Les Lilloises ont remporté leur dernier match de D2 contre Brest, 1-0.
Le classement final :
Le classement final :
# | Prog | Club | Pts | J | Diff | # |
---|---|---|---|---|---|---|
1 | - | Lille F | 55 | 22 | +35 | |
2 | - | Metz F | 40 | 22 | +15 | |
3 | - | Strasbourg F | 40 | 22 | +13 | |
4 | - | Le Mans F | 34 | 22 | -1 | |
5 | - | Lens F | 31 | 22 | -2 | |
6 | - | Orleans F | 29 | 22 | 0 | |
7 | - | Nantes F | 28 | 22 | -3 | |
8 | - | Saint-Malo F | 26 | 22 | -7 | |
9 | - | Brest F | 24 | 22 | -6 | |
10 | - | La Roche sur Yon F | 23 | 22 | -8 | |
11 | - | Issy F | 22 | 22 | -10 | |
12 | - | Paris 14 F | 18 | 22 | -26 |
Champion (Promu) | |
Relégué |
https://www.lavoixdunord.fr/1333529/art ... aient-lieu
Le LOSC en D1 féminine : Olivier Létang veut que « les grosses affiches aient lieu au stade Pierre-Mauroy »
Le président du LOSC s’est réjoui du retour de sa section féminine en D1 Arkema. Il a joué la carte de la stabilité en prolongeant rapidement Rachel Saïdi. Il faudra patienter pour connaître les contours de l’effectif qui croisera désormais la route de Lyon ou du PSG.
Par Olivier Fosseux - Photos Stéphane Mortagne
Publié: 29 Mai 2023 à 15h35
Vos féminines viennent de rejoindre la Division 1 Arkema, quel est votre regard sur cette accession ?
« Si on rembobine, quand on arrive en décembre 2020 avec un club dans une situation financière catastrophique, je n’y peux rien, c’est factuel, il a fallu revoir le modèle économique du club. On a revu totalement la façon de penser pour que le club puisse survivre, vivre et avancer positivement. On a diminué par exemple la masse salariale chez les garçons. J’ai immédiatement fixé chez les féminines l’objectif de remonter en D1 parce que le LOSC doit y être présent. Et on aura la saison prochaine une D1 avec quasiment que des clubs professionnels, c’est le sens de l’histoire. Il va rester Fleury et Issy.
Dans le contexte économique que je viens d’évoquer, je n’ai pas touché au budget de la section féminine (1,7 million d’euros, soit le 7e ou le 8e budget de D1). Ç’aurait été plus facile pour trouver des solutions de dire qu’on coupe le budget. On a envoyé un signal en disant qu’on a l’ambition de monter. On n’avait pas réussi la saison dernière et cette année, on est très heureux de retrouver l’élite du football féminin français. »
Cette montée a été acquise assez tôt. Comment voyez-vous la suite ?
« On a un peu de temps pour s’organiser puisque la compétition reprendra mi-septembre (le week-end des 16-17 septembre). On n’est pas sous pression. On est sur une dynamique positive. Et on a une vraie envie de donner les moyens, de construire, d’exister et de se stabiliser en D1 Arkema. N’oublions pas que l’on a eu une saison qui n’a pas été tranquille (une référence au match perdu à La Roche 4-2, le 30 octobre 2022 avec trois Lilloises expulsées). Il y a des choses à ne pas faire et je suis intervenu pour redonner de la force au groupe.
Après La Roche, le groupe a fortement répondu malgré l’absence de quatre joueuses majeures (Anaïs Ribeyra s’est gravement blessée aussi mi-octobre). La force collective a été la meilleure réponse, avec l’aide du staff. C’est un moment charnière où il ne fallait pas lâcher. Dans le club, on a créé un laboratoire sur la préparation mentale avec Yancy Dufour et il y a eu beaucoup d’échanges. Rachel (Saïdi) a été très importante dans l’atteinte de cet objectif. »
Votre entraîneure va donc poursuivre l’aventure…
« Oui. Elle a beaucoup de qualités comme coach. Elle est jeune, elle continue à avancer. Elle a une vraie personnalité. Elle sera encore avec nous pour les deux prochaines saisons. Elle était inquiète par ce qu’elle a vécu il y a quatre ans quand c’était beaucoup plus difficile. Elle a compris qu’on était attaché à ce projet. »
Envisagez-vous la création d’un directeur sportif ? (Olivier Fosseux est taquin^^)
« Non. La pierre angulaire, c’était la prolongation du contrat de Rachel. Depuis deux ans, on a maintenu le budget, on a structuré, on a été présent dans les moments difficiles comme plus faciles. Maintenant, il faut qu’on ait une organisation forte et bonne. Je compte beaucoup sur elle. Dans le milieu du football féminin, il y a quelques agents et Rachel a les contacts. On a déjà un certain nombre de pistes, on sait ce qu’il nous manque. On a du temps et depuis un an et demi, on s’est déjà organisés avec David Ménart qui s’est rapproché sur la partie négociations. Il est en relation avec Didier Roudet. On va construire l’effectif avec Rachel. N’oublions pas que 40 % de notre effectif est issu de la formation où Caroline La Villa fait un excellent travail. Le centre va enfin avoir l’agrément des centres de formation dans le football féminin. »
Qu’avez-vous ciblé comme poste ?
« Pour l’instant il est trop tôt pour en parler (l’entretien a été réalisé à deux journées de la fin). Il y a des joueuses qui sont encore là. On ne peut évoquer publiquement ce que l’on veut faire alors que des joueuses n’ont pas encore été vues. Le fait d’avoir signé Rachel deux ans, c’est un signal fort. Cela veut dire qu’à Lille il y a un projet. »
Allez-vous axer votre recrutement sur l’expérience ?
« Je n’ai pas envie de parler de la construction de l’effectif. On va le faire dans un deuxième temps. Je n’ai pas les réseaux sur le football féminin, je fais confiance aux gens qui connaissent. Mais notre objectif, c’est de se stabiliser et d’exister dans ce championnat, dont le niveau va être relevé. Je pense que ça va être le championnat de D1 qui va avoir le plus haut niveau jusqu’à présent. »
En parlant de professionnalisation de la discipline, est-ce que toutes vos joueuses auront un contrat la saison prochaine ?
« Une grande majorité oui. C’est un vrai sujet. Il faut que l’on soit vigilant. On a une vraie responsabilité sur le fait d’accompagner les femmes pour l’après ou si leur carrière sportive s’arrête subitement. Il y a des moyens moins importants que dans le football masculin. On n’est pas seulement là pour les laisser dans une situation où elles ont gagné un peu d’argent mais qui n’est pas suffisant pour la suite. »
Votre équipe féminine va jouer où la saison prochaine ?
« On a encore une dérogation de la FFF pour jouer une saison au Stadium puisqu’elle souhaite que tous les matchs aient lieu sur des terrains en herbe. Je veux que les grosses affiches (Lyon, Paris) aient lieu au stade Pierre-Mauroy. »
La FFF a aussi augmenté la dotation pour les clubs…
« Oui mais elle n’est pas très importante. Il y a surtout l’appel d’offres des droits télés que l’on attend. Le football féminin français était en avance. Il y a eu Lyon, le PSG. Il y avait les clubs allemands et on s’aperçoit que tous les autres pays, comme l’Angleterre, l’Espagne et maintenant l’Italie, avancent très fort. On s’aperçoit que si on compare aujourd’hui les droits télés entre l’Angleterre et la France, on prend du retard. C’est la première fois depuis 2014 que l’on n’a pas une équipe française en finale de la Ligue des champions. C’est un signal très fort. On vit un tournant. On doit s’interroger pour savoir où l’on veut que soit notre football féminin. Aujourd’hui, les clubs anglais et espagnols performent car ils ont des moyens. »
__________
Confier le recrutement à des agents... :/
Sinon la section féminine à Pierre Mauroy pour Lyon et Paris, l'idée est noble mais je crains que ça bide malheureusement, même en offrant les places aux abonnés :o
Le LOSC en D1 féminine : Olivier Létang veut que « les grosses affiches aient lieu au stade Pierre-Mauroy »
Le président du LOSC s’est réjoui du retour de sa section féminine en D1 Arkema. Il a joué la carte de la stabilité en prolongeant rapidement Rachel Saïdi. Il faudra patienter pour connaître les contours de l’effectif qui croisera désormais la route de Lyon ou du PSG.
Par Olivier Fosseux - Photos Stéphane Mortagne
Publié: 29 Mai 2023 à 15h35
Vos féminines viennent de rejoindre la Division 1 Arkema, quel est votre regard sur cette accession ?
« Si on rembobine, quand on arrive en décembre 2020 avec un club dans une situation financière catastrophique, je n’y peux rien, c’est factuel, il a fallu revoir le modèle économique du club. On a revu totalement la façon de penser pour que le club puisse survivre, vivre et avancer positivement. On a diminué par exemple la masse salariale chez les garçons. J’ai immédiatement fixé chez les féminines l’objectif de remonter en D1 parce que le LOSC doit y être présent. Et on aura la saison prochaine une D1 avec quasiment que des clubs professionnels, c’est le sens de l’histoire. Il va rester Fleury et Issy.
Dans le contexte économique que je viens d’évoquer, je n’ai pas touché au budget de la section féminine (1,7 million d’euros, soit le 7e ou le 8e budget de D1). Ç’aurait été plus facile pour trouver des solutions de dire qu’on coupe le budget. On a envoyé un signal en disant qu’on a l’ambition de monter. On n’avait pas réussi la saison dernière et cette année, on est très heureux de retrouver l’élite du football féminin français. »
Cette montée a été acquise assez tôt. Comment voyez-vous la suite ?
« On a un peu de temps pour s’organiser puisque la compétition reprendra mi-septembre (le week-end des 16-17 septembre). On n’est pas sous pression. On est sur une dynamique positive. Et on a une vraie envie de donner les moyens, de construire, d’exister et de se stabiliser en D1 Arkema. N’oublions pas que l’on a eu une saison qui n’a pas été tranquille (une référence au match perdu à La Roche 4-2, le 30 octobre 2022 avec trois Lilloises expulsées). Il y a des choses à ne pas faire et je suis intervenu pour redonner de la force au groupe.
Après La Roche, le groupe a fortement répondu malgré l’absence de quatre joueuses majeures (Anaïs Ribeyra s’est gravement blessée aussi mi-octobre). La force collective a été la meilleure réponse, avec l’aide du staff. C’est un moment charnière où il ne fallait pas lâcher. Dans le club, on a créé un laboratoire sur la préparation mentale avec Yancy Dufour et il y a eu beaucoup d’échanges. Rachel (Saïdi) a été très importante dans l’atteinte de cet objectif. »
Votre entraîneure va donc poursuivre l’aventure…
« Oui. Elle a beaucoup de qualités comme coach. Elle est jeune, elle continue à avancer. Elle a une vraie personnalité. Elle sera encore avec nous pour les deux prochaines saisons. Elle était inquiète par ce qu’elle a vécu il y a quatre ans quand c’était beaucoup plus difficile. Elle a compris qu’on était attaché à ce projet. »
Envisagez-vous la création d’un directeur sportif ? (Olivier Fosseux est taquin^^)
« Non. La pierre angulaire, c’était la prolongation du contrat de Rachel. Depuis deux ans, on a maintenu le budget, on a structuré, on a été présent dans les moments difficiles comme plus faciles. Maintenant, il faut qu’on ait une organisation forte et bonne. Je compte beaucoup sur elle. Dans le milieu du football féminin, il y a quelques agents et Rachel a les contacts. On a déjà un certain nombre de pistes, on sait ce qu’il nous manque. On a du temps et depuis un an et demi, on s’est déjà organisés avec David Ménart qui s’est rapproché sur la partie négociations. Il est en relation avec Didier Roudet. On va construire l’effectif avec Rachel. N’oublions pas que 40 % de notre effectif est issu de la formation où Caroline La Villa fait un excellent travail. Le centre va enfin avoir l’agrément des centres de formation dans le football féminin. »
Qu’avez-vous ciblé comme poste ?
« Pour l’instant il est trop tôt pour en parler (l’entretien a été réalisé à deux journées de la fin). Il y a des joueuses qui sont encore là. On ne peut évoquer publiquement ce que l’on veut faire alors que des joueuses n’ont pas encore été vues. Le fait d’avoir signé Rachel deux ans, c’est un signal fort. Cela veut dire qu’à Lille il y a un projet. »
Allez-vous axer votre recrutement sur l’expérience ?
« Je n’ai pas envie de parler de la construction de l’effectif. On va le faire dans un deuxième temps. Je n’ai pas les réseaux sur le football féminin, je fais confiance aux gens qui connaissent. Mais notre objectif, c’est de se stabiliser et d’exister dans ce championnat, dont le niveau va être relevé. Je pense que ça va être le championnat de D1 qui va avoir le plus haut niveau jusqu’à présent. »
En parlant de professionnalisation de la discipline, est-ce que toutes vos joueuses auront un contrat la saison prochaine ?
« Une grande majorité oui. C’est un vrai sujet. Il faut que l’on soit vigilant. On a une vraie responsabilité sur le fait d’accompagner les femmes pour l’après ou si leur carrière sportive s’arrête subitement. Il y a des moyens moins importants que dans le football masculin. On n’est pas seulement là pour les laisser dans une situation où elles ont gagné un peu d’argent mais qui n’est pas suffisant pour la suite. »
Votre équipe féminine va jouer où la saison prochaine ?
« On a encore une dérogation de la FFF pour jouer une saison au Stadium puisqu’elle souhaite que tous les matchs aient lieu sur des terrains en herbe. Je veux que les grosses affiches (Lyon, Paris) aient lieu au stade Pierre-Mauroy. »
La FFF a aussi augmenté la dotation pour les clubs…
« Oui mais elle n’est pas très importante. Il y a surtout l’appel d’offres des droits télés que l’on attend. Le football féminin français était en avance. Il y a eu Lyon, le PSG. Il y avait les clubs allemands et on s’aperçoit que tous les autres pays, comme l’Angleterre, l’Espagne et maintenant l’Italie, avancent très fort. On s’aperçoit que si on compare aujourd’hui les droits télés entre l’Angleterre et la France, on prend du retard. C’est la première fois depuis 2014 que l’on n’a pas une équipe française en finale de la Ligue des champions. C’est un signal très fort. On vit un tournant. On doit s’interroger pour savoir où l’on veut que soit notre football féminin. Aujourd’hui, les clubs anglais et espagnols performent car ils ont des moyens. »
__________
Confier le recrutement à des agents... :/
Sinon la section féminine à Pierre Mauroy pour Lyon et Paris, l'idée est noble mais je crains que ça bide malheureusement, même en offrant les places aux abonnés :o
"Yusuf est de retour. Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la Création."
Je ne connais pas le foot féminin mais j'ai quelques doutes sur le fait que les autres clubs envoient des scouts pour superviser les joueuses par rapport au mercato, sauf pour les gros clubs comme Paris et Lyon.
Budget de 1,7 millions d'euros, on a la réponse. Ce n'est pas gratuit d'envoyer des personnes pour superviser les autres.
Si la coach a ses réseaux, ça veut dire qu'elle va choisir ses joueuses, c'est ce qu'on veut avec Fonseca non :) ?
Budget de 1,7 millions d'euros, on a la réponse. Ce n'est pas gratuit d'envoyer des personnes pour superviser les autres.
Si la coach a ses réseaux, ça veut dire qu'elle va choisir ses joueuses, c'est ce qu'on veut avec Fonseca non :) ?
Que ce soit pour les hommes ou pour les femmes, je critique évidemment pas le fait d'impliquer l'entraineur(e) ds le recrutement, qui relève du bon sens quand il s'agit de tenir compte de ses demandes en amont, puis de recevoir son aval sur tel ou tel joueur à travers un descriptif poussé et un montage vidéo résumant le joueur. Afin d'être sûr que tout colle bien au moment de finaliser.
C'est juste que ça me laisse perplexe de mandater des agents pour réaliser son recrutement féminin, d'une manière générale.
Sur un dossier en particulier, je veux bien que ça puisse arriver (comme pour les hommes). Quand t'as une joueuse qui se fait les croisés ou part en toute fin de mercato, sans que ça ait pu être anticipé par la direction sportive du club et que tu te retrouves dans la m*rde. Mais que ca soit généralisé pour le recrutement, c'est intrigant.
Foot féminin ou foot masculin, le réseau d'un entraineur est forcément très limité : anciens joueurs entrainés ds des clubs passés (mais ds le cas de LOSC F, pas possible car Saidi n'a jamais entrainé ailleurs) ou joueurs du réseau de son agent (pas sûr du tout que Saidi en est un) ou joueurs repérés par par un ancien collègue/coéquipier qui a encore un pied ds le milieu (là c'est ok pour Saidi, elle connait par ex très bien la responsable du centre de formation lyonnais, Dacquigny, pour avoir travaillé avec elle par le passé).
Pour les féminines, en tenant compte du budget limité de la section féminine, et de la concentration du foot féminin sur une quinzaine de clubs français, t'as pas besoin d'une armée de scouts évidemment. Un seul responsable peut suffire pour repérer, analyser le "marché" français, réseauter les marchés européens et américains, s'entretenir avec les joueuses pour le coté humain, etc. Entre d'autres fonctions plus générales, en dehors du recrutement.
En termes de moyens, ça se résume à un salaire lambda, une voiture du club à disposition, de l'essence, un téléphone de fonction, et un ordinateur pour visionner des matchs en vidéo (bon, pour cette dernière chose, Saidi peut le faire maintenant, mais c'est du retard pris sur d'autres clubs alors que la concurrence se fait de + en + forte). T'enlèves 5000 euros au salaire de Martin en le faisant passer de 100000 à 95000€, et c'est bueno, t'as dégagé l'argent pour un responsable :o
C'est juste que ça me laisse perplexe de mandater des agents pour réaliser son recrutement féminin, d'une manière générale.
Sur un dossier en particulier, je veux bien que ça puisse arriver (comme pour les hommes). Quand t'as une joueuse qui se fait les croisés ou part en toute fin de mercato, sans que ça ait pu être anticipé par la direction sportive du club et que tu te retrouves dans la m*rde. Mais que ca soit généralisé pour le recrutement, c'est intrigant.
Foot féminin ou foot masculin, le réseau d'un entraineur est forcément très limité : anciens joueurs entrainés ds des clubs passés (mais ds le cas de LOSC F, pas possible car Saidi n'a jamais entrainé ailleurs) ou joueurs du réseau de son agent (pas sûr du tout que Saidi en est un) ou joueurs repérés par par un ancien collègue/coéquipier qui a encore un pied ds le milieu (là c'est ok pour Saidi, elle connait par ex très bien la responsable du centre de formation lyonnais, Dacquigny, pour avoir travaillé avec elle par le passé).
Pour les féminines, en tenant compte du budget limité de la section féminine, et de la concentration du foot féminin sur une quinzaine de clubs français, t'as pas besoin d'une armée de scouts évidemment. Un seul responsable peut suffire pour repérer, analyser le "marché" français, réseauter les marchés européens et américains, s'entretenir avec les joueuses pour le coté humain, etc. Entre d'autres fonctions plus générales, en dehors du recrutement.
En termes de moyens, ça se résume à un salaire lambda, une voiture du club à disposition, de l'essence, un téléphone de fonction, et un ordinateur pour visionner des matchs en vidéo (bon, pour cette dernière chose, Saidi peut le faire maintenant, mais c'est du retard pris sur d'autres clubs alors que la concurrence se fait de + en + forte). T'enlèves 5000 euros au salaire de Martin en le faisant passer de 100000 à 95000€, et c'est bueno, t'as dégagé l'argent pour un responsable :o
"Yusuf est de retour. Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la Création."
C'est Saint Étienne qui termine champion (meilleur bilan face aux équipes classées entre la 2eme et 6eme place).
Méthode un peu foireuse pour déclarer un champion, alors que les adversaires sont différents...
Édit : Lille et Saint Étienne avaient le même nbre de points (22pts), ça s'est donc joué à la différence de buts (source wiki)
Méthode un peu foireuse pour déclarer un champion, alors que les adversaires sont différents...
Édit : Lille et Saint Étienne avaient le même nbre de points (22pts), ça s'est donc joué à la différence de buts (source wiki)
"Yusuf est de retour. Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la Création."