daddycool a écrit :Source of the post Z'avaient pas un gardien roumain?
Si si...mais il s'est fait manger.
Tiramisu il me semble qu'il s'appelait...
GO LE LOSC GO GO!
daddycool a écrit :Source of the post Z'avaient pas un gardien roumain?
Tatarusanu, en provenance de la Fiorentina, pas qualifié.
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
lenormal a écrit :Source of the post Mea culpa : d'après le site de la LFP, il est qualifié !
D'après l'Equipe, il était jugé trop juste pour ce déplacement.
Vahid Halilhodzic: «Le LOSC doit être européen chaque année»
Marcelo Bielsa annoncé comme l’homme du renouveau du LOSC, fera-t-il aussi bien que Vahid Halilhodzic, l’homme fort de Lille du début des années 2000 ? Entre deux voyages, à la veille de retrouver Tokyo, et sa sélection du Japon, Vahid Halilhodzic a bien voulu nous recevoir pour évoquer plusieurs sujets d’actualité, notamment le nouveau visage du LOSC. Et un renouveau que lui même a réussi au début des années 2000 sous la présidence de Bernard Lecomte.
Par Michel Castelain | Publié le05/08/2017 partager twitter Le journal du jour à partir de 0.49€
AFP PHOTO / CHRISTOPHE SIMON
- Peut-on comparer votre période de réussite et celle que l’on annonce avec Lopez et Bielsa ?
« Cela n’a rien à voir. Quand j’ai repris l’équipe, le club était dans une situation chaotique au fin fond de la deuxième division. Les conditions d’entrainement n’étaient pas dignes d’un club professionnel. Néanmoins, nous avons terminé troisième la première année, et la saison suivante ce fut exceptionnel, avec la remontée en D 1. La suite fut extraordinaire, avec une troisième place qualificative pour la phase préliminaire de la Champion’s League. La victoire à Parme nous a permis de vivre une grande première : la phase de poule avec des clubs prestigieux (Manchester United, La Corogne, Olympiakos). C’était vraiment un esprit club que je n’ai jamais retrouvé.»
- Le LOSC a choisi à l’intersaison un nouvel entraineur, Monsieur Bielsa dont on dit le plus grand bien, qu’en pensez-vous ?
« Je ne le connais pas, on parle beaucoup de lui, de ses méthodes. Sur la rigueur, cela n’est pas une nouveauté, puisque sous ma direction, cela était déjà le cas. Par contre, concernant les conditions de travail entre ce que j’ai vécu et maintenant, nous sommes passés de la 2CV à la Mercedes. Maintenant, il faut voir comment il va gérer cela. À sa demande, le club et le président Gérard Lopez lui ont donné beaucoup de pouvoirs, un groupe de jeunes joueurs peut être pour éviter les conflits comme cela s’est passé à Marseille avant son départ précipité. En dehors de sa personnalité, Monsieur Bielsa n’a jamais gagné de titre. On est dans la sphère du foot-business et les résultats sont attendus rapidement. Le LOSC doit être européen chaque année, et j’espère que cela va marcher, car le club s’est donné les moyens.»
http://www.nordeclair.fr/81161/article/ ... que-annee#
Marcelo Bielsa annoncé comme l’homme du renouveau du LOSC, fera-t-il aussi bien que Vahid Halilhodzic, l’homme fort de Lille du début des années 2000 ? Entre deux voyages, à la veille de retrouver Tokyo, et sa sélection du Japon, Vahid Halilhodzic a bien voulu nous recevoir pour évoquer plusieurs sujets d’actualité, notamment le nouveau visage du LOSC. Et un renouveau que lui même a réussi au début des années 2000 sous la présidence de Bernard Lecomte.
Par Michel Castelain | Publié le05/08/2017 partager twitter Le journal du jour à partir de 0.49€
AFP PHOTO / CHRISTOPHE SIMON
- Peut-on comparer votre période de réussite et celle que l’on annonce avec Lopez et Bielsa ?
« Cela n’a rien à voir. Quand j’ai repris l’équipe, le club était dans une situation chaotique au fin fond de la deuxième division. Les conditions d’entrainement n’étaient pas dignes d’un club professionnel. Néanmoins, nous avons terminé troisième la première année, et la saison suivante ce fut exceptionnel, avec la remontée en D 1. La suite fut extraordinaire, avec une troisième place qualificative pour la phase préliminaire de la Champion’s League. La victoire à Parme nous a permis de vivre une grande première : la phase de poule avec des clubs prestigieux (Manchester United, La Corogne, Olympiakos). C’était vraiment un esprit club que je n’ai jamais retrouvé.»
- Le LOSC a choisi à l’intersaison un nouvel entraineur, Monsieur Bielsa dont on dit le plus grand bien, qu’en pensez-vous ?
« Je ne le connais pas, on parle beaucoup de lui, de ses méthodes. Sur la rigueur, cela n’est pas une nouveauté, puisque sous ma direction, cela était déjà le cas. Par contre, concernant les conditions de travail entre ce que j’ai vécu et maintenant, nous sommes passés de la 2CV à la Mercedes. Maintenant, il faut voir comment il va gérer cela. À sa demande, le club et le président Gérard Lopez lui ont donné beaucoup de pouvoirs, un groupe de jeunes joueurs peut être pour éviter les conflits comme cela s’est passé à Marseille avant son départ précipité. En dehors de sa personnalité, Monsieur Bielsa n’a jamais gagné de titre. On est dans la sphère du foot-business et les résultats sont attendus rapidement. Le LOSC doit être européen chaque année, et j’espère que cela va marcher, car le club s’est donné les moyens.»
http://www.nordeclair.fr/81161/article/ ... que-annee#
Ricosore a écrit :Source of the post Pepe...il a pas fait un seul match amical!
Faudra bien le faire jouer à un moment donné, quand bien même il n'a pas participé aux M.A. A lui de prendre le train en marche maintenant, de donner raison au coach de l'avoir fait venir.
Vince a écrit :Source of the post Le groupe :Maignan, Koffi - Malcuit, Ié, Alonso, Ballo-Touré, Kouamé - Amadou, Maia, Mendes, Bissouma, Benzia
Araujo, El Ghazi, De Préville, Ponce, Faraj, Pepe
pas de Bahlouli ?
Tune in, turn on, burn out in the acid rain
Bielsa: «Un objectif? Produire de la beauté»
Muet depuis son arrivée, Marcelo Bielsa est venu devant la presse, vendredi, avant Lille - Nantes, le premier match de la saison cet après-midi (15 h) au stade Mauroy. L’entraîneur argentin a pris le temps d’expliquer son fonctionnement et sa vision du foot avec précision. On l’a même vu sourire…
Par Richard Gotte | Publié le 05/08/2017
Marcelo Bielsa a laissé tomber le masque lors de la conférence de presse d’avant-match. PHOTO STéPHANE MORTAGNE
Ce qui est rare est précieux. C’est dire si on a apprécié et même dégusté, vendredi, la rencontre avec Marcelo Bielsa, jusque-là aussi accessible qu’un avion furtif dans le ciel de Luchin où il a posé son sac au début de l’été. Sur le coup de 13 heures, l’entraîneur argentin est arrivé en tenue de travail, le regard baissé, drapé dans sa retenue légendaire, pour se poser devant les journalistes.
Que faut-il retenir de ce premier passage d’avant-match, un exercice auquel il s’est volontiers astreint selon « les habitudes du foot français » comme il l’a expliqué ? Que le technicien de classe mondiale, connu pour ses embardées avec ou sans glacière lui valant le surnom d’ « El Loco », est surtout un homme éminemment réfléchi, soucieux du mot juste et de la réponse bien charpentée, respectueux de son interlocuteur. Assez loin du discours préfabriqué.
Pendant près d’une heure, le coach a pris soin de répondre à tout ce qui est de son domaine, la technique, desserrant progressivement le frein à main pour, au final, parvenir à s’ouvrir. Et même sourire, grâce à une question de notre confrère de RTL qui lui demandait sur le ton de l’humour s’il serait toujours là après le premier match, référence à son spectaculaire départ de l’OM à l’issue de la première journée en août 2015. « Espérons que oui. En tout cas si je ne suis plus là, ce ne sera pas ma décision », a-t-il lâché, amusé.
Auparavant, Marcelo Bielsa avait envoyé de nombreuses ondes positives. En direction du public pour commencer. « Si je devais citer un objectif sur le terrain, ce serait pouvoir produire de la beauté. Ma logique est d’offrir aux supporters, pas de leur demander quelque chose. Plus nous recevrons, meilleurs nous serons, mais ça, il faut le mériter », a-t-il expliqué en se chargeant chaque épaule de quinze tonnes de pression : « Je n’ai aucune excuse pour ne pas offrir de résultats », a-t-il assuré. « Le LOSC a des joueurs avec une qualité individuelle énorme, de grand talent. Investir 70 millions d’euros, c’est peu habituel. »
Visiblement touché par l’accueil reçu dans le Nord, qu’il découvre à travers ses collaborateurs au club, Bielsa a aussi confié à sa manière son bonheur d’être en France, dans un championnat qu’il apprécie.
« J’ai honte de ne pas parler français. Ça prouve mes limites. Je ne veux pas faire de promesses que je ne suis pas sûr de tenir », a-t-il fait valoir alors qu’on l’interrogeait sur son apprentissage de la langue via l’interprète. « La générosité avec laquelle ce pays m’a accueilli mérite que je parle votre langue. Ce n’est pas diplomatique. J’ai vraiment de la gratitude pour ce pays », a-t-il insisté. Tombant le masque une fois de plus au départ de l’aventure.
http://www.lavoixdunord.fr/201129/artic ... -la-beaute
Muet depuis son arrivée, Marcelo Bielsa est venu devant la presse, vendredi, avant Lille - Nantes, le premier match de la saison cet après-midi (15 h) au stade Mauroy. L’entraîneur argentin a pris le temps d’expliquer son fonctionnement et sa vision du foot avec précision. On l’a même vu sourire…
Par Richard Gotte | Publié le 05/08/2017
Marcelo Bielsa a laissé tomber le masque lors de la conférence de presse d’avant-match. PHOTO STéPHANE MORTAGNE
Ce qui est rare est précieux. C’est dire si on a apprécié et même dégusté, vendredi, la rencontre avec Marcelo Bielsa, jusque-là aussi accessible qu’un avion furtif dans le ciel de Luchin où il a posé son sac au début de l’été. Sur le coup de 13 heures, l’entraîneur argentin est arrivé en tenue de travail, le regard baissé, drapé dans sa retenue légendaire, pour se poser devant les journalistes.
Que faut-il retenir de ce premier passage d’avant-match, un exercice auquel il s’est volontiers astreint selon « les habitudes du foot français » comme il l’a expliqué ? Que le technicien de classe mondiale, connu pour ses embardées avec ou sans glacière lui valant le surnom d’ « El Loco », est surtout un homme éminemment réfléchi, soucieux du mot juste et de la réponse bien charpentée, respectueux de son interlocuteur. Assez loin du discours préfabriqué.
Pendant près d’une heure, le coach a pris soin de répondre à tout ce qui est de son domaine, la technique, desserrant progressivement le frein à main pour, au final, parvenir à s’ouvrir. Et même sourire, grâce à une question de notre confrère de RTL qui lui demandait sur le ton de l’humour s’il serait toujours là après le premier match, référence à son spectaculaire départ de l’OM à l’issue de la première journée en août 2015. « Espérons que oui. En tout cas si je ne suis plus là, ce ne sera pas ma décision », a-t-il lâché, amusé.
Auparavant, Marcelo Bielsa avait envoyé de nombreuses ondes positives. En direction du public pour commencer. « Si je devais citer un objectif sur le terrain, ce serait pouvoir produire de la beauté. Ma logique est d’offrir aux supporters, pas de leur demander quelque chose. Plus nous recevrons, meilleurs nous serons, mais ça, il faut le mériter », a-t-il expliqué en se chargeant chaque épaule de quinze tonnes de pression : « Je n’ai aucune excuse pour ne pas offrir de résultats », a-t-il assuré. « Le LOSC a des joueurs avec une qualité individuelle énorme, de grand talent. Investir 70 millions d’euros, c’est peu habituel. »
Visiblement touché par l’accueil reçu dans le Nord, qu’il découvre à travers ses collaborateurs au club, Bielsa a aussi confié à sa manière son bonheur d’être en France, dans un championnat qu’il apprécie.
« J’ai honte de ne pas parler français. Ça prouve mes limites. Je ne veux pas faire de promesses que je ne suis pas sûr de tenir », a-t-il fait valoir alors qu’on l’interrogeait sur son apprentissage de la langue via l’interprète. « La générosité avec laquelle ce pays m’a accueilli mérite que je parle votre langue. Ce n’est pas diplomatique. J’ai vraiment de la gratitude pour ce pays », a-t-il insisté. Tombant le masque une fois de plus au départ de l’aventure.
http://www.lavoixdunord.fr/201129/artic ... -la-beaute
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