Bab a écrit :PO a écrit :Les marathoniens et thoniennes disaient que la montée de cette cuvée 2024 était difficile, mais que pour l'organisme, la descente était encore plus dure à encaisser, parce que même s'il n'y a qu'à se laisser porter par la pente, en réalité ça coupe les pattes pour les 10 derniers km suivants, là où se joue généralement un marathon.
La descente est toujours plus difficile en course (comme dans la vie classique ceci dit, cf escaliers)sur un plan musculaire, car l’excentrique (pour retenir le mouvement articulaire) est plus énergivore. Et encore en marathon les dénivelés sont légers, lissés sur une grande distance, et le terrain n’est pas accidenté.
C'est le genre de truc qu'on aime à répéter.
Je veux bien, mais perso quand une de mes filles habitait au 6em sans ascenseur, rien que l'idée de monter ce putain d'escalier me mettait déjà HS, et curieusement je n'ai jamais eu de problème pour redescendre.
Je fais des randos dans mon coin de Corse, allez monter au mont Sant'Anghjulu, celui qui me dit que la montée est plus facile que la descente est juste un menteur.
Alors je veux bien que pour des athlètes confirmés une montée (douce) soit moins difficile ou moins dangereuse que la descente, mais pour le gars normal ayant largement dépassé la cinquantaine, c'est faux, même si des médecins affirment le contraire.