Avant que le losc n'enchaîne les victoires, on a essayé,essayé et essayé encore meme si ca faisait mal....
https://t.co/SQr9Wtqeuz
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"En tout cas si un jour on manque de viande bovine, je boufferai de l'écolo, ça doit être sain comme bidoche à toujours manger bio."
Dodger jeudi 3 août 2017 21h48
Dodger jeudi 3 août 2017 21h48
INSOLITE - Malaise. Une statue inaugurée la semaine dernière devant l'école catholique de Blackfriars près d'Adelaide en Australie a fait polémique pour sa mise en scène. On peut y voir Saint-Martin de Porrès tendre un morceau de pain à un enfant.
Sauf que la pose dans laquelle est représenté le saint -réputé pour sa faculté à multiplier la nourriture au XVIe siècle-, est jugée inappropriée. Comme l'explique le site australien The Advertiser cité par de nombreux médias, l'image a fait le tour des réseaux sociaux dans le pays.
Devant les réactions d'indignation, l'école a été contrainte de couvrir la statue avec un grand voile noir pour cacher ce que certains ont pris pour une sculpture provocatrice, rappelant les affaires de pédophilie qui touchent l'Eglise catholique. D'autant plus que selon le site australien ABC, deux anciens professeurs de l'école ont été emprisonnés au cours des 12 dernières années pour avoir abusé d'enfants.
Dans un communiqué publié ce mercredi 22 novembre sur le compte Facebook de la Blackfriars Priory School, le principal s'est excusé tout en plaidant un problème de perspective. "Les plans conceptuels en deux dimensions de la statue ont été visionnés et approuvés par l'équipe de direction en mai, mais à l'arrivée, la statue en trois dimensions a été jugée potentiellement suggestive. Par conséquence, nous l'avons immédiatement couverte et un sculpteur local a été appelé pour repenser son design".
Sauf que la pose dans laquelle est représenté le saint -réputé pour sa faculté à multiplier la nourriture au XVIe siècle-, est jugée inappropriée. Comme l'explique le site australien The Advertiser cité par de nombreux médias, l'image a fait le tour des réseaux sociaux dans le pays.
Devant les réactions d'indignation, l'école a été contrainte de couvrir la statue avec un grand voile noir pour cacher ce que certains ont pris pour une sculpture provocatrice, rappelant les affaires de pédophilie qui touchent l'Eglise catholique. D'autant plus que selon le site australien ABC, deux anciens professeurs de l'école ont été emprisonnés au cours des 12 dernières années pour avoir abusé d'enfants.
Dans un communiqué publié ce mercredi 22 novembre sur le compte Facebook de la Blackfriars Priory School, le principal s'est excusé tout en plaidant un problème de perspective. "Les plans conceptuels en deux dimensions de la statue ont été visionnés et approuvés par l'équipe de direction en mai, mais à l'arrivée, la statue en trois dimensions a été jugée potentiellement suggestive. Par conséquence, nous l'avons immédiatement couverte et un sculpteur local a été appelé pour repenser son design".
Wattignies.
Il est environ 19 h, dimanche. La maison d’un joueur de l’équipe première du LOSC est cambriolée en son absence, à Wattignies. L’alerte est donnée par une employée de la victime qui arrive près de l’habitation. Elle voit des faisceaux de lampes torches dans le domicile et prévient la police. Mais à l’arrivée des forces de l’ordre, les cambrioleurs sont déjà partis.
Des vêtements d’une valeur de 10 000 euros ont été volés, ainsi que deux paires de chaussures, deux ordinateurs, deux consoles de jeux vidéos et les clés d’une Mercedes.
Il est environ 19 h, dimanche. La maison d’un joueur de l’équipe première du LOSC est cambriolée en son absence, à Wattignies. L’alerte est donnée par une employée de la victime qui arrive près de l’habitation. Elle voit des faisceaux de lampes torches dans le domicile et prévient la police. Mais à l’arrivée des forces de l’ordre, les cambrioleurs sont déjà partis.
Des vêtements d’une valeur de 10 000 euros ont été volés, ainsi que deux paires de chaussures, deux ordinateurs, deux consoles de jeux vidéos et les clés d’une Mercedes.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
james a écrit :Source of the post Wattignies.
Il est environ 19 h, dimanche. La maison d’un joueur de l’équipe première du LOSC est cambriolée en son absence, à Wattignies. L’alerte est donnée par une employée de la victime qui arrive près de l’habitation. Elle voit des faisceaux de lampes torches dans le domicile et prévient la police. Mais à l’arrivée des forces de l’ordre, les cambrioleurs sont déjà partis.
Des vêtements d’une valeur de 10 000 euros ont été volés, ainsi que deux paires de chaussures, deux ordinateurs, deux consoles de jeux vidéos et les clés d’une Mercedes.
Qu'ils aillent voler les Lenchois !
Brest. Alcoolisé et sans permis, l’unijambiste conduisait à l’aide d’un balai
Modifié le 30/11/2017 à 15:02 | Publié le 30/11/2017 à 11:01
Amputé d’une jambe à hauteur du genou, l'homme a bricolé un système artisanal qui lui permet d’appuyer sur l’accélérateur de la voiture grâce à un manche à balai. Amputé d’une jambe à hauteur du genou, l'homme a bricolé un système artisanal qui lui permet d’appuyer sur l’accélérateur de la voiture grâce à un manche à balai. | Photo d'illustration libre de droits
L'individu est déjà connu des services de police de Brest pour des faits similaires. L'individu est déjà connu des services de police de Brest pour des faits similaires. | Ouest-France
Déjà connu des services de police, un trentenaire, en situation de récidive pour conduite sous l’emprise de l’alcool, a percuté une autre voiture, à Brest. Amputé d’une jambe, il circulait sans assurance, sans permis et avait bricolé un système pour réussir à conduire. Sa Mercedes a été emmenée à la fourrière.
Cet automobiliste a commencé par occasionner un accident de la circulation, mardi soir à Saint-Martin, à Brest. Il était près de 20 h lorsqu’il a percuté un autre véhicule, dans la rue Navarin, avant de s’enfuir.
Des dégâts uniquement matériels, mais le signalement de sa Mercedes a pu être donné aux policiers. Lesquels ont repéré le même conducteur, un peu plus tard, dans la rue Gay-Lussac, non loin de Kerinou.
Les agents ont immédiatement interpellé le conducteur, déjà connu de leurs services, qui affichait une alcoolémie de 0,51 mg par litre d’air expiré. Soit l’équivalent plus d’un gramme par litre de sang.
Ce demandeur d’asile russe de 37 ans, né en Tchétchénie, n’en est pas à son premier délit.
Système artisanal
Non titulaire du permis de conduire, il a l’habitude de circuler dans un véhicule qui n’est pas assuré. Il a déjà été interpellé pour des faits similaires de conduite sous l’emprise de l’alcool datant d’octobre dernier.
De plus, amputé d’une jambe à hauteur du genou, il a aussi bricolé un système artisanal qui lui permet d’appuyer sur l’accélérateur de la voiture grâce à un manche à balai recoupé à la « bonne » hauteur.
Pour sa défense, il a avancé qu’il n’avait « pas beaucoup de distance à parcourir » et « pas eu le temps de transformer son permis de conduire passé à l’étranger ». Un dernier argument qui a semblé peu crédible aux policiers car le conducteur imprudent réside en France depuis six ans.
Modifié le 30/11/2017 à 15:02 | Publié le 30/11/2017 à 11:01
Amputé d’une jambe à hauteur du genou, l'homme a bricolé un système artisanal qui lui permet d’appuyer sur l’accélérateur de la voiture grâce à un manche à balai. Amputé d’une jambe à hauteur du genou, l'homme a bricolé un système artisanal qui lui permet d’appuyer sur l’accélérateur de la voiture grâce à un manche à balai. | Photo d'illustration libre de droits
L'individu est déjà connu des services de police de Brest pour des faits similaires. L'individu est déjà connu des services de police de Brest pour des faits similaires. | Ouest-France
Déjà connu des services de police, un trentenaire, en situation de récidive pour conduite sous l’emprise de l’alcool, a percuté une autre voiture, à Brest. Amputé d’une jambe, il circulait sans assurance, sans permis et avait bricolé un système pour réussir à conduire. Sa Mercedes a été emmenée à la fourrière.
Cet automobiliste a commencé par occasionner un accident de la circulation, mardi soir à Saint-Martin, à Brest. Il était près de 20 h lorsqu’il a percuté un autre véhicule, dans la rue Navarin, avant de s’enfuir.
Des dégâts uniquement matériels, mais le signalement de sa Mercedes a pu être donné aux policiers. Lesquels ont repéré le même conducteur, un peu plus tard, dans la rue Gay-Lussac, non loin de Kerinou.
Les agents ont immédiatement interpellé le conducteur, déjà connu de leurs services, qui affichait une alcoolémie de 0,51 mg par litre d’air expiré. Soit l’équivalent plus d’un gramme par litre de sang.
Ce demandeur d’asile russe de 37 ans, né en Tchétchénie, n’en est pas à son premier délit.
Système artisanal
Non titulaire du permis de conduire, il a l’habitude de circuler dans un véhicule qui n’est pas assuré. Il a déjà été interpellé pour des faits similaires de conduite sous l’emprise de l’alcool datant d’octobre dernier.
De plus, amputé d’une jambe à hauteur du genou, il a aussi bricolé un système artisanal qui lui permet d’appuyer sur l’accélérateur de la voiture grâce à un manche à balai recoupé à la « bonne » hauteur.
Pour sa défense, il a avancé qu’il n’avait « pas beaucoup de distance à parcourir » et « pas eu le temps de transformer son permis de conduire passé à l’étranger ». Un dernier argument qui a semblé peu crédible aux policiers car le conducteur imprudent réside en France depuis six ans.
Vince a écrit :Source of the post Brest. Alcoolisé et sans permis, l’unijambiste conduisait à l’aide d’un balai
Modifié le 30/11/2017 à 15:02 | Publié le 30/11/2017 à 11:01
Amputé d’une jambe à hauteur du genou, l'homme a bricolé un système artisanal qui lui permet d’appuyer sur l’accélérateur de la voiture grâce à un manche à balai. Amputé d’une jambe à hauteur du genou, l'homme a bricolé un système artisanal qui lui permet d’appuyer sur l’accélérateur de la voiture grâce à un manche à balai. | Photo d'illustration libre de droits
L'individu est déjà connu des services de police de Brest pour des faits similaires. L'individu est déjà connu des services de police de Brest pour des faits similaires. | Ouest-France
Déjà connu des services de police, un trentenaire, en situation de récidive pour conduite sous l’emprise de l’alcool, a percuté une autre voiture, à Brest. Amputé d’une jambe, il circulait sans assurance, sans permis et avait bricolé un système pour réussir à conduire. Sa Mercedes a été emmenée à la fourrière.
Cet automobiliste a commencé par occasionner un accident de la circulation, mardi soir à Saint-Martin, à Brest. Il était près de 20 h lorsqu’il a percuté un autre véhicule, dans la rue Navarin, avant de s’enfuir.
Des dégâts uniquement matériels, mais le signalement de sa Mercedes a pu être donné aux policiers. Lesquels ont repéré le même conducteur, un peu plus tard, dans la rue Gay-Lussac, non loin de Kerinou.
Les agents ont immédiatement interpellé le conducteur, déjà connu de leurs services, qui affichait une alcoolémie de 0,51 mg par litre d’air expiré. Soit l’équivalent plus d’un gramme par litre de sang.
Ce demandeur d’asile russe de 37 ans, né en Tchétchénie, n’en est pas à son premier délit.
Système artisanal
Non titulaire du permis de conduire, il a l’habitude de circuler dans un véhicule qui n’est pas assuré. Il a déjà été interpellé pour des faits similaires de conduite sous l’emprise de l’alcool datant d’octobre dernier.
De plus, amputé d’une jambe à hauteur du genou, il a aussi bricolé un système artisanal qui lui permet d’appuyer sur l’accélérateur de la voiture grâce à un manche à balai recoupé à la « bonne » hauteur.
Pour sa défense, il a avancé qu’il n’avait « pas beaucoup de distance à parcourir » et « pas eu le temps de transformer son permis de conduire passé à l’étranger ». Un dernier argument qui a semblé peu crédible aux policiers car le conducteur imprudent réside en France depuis six ans.
Après l accident, il aurait pris sa jambe à son cou.
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