eljano a écrit :Source of the postgblosc a écrit :Source of the post
Je ne supporte plus ces vieux qui font leur difficile pour le choix de vaccin, rappelons qu'il est gratuit, on leur propose, ils disposent, point !
Je crois que tu te plantes complètement.
Ceux qui ne veulent pas se faire vacciner sont les jeunes pas les vieux.
Dans ma fratrie nous sommes 4, tous âgés plus de 60 ans, on est tous vaccinés.
En revanche mes 3 filles, entre 29 et 39 ans ne veulent pas en entendre parler et sont plus ou moins dans la théorie du complot (on veut nous enchaîner, la dictature est en marche etc etc...).
Et j'aimerais bien connaître l'âge des 17 peheliens qui répondent "non certainement pas" au sondage vaccination, qu'ils se dénoncent.
Il y a encore 4M de personnes cibles qui ne sont pas vaccinées et que l'on cherche encore à attirer (appel de la sécu, pédagogie du médecin de famille, spots débiles à la TV, etc....).
Tout à fait.
La seule chose qu'on peut reprocher à ce sujet au gouvernement, c'est le manque d'une campagne de communication ciblée sur le risque très minime d'effets indésirables comparés à l'avion, la pilule, le vaccin contre la grippe, etc où le risque de thrombose est plus élevé qu'avec le vaccin AstraZeneca.
Là, c'est uniquement parce que la vaccination est soudaine et à grande échelle que ces effets indésirables ont été mis en évidence.
La seule chose qu'on peut reprocher à ce sujet au gouvernement, c'est le manque d'une campagne de communication ciblée sur le risque très minime d'effets indésirables comparés à l'avion, la pilule, le vaccin contre la grippe, etc où le risque de thrombose est plus élevé qu'avec le vaccin AstraZeneca.
Là, c'est uniquement parce que la vaccination est soudaine et à grande échelle que ces effets indésirables ont été mis en évidence.
gblosc a écrit :Source of the post Tout à fait.
La seule chose qu'on peut reprocher à ce sujet au gouvernement, c'est le manque d'une campagne de communication ciblée sur le risque très minime d'effets indésirables comparé à l'avion la pilule, le vaccin contre la grippe, etc où le risque de thrombose est plus élevé qu'avec le vaccin AstraZeneca.
Là, c'est uniquement parce que la vaccination est soudaine et à grande échelle que ces effets indésirables ont été mis en évidence.
L'avion non, la voiture oui, 2 à 3000 morts par an en France
Imaginez 2000 morts dus à la vaccination...
On en est à combien en France ?
Modifié en dernier par eljano le jeu. 29 avr. 2021 10:18, modifié 1 fois.
Il a fallu plus de 2 mois pour que ma grand-mère de 92 ans se fasse vacciner, elle ne voulait pas se déplacer de chez elle (le Covid l'a hélas beaucoup renfermé sur elle-même et rendu parano), ce sont ses filles qui a force d'insister, ont réussi à la motiver pour aller dans un centre se faire vacciner avec le Pfizer.
L'isolement de certaines personnes âgées et l'abatage médiatique du Covid depuis plus d'un an ont rendu certaines personnes fragiles voire fatalistes.
Il est vrai que les médecins traitants de ces personnes âgées font souvent partie des rares personnes de confiance pour elles, et qu'ils ont un vrai rôle à jouer.
L'isolement de certaines personnes âgées et l'abatage médiatique du Covid depuis plus d'un an ont rendu certaines personnes fragiles voire fatalistes.
Il est vrai que les médecins traitants de ces personnes âgées font souvent partie des rares personnes de confiance pour elles, et qu'ils ont un vrai rôle à jouer.
Jooo a écrit :Source of the post Alors que nous n'avons pas ces 4M de vaccins, ne n'oublions pas.
Nous n'avons pas ces 4M de dose, mais on en a plusieurs centaines de milliers. C'est déjà ça. Et les arrivages vont continuer.
En regardant Covidtracker, sur Lille+les villes de la périphérie immédiate (Wasquehal, Roubaix, Tourcoing), il y a plus de 600 créneaux disponibles sous 7 jours avec tous les vaccins disponibles (y'a même plus de 400 Pfizer !). Qu'attend-on ?
Le discours sur les dangers et le bénéfice-risque des vaccins est peu entendable par une partie des gens, je pense. On est tous d'accord pour dire que, statistiquement, le risque d'avoir une forme grave, voire mortelle de la covid est très largement supérieur au risque de thrombose grave lié au vaccin. Le soucis, c'est que ce n'est pas un problème statistique, mais psychologique selon moi. Je m'explique.
Une personne qui attrape le covid et en meurt, c'est terrible, mais psychologiquement, il y a l'idée qu'elle a attrapé une maladie et que cette maladie l'a tuée. On est dans une sorte de logique, même si elle est terrible. Une personne qui meurt suite à une réaction liée à une vaccination est largement plus inacceptable par la population car :
- le médicament qui devait la protéger l'a tuée,
- la personne qui meurt a eu le comportement mis en avant pour se protéger et protéger les autres, mais elle est morte d'avoir eu ce comportement "positif"'
- le discours qui rappelle le faible risque de la vaccination est vu (selon moi, à tord) par une partie des gens comme une volonté de minimiser, voire de nier les risques de la vaccination, et il devient pour eux parfaitement contre-productif.
Soyons clair, je suis archi-pour la vaccination et j'attends avec impatience de me faire vacciner. Mais j'ai du mal avec le discours qui fait un parallèle entre la mortalité liée à une maladie et celle (qui existe, même si extrêmement rare) au vaccin censé protéger de cette maladie. Car on ne peut pas mettre statistiquement sur le même plan les morts liés à un virus et les morts liés à un remède. J'ai envie de dire, que le vaccin fasse largement moins de victimes que le virus, ENCORE HEUREUX. Le problème, selon moi, c'est qu'on pourra tenir n'importe quel discours que l'on veut, on ne rendra pas acceptable à beaucoup de gens l'idée que le remède mis en avant pour la santé individuelle et collective puisse provoquer la mort d'un tout petit nombre de personnes qui, sans ce vaccin, aurait continuer à vivre. Selon moi, la seule manière de faire (et ça s'est vu avec le début de la vaccination, quand la part de personnes opposée au vaccin a fortement baissé), c'est de rentrer dans une phase de vaccination vraiment massive, en ouvrant les vannes et permettre à tous les gens qui le souhaitent de se faire vacciner. Schématiquement, créer un "appel d'air" qui pourrait convaincre une partie des personnes qui ne souhaitent pas se faire vacciner.
Une personne qui attrape le covid et en meurt, c'est terrible, mais psychologiquement, il y a l'idée qu'elle a attrapé une maladie et que cette maladie l'a tuée. On est dans une sorte de logique, même si elle est terrible. Une personne qui meurt suite à une réaction liée à une vaccination est largement plus inacceptable par la population car :
- le médicament qui devait la protéger l'a tuée,
- la personne qui meurt a eu le comportement mis en avant pour se protéger et protéger les autres, mais elle est morte d'avoir eu ce comportement "positif"'
- le discours qui rappelle le faible risque de la vaccination est vu (selon moi, à tord) par une partie des gens comme une volonté de minimiser, voire de nier les risques de la vaccination, et il devient pour eux parfaitement contre-productif.
Soyons clair, je suis archi-pour la vaccination et j'attends avec impatience de me faire vacciner. Mais j'ai du mal avec le discours qui fait un parallèle entre la mortalité liée à une maladie et celle (qui existe, même si extrêmement rare) au vaccin censé protéger de cette maladie. Car on ne peut pas mettre statistiquement sur le même plan les morts liés à un virus et les morts liés à un remède. J'ai envie de dire, que le vaccin fasse largement moins de victimes que le virus, ENCORE HEUREUX. Le problème, selon moi, c'est qu'on pourra tenir n'importe quel discours que l'on veut, on ne rendra pas acceptable à beaucoup de gens l'idée que le remède mis en avant pour la santé individuelle et collective puisse provoquer la mort d'un tout petit nombre de personnes qui, sans ce vaccin, aurait continuer à vivre. Selon moi, la seule manière de faire (et ça s'est vu avec le début de la vaccination, quand la part de personnes opposée au vaccin a fortement baissé), c'est de rentrer dans une phase de vaccination vraiment massive, en ouvrant les vannes et permettre à tous les gens qui le souhaitent de se faire vacciner. Schématiquement, créer un "appel d'air" qui pourrait convaincre une partie des personnes qui ne souhaitent pas se faire vacciner.
Modifié en dernier par roger le jeu. 29 avr. 2021 12:03, modifié 2 fois.
Je suis d'accord avec toi Roger.
Et j'en conclue : Vous ne voulez pas, vous le dites & vous signez une décharge, on vous retire de la liste des personnes éligibles et on passe à ceux qui veulent mais attendent.
On a plus le temps d'essayer de convaincre Pierre, Paul & Jacques.
Et j'en conclue : Vous ne voulez pas, vous le dites & vous signez une décharge, on vous retire de la liste des personnes éligibles et on passe à ceux qui veulent mais attendent.
On a plus le temps d'essayer de convaincre Pierre, Paul & Jacques.
Oui, c'est ce qu'il faut faire, mais en donnant la main aux médecins généralistes.
Les 4M non vaccinés sont appelés par la SECU. S'ils ne sont pas convaincus, les données sont transmises au médecin traitant, qui les appelle et prennent rendez vous (voir se déplacent).
Et là, si le patient ne veut toujours pas, alors signature d'une décharge pour ne pas attendre éternellement les gens qui ne seront jamais vaccinés quoiqu'il arrive. Parce que franchement, ceux qui ne veulent pas d'AZ ne veulent pas se faire vacciner, et le fait d'attendre le Pfizer, c'est juste un prétexte.
Les 4M non vaccinés sont appelés par la SECU. S'ils ne sont pas convaincus, les données sont transmises au médecin traitant, qui les appelle et prennent rendez vous (voir se déplacent).
Et là, si le patient ne veut toujours pas, alors signature d'une décharge pour ne pas attendre éternellement les gens qui ne seront jamais vaccinés quoiqu'il arrive. Parce que franchement, ceux qui ne veulent pas d'AZ ne veulent pas se faire vacciner, et le fait d'attendre le Pfizer, c'est juste un prétexte.
Que ces personnes sortent alors de la liste des prioritaires.
C'est comme à la caisse du supermarché avec la caisse prioritaire. Si tu rentres dans les critères, tu passes devant tout le monde, c'est le jeu.
Mais si tu veux pas y aller parce que la gueule de la caissière te revient pas et/ou que Monique à la caisse d'à côté, elle est plus sympa, alors c'est ton choix. Mais dans ce cas, tu fais la queue comme l'individu lambda.
C'est comme à la caisse du supermarché avec la caisse prioritaire. Si tu rentres dans les critères, tu passes devant tout le monde, c'est le jeu.
Mais si tu veux pas y aller parce que la gueule de la caissière te revient pas et/ou que Monique à la caisse d'à côté, elle est plus sympa, alors c'est ton choix. Mais dans ce cas, tu fais la queue comme l'individu lambda.
eljano a écrit :Source of the postgblosc a écrit :Source of the post
Je ne supporte plus ces vieux qui font leur difficile pour le choix de vaccin, rappelons qu'il est gratuit, on leur propose, ils disposent, point !
Je crois que tu te plantes complètement.
Ceux qui ne veulent pas se faire vacciner sont les jeunes pas les vieux.
Dans ma fratrie nous sommes 4, tous âgés plus de 60 ans, on est tous vaccinés.
En revanche mes 3 filles, entre 29 et 39 ans ne veulent pas en entendre parler et sont plus ou moins dans la théorie du complot (on veut nous enchaîner, la dictature est en marche etc etc...).
Et j'aimerais bien connaître l'âge des 17 peheliens qui répondent "non certainement pas" au sondage vaccination, qu'ils se dénoncent.
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Faut faire attention avec ce chiffre de 300 000 créneaux disponibles, que les journalistes reprennent sans vérifier. La source, c'est "vite ma dose", un site créé pour faciliter les recherches de créneaux et qui répertorie tous les créneaux disponibles .... jusqu'en juin. Dans mon département (Var), il affiche 4000 créneaux disponibles, mais en fait il n'y en a aucun avant le 13 mai. Les seuls créneaux qui apparaissent avant cette date sont ceux d'une pharmacie (292 !!!!) qui met des rendez-vous toutes les 10 minutes pendant 2 semaines alors qu'elle doit avoir 10 ou 20 doses d'astra zeneca. Et sur ce site, beaucoup de pharmacies et de médecins généralistes surbookent pour être sur d'écouler leurs doses.
En début de semaine, plusieurs milliers de rendez-vous sont parus dans le département, ils sont tous partis en 48 heures. Je pense que le problème se pose ponctuellement sur certaines grandes villes (surtout la région parisienne) et pour les centres de vaccination qui n'ont que du AZ.
Ce qui serait interessant ce serait de savoir combien de créneaux dispo en centre de vaccination pour la semaine à venir, et combien de temps un créneau dans la semaine reste disponible avant d'être réservé. Là on saurait si l'offre est supérieure à la demande et s'il faut élargir ou pas.
En début de semaine, plusieurs milliers de rendez-vous sont parus dans le département, ils sont tous partis en 48 heures. Je pense que le problème se pose ponctuellement sur certaines grandes villes (surtout la région parisienne) et pour les centres de vaccination qui n'ont que du AZ.
Ce qui serait interessant ce serait de savoir combien de créneaux dispo en centre de vaccination pour la semaine à venir, et combien de temps un créneau dans la semaine reste disponible avant d'être réservé. Là on saurait si l'offre est supérieure à la demande et s'il faut élargir ou pas.
MrK a écrit :Que ces personnes sortent alors de la liste des prioritaires.
C'est comme à la caisse du supermarché avec la caisse prioritaire. Si tu rentres dans les critères, tu passes devant tout le monde, c'est le jeu.
Mais si tu veux pas y aller parce que la gueule de la caissière te revient pas et/ou que Monique à la caisse d'à côté, elle est plus sympa, alors c'est ton choix. Mais dans ce cas, tu fais la queue comme l'individu lambda.
Parce qu'ils vaccinent, dans ton Lidl ???
:-)
roger a écrit :Source of the post Le discours sur les dangers et le bénéfice-risque des vaccins est peu entendable par une partie des gens, je pense. On est tous d'accord pour dire que, statistiquement, le risque d'avoir une forme grave, voire mortelle de la covid est très largement supérieur au risque de thrombose grave lié au vaccin. Le soucis, c'est que ce n'est pas un problème statistique, mais psychologique selon moi. Je m'explique.
Une personne qui attrape le covid et en meurt, c'est terrible, mais psychologiquement, il y a l'idée qu'elle a attrapé une maladie et que cette maladie l'a tuée. On est dans une sorte de logique, même si elle est terrible. Une personne qui meurt suite à une réaction liée à une vaccination est largement plus inacceptable par la population car :
- le médicament qui devait la protéger l'a tuée,
- la personne qui meurt a eu le comportement mis en avant pour se protéger et protéger les autres, mais elle est morte d'avoir eu ce comportement "positif"'
- le discours qui rappelle le faible risque de la vaccination est vu (selon moi, à tord) par une partie des gens comme une volonté de minimiser, voire de nier les risques de la vaccination, et il devient pour eux parfaitement contre-productif.
Soyons clair, je suis archi-pour la vaccination et j'attends avec impatience de me faire vacciner. Mais j'ai du mal avec le discours qui fait un parallèle entre la mortalité liée à une maladie et celle (qui existe, même si extrêmement rare) au vaccin censé protéger de cette maladie. Car on ne peut pas mettre statistiquement sur le même plan les morts liés à un virus et les morts liés à un remède. J'ai envie de dire, que le vaccin fasse largement moins de victimes que le virus, ENCORE HEUREUX. Le problème, selon moi, c'est qu'on pourra tenir n'importe quel discours que l'on veut, on ne rendra pas acceptable à beaucoup de gens l'idée que le remède mis en avant pour la santé individuelle et collective puisse provoquer la mort d'un tout petit nombre de personnes qui, sans ce vaccin, aurait continuer à vivre. Selon moi, la seule manière de faire (et ça s'est vu avec le début de la vaccination, quand la part de personnes opposée au vaccin a fortement baissé), c'est de rentrer dans une phase de vaccination vraiment massive, en ouvrant les vannes et permettre à tous les gens qui le souhaitent de se faire vacciner. Schématiquement, créer un "appel d'air" qui pourrait convaincre une partie des personnes qui ne souhaitent pas se faire vacciner.
OK pour l'aspect psychologique concernant cette défiance envers le vaccin anti-Covid, qui s'expliquerait par la peur de mourir de quelque chose qui est censé te protéger. Mais par quoi est-elle nourrie ?
- Le climat complotiste qui s'amplifie de façon exponentielle depuis maintenant des années sur tous les sujets, sans aucune exception, au point de constituer désormais une force politique majeure, mais sans réel parti (Mais ça n'est pas faute de vouloir les récupérer).
- L'hyper-médiatisation de tout ce qui touche au à la Covid-19, qui tend à nous faire croire qu'on est tous devenus des épidémiologistes et des virologues avertis, nous conduisant ainsi à être hyper-sensibilisés aux effets secondaires des vaccins Anti-Covid, là où en parallèle, notre connaissance des effets secondaires des médocs qu'on nous prescrit à longueur d'année, et qu'on conserve dans notre armoire à pharmacie, sont proches du néant.
- Les prises de position contradictoires, et pas toujours argumentées, vis à vis de la vaccination de scientifiques, de politiques, d'intellectuels, de "people", qui ne font que jeter encore plus le trouble vis à vis de ces vaccins.
- La trouille désormais systématique des gouvernants au pouvoir de se voir coller des procès retentissants, si jamais ils avaient le malheur de ne pas suspendre un vaccin le temps qu'une commission ad hoc examine le dossier.
A partir de là, et en fonction de la personnalité, du caractère, des convictions, de l'entourage, des personnes ciblées par la vaccination, il est normal que certaines hésitent, voire refusent de se faire vacciner.
C'est aux médecins de convaincre leurs patients des bienfaits d'un traitement. Encore faut-il qu'eux-mêmes en soient convaincus.
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