasuna (1-1).
Un effectif remodelé :
Avant même de parler des arrivées, ce sont les départs qui donnent l’impression d’un véritable changement d’ère en Gironde. Excepté Debuchy, impossible à conserver, tous les joueurs qui ont quitté le club cet été ne rentraient pas dans le projet de jeu porté par le nouvel entraîneur, de Chantôme à Diabaté en passant par Poko et Yambéré.
A l’inverse, les arrivées s’inscrivent parfaitement dans ce dernier. Toulalan va apporter son expérience et a déjà une grande influence sur la qualités des sorties de balle de l’équipe (il suffit de voir la rencontre face à Osasuna où il n’est pas là et qui a vu les Girondins bien plus brouillons dans ce secteur). Kamano et Sabaly sont là pour faire jouer la concurrence dans les couloirs. Enfin, si son dos l’épargne, Ménez devrait devenir le leader technique de l’attaque.
A ces recrues, il faut aussi ajouter le retour de prêt de Gaetan Laborde, convaincant avec Clermont la saison dernière et qui a une vraie carte à jouer dans le nouveau système de jeu à deux attaquants.
4-4-2 : la base de travail
Bien qu’il soit encore un « jeune entraîneur » (44 ans), Jocelyn Gourvennec est dans le « métier » depuis 8 ans maintenant. L’ancien Nantais a eu le temps de parfaire ses convictions tactiques. Et celles-ci s’appuient avant tout sur un cadre bien établi, le 4-4-2, qu’il décrivait il y a quelques jours à la Dépêche : « dans mon esprit il faut 2 points de fixation devant. Ensuite, je ne trouve pas plus cohérent (que le 4-4-2) pour défendre collectivement. »
Après l’avoir pratiqué pendant 6 ans à Guingamp, Gourvennec a apporté son schéma fétiche en Gironde, qui en a de très bons souvenirs (champion de France 99). Du coup d’envoi du premier match de préparation face à Pau jusqu’au coup de sifflet final face à Osasuna, Bordeaux n’est jamais sorti de ce système. Une différence qui tranche avec les (trop) nombreuses expérimentations de la période Sagnol.
En ne changeant jamais, le système assure une stabilité au niveau de l’animation défensive et des consignes données à chacun. Avec le ballon, ce sont les choix d’hommes qui dictent l’animation. Cela se ressent surtout sur les côtés où Touré, Malcom, Traoré et Kamano apportent chacun des choses différentes. Même chose devant avec Rolan, Laborde, Thelin et… Malcom qui, en attendant Ménez, a été testé à tous les postes offensifs.
Loin d’être établie dans tous les secteurs, la hiérarchie sera peut-être modifié d’ici la fin du mois d’août. S’il ne fait pas la Une des journaux transferts, Diego Rolan reste un joueur suivi de près par plusieurs clubs étrangers et un départ de dernière minute est toujours possible. Dans l’autre sens, le club ne serait pas contre une dernière recrue en défense centrale. Un mouvement qui apparaîtrait judicieux vu que l’effectif ne compte plus que deux spécialistes du poste (Pallois et Pablo).
Une défense collective…
« Je ne trouve pas plus cohérent pour défendre collectivement. » Lorsqu’il doit expliquer sa préférence pour le 4-4-2, Jocelyn Gourvennec dévoile une autre facette de sa vision d’entraîneur : la défense est collective. Sur le terrain, Bordeaux s’est attaché à bien défendre en bloc, que ce soit pour aller chercher l’adversaire dans son camp ou bloquer le milieu ou défendre bas dans sa moitié de terrain.
Sans grande surprise, les Girondins ont pris l’habitude d’attendre leurs adversaires dans l’entrejeu (bloc médian). En première ligne, les attaquants déclenchent le travail collectif en orientant la relance vers les côtés. Le reste du bloc coulisse ensuite afin de objectif de réduire les espaces et récupérer le ballon. Une articulation des plus classiques.
Les deux attaquants ont un rôle capital à jouer dans ce système. Un 4-4-2 ne peut pas tenir sur la durée sans leur aide. Les exemples qui réussissent ont été nombreux dernièrement (Atletico Madrid, Leicester). Les deux joueurs positionnés en pointe sont à la fois les déclencheurs du pressing, mais aussi des aides bienvenues pour combler les brèches qui peuvent se créer dans le bloc-équipe lorsque l’adversaire conserve le ballon.
A ce niveau, Bordeaux a pu compter sur des éléments impliqués dans l’effort défensif. Diego Rolan, Malcom et Gaetan Laborde n’ont pas été avares en courses à chaque fois qu’ils se sont retrouvés aux avants-postes. Leur mobilité et leur endurance ont tranché avec leur prédécesseur Diabaté, certes meilleur buteur bordelais sur les dernières saisons mais incapable de faire ce travail sur la durée (rendant quasi-impossible le bon fonctionnement d’un système à deux attaquants).
Autre point positif, les excentrés se sont aussi montrés impliqués défensivement. On pouvait s’inquiéter du changement tactique qu’allait provoquer ce nouveau système pour des joueurs comme Malcom ou Touré (en attendant de vraiment voir Ounas à l’oeuvre). Ces derniers ont toutefois vite intégré la nouvelle animation défensive, se déplaçant désormais en fonction de leurs partenaires et non plus en fonction de l’adversaire (on en revient à la notion de défense collective).
Attention toutefois au traditionnel « état de grâce » qui accompagne chaque changement d’entraîneur. La saison n’a pas débuté, des places sont encore à gagner et il n’est pas surprenant de voir des joueurs appliqués défensivement. Reste à savoir comment l’effectif entier réagira sur la durée.
… en danger quand les lignes s’étirent
Face à Angers, Lorient et Osasuna, la défense bordelaise n’a pas vraiment été poussée dans ses retranchements. Si l’on arrête l’analyse aux 9 buts encaissés par les Girondins durant la préparation, seulement deux sont intervenus sur des attaques placées de l’adversaire (Lorient et Bilbao). A chaque fois, on retrouve la même origine : une différence individuelle faite par un joueur sur l’aile (Koffi pour Lorient, Inaki Williams pour Bilbao).
Peut-on toutefois en déduire que Bordeaux va s’appuyer sur une défense solide pour débuter la saison ? Bien sûr que non. D’abord parce qu’il y a eu 7 autres buts encaissés, dont trois sur coups de pied arrêtés et d’autres consécutifs à de grosses erreurs individuelles (Poundjé, Sertic, Pallois). Ensuite parce que presque tous les joueurs peuvent encore progresser dans leurs interventions défensives : certains n’osent pas mettre le pied, d’autres pêchent encore par manque de vivacité.
A court terme, le plus gros chantier collectif se situe au niveau de la cohésion du bloc et plus particulièrement le comportement de la ligne défensive. Cette dernière a parfois du mal à être au diapason des deux autres. Car lorsque les attaquants et les milieux sortent au pressing dans le camp adverse, Bordeaux parvient à gratter des ballons intéressants…
La suite ici https://www.chroniquestactiques.fr/ligue1-girondins-bordeaux-analyse-tactique-preparation-saison-442-jocelyn-gourvennec-16819/
PAR FLORENT TONIUTTI · PUBLICATION 12 AOÛT 2016 · MIS À JOUR 11 DÉCEMBRE 2016
Après une saison 2015-16 catastrophique à tous points de vue, les Girondins repartent pour un nouvel exercice avec de vraies ambitions. S’il n’est peut-être pas terminé, le mercato est d’ores et déjà une réussite avec l’arrivée d’anciens internationaux (Toulalan, Ménez) et surtout le départ de joueurs qui ont déçu ces dernières saisons.
Mais la meilleure recrue se trouve peut-être sur le banc de touche en la personne de Jocelyn Gourvennec. L’ex-entraîneur de l’En Avant de Guingamp est arrivé avec les idées claires et a très vite posé son empreinte sur le collectif girondin avec son traditionnel 4-4-2. Alors que faut-il retenir de la pré-saison bordelaise sur le plan tactique ? Analyses détaillées après avoir visionné les rencontres face à Angers (0-3), Lorient (3-1) et Osasuna (1-1).
Un effectif remodelé :
Avant même de parler des arrivées, ce sont les départs qui donnent l’impression d’un véritable changement d’ère en Gironde. Excepté Debuchy, impossible à conserver, tous les joueurs qui ont quitté le club cet été ne rentraient pas dans le projet de jeu porté par le nouvel entraîneur, de Chantôme à Diabaté en passant par Poko et Yambéré.
A l’inverse, les arrivées s’inscrivent parfaitement dans ce dernier. Toulalan va apporter son expérience et a déjà une grande influence sur la qualités des sorties de balle de l’équipe (il suffit de voir la rencontre face à Osasuna où il n’est pas là et qui a vu les Girondins bien plus brouillons dans ce secteur). Kamano et Sabaly sont là pour faire jouer la concurrence dans les couloirs. Enfin, si son dos l’épargne, Ménez devrait devenir le leader technique de l’attaque.
A ces recrues, il faut aussi ajouter le retour de prêt de Gaetan Laborde, convaincant avec Clermont la saison dernière et qui a une vraie carte à jouer dans le nouveau système de jeu à deux attaquants.
4-4-2 : la base de travail
Bien qu’il soit encore un « jeune entraîneur » (44 ans), Jocelyn Gourvennec est dans le « métier » depuis 8 ans maintenant. L’ancien Nantais a eu le temps de parfaire ses convictions tactiques. Et celles-ci s’appuient avant tout sur un cadre bien établi, le 4-4-2, qu’il décrivait il y a quelques jours à la Dépêche : « dans mon esprit il faut 2 points de fixation devant. Ensuite, je ne trouve pas plus cohérent (que le 4-4-2) pour défendre collectivement. »
Après l’avoir pratiqué pendant 6 ans à Guingamp, Gourvennec a apporté son schéma fétiche en Gironde, qui en a de très bons souvenirs (champion de France 99). Du coup d’envoi du premier match de préparation face à Pau jusqu’au coup de sifflet final face à Osasuna, Bordeaux n’est jamais sorti de ce système. Une différence qui tranche avec les (trop) nombreuses expérimentations de la période Sagnol.
En ne changeant jamais, le système assure une stabilité au niveau de l’animation défensive et des consignes données à chacun. Avec le ballon, ce sont les choix d’hommes qui dictent l’animation. Cela se ressent surtout sur les côtés où Touré, Malcom, Traoré et Kamano apportent chacun des choses différentes. Même chose devant avec Rolan, Laborde, Thelin et… Malcom qui, en attendant Ménez, a été testé à tous les postes offensifs.
Loin d’être établie dans tous les secteurs, la hiérarchie sera peut-être modifié d’ici la fin du mois d’août. S’il ne fait pas la Une des journaux transferts, Diego Rolan reste un joueur suivi de près par plusieurs clubs étrangers et un départ de dernière minute est toujours possible. Dans l’autre sens, le club ne serait pas contre une dernière recrue en défense centrale. Un mouvement qui apparaîtrait judicieux vu que l’effectif ne compte plus que deux spécialistes du poste (Pallois et Pablo).
Une défense collective…
« Je ne trouve pas plus cohérent pour défendre collectivement. » Lorsqu’il doit expliquer sa préférence pour le 4-4-2, Jocelyn Gourvennec dévoile une autre facette de sa vision d’entraîneur : la défense est collective. Sur le terrain, Bordeaux s’est attaché à bien défendre en bloc, que ce soit pour aller chercher l’adversaire dans son camp ou bloquer le milieu ou défendre bas dans sa moitié de terrain.
Sans grande surprise, les Girondins ont pris l’habitude d’attendre leurs adversaires dans l’entrejeu (bloc médian). En première ligne, les attaquants déclenchent le travail collectif en orientant la relance vers les côtés. Le reste du bloc coulisse ensuite afin de objectif de réduire les espaces et récupérer le ballon. Une articulation des plus classiques.
Les deux attaquants ont un rôle capital à jouer dans ce système. Un 4-4-2 ne peut pas tenir sur la durée sans leur aide. Les exemples qui réussissent ont été nombreux dernièrement (Atletico Madrid, Leicester). Les deux joueurs positionnés en pointe sont à la fois les déclencheurs du pressing, mais aussi des aides bienvenues pour combler les brèches qui peuvent se créer dans le bloc-équipe lorsque l’adversaire conserve le ballon.
A ce niveau, Bordeaux a pu compter sur des éléments impliqués dans l’effort défensif. Diego Rolan, Malcom et Gaetan Laborde n’ont pas été avares en courses à chaque fois qu’ils se sont retrouvés aux avants-postes. Leur mobilité et leur endurance ont tranché avec leur prédécesseur Diabaté, certes meilleur buteur bordelais sur les dernières saisons mais incapable de faire ce travail sur la durée (rendant quasi-impossible le bon fonctionnement d’un système à deux attaquants).
Autre point positif, les excentrés se sont aussi montrés impliqués défensivement. On pouvait s’inquiéter du changement tactique qu’allait provoquer ce nouveau système pour des joueurs comme Malcom ou Touré (en attendant de vraiment voir Ounas à l’oeuvre). Ces derniers ont toutefois vite intégré la nouvelle animation défensive, se déplaçant désormais en fonction de leurs partenaires et non plus en fonction de l’adversaire (on en revient à la notion de défense collective).
Attention toutefois au traditionnel « état de grâce » qui accompagne chaque changement d’entraîneur. La saison n’a pas débuté, des places sont encore à gagner et il n’est pas surprenant de voir des joueurs appliqués défensivement. Reste à savoir comment l’effectif entier réagira sur la durée.
… en danger quand les lignes s’étirent
Face à Angers, Lorient et Osasuna, la défense bordelaise n’a pas vraiment été poussée dans ses retranchements. Si l’on arrête l’analyse aux 9 buts encaissés par les Girondins durant la préparation, seulement deux sont intervenus sur des attaques placées de l’adversaire (Lorient et Bilbao). A chaque fois, on retrouve la même origine : une différence individuelle faite par un joueur sur l’aile (Koffi pour Lorient, Inaki Williams pour Bilbao).
Peut-on toutefois en déduire que Bordeaux va s’appuyer sur une défense solide pour débuter la saison ? Bien sûr que non. D’abord parce qu’il y a eu 7 autres buts encaissés, dont trois sur coups de pied arrêtés et d’autres consécutifs à de grosses erreurs individuelles (Poundjé, Sertic, Pallois). Ensuite parce que presque tous les joueurs peuvent encore progresser dans leurs interventions défensives : certains n’osent pas mettre le pied, d’autres pêchent encore par manque de vivacité.
A court terme, le plus gros chantier collectif se situe au niveau de la cohésion du bloc et plus particulièrement le comportement de la ligne défensive. Cette dernière a parfois du mal à être au diapason des deux autres. Car lorsque les attaquants et les milieux sortent au pressing dans le camp adverse, Bordeaux parvient à gratter des ballons intéressants…
La suite ici https://www.chroniquestactiques.fr/ligue1-girondins-bordeaux-analyse-tactique-preparation-saison-442-jocelyn-gourvennec-16819/
Bérurier a écrit :Source of the post Bande d'enfants pourris gâtés. En pleurnichant comme vous le faites, vous donnez de l'eau au moulin de JD le FDP et toute sa clique sur Twitter qui doivent bien s'amuser en vous lisant.
Ne vous trompez pas d'ennemis, nos ennemis ne sont pas Letang et Gourvenec mais toute cette horde de bâtards qui n'attendent que notre chute.
Moi c'est eux que je vomis.
Peux pas mieux dire...
Perso je suis écoeuré de ce que je lis depuis que la rumeur est apparue. Je ne reconnais pas ni mon club nima région & travers les commentaires de ceux qui se réclament supporters du losc. On peut ne pas apprécier le choix tout en gardant du respect pour l'homme. Le cliché c'est de dire que les gens du nord ont le sens de l'accueil. Là je me crois sur le pire des forums marseillais entouré de rené Malville et Mohamed Henni! Vraiment triste, pas sur que je poste a nouveau avant la reprise de la saison de championnat.
« Je connaissais Marie, Jean, Paul, Jean-Marie, Jean-Paul, et même Marie-Paule, mais Marijampole, connais pas. »
Et virez-moi ces frites-saucisses belge industrielles. De la galette sarrazin-avec de la saucisse bretonne, le tout arrosé d'une bonne bolée de cidre brut de ferme qui te nettoie les ratiches mieux qu'un détartrage !
En voilà un qui ne va pas chougner sur le climat lillois. C'est déjà ça.
En voilà un qui ne va pas chougner sur le climat lillois. C'est déjà ça.
Certains ici avaient vu juste.
Je me souviens ses propos très positifs sur Canal lors du derby.
C'était du placement de produit.
Je me souviens ses propos très positifs sur Canal lors du derby.
C'était du placement de produit.