Pat' Collot qui prend d'abord la parole face à la presse.
#Collot "Eder ? C'est un point d’interrogation, il va faire un test. Les blessés ? Mavuba, Bauthéac, Mendes, Bissouma, Mothiba, Kouamé"
#Collot "Il y a eu une prise de conscience de la part d'un groupe qui est aussi plus étoffé par les retours de blessure"
#Collot "On est encore dans une phase de fragilité, nous ne sommes pas sortis d'affaire. Tous les matchs sont difficiles à jouer"
#Collot "Je n'ai pas de certitude quant à mon avenir. Je navigue à vue. On prépare simplement les matchs à venir"
#Collot "L'idéal pour le club est que le nouveau projet se mette en place le plus vite possible.Mais ce n'est pas moi qui décide"
#Collot Luis Campos est une personne très agréable qui nous accompagne, qui nous soutient. On échange, on discute. On est souvent d'accord
#Collot "Le surnom "El Collot" ? Ça m'a fait sourire. C'est un clin d’œil assez amusant"
#Collot "Nicolas #DePréville est un joueur remuant, généreux qui peut nous apporter de la profondeur, pour étirer les lignes adverses"
#Collot "Eder ? C'est un point d’interrogation, il va faire un test. Les blessés ? Mavuba, Bauthéac, Mendes, Bissouma, Mothiba, Kouamé"
#Collot "Il y a eu une prise de conscience de la part d'un groupe qui est aussi plus étoffé par les retours de blessure"
#Collot "On est encore dans une phase de fragilité, nous ne sommes pas sortis d'affaire. Tous les matchs sont difficiles à jouer"
#Collot "Je n'ai pas de certitude quant à mon avenir. Je navigue à vue. On prépare simplement les matchs à venir"
#Collot "L'idéal pour le club est que le nouveau projet se mette en place le plus vite possible.Mais ce n'est pas moi qui décide"
#Collot Luis Campos est une personne très agréable qui nous accompagne, qui nous soutient. On échange, on discute. On est souvent d'accord
#Collot "Le surnom "El Collot" ? Ça m'a fait sourire. C'est un clin d’œil assez amusant"
#Collot "Nicolas #DePréville est un joueur remuant, généreux qui peut nous apporter de la profondeur, pour étirer les lignes adverses"
https://twitter.com/losclive/status/806834794491416576
#Collot "Dans quelle couleur va-t-on jouer samedi ? En rouge sans doute, je ne sais pas..."
#Collot @MontpellierHSC a perdu que 2 fois sur ses 10 derniers matchs, défend bien en avançant, harcèle l'adversaire, dangereux en contre
#Collot Pour créer des problèmes à l'adv, il faut entreprendre, prendre des initiatives. Il y aura des déséquilibres, mais c'est le jeu
#Collot Ma seule inquiétude aujourd'hui, c'est l'excès de confiance. Dès qu'on commence à avoir des résultats, on se relâche inconsciemment
Au tour de Renato Civelli de passer devant les médias.
#Civelli "Cette fois je vais quitter la France et l'Europe pour de bon. Mais il reste d'abord 4 matchs très importants"
#Civelli "J'ai 33 ans. Je me suis toujours dit que j'allais rentrer en Argentine beaucoup plus tôt pour jouer là-bas. C'est un choix perso"
#Civelli "Il y a aussi le côté familial. Je vieillis, mes parents vieillissent, mes enfants grandissent..."
#Civelli Je n'ai jamais caché que je suis supporter de River, mais on ne va pas se le cacher, ça va être difficile de signer là-bas à 33ans
#Civelli "Mes coéquipiers ont été surpris de ma décision, ils pensaient que j'allais partir en juin"
#Civelli "J’aimerais qu'on retienne de moi que je suis un joueur professionnel, je n'ai jamais triché. Je peux en être fier"
#Civelli "On peut être bon ou pas bon, mais quand on entre sur un terrain de foot, il faut tout donner. Pour ce métier"
#Civelli "Ma reconversion ? C'est un peu secret pour l'instant. Je comptais devenir entraîneur, mais j'en ai de moins en moins envie"
#Civelli Je n'ai encore rien signé en termes de résiliation de contrat. Je ne discute donc pas avec d'autres clubs. C'est un choix familial
On s'arrête-là pour la conférence de presse du jour. Merci à tous de l'avoir suivie
#Civelli "Cette fois je vais quitter la France et l'Europe pour de bon. Mais il reste d'abord 4 matchs très importants"
#Civelli "J'ai 33 ans. Je me suis toujours dit que j'allais rentrer en Argentine beaucoup plus tôt pour jouer là-bas. C'est un choix perso"
#Civelli "Il y a aussi le côté familial. Je vieillis, mes parents vieillissent, mes enfants grandissent..."
#Civelli Je n'ai jamais caché que je suis supporter de River, mais on ne va pas se le cacher, ça va être difficile de signer là-bas à 33ans
#Civelli "Mes coéquipiers ont été surpris de ma décision, ils pensaient que j'allais partir en juin"
#Civelli "J’aimerais qu'on retienne de moi que je suis un joueur professionnel, je n'ai jamais triché. Je peux en être fier"
#Civelli "On peut être bon ou pas bon, mais quand on entre sur un terrain de foot, il faut tout donner. Pour ce métier"
#Civelli "Ma reconversion ? C'est un peu secret pour l'instant. Je comptais devenir entraîneur, mais j'en ai de moins en moins envie"
#Civelli Je n'ai encore rien signé en termes de résiliation de contrat. Je ne discute donc pas avec d'autres clubs. C'est un choix familial
On s'arrête-là pour la conférence de presse du jour. Merci à tous de l'avoir suivie
EXCLU GOAL - Corchia : "Je ne pense qu'à Lille"
9 déc. 2016 10:00:33
Alors que son nom continue de circuler du côté de Paris, le défenseur international français Sébastien Corchia affirme qu'il ne pense qu'à bien terminer la saison avec le LOSC.
À chaque mercato, son nom fait partie de ceux qui sont les plus mentionnés dans la rubrique en question. Pourtant, depuis deux ans et demi, Sébastien Corchia est fidèle à sa formation de Lille. Et il a bien l'intention de le rester au moins jusqu'à la fin de la saison, afin d'aider les Dogues à assurer leur objectif maintien en Ligue 1. C'est ce qu'il a confié à Goal lors d'une interview exclusive.
Questionné sur son futur, l'ancien Manceau a assuré qu'il était "complètement concentré sur le LOSC". L'intérêt du PSG ne semble donc pas le perturber, pas plus que les rumeurs qui l'envoient du côté de Naples ou de Séville. "L'été prochain, je n'aurais plus qu'un an de contrat avec le club et on verra alors ce qui se passera. Ça sera un moment très important de carrière", a-t-il précisé.
"J'aborde les meilleures années de ma carrière"
Avec sa formation nordiste, Corchia a connu un début saison assez laborieux. L'équipe a même été relégable et c'est ce qui a conduit la direction à se séparer de Frédéric Antonetti. Depuis quelques matches, il y a cependant eu du mieux et le latéral droit pense que le plus dur est désormais passé. "On sent enfin que la roue tourne en notre faveur. On a réussi à aligner des clean sheets lors de deux de nos trois derniers matches. On en a mis quatre à Caen, et on aussi obtenu notre premier succès à l'extérieur face à Bordeaux. Et le plus important c'est qu'on compte deux succès de rang et on n'a pas perdu depuis trois matches".
Redevenir performant avec le LOSC est un objectif qui lui tient à cœur. Et pour cause ; ce serait la seule façon pour lui de retrouver la sélection française. Il a expérimenté de belles émotions le mois dernier lors du match amical face à la Cote d'Ivoire à Lens (0-0) et il espère pouvoir les revivre le plus souvent possible : "Aujourd'hui, je sens que j'aborde les meilleures années de ma carrière, avec un mélange d'expérience et d'appétit. Mes débuts en sélection m'ont vraiment offert un boost supplémentaire pour mes ambitions personnelles."
http://www.goal.com/fr/news/15652/exclu ... ID=HP_BN_3
9 déc. 2016 10:00:33
Alors que son nom continue de circuler du côté de Paris, le défenseur international français Sébastien Corchia affirme qu'il ne pense qu'à bien terminer la saison avec le LOSC.
À chaque mercato, son nom fait partie de ceux qui sont les plus mentionnés dans la rubrique en question. Pourtant, depuis deux ans et demi, Sébastien Corchia est fidèle à sa formation de Lille. Et il a bien l'intention de le rester au moins jusqu'à la fin de la saison, afin d'aider les Dogues à assurer leur objectif maintien en Ligue 1. C'est ce qu'il a confié à Goal lors d'une interview exclusive.
Questionné sur son futur, l'ancien Manceau a assuré qu'il était "complètement concentré sur le LOSC". L'intérêt du PSG ne semble donc pas le perturber, pas plus que les rumeurs qui l'envoient du côté de Naples ou de Séville. "L'été prochain, je n'aurais plus qu'un an de contrat avec le club et on verra alors ce qui se passera. Ça sera un moment très important de carrière", a-t-il précisé.
"J'aborde les meilleures années de ma carrière"
Avec sa formation nordiste, Corchia a connu un début saison assez laborieux. L'équipe a même été relégable et c'est ce qui a conduit la direction à se séparer de Frédéric Antonetti. Depuis quelques matches, il y a cependant eu du mieux et le latéral droit pense que le plus dur est désormais passé. "On sent enfin que la roue tourne en notre faveur. On a réussi à aligner des clean sheets lors de deux de nos trois derniers matches. On en a mis quatre à Caen, et on aussi obtenu notre premier succès à l'extérieur face à Bordeaux. Et le plus important c'est qu'on compte deux succès de rang et on n'a pas perdu depuis trois matches".
Redevenir performant avec le LOSC est un objectif qui lui tient à cœur. Et pour cause ; ce serait la seule façon pour lui de retrouver la sélection française. Il a expérimenté de belles émotions le mois dernier lors du match amical face à la Cote d'Ivoire à Lens (0-0) et il espère pouvoir les revivre le plus souvent possible : "Aujourd'hui, je sens que j'aborde les meilleures années de ma carrière, avec un mélange d'expérience et d'appétit. Mes débuts en sélection m'ont vraiment offert un boost supplémentaire pour mes ambitions personnelles."
http://www.goal.com/fr/news/15652/exclu ... ID=HP_BN_3
L’INTERVIEW
08.12.2016
Naïm Sliti avance pas à pas
PROPOS RECUEILLIS PAR FRÉDÉRIC COUDRAIS
Buteur pour la première fois de sa jeune carrière en Ligue 1 et auteur de deux passes décisives contre le SM Caen (4‑2), Naïm Sliti analyse avec beaucoup d’humilité cette nouvelle étape dans sa progression. Toujours en apprentissage au plus haut niveau, le milieu de terrain tunisien ne veut pas brûler les étapes, il ne se projette pas plus loin que le prochain match. Entretien.
Naïm, bonjour. Pour commencer, comment te sens-tu dans ta nouvelle vie lilloise ?
Mon intégration s’est très bien passée, même si avec le déficit de résultat, ce n’était pas facile. Voilà, c’est comme ça, il faut passer par ce genre de période pour se construire. Et le Nord me plait également, c’est d’ailleurs beaucoup plus calme qu’en région parisienne. Ça me convient parfaitement. J’ai découvert avec plaisir la ville de Lille avec ma femme et mon fils.
Avec du recul, que retiens-tu de ton baptême du feu en L1 (LOSC-TFC, 1-2, le 20/09) ?
Je suis entré en jeu pour la dernière demi-heure, sans réaliser une bonne prestation à mon goût. Mais je garde le positif de cette soirée, à savoir ma première à ce niveau. C’est une étape importante dans une carrière de débuter en Ligue 1, surtout dans un club comme le LOSC, avec un stade exceptionnel, des infrastructures d’entraînement de haut niveau. Tout est à notre disposition ici pour qu’on puisse s’épanouir au quotidien.
Et comment as-tu vécu ce moment ?
Tu y penses plus en amont car quand tu t’échauffes, tu es déjà dans ton match. C’est mon mode de fonctionnement, je ne prête plus attention au reste dès que je suis sur le terrain. Maintenant, au moment de rentrer dans ce Stade Pierre Mauroy pour la première fois, beaucoup d’images ont défi lé. Je me suis dit que j’allais franchir une étape en découvrant l’élite. J’ai aussi conscience que ce n’est que le début, il reste beaucoup de travail à accomplir.
Ta première titularisation intervient ensuite mi-octobre à Guingamp (1-0)…
Quand on démarre une rencontre, on le vit différemment. Entre temps, il y a eu une coupure internationale. Et il fallait que je me mette dans le rythme. C’était un peu compliqué au début car physiquement, je n’étais pas prêt. Le coach Antonetti y est allé doucement avec moi pour que je prenne mes marques. À partir du match de Guingamp (1-0), il m’a lancé dans le grand bain et derrière, j’ai pu enchaîner contre Bastia (2-1), avec cette fois-ci la victoire au bout.
Puis vient cette rencontre contre Caen (4-2)…
On me parle beaucoup de mon premier but, mais j’ai aussi fait ma première passe décisive. Pour moi, elle est encore plus importante car elle nous permet d’ouvrir le score et de débloquer la situation. On s’est alors un peu plus lâché. Je suis donc plus content pour cette offrande, même si les observateurs retiennent davantage le but.
Tu ressens quoi quand le ballon termine au fond des filets ?
Déjà, je tiens à souligner que mon but intervient à la sortie d’une belle passe de Rony (Lopes), que je remercie. Et il nous permet de faire le break au meilleur des instants. Alors sur le coup, je suis surtout content pour l’équipe car nous avons tellement souffert ces derniers temps. On a montré de belles choses sur cette partie, il faut continuer sur cette voie pour remonter la pente petit à petit. Il ne faut pas s’arrêter sur cette performance. On doit gagner en constance dans nos prestations. En tout cas, comme l’a dit Patrick Collot, c’est une belle bouffée d’oxygène.
Malgré votre position au classement (19e au coup d’envoi), on a le sentiment que vous avez pris du plaisir sur le terrain. Tu confirmes ?
Oui, complètement. Surtout dans notre situation… Car généralement, sur ce genre de match, c’est relativement fermé. Et là, on a gagné en prenant effectivement beaucoup de plaisir au niveau du jeu. Il ne faut pas s’enflammer pour autant et garder la tête sur les épaules. Le fait d’ouvrir rapidement le score nous a décrispés, c’est ce qui nous a manqué lors de nos précédentes sorties. Ça permet d’oser davantage. Mais je le répète, ce n’est qu’une étape, il faut travailler toujours et encore.
“J’ai pleinement conscience que tout va très vite dans un sens comme dans l’autre”
De quelle manière imagines-tu la suite ?
Toujours avec beaucoup d’humilité. Je suis en apprentissage. Je prends les matchs un par un, comme ils viennent et sans me projeter plus loin. J’ai pleinement conscience que tout va très vite dans un sens comme dans l’autre. Par exemple, à Nantes (0-0), je suis remplaçant et je ne rentre pas. Je ne vais pas te cacher que je commençais un peu à douter dans ma tête. Trois jours plus tard, je joue, je marque et donne deux passes décisives. On verra la suite. C’est de cette manière que j’avance. Je pense uniquement au présent et à ce qui vient.
Comment aborder la réception de Montpellier ce samedi ?
Il faudra mettre les mêmes ingrédients, c’est certain, comme à chaque match. Les Montpelliérains sont dans la même zone que nous au classement, il faut donc prendre des points face à un concurrent direct. À domicile, on doit essayer de gagner chaque match, en y mettant de la combativité, de la solidarité et en étant efficace comme nous avons su le faire contre les Caennais. Il reste trois matchs de championnat avant la trêve hivernale, on se doit d’engranger un maximum de points.
http://www.losc.fr/actualites-foot-lill ... %C3%A0-pas
08.12.2016
Naïm Sliti avance pas à pas
PROPOS RECUEILLIS PAR FRÉDÉRIC COUDRAIS
Buteur pour la première fois de sa jeune carrière en Ligue 1 et auteur de deux passes décisives contre le SM Caen (4‑2), Naïm Sliti analyse avec beaucoup d’humilité cette nouvelle étape dans sa progression. Toujours en apprentissage au plus haut niveau, le milieu de terrain tunisien ne veut pas brûler les étapes, il ne se projette pas plus loin que le prochain match. Entretien.
Naïm, bonjour. Pour commencer, comment te sens-tu dans ta nouvelle vie lilloise ?
Mon intégration s’est très bien passée, même si avec le déficit de résultat, ce n’était pas facile. Voilà, c’est comme ça, il faut passer par ce genre de période pour se construire. Et le Nord me plait également, c’est d’ailleurs beaucoup plus calme qu’en région parisienne. Ça me convient parfaitement. J’ai découvert avec plaisir la ville de Lille avec ma femme et mon fils.
Avec du recul, que retiens-tu de ton baptême du feu en L1 (LOSC-TFC, 1-2, le 20/09) ?
Je suis entré en jeu pour la dernière demi-heure, sans réaliser une bonne prestation à mon goût. Mais je garde le positif de cette soirée, à savoir ma première à ce niveau. C’est une étape importante dans une carrière de débuter en Ligue 1, surtout dans un club comme le LOSC, avec un stade exceptionnel, des infrastructures d’entraînement de haut niveau. Tout est à notre disposition ici pour qu’on puisse s’épanouir au quotidien.
Et comment as-tu vécu ce moment ?
Tu y penses plus en amont car quand tu t’échauffes, tu es déjà dans ton match. C’est mon mode de fonctionnement, je ne prête plus attention au reste dès que je suis sur le terrain. Maintenant, au moment de rentrer dans ce Stade Pierre Mauroy pour la première fois, beaucoup d’images ont défi lé. Je me suis dit que j’allais franchir une étape en découvrant l’élite. J’ai aussi conscience que ce n’est que le début, il reste beaucoup de travail à accomplir.
Ta première titularisation intervient ensuite mi-octobre à Guingamp (1-0)…
Quand on démarre une rencontre, on le vit différemment. Entre temps, il y a eu une coupure internationale. Et il fallait que je me mette dans le rythme. C’était un peu compliqué au début car physiquement, je n’étais pas prêt. Le coach Antonetti y est allé doucement avec moi pour que je prenne mes marques. À partir du match de Guingamp (1-0), il m’a lancé dans le grand bain et derrière, j’ai pu enchaîner contre Bastia (2-1), avec cette fois-ci la victoire au bout.
Puis vient cette rencontre contre Caen (4-2)…
On me parle beaucoup de mon premier but, mais j’ai aussi fait ma première passe décisive. Pour moi, elle est encore plus importante car elle nous permet d’ouvrir le score et de débloquer la situation. On s’est alors un peu plus lâché. Je suis donc plus content pour cette offrande, même si les observateurs retiennent davantage le but.
Tu ressens quoi quand le ballon termine au fond des filets ?
Déjà, je tiens à souligner que mon but intervient à la sortie d’une belle passe de Rony (Lopes), que je remercie. Et il nous permet de faire le break au meilleur des instants. Alors sur le coup, je suis surtout content pour l’équipe car nous avons tellement souffert ces derniers temps. On a montré de belles choses sur cette partie, il faut continuer sur cette voie pour remonter la pente petit à petit. Il ne faut pas s’arrêter sur cette performance. On doit gagner en constance dans nos prestations. En tout cas, comme l’a dit Patrick Collot, c’est une belle bouffée d’oxygène.
Malgré votre position au classement (19e au coup d’envoi), on a le sentiment que vous avez pris du plaisir sur le terrain. Tu confirmes ?
Oui, complètement. Surtout dans notre situation… Car généralement, sur ce genre de match, c’est relativement fermé. Et là, on a gagné en prenant effectivement beaucoup de plaisir au niveau du jeu. Il ne faut pas s’enflammer pour autant et garder la tête sur les épaules. Le fait d’ouvrir rapidement le score nous a décrispés, c’est ce qui nous a manqué lors de nos précédentes sorties. Ça permet d’oser davantage. Mais je le répète, ce n’est qu’une étape, il faut travailler toujours et encore.
“J’ai pleinement conscience que tout va très vite dans un sens comme dans l’autre”
De quelle manière imagines-tu la suite ?
Toujours avec beaucoup d’humilité. Je suis en apprentissage. Je prends les matchs un par un, comme ils viennent et sans me projeter plus loin. J’ai pleinement conscience que tout va très vite dans un sens comme dans l’autre. Par exemple, à Nantes (0-0), je suis remplaçant et je ne rentre pas. Je ne vais pas te cacher que je commençais un peu à douter dans ma tête. Trois jours plus tard, je joue, je marque et donne deux passes décisives. On verra la suite. C’est de cette manière que j’avance. Je pense uniquement au présent et à ce qui vient.
Comment aborder la réception de Montpellier ce samedi ?
Il faudra mettre les mêmes ingrédients, c’est certain, comme à chaque match. Les Montpelliérains sont dans la même zone que nous au classement, il faut donc prendre des points face à un concurrent direct. À domicile, on doit essayer de gagner chaque match, en y mettant de la combativité, de la solidarité et en étant efficace comme nous avons su le faire contre les Caennais. Il reste trois matchs de championnat avant la trêve hivernale, on se doit d’engranger un maximum de points.
http://www.losc.fr/actualites-foot-lill ... %C3%A0-pas
Groupe : Hilton se rajoute à la liste des forfaits, Sylla de retour à Lille
le 09/12/2016 à 13:18
Frédéric Hantz et son staff technique iront demain à Lille avec les 18 joueurs valides de l’effectif professionnel, à savoir le même groupe que face au PSG mais sans Vitorino Hilton que Yacouba Sylla remplace numériquement. Roussillon, Vanden Borre, Jourdren, et Ninga sont toujours blessés et Sessegnon va purger le dernier de ses 3 matchs de suspension.
Le groupe du MHSC : Pionnier, Ligali – Deplagne, Congré, Saint-Ruf, Rémy, Mongongu, Ndiaye – Fito, Sylla, Marveaux, Lasne, Sanson, Boudebouz, Skhiri – Mounié, Camara, Bérigaud
le 09/12/2016 à 13:18
Frédéric Hantz et son staff technique iront demain à Lille avec les 18 joueurs valides de l’effectif professionnel, à savoir le même groupe que face au PSG mais sans Vitorino Hilton que Yacouba Sylla remplace numériquement. Roussillon, Vanden Borre, Jourdren, et Ninga sont toujours blessés et Sessegnon va purger le dernier de ses 3 matchs de suspension.
Le groupe du MHSC : Pionnier, Ligali – Deplagne, Congré, Saint-Ruf, Rémy, Mongongu, Ndiaye – Fito, Sylla, Marveaux, Lasne, Sanson, Boudebouz, Skhiri – Mounié, Camara, Bérigaud
Les 20 joueurs retenus pour #LOSCMHSC
Un groupe de 20 joueurs a été retenu par Patrick Collot pour la rencontre face à Montpellier (samedi, 20h).
Gardiens : Vincent Enyeama, Mike Maignan
Défenseurs : Sébastien Corchia, Renato Civelli, Stoppila Sunzu, Julian Palmieri, Franck Béria, Adama Soumaoro, Marko Basa
Milieux de terrain : Younousse Sankharé, Mounir Obbadi, Ibrahim Amadou, Morgan Amalfitano, Naïm Sliti, Rony Lopes
Attaquants : Yassine Benzia, Eder, Nicolas De Préville, Junior Tallo, Martin Terrier
Soins : Rio Mavuba, Ryan Mendes, Eric Bauthéac, Yves Bissouma, Lebo Mothiba, Rominigue Kouamé
Un groupe de 20 joueurs a été retenu par Patrick Collot pour la rencontre face à Montpellier (samedi, 20h).
Gardiens : Vincent Enyeama, Mike Maignan
Défenseurs : Sébastien Corchia, Renato Civelli, Stoppila Sunzu, Julian Palmieri, Franck Béria, Adama Soumaoro, Marko Basa
Milieux de terrain : Younousse Sankharé, Mounir Obbadi, Ibrahim Amadou, Morgan Amalfitano, Naïm Sliti, Rony Lopes
Attaquants : Yassine Benzia, Eder, Nicolas De Préville, Junior Tallo, Martin Terrier
Soins : Rio Mavuba, Ryan Mendes, Eric Bauthéac, Yves Bissouma, Lebo Mothiba, Rominigue Kouamé
20 joueurs donc à mon avis Eder ne sera pas dans les 18.
Veille de match
De l'influence de la couleur du maillot!
Deux nuances de LOSC...
L’embellie lilloise, vécue la semaine dernière, n’est pas arrivée toute seule. Et même s’il s’en défend souvent, par humilité sans doute, Patrick Collot a changé pas mal de choses pour en arriver là. « Je reste fidèle à ce que je suis. C’est ce qui m’a aidé à être le joueur puis l’entraîneur adjoint que je suis. » Bien.
Mais il y a autre chose. Un truc qui ne saute pas forcément aux yeux. Une modification qui peut faire sursauter les puristes. Dès son premier match à domicile aux manettes du LOSC, l’Avignonnais a pris une décision : terminé le maillot blanc, pourtant historique et lancé cette saison pour saluer le cinquantenaire du premier douclé du LOSC en 1946. Et retour en force du maillot rouge. « Si on peut garder le rouge, on gardera le rouge », affirme-t-il.
« Je pense qu’on voit mieux en rouge qu’en blanc. Et comme un footballeur est un visuel... »
Un détail ? Peut-être. Pas tant que ça si l’on en croit l’entraîneur nordiste. « Je pense qu’on se voit mieux en rouge qu’en blanc. Et comme un footballeur est un visuel... » Euh, on lui dit que le Real Madrid, par exemple, joue en blanc et qu’il présente le plus gros palmarès du football mondial ?
Superstition
Et s’il ne s’agissait là que de superstition ? Vous savez, celle dont les joueurs ne parlent pas mais qui les forcent à porter le même slip à chaque match, ou à toujours commencer par la jambe gauche. Toujours.
C’est que Patrick Collot, joueur, a connu deux périodes aux couleurs différentes dans le Nord. En blanc, il a vécu la relégation (1997). En rouge, la renaissance (2000) et la Ligue des champions (2001). Assez pour assimiler la première teinte, aussi historique soit-elle, à un LOSC qui perd. Vu le début de saison, on commence à y croire...
Y P la voix du nord
On va gagner!!
De l'influence de la couleur du maillot!
Deux nuances de LOSC...
L’embellie lilloise, vécue la semaine dernière, n’est pas arrivée toute seule. Et même s’il s’en défend souvent, par humilité sans doute, Patrick Collot a changé pas mal de choses pour en arriver là. « Je reste fidèle à ce que je suis. C’est ce qui m’a aidé à être le joueur puis l’entraîneur adjoint que je suis. » Bien.
Mais il y a autre chose. Un truc qui ne saute pas forcément aux yeux. Une modification qui peut faire sursauter les puristes. Dès son premier match à domicile aux manettes du LOSC, l’Avignonnais a pris une décision : terminé le maillot blanc, pourtant historique et lancé cette saison pour saluer le cinquantenaire du premier douclé du LOSC en 1946. Et retour en force du maillot rouge. « Si on peut garder le rouge, on gardera le rouge », affirme-t-il.
« Je pense qu’on voit mieux en rouge qu’en blanc. Et comme un footballeur est un visuel... »
Un détail ? Peut-être. Pas tant que ça si l’on en croit l’entraîneur nordiste. « Je pense qu’on se voit mieux en rouge qu’en blanc. Et comme un footballeur est un visuel... » Euh, on lui dit que le Real Madrid, par exemple, joue en blanc et qu’il présente le plus gros palmarès du football mondial ?
Superstition
Et s’il ne s’agissait là que de superstition ? Vous savez, celle dont les joueurs ne parlent pas mais qui les forcent à porter le même slip à chaque match, ou à toujours commencer par la jambe gauche. Toujours.
C’est que Patrick Collot, joueur, a connu deux périodes aux couleurs différentes dans le Nord. En blanc, il a vécu la relégation (1997). En rouge, la renaissance (2000) et la Ligue des champions (2001). Assez pour assimiler la première teinte, aussi historique soit-elle, à un LOSC qui perd. Vu le début de saison, on commence à y croire...
Y P la voix du nord
On va gagner!!
Il y a quand même un mystère avec Mendyl
Tout le monde s'accorde à dire ( pour ceux qui l'on vu jouer) qu'il est très bon en sélection
Tout le monde s'accorde à dire ( pour ceux qui l'on vu jouer) qu'il est très bon en CFA
...et il n'apparaît jamais dans le groupe malgré le changement d'entraîneur ?
y'a un pichon pa d'sous l'cailloux non ?
Tout le monde s'accorde à dire ( pour ceux qui l'on vu jouer) qu'il est très bon en sélection
Tout le monde s'accorde à dire ( pour ceux qui l'on vu jouer) qu'il est très bon en CFA
...et il n'apparaît jamais dans le groupe malgré le changement d'entraîneur ?
y'a un pichon pa d'sous l'cailloux non ?
« Je connaissais Marie, Jean, Paul, Jean-Marie, Jean-Paul, et même Marie-Paule, mais Marijampole, connais pas. »
