Ursulet a écrit :Source of the post Galfer a écrit :Source of the post Ursulet a écrit :Source of the post Y a pas de libéralisme en France. Y a du copinage avec les milliardaires et détournement de l'argent public à leur profit. Mais parler de libéralisme dans un pays ou l'état est ultra présent, sa part de prélèvement dans sur le PIB aussi élevée, c'est un non sens.
Tu confonds libéralisme et neo libéralisme. Le neo libéralisme, contrairement à une idée largement admise et jamais vraiment étudiée, à besoin d’un état fort pour agir.
Alors je demande qu'à etre corrigé.
Y a donc une doctrine libérale qui pronerait un état fort, interventionniste? C'est qd même paradoxal.
D’un point de vue historique, le libéralisme n’est pas l’ennemi de l’état dns la mesure où ce dernier assure les fonctions régaliennes mais aussi assure la libre circulation des marchandises pour faire vite.
Le neo Libéralisme ne doit pas être confondu avec le libertarisme qui lui permet promeut la destruction qu’ai totale de l’état.
Le neo libéralisme est une forme du libéralisme qui s’appuie sur la mondialisation des échanges, la remise en cause des souverainetés nationales mais qui s’appuie sur la haute fonction publique de l’état convertie à cette idéologie pour se mettre au service des intérêts privés .
De ce point de vue , qui est le mien et est parfaitement contestable, le neo libéralisme peut parfaitement s’accommoder d’un taux de prélèvement élevé à condition que son financement ne soit pas assuré par les entreprises et les plus riches d’où d’ailleurs la sur taxation des classes moyennes sur lesquelles repose ce financement.
Par ailleurs, il défaut noter que dans ce taux de prélèvement on met tout et son contraire. Une grande partie est constituée et d’aides et dégrèvements en tout genre versées aux entreprises ( et donc un fine aux actionnaires) et d’autres sont financées par des cotisations sociales payées par les salariés ( à ce sujet on opposera que les entreprises paient des charges sociales alors que ce n’est que du salaire indirect ).
Comprennez, Macron a utilisé le mot talisman par excellence : "progrès", ce terme qui flattant le narcissisme du demi-instruit baignant dans sa vacuité, le fait adhérer à n'importe quoi !