ca me fait penser au sketch de dany Boon sur la twingo t'as du avoir deux stagiaires qui se sont dit allez on va faire une blague et ont mis ce truc sur la table du président de l'UEFA et c'est passé.
Sérieux ça n'a aucun sens, un championnat à 36 mais où tu joues 10 matchs qui feront le classement pour ensuite te répartir entre qualifié et barragiste bref débile les mecs vont tuer la LDC avec ce truc qui ne ressemble à rien.
A la limite le principe de ne faire que des rencontres simples et non des aller-retour, ça pourrait se défendre. Tu rencontres plus d'équipes, tu joues plus de matchs, mais y'avait moyen de faire un truc sympa, même en considérant leurs impératifs de rentabilité...
4 groupes de 9 équipes.
2 premiers de chaque groupe qualifiés en 1/4.
Les 3eme, 4eme, 5 ème et 6 ème de chaque groupe qualifiés en 1/8eme avec matchs croisés (3 contre 6 et 4 contre 5).
Les perdants des "barrages" (ou 1/8eme) qualifiés pour la C2.
8 matchs au lieu de 6, pour tout le monde. Des enjeux plus réels pour chaque match de chaque groupe, et les gros poissons restent relativement protégés.
C'est exactement dans le même esprit, pourquoi faire ce choix Incompréhensible de la poule unique ?
Le plus triste, c'est que tout le monde va s'emmerder, ça va être un fiasco, et ouvrir la porte à cette ligue fermée européenne à la con.
4 groupes de 9 équipes.
2 premiers de chaque groupe qualifiés en 1/4.
Les 3eme, 4eme, 5 ème et 6 ème de chaque groupe qualifiés en 1/8eme avec matchs croisés (3 contre 6 et 4 contre 5).
Les perdants des "barrages" (ou 1/8eme) qualifiés pour la C2.
8 matchs au lieu de 6, pour tout le monde. Des enjeux plus réels pour chaque match de chaque groupe, et les gros poissons restent relativement protégés.
C'est exactement dans le même esprit, pourquoi faire ce choix Incompréhensible de la poule unique ?
Le plus triste, c'est que tout le monde va s'emmerder, ça va être un fiasco, et ouvrir la porte à cette ligue fermée européenne à la con.
Y a eu un appel d'offres remporté par le concepteur de la Jupileague ?
Si on avait su, on aurait candidaté, on leur faisait le Buteur survivant des champions...
Si on avait su, on aurait candidaté, on leur faisait le Buteur survivant des champions...
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
Avec cette réforme, le but des gros clubs (de merde, comme la Juve) est dans un premier temps d'augmenter les revenus, of course.
Mais aussi, et je suppute là, dans un second temps, de provoquer le désintérêt du public et une baisse de revenus, afin de tuer la Ligue des Champions pour imposer leur ligue fermée.
Bref, le double effet Kiss Cool. C'est écrit d'avance.
Mais aussi, et je suppute là, dans un second temps, de provoquer le désintérêt du public et une baisse de revenus, afin de tuer la Ligue des Champions pour imposer leur ligue fermée.
Bref, le double effet Kiss Cool. C'est écrit d'avance.
"Yusuf est de retour. Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la Création."
La future Ligue des champions, un pari inédit inspiré des échecs
A quoi ressemblera la nouvelle formule ?
Le tournoi va passer de 32 à 36 équipes, ce qui doit permettre d'attribuer un ticket supplémentaire à la France et de qualifier pour la première fois des clubs au bénéfice de leur historique européen, via leur coefficient UEFA, même après une saison ratée, à l'image de ce qui arrive à Liverpool, vainqueur de la C1 2019 et seulement 7e actuellement en Premier League anglaise. Intangible depuis la saison 2003-2004, la phase de poules doit être radicalement remaniée, avec la disparition des huit groupes de quatre équipes qui s'affrontaient en match aller-retour.
A la place, les 36 équipes se disputeront un mini-championnat dans un même tableau, selon le "système suisse": chacune affrontera 10 adversaires différents dans une confrontation unique, avec cinq matches à domicile et cinq à l'extérieur. Les huit premiers au classement final seront qualifiés en huitièmes de finale, et les clubs classés de la 9e à la 24e place se disputeront les huit autres places, via des rencontres aller-retour.
La phase à élimination directe demeurera inchangée: les clubs s'affrontent en rencontres aller-retour à partir des huitièmes de finale, jusqu'à la finale disputée sur un seul match.
D'où vient le système suisse ?
Inédite dans le football, cette formule conçue par un instituteur suisse, Julius Müller, a été utilisée pour la première fois lors du Championnat de Suisse d'échecs à Zurich, en 1889. L'idée était d'organiser un tournoi regroupant un nombre élevé d'adversaires - il y avait 74 joueurs à Zurich - mais en limitant le nombre de confrontations.
Il s'agit donc d'un compromis entre la formule "chacun rencontre tout le monde", garante du résultat le plus juste, et un tableau à élimination directe, rapide mais jugé trop aléatoire. Ce système, décliné depuis en une multitude de variantes, est aussi utilisé dans les compétitions de go, de scrabble, du jeu de tir en ligne Counter Strike, et lors des Championnats d'Europe de pétanque.
Quels sont ses avantages ?
La phase de poules devrait comporter cent rencontres de plus par rapport à aujourd'hui, ce qui ferait passer l'ensemble de la compétition à 225 matches au lieu de 125. Sur le papier, l'UEFA peut donc espérer nettement gonfler le gâteau des droits TV, alors que l'instance redistribuait déjà quelque 2 milliards d'euros l'an dernier aux participants de la C1. Les qualifiés, qui bénéficieront chacun de dix rencontres garanties au lieu de six aujourd'hui, pourront de surcroît tabler sur des revenus de billetterie plus élevés, même s'ils ne gagnent pas un seul match.
En matière d'intérêt sportif, la multiplication des confrontations lors de la première phase permet plus d'affiches entre grands clubs avant les huitièmes de finale. Enfin, le système suisse offre de la souplesse: le nombre de participants comme le nombre de confrontations peuvent être ajustés à l'avenir, sans changer la formule globale.
Fait-il l'unanimité ?
L'association European Leagues, qui représente une trentaine de ligues professionnelles en Europe, estimait vendredi dernier que multiplier les matches "n'augmente pas nécessairement la valeur de la compétition, y compris financièrement". Entre les saisons 1999-2000 et 2002-2003, l'UEFA avait ainsi expérimenté deux phases de poule successives en C1, une formule théoriquement lucrative mais qui n'avait guère séduit le public.
"Il y a un danger à dynamiter les compétitions existantes", renchérit auprès de l'AFP Ronan Evain, coordinateur de Foot Supporters Europe (FSE), pour qui "le risque de fatigue est réel" si le tournoi s'avère interminable et "difficile à comprendre". Certains détracteurs redoutent aussi que les dix matches de poule ne favorisent un peu plus les grands clubs, en réduisant l'aléa sportif, alors qu'ils concentrent déjà recettes et trophées.
"On nous dit que ça fonctionne bien aux échecs. C'est sans doute vrai, sauf que les joueurs d'échecs fortunés ne peuvent acheter un paquet de reines supplémentaires auprès des joueurs plus pauvres, et structurellement pénalisés par le système", déplorait récemment le Guardian.
A quoi ressemblera la nouvelle formule ?
Le tournoi va passer de 32 à 36 équipes, ce qui doit permettre d'attribuer un ticket supplémentaire à la France et de qualifier pour la première fois des clubs au bénéfice de leur historique européen, via leur coefficient UEFA, même après une saison ratée, à l'image de ce qui arrive à Liverpool, vainqueur de la C1 2019 et seulement 7e actuellement en Premier League anglaise. Intangible depuis la saison 2003-2004, la phase de poules doit être radicalement remaniée, avec la disparition des huit groupes de quatre équipes qui s'affrontaient en match aller-retour.
A la place, les 36 équipes se disputeront un mini-championnat dans un même tableau, selon le "système suisse": chacune affrontera 10 adversaires différents dans une confrontation unique, avec cinq matches à domicile et cinq à l'extérieur. Les huit premiers au classement final seront qualifiés en huitièmes de finale, et les clubs classés de la 9e à la 24e place se disputeront les huit autres places, via des rencontres aller-retour.
La phase à élimination directe demeurera inchangée: les clubs s'affrontent en rencontres aller-retour à partir des huitièmes de finale, jusqu'à la finale disputée sur un seul match.
D'où vient le système suisse ?
Inédite dans le football, cette formule conçue par un instituteur suisse, Julius Müller, a été utilisée pour la première fois lors du Championnat de Suisse d'échecs à Zurich, en 1889. L'idée était d'organiser un tournoi regroupant un nombre élevé d'adversaires - il y avait 74 joueurs à Zurich - mais en limitant le nombre de confrontations.
Il s'agit donc d'un compromis entre la formule "chacun rencontre tout le monde", garante du résultat le plus juste, et un tableau à élimination directe, rapide mais jugé trop aléatoire. Ce système, décliné depuis en une multitude de variantes, est aussi utilisé dans les compétitions de go, de scrabble, du jeu de tir en ligne Counter Strike, et lors des Championnats d'Europe de pétanque.
Quels sont ses avantages ?
La phase de poules devrait comporter cent rencontres de plus par rapport à aujourd'hui, ce qui ferait passer l'ensemble de la compétition à 225 matches au lieu de 125. Sur le papier, l'UEFA peut donc espérer nettement gonfler le gâteau des droits TV, alors que l'instance redistribuait déjà quelque 2 milliards d'euros l'an dernier aux participants de la C1. Les qualifiés, qui bénéficieront chacun de dix rencontres garanties au lieu de six aujourd'hui, pourront de surcroît tabler sur des revenus de billetterie plus élevés, même s'ils ne gagnent pas un seul match.
En matière d'intérêt sportif, la multiplication des confrontations lors de la première phase permet plus d'affiches entre grands clubs avant les huitièmes de finale. Enfin, le système suisse offre de la souplesse: le nombre de participants comme le nombre de confrontations peuvent être ajustés à l'avenir, sans changer la formule globale.
Fait-il l'unanimité ?
L'association European Leagues, qui représente une trentaine de ligues professionnelles en Europe, estimait vendredi dernier que multiplier les matches "n'augmente pas nécessairement la valeur de la compétition, y compris financièrement". Entre les saisons 1999-2000 et 2002-2003, l'UEFA avait ainsi expérimenté deux phases de poule successives en C1, une formule théoriquement lucrative mais qui n'avait guère séduit le public.
"Il y a un danger à dynamiter les compétitions existantes", renchérit auprès de l'AFP Ronan Evain, coordinateur de Foot Supporters Europe (FSE), pour qui "le risque de fatigue est réel" si le tournoi s'avère interminable et "difficile à comprendre". Certains détracteurs redoutent aussi que les dix matches de poule ne favorisent un peu plus les grands clubs, en réduisant l'aléa sportif, alors qu'ils concentrent déjà recettes et trophées.
"On nous dit que ça fonctionne bien aux échecs. C'est sans doute vrai, sauf que les joueurs d'échecs fortunés ne peuvent acheter un paquet de reines supplémentaires auprès des joueurs plus pauvres, et structurellement pénalisés par le système", déplorait récemment le Guardian.
#JeSuisVasseur
À termes ils finiront même par proposer des matchs totalement délocalisés à l’international, en Asie notamment.
J’ai du mal à voir comment on ne pourrait pas finir par être lassé (pour certains) de voir du foot tous les 2 jours, car c’est la rareté de certains matchs de coupe d’Europe donne ce parfum si particulier. De la “Ligue des Champions” toutes les semaines ça va finir par nous écœurer, déjà que je ne regarde plus trop de matchs hors LOSC et que c’est devenu bien un peu tout le temps les mêmes affiches.
Faut pas se leurrer aussi des trucs aussi alambiqués pour faire toujours plus de pognon on sent bien l’influence des propriétaires et investisseurs américains qui sont de plus en plus présents dans les grands clubs européens.
Tiens on a pas parlé de la fin du FPF aussi, on va rigoler...
J’ai du mal à voir comment on ne pourrait pas finir par être lassé (pour certains) de voir du foot tous les 2 jours, car c’est la rareté de certains matchs de coupe d’Europe donne ce parfum si particulier. De la “Ligue des Champions” toutes les semaines ça va finir par nous écœurer, déjà que je ne regarde plus trop de matchs hors LOSC et que c’est devenu bien un peu tout le temps les mêmes affiches.
Faut pas se leurrer aussi des trucs aussi alambiqués pour faire toujours plus de pognon on sent bien l’influence des propriétaires et investisseurs américains qui sont de plus en plus présents dans les grands clubs européens.
Tiens on a pas parlé de la fin du FPF aussi, on va rigoler...
Real-Liverpool, les compos
Real Madrid : Courtois - Vazquez, Militao, Nacho, Mendy - Modric, Casemiro, Kroos - Asensio, Benzema (c), Vinicius.
Liverpool : Alisson - Alexander-Arnold, Phillips, Kabak, Robertson - Keita, Fabinho, Wijnaldum (c) - Salah, Jota, Mané.
Man City-Dortmund, les compos
Manchester City : Ederson - Walker, Stones, Ruben Dias, Cancelo - De Bruyne (c), Rodri, Gündogan - Mahrez, Silva, Foden.
Dortmund : Hitz - Morey, Akanji, Hummels, Guerreiro - Dahoud, Can, Bellingham - Knauff, Håland, Reus (c).
A l'occasion des quarts de finale de la Ligue des Champions, le Real Madrid reçoit Liverpool ce mardi (21h, RMC Sport 1). L'entraîneur madrilène Zinedine Zidane doit composer sans Ramos, Hazard et Carvajal, blessés. Dans la journée, les Merengue ont aussi annoncé le forfait de Varane, testé positif au Covid-19. C'est donc une charnière centrale Nacho-Militao qui débute la rencontre. Du côté des Reds, Jürgen Klopp est toujours privé de van Dijk, Matip et Henderson, tous à l'infirmerie. Voici la composition des deux équipes.
Real Madrid : Courtois - Vazquez, Militao, Nacho, Mendy - Modric, Casemiro, Kroos - Asensio, Benzema (c), Vinicius.
Liverpool : Alisson - Alexander-Arnold, Phillips, Kabak, Robertson - Keita, Fabinho, Wijnaldum (c) - Salah, Jota, Mané.
Man City-Dortmund, les compos
A l'occasion des quarts de finale aller de la Ligue des Champions, Manchester City reçoit le Borussia Dortmund ce mardi (21h, RMC Sport 2). L'entraîneur des Citizens, Josep Guardiola, peut compter sur un groupe au complet. Les Skyblues débutent cette rencontre sans 9 puisque Gabriel Jesus et Agüero sont remplaçants, à l'instar de Sterling. Son homologue du BVB Edin Terzic est, lui, privé de Zagadou, Witsel, Moukoko et Sancho, blessés. Voici la composition des deux équipes.
Manchester City : Ederson - Walker, Stones, Ruben Dias, Cancelo - De Bruyne (c), Rodri, Gündogan - Mahrez, Silva, Foden.
Dortmund : Hitz - Morey, Akanji, Hummels, Guerreiro - Dahoud, Can, Bellingham - Knauff, Håland, Reus (c).
Liverpool a des défenseurs en carton. Je comprends pourquoi ils s'intéressent à Botman.
zaz le mar. 21 mai 2024 12:53 : "Tranquille les gars...ce n est que le début.ils faut rester zen .notre mercato bougera une fois .l entraîneur sera élu... La ca gesticule pour rien."
Guilain a écrit :Source of the post Liverpool a des défenseurs en carton. Je comprends pourquoi ils s'intéressent à Botman.
De nombreux blessés en défense.
Bayern-Paris SG, les compos
Bayern : Neuer (c) - Pavard, Süle, Alaba, Hernandez - Kimmich, Goretzka - Sané, Müller, Coman - Choupo-Moting.
Paris SG : Navas - Dagba, Marquinhos (c), Kimpembe, Diallo - Danilo, Gueye - Di Maria, Neymar, Draxler - Mbappé
Porto-Chelsea, les compos
Porto : Marchesin - Manafa, Pepe (c), Mbemba, Zaidu - Grujic, Uribe, Otavio, Corona - Luis Diaz, Marega.
Chelsea : Mendy - Azpilicueta (c), Christensen, Rüdiger - James, Jorginho, Kovacic, Chilwell - Mount, Havertz, Werner.
Le Paris Saint-Germain affronte le Bayern Munich ce mercredi (21h, RMC Sport 1) lors de la manche aller des quarts de finale de la Ligue des Champions. Pour cette partie, Hans-Dieter Flick doit faire sans Tolisso, Douglas Costa et Lewandowski, blessés. Gnabry est lui positif au Covid-19. Trois Français sont titulaires : Pavard, Hernandez et Coman. L'ancien Parisien Choupo-Moting est bien présent en pointe.
De son côté, Mauricio Pochettino est privé de Bernat, Kurzawa et Icardi, blessés, alors que Paredes est suspendu. Florenzi et Verratti, positifs au Covid-19, sont aussi absents. Le coach argentin a choisi de titulariser Draxler plutôt que Kean dans le secteur offensif, Mbappé débutant en pointe. Neymar et Di Maria sont bien présents dans le onze titulaire, tandis que Dagba est finalement préféré à Kehrer au poste de latéral droit. Voici les compositions des deux équipes.
Bayern : Neuer (c) - Pavard, Süle, Alaba, Hernandez - Kimmich, Goretzka - Sané, Müller, Coman - Choupo-Moting.
Paris SG : Navas - Dagba, Marquinhos (c), Kimpembe, Diallo - Danilo, Gueye - Di Maria, Neymar, Draxler - Mbappé
Porto-Chelsea, les compos
Porto accueille Chelsea, ce mercredi (21h, RMC Sport 2) à Séville, lors de la manche aller des quarts de finale de la Ligue des Champions. Pour ce match, Sergio Conceiçao doit faire sans Mbaye, blessé, tandis que Sergio Oliveira et Taremi sont suspendus. Pour sa part, Thomas Tuchel est privé de Kanté, à l'infirmerie. Voici la composition des deux équipes.
Porto : Marchesin - Manafa, Pepe (c), Mbemba, Zaidu - Grujic, Uribe, Otavio, Corona - Luis Diaz, Marega.
Chelsea : Mendy - Azpilicueta (c), Christensen, Rüdiger - James, Jorginho, Kovacic, Chilwell - Mount, Havertz, Werner.
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