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Hors ligneMessageCRICRI » jeu. 16 déc. 2021 11:54


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Hors ligneMessagePLE » jeu. 16 déc. 2021 11:56

Comme deja dit le directeur d elisa et Letang ne s entendent pas bien du tout . D où des tensions et notamment aucuns cadeaux de la part d elisa , qui a notamment refusé de faire la remise des trophées au GS au mois de mai dernier prétextant qu il n avait eu l info que 48 h avant ( mouais) .Letang a réduit équipe (lucchin) qui travaille avec elisa passant de 5 personnes a ...2 , ce que n a pas apprécié elisa , plus divers serrage de vis financier .
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Hors ligneMessagePO » jeu. 16 déc. 2021 12:06

Ce stade a été ouvert en 2012. Ma mémoire me fait peut-être défaut, mais je ne crois pas me rappeler que cette pelouse ait réussi à faire plus d'une saison sans être changée.

Si les 3 pires pelouses de L1, Lille, Nice, Lyon, sont celles de 3 stades récents avec une toiture couvrante ne laissant que peu d'heures d'ensoleillement par jour, c'est qu'il y a une raison simplement botanique à la médiocrité de ces pelouses. Hormis le PSG, les meilleures pelouses de France sont dans des stades old school avec 4 tribunes séparées.

Je radote, mais je pense que quand les archi ont conçu ce stade et démarré sa construction en 2010, ils étaient sans doute convaincu que le gazon synthétique ferait des progrès spectaculaires dans les années qui suivent et que ça réglerait le pb. Or, à ce jour le gazon synthétique n'a pas convaincu, après les échecs de Lorient et Nancy, au point d'être interdit en L1 (La blessure de Boufal à Lorient aura d'ailleurs été décisive sur ce dossier en L1).

Les fabricants se sont sans doute résolus à ne pas être présents sur les pelouses de L1 et de se contenter du business des clubs amateurs, à coup sûr bien plus lucratif compte-tenu du nombre de clubs.

La question qui se pose néanmoins, c'est pourquoi, il existe des championnats pro où on y joue régulièrement ?

L'autre question est de l'ordre du dilemme : Faut-il mieux jouer sur un champs de patates naturel ou sur un billard en gazon synthétique ?

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Hors ligneMessageVanrijsel » jeu. 16 déc. 2021 12:21

PO a écrit :Source of the post Ce stade a été ouvert en 2012. Ma mémoire me fait peut-être défaut, mais je ne crois pas me rappeler que cette pelouse ait réussi à faire plus d'une saison sans être changée.


Je me souviens en particulier du 1er match de rugby qui avait été joué par le XV de France à PM précisément sur cette période. Diffusé sur F2 si ma mémoire est bonne.

Le champignon qui s'était développé faisait déjà des ravages pour les matchs du Losc... Mais franchement, ces mêlées de rugby, où les mottes de terres de 10cm d'épaisseur se soulevaient sous les pieds des joueurs, étaient visuellement d'un grotesque absolu.

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Hors ligneMessageBab » jeu. 16 déc. 2021 13:06

Reste à faire une pétition pour prolonger Reinildo.

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Hors ligneMessageLucky » jeu. 16 déc. 2021 17:04

« Cher Lillois vous allez me manquer »José Fonte

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Hors ligneMessageMarcoVanBasten » jeu. 16 déc. 2021 17:16

En parlant pelouse ... & Grand Stade

Football : pourquoi le modèle économique des "grands stades" fonctionne-t-il à l'étranger, mais pas en France ?

À Bordeaux, Paris ou Le Mans, de grandes enceintes construites ces dernières décennies affichent un bilan financier alarmant. Le Covid-19 n'est pas en cause mais plutôt le système de partenariat public-privé.

Article rédigé par Winny Claret - franceinfo
Publié le 16/12/2021 08:33 / Temps de lecture : 5 min.

Pour comprendre l'origine de la désertion des stades, il faut se rendre en Gironde. En 2010, la France est désignée pays organisateur de l'Euro de football 2016, ce qui pousse plusieurs villes à construire de nouveaux stades, plus grands. À Bordeaux, le Matmut Atlantique, qui a coûté 220 millions d'euros, ouvre en 2015. L'espace manque dans le centre-ville, alors l'édifice sportif est installé au nord, dans le quartier de Bordeaux-Lac, difficile d'accès. Résultat aujourd'hui : le stade est à moitié vide. 22 000 spectateurs en moyenne vont voir les Girondins de Bordeaux jouer en Ligue 1 cette saison, sur 42 000 places.

"Ce n'est pas une super ambiance"

Le Matmut Atlantique sonne creux, comme le décrivent ces paroles de supporters des Girondins de Bordeaux : "C'est morose. Ce n'est pas une super ambiance, vu les matchs qu'ils nous font, ce n'est pas super", "C'est un peu triste, mais ça va aussi avec le niveau de jeu de l'équipe. Forcément, ça ne donne pas envie aux supporters de venir quand il n'y a pas de beaux résultats", "Il se remplira si les joueurs arrivent à avoir un niveau et s'il y a un peu plus d'investissement au niveau de tout ce qui l'accompagne. Je préférais Chaban, [le stade Chaban-Delmas, proche du centre-ville accueille désormais comme résident le club de rugby l'Union Bordeaux Bègles] il y avait une ambiance un petit peu d'arène, c'était beaucoup plus électrique, beaucoup plus passionné. On verra si ça redevient comme ça à un moment donné."


https://twitter.com/diabate33/status/1470871140386103301

C'est triste pour l'ambiance mais c'est surtout problématique pour les finances du stade.
En six ans, l'exploitant enregistre un déficit de 15 millions d'euros. Et il tire la sonnette d'alarme : il faut revoir le contrat avec la Métropole de Bordeaux qui est propriétaire.

Selon le président de Bordeaux Métropole, Alain Anziani, le modèle économique n'est pas le bon : "L'idée qu'un stade aujourd'hui puisse vivre uniquement avec des recettes de billetterie est une idée fausse. Si on dit simplement 'il suffit de faire venir des spectateurs dans un stade pour arriver à couvrir les charges', on n'y arrivera pas, ou alors il faut augmenter de façon très significative le montant des billets."

"Il faut qu' un stade puisse générer d'autres types de ressources que les recettes du guichet."
Alain Anziani, président de Bordeaux Métropole à franceinfo

La société exploitante, qui est notamment détenue par le groupe Vinci, fait le même constat. Elle défend évidemment l'existence du stade : sans lui, il n'y aurait pas eu de matchs de l'Euro dans le Sud-Ouest ni d'énormes concerts comme ceux de Muse ou Mylène Farmer. Le problème c'est le déséquilibre de ce partenariat public-privé. Au départ, le club des Girondins de Bordeaux devaient être plus investi. C'est ce qu'explique Loïc Duroselle, le président du stade Matmut Atlantique : "Il était prévu que l'exploitation soit mutualisée avec les Girondins de Bordeaux, ça n'a pas du tout été le cas. Aujourd'hui, on a chacun nos équipes commerciales, nos équipes de régie, nos équipes de communication, on doublonne et donc ça, c'est pas un modèle qui est tenable dans la durée. Et donc, il faut qu'on revienne à ces fondements du contrat et je pense, ce sera gagnant pour tout le monde."

Le Stade de France ne satisfait personne

Il y a d'autres stades dans le même cas, comme Le MMArena au Mans, inauguré en 2011. C'est le premier stade, en France, à avoir adopté le nom d'une entreprise, celles des assurances qui lui versent près d'un million d'euros par an. C'est ce qu'on appelle le "naming". Sauf que dix ans plus tard, MMA décide de se retirer. Le stade ne fait pas le plein, après des années de dégringolade sportive et financière du Mans Football Club. Une mauvaise nouvelle pour la ville du Mans qui doit compenser les pertes.

Le cas le plus emblématique est sans aucun doute le Stade de France. L'un des plus iconiques d'Europe, construit pour le Mondial 1998. L'emblème du football français ne satisfait personne : ni l'État qui est propriétaire, ni ses partenaires, à commencer par les Bleus, ni la Fédération française de football qui doit verser huit millions d'euros parce que l'équipe de France joue quatre fois par an à Saint Denis. Cela coûte deux millions d'euros par match à la FFF. Pour Noël le Graët, le président de la Fédération, pas question de renouveler ce contrat qui se termine dans deux ans : "On paye deux millions et on a rarement deux millions de recettes. Si on ne gagne pas d'argent sur notre propre spectacle parce que c'est nous qui le créons, on n'équilibre pas ce que nous devons au Stade de France."

"Le Stade de France, je n'ai rien contre, c'est le modèle économique qui ne nous convient pas."
Noël Le Graët, président de la FFF à franceinfo

De son côté, l'État doit se poser la question plus globale de l'avenir du Stade de France puisque la concession de 30 ans signée avec Vinci et Bouygues touche à sa fin en 2025. Un rapport doit être remis en janvier 2022 pour trouver la meilleure option pour la suite. Le gouvernement aura deux priorités : le stade doit rester une enceinte sportive tout en pesant moins sur les finances publiques. La facture atteint plusieurs centaines de millions d'euros depuis 1995, entre l'entretien du stade et surtout les indemnités payées à l'exploitant.

Un modèle qui marche en Angleterre et en Allemagne

Selon le journaliste indépendant Jérôme Latta, qui a beaucoup travaillé sur la question, l'erreur de départ dans ces projets de stade a été de copier le modèle anglais ou allemand. Des pays où les stades se remplissent toujours, même dans les plus petits clubs. En France, cela dépendra toujours de l'état de forme d'une équipe. Sans victoire, pas de public et donc de grands stades vides. Un modèle économique trop risqué pour les clubs sans le soutien de l'État et des collectivités.

Le financement public des stades n'est cependant pas nécessairement une mauvaise chose, juge Jérôme Latta : "Les financements directs ou indirects des collectivités locales, ça permet de maintenir un lien organique avec les clubs, d'éviter que ça devienne des entités privées aux mains de propriétaires qui ne vont plus du tout considérer ces clubs comme des patrimoines historiques, collectifs, culturels, locaux, enracinés dans leur territoire." Pour le journaliste, la seule solution c'est de revenir à des tailles de stades plus modestes pour retrouver l'ambiance électrique des matchs, peu importe l'affiche.
"En tout cas, on te l'souhaite."

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Hors ligneMessageDogue-Son » jeu. 16 déc. 2021 17:23

article écrit avec les pieds
et puis Latta...
L'imposteur sait qu'il en est un. L'imbécile ne sait pas qu'il en est un. Le con sait qu’il en est un, mais affirme le contraire. Le connard sait qu’il en est un, mais n’en a rien à foutre.

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Hors ligneMessageeljano » jeu. 16 déc. 2021 17:55

Il pose le vrai problème, en France les clubs n'ont pas le public que peuvent avoir nos voisins, et ce depuis toujours, c'était encore bien pire dans les années 60, 70, 80 et 90. Personnellement, durant ma carrière scolaire et universitaire dans les 60 70, j'ai du connaître un ou deux commensaux qui allaient au match et ça n'intéressait pratiquement personne.
La coupe du monde 98 a déclenché un certain engouement mais pas au niveau de la taille des stades.
Suffit de voir qu'après avoir été champion, le LOSC ne draine pas plus de spectateurs qu'avant, voir même moins.
Il faut s'y faire, le français n'est qu'un spectateur occasionnel de sports, il faudra bien un jour en tirer les conséquences.

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Hors ligneMessageMarcoVanBasten » jeu. 16 déc. 2021 18:48

eljano a écrit :Source of the post Il faut s'y faire, le français n'est qu'un spectateur occasionnel de sports, il faudra bien un jour en tirer les conséquences.


Peut-être parce qu'on ne l'incite pas à en faire plus et que la culture "sport" n'est pas assez forte en france... > culture de la performance vi insep ? moyens financiers du gouv ?
cf les 2h de sport / semaine à l'école à faire... bah du ping pong ou du foot, un peu d'atlhé ... (ok expérience personnelle du college ou lycée) loul.
On a surement des Pliens ici chauds pour parler éducation & systeme scolaire ... :D haha... avec une orientation du débat sur le sport ?
"En tout cas, on te l'souhaite."

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Hors ligneMessageŞükür » jeu. 16 déc. 2021 19:05

MarcoVanBasten a écrit :Source of the post
eljano a écrit :Source of the post Il faut s'y faire, le français n'est qu'un spectateur occasionnel de sports, il faudra bien un jour en tirer les conséquences.


Peut-être parce qu'on ne l'incite pas à en faire plus et que la culture "sport" n'est pas assez forte en france... > culture de la performance vi insep ? moyens financiers du gouv ?
cf les 2h de sport / semaine à l'école à faire... bah du ping pong ou du foot, un peu d'atlhé ... (ok expérience personnelle du college ou lycée) loul.
On a surement des Pliens ici chauds pour parler éducation & systeme scolaire ... :D haha... avec une orientation du débat sur le sport ?


Depuis la réforme de 2016, au cycle 4 (classes de 5e, 4e et 3e), un élève fait quasiment autant d'EPS (3h/semaine) que de maths (3h30/semaine)
Je ne sais pas si le niveau sportif des collégiens a augmenté autant qu'a baissé leur niveau en maths...
Modifié en dernier par Şükür le jeu. 16 déc. 2021 19:06, modifié 1 fois.

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Hors ligneMessageBab » jeu. 16 déc. 2021 19:06

Il me semble qu’en Allemagne ils ont du sport obligatoire tous les jours après l’école, souvent en milieu d’après-midi. Il faut dire qu’ils commencent les cours plus tôt et qu’ils ont moins de vacances.

Si on n’oblige pas les gamins à avoir un peu de sport à l’école (2h par semaine bien trop peu) c’est parfois pas gagné pour que l’initiative vienne d’eux ou de leur famille, ça reste un budget et du temps à investir.

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Hors ligneMessageDjeunzzz » jeu. 16 déc. 2021 19:07

eljano a écrit :Source of the post Suffit de voir qu'après avoir été champion, le LOSC ne draine pas plus de spectateurs qu'avant, voir même moins.

C'est faux pour 2011, c'est explicable pour 2021, car 2020.

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Hors ligneMessageeljano » jeu. 16 déc. 2021 19:11

J'ai bien écrit spectateur occasionnel, pas sportif occasionnel.
Il y a des miyons de sportifs en France, les résultats des français au haut niveau sont loin d'être mauvais, mais ça n'est pas pour ça qu'ils vont plus voir les spectacles de sport.
A mon avis (qui ne vaut pas grand chose), c'est plus une histoire d'esprit de clocher de village, de fierté, d'appartenance à un groupe, à une ville, à une région qui existe beaucoup moins en France qu'ailleurs.

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Hors ligneMessagePO » jeu. 16 déc. 2021 19:18

C'est bien gentil de vouloir faire porter aux supporters le poids des pbs économiques des clubs français, et avec le folklore footeux de rigueur, ça amène toujours aux mêmes conclusions cliché, à savoir que les français n'aiment pas autant le sport que les britons ou les allemands, et bla bla bla.

Donc, la question qu'on devrait apparemment se poser est : Est-ce que la présence plus ou moins massive de gens dans un stade de foot impacte à ce point le modèle économique d'un club ?

Well, les recettes de guichet représentent de l'ordre de 15% en moyenne en L1. Bien moins à Monaco, et plus à Lyon, OM ou PSG, mais sans jamais dépasser les 25%. Et pourtant des clubs comme PSG et OM ont des taux d'affluence très respectables à 99% et 85% de remplissage. (Lille à 70% ; Lyon à 66%, pour info).

Pendant ce temps-là, les droits télé représentent de 35 à >70% des recettes des clubs. Donc si aujourd'hui, la charge, le plus souvent locative, de leurs installations contribue effectivement aux difficultés économiques des clubs, l'affluence n'est qu'une partie minoritaire du pb. L'enjeu économique est sur d'autres postes de recettes, et notamment les fameux droits télé.

Quand on voit que le dernier de Premier League touche plus de droits (Et pas qu'un peu) que le premier de L1, on comprend bien que ça n'est pas une histoire d'affluence ou de ventes frites et de bières dans les stades français.

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Hors ligneMessageDjeunzzz » jeu. 16 déc. 2021 19:21

eljano a écrit :Source of the post A mon avis (qui ne vaut pas grand chose)

Alléluia !!!!

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Hors ligneMessageeljano » jeu. 16 déc. 2021 19:27

PO a écrit :C'est bien gentil de vouloir faire porter aux supporters le poids des pbs économiques des clubs français, et avec le folklore footeux de rigueur, ça amène toujours aux mêmes conclusions cliché, à savoir que les français n'aiment pas autant le sport que les britons ou les allemands, et bla bla bla.

Donc, la question qu'on devrait apparemment se poser est : Est-ce que la présence plus ou moins massive de gens dans un stade de foot impacte à ce point le modèle économique d'un club ?

Well, les recettes de guichet représentent de l'ordre de 15% en moyenne en L1. Bien moins à Monaco, et plus à Lyon, OM ou PSG, mais sans jamais dépasser les 25%. Et pourtant des clubs comme PSG et OM ont des taux d'affluence très respectables à 99% et 85% de remplissage. (Lille à 70% ; Lyon à 66%, pour info).

Pendant ce temps-là, les droits télé représentent de 35 à >70% des recettes des clubs. Donc si aujourd'hui, la charge, le plus souvent locative, de leurs installations contribue effectivement aux difficultés économiques des clubs, l'affluence n'est qu'une partie minoritaire du pb. L'enjeu économique est sur d'autres postes de recettes, et notamment les fameux droits télé.

Quand on voit que le dernier de Premier League touche plus de droits (Et pas qu'un peu) que le premier de L1, on comprend bien que ça n'est pas une histoire d'affluence ou de ventes frites et de bières dans les stades français.

On ne discute pas des problèmes économiques des clubs français, mais de la rentabilité des stades.

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Hors ligneMessagePO » jeu. 16 déc. 2021 19:32

Aucun stade n'est "rentable", nulle part. Pour un club, c'est une charge dans le compte d'exploitation, en face duquel il y a des recettes.

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Hors ligneMessageUrsulet » jeu. 16 déc. 2021 19:35

PO a écrit :Source of the post Aucun stade n'est "rentable", nulle part. pour un club, c'est une charge dans le compte d'exploitation, en face duquel il y a des recettes.


Si on part par la, aucun magasin ou cinéma n'est rentable.

Le problème du grand stade, la grande désillusion de Seydoux, ce sont les loges business qui devaient ramener 15 à 20m€ de recettes en plus que le stadium. On en est loin.
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Hors ligneMessageeljano » jeu. 16 déc. 2021 20:11

PO a écrit :Aucun stade n'est "rentable", nulle part. Pour un club, c'est une charge dans le compte d'exploitation, en face duquel il y a des recettes.

On ne discute pas des charges des clubs liés aux stade, mais juste de la rentabilité des stades, ceci suite à un article que tu pourras lire un peu plus haut et que je ne quotterai pas pour éviter une répétition et une surcharge inutile.


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