PO a écrit :Source of the post David et Weah rentrent quand au juste ? Parce qu'en l'absence de Yilmaz, on a intérêt à pouvoir compter sur eux.
Je viens de regarder le tableau des cartons, on a 4 joueurs à risque de suspension contre le PSG s'ils chopent un carton jaune contre Clermont :
Benji André ; Tiago Djalo ; Zeki Celik ; YY.
PO a écrit :Source of the post Donc si pas de bobo, Weah peut jouer en pointe à la place du Kral, et on peut commencer avec YY en 2nd attaquant, puis avec David en 2nde partie de match selon le déroulement de la rencontre.
Le Belge a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Donc si pas de bobo, Weah peut jouer en pointe à la place du Kral, et on peut commencer avec YY en 2nd attaquant, puis avec David en 2nde partie de match selon le déroulement de la rencontre.
Ikoné weah devant à mon avis et renato à droite.
PO a écrit :Source of the postLe Belge a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Donc si pas de bobo, Weah peut jouer en pointe à la place du Kral, et on peut commencer avec YY en 2nd attaquant, puis avec David en 2nde partie de match selon le déroulement de la rencontre.
Ikoné weah devant à mon avis et renato à droite.
Aussi.
Mais je ne suis pas fan de Renato à droite. Pour faire le kéké en fin de match et claquer un petit pont sur un défenseur cramé OK. Sur la totalité d'un match, je trouve que c'est enfermer son talent.
La particularité de Sanches, c'est sa capacité à prendre un ballon dos au but autour de la ligne médiane plutôt dans l'axe, se retourner en un éclair, et avancer de 30m balle au pied pour servir nos attaquants. En bonne forme, même Pogba et Kanté s'y sont cassés les dents.
Joël Domenighetti a écrit :Amadou Onana veut se servir de Lille comme d'un tremplin
Polyglotte, le capitaine des Espoirs belges progresse au LOSC et nourrit, à 20 ans, de grandes ambitions pour sa carrière.
Lille s'est trouvé un nouveau milieu défensif de qualité. Titulaire face à Reims (2-1, le 22 septembre) et Marseille (2-0, le 3 octobre), Amadou Onana (20 ans) a contribué aux succès de son équipe par son impact et sa densité athlétique.
Le capitaine des Espoirs belges, qui réussissent un début de parcours qualificatif pour l'Euro 2023 parfait (4 matches, 4 victoires), prend ses marques chez les champions de France.
« Il est impatient, comme tous les jeunes, raconte son entraîneur, Jocelyn Gourvennec. La nouvelle génération n'a pas peur d'afficher son ambition et de montrer dans la foulée. C'est bien si, derrière, il se donne les moyens à l'entraînement, s'il travaille pour l'équipe. Dans l'esprit, sur ce que je vois, il est dedans. »
Le joueur belgo-sénégalais, né à Dakar, venait l'été rejoindre son père, vendeur informatique à Bruxelles. Avant que toute la famille ne s'y installe à ses 11 ans, et qu'il intègre l'école Saint-Michel à Etterbeek, une commune limitrophe de la capitale. Jusqu'aux moins de 15 ans, il a parfait sa formation à l'académie provinciale d'Anderlecht, au White Star Bruxelles, puis à Zulte-Waregem.
Avant de tenter sa chance en Allemagne pour un essai, sa soeur Melissa, qui le conseille, ayant envoyé en Europe une multitude de vidéos de ses meilleures actions. « À Zulte, je faisais mes devoirs pendant l'heure du trajet en train aller et retour, cinq fois par semaine, raconte-t-il. J'étais prêt à me donner les moyens et à faire des sacrifices, comme ne pas voir ma famille. Mais je n'ai joué que six matches. C'était juste pas possible. Pourtant, je n'ai jamais douté de moi-même. »
C'est à Hoffenheim, des moins de 17 aux moins de 19 ans, en passant par une demi-finale de Youth League perdue face à Porto, qu'il va commencer à percer. Mais sans y accepter un premier contrat professionnel, convaincu par l'appel de Hambourg et de Michaël Mutze, ex-directeur sportif du TSG 1899. Il ne restera qu'une saison au HSV, alors en D 2, qui le vend au LOSC l'été dernier pour 9 M€, selon le club nordiste, où il a signé pour cinq ans.
« J'aurais pu continuer à évoluer à Hambourg, explique Onana. Ils ont été très pros. Mais Lille, c'était une nouvelle marche. Ils m'ont fait venir pour me développer auprès de joueurs d'expérience, comme José Fonte, Benjamin André qui m'encadrent dans la vie de tous les jours. Je n'ai pas la science infuse. Alors je m'inspire de tout le monde et reste ouvert à la discussion. C'est un choix qui va m'aider pour devenir le joueur que j'ai envie de devenir : un milieu de classe mondiale. »
Roberto Martinez, sélectionneur de la Belgique, nous confiait récemment observer le développement du milieu d'1,95 m. « S'il mentionne mon nom, c'est que je suis sur la bonne voie, acquiesce l'intéressé qui parle cinq langues (français, néerlandais, allemand, anglais et wolof). Je vais travailler dur. » « Il a une énergie débordante, confirme Gourvennec. Dans un projet collectif, il faut la canaliser et se discipliner. Il est attentif à ça. Cela veut dire qu'il écoute. »
gblosc a écrit :Une pensée pour les pauvres commerçants clermontois, qui vont voir arriver une horde de 500 dangereux hooligans lillois.
J'espère qu'ils ont barricadé toutes les fenêtres et qu'ils ont prévu les bombes aspergeantes pour contenir ces violents ultras.
lenormal a écrit :Source of the post C'est un choix qui va m'aider pour devenir le joueur que j'ai envie de devenir : un milieu de classe mondiale. »
lenormal a écrit :Joël Domenighetti a écrit :Amadou Onana veut se servir de Lille comme d'un tremplin
Polyglotte, le capitaine des Espoirs belges progresse au LOSC et nourrit, à 20 ans, de grandes ambitions pour sa carrière.
Lille s'est trouvé un nouveau milieu défensif de qualité. Titulaire face à Reims (2-1, le 22 septembre) et Marseille (2-0, le 3 octobre), Amadou Onana (20 ans) a contribué aux succès de son équipe par son impact et sa densité athlétique.
Le capitaine des Espoirs belges, qui réussissent un début de parcours qualificatif pour l'Euro 2023 parfait (4 matches, 4 victoires), prend ses marques chez les champions de France.
« Il est impatient, comme tous les jeunes, raconte son entraîneur, Jocelyn Gourvennec. La nouvelle génération n'a pas peur d'afficher son ambition et de montrer dans la foulée. C'est bien si, derrière, il se donne les moyens à l'entraînement, s'il travaille pour l'équipe. Dans l'esprit, sur ce que je vois, il est dedans. »
Le joueur belgo-sénégalais, né à Dakar, venait l'été rejoindre son père, vendeur informatique à Bruxelles. Avant que toute la famille ne s'y installe à ses 11 ans, et qu'il intègre l'école Saint-Michel à Etterbeek, une commune limitrophe de la capitale. Jusqu'aux moins de 15 ans, il a parfait sa formation à l'académie provinciale d'Anderlecht, au White Star Bruxelles, puis à Zulte-Waregem.
Avant de tenter sa chance en Allemagne pour un essai, sa soeur Melissa, qui le conseille, ayant envoyé en Europe une multitude de vidéos de ses meilleures actions. « À Zulte, je faisais mes devoirs pendant l'heure du trajet en train aller et retour, cinq fois par semaine, raconte-t-il. J'étais prêt à me donner les moyens et à faire des sacrifices, comme ne pas voir ma famille. Mais je n'ai joué que six matches. C'était juste pas possible. Pourtant, je n'ai jamais douté de moi-même. »
C'est à Hoffenheim, des moins de 17 aux moins de 19 ans, en passant par une demi-finale de Youth League perdue face à Porto, qu'il va commencer à percer. Mais sans y accepter un premier contrat professionnel, convaincu par l'appel de Hambourg et de Michaël Mutze, ex-directeur sportif du TSG 1899. Il ne restera qu'une saison au HSV, alors en D 2, qui le vend au LOSC l'été dernier pour 9 M€, selon le club nordiste, où il a signé pour cinq ans.
« J'aurais pu continuer à évoluer à Hambourg, explique Onana. Ils ont été très pros. Mais Lille, c'était une nouvelle marche. Ils m'ont fait venir pour me développer auprès de joueurs d'expérience, comme José Fonte, Benjamin André qui m'encadrent dans la vie de tous les jours. Je n'ai pas la science infuse. Alors je m'inspire de tout le monde et reste ouvert à la discussion. C'est un choix qui va m'aider pour devenir le joueur que j'ai envie de devenir : un milieu de classe mondiale. »
Roberto Martinez, sélectionneur de la Belgique, nous confiait récemment observer le développement du milieu d'1,95 m. « S'il mentionne mon nom, c'est que je suis sur la bonne voie, acquiesce l'intéressé qui parle cinq langues (français, néerlandais, allemand, anglais et wolof). Je vais travailler dur. » « Il a une énergie débordante, confirme Gourvennec. Dans un projet collectif, il faut la canaliser et se discipliner. Il est attentif à ça. Cela veut dire qu'il écoute. »
Carine a écrit :Source of the postCRICRI a écrit :BOTMAN reinildo absents, dabila dans le groupe
Reinildo suspendu ?
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