PO a écrit :Source of the post De toute façon, les vaccins mis en cause, n'ont pas été conçus pour protéger contre la Covid-19, mais contre ses formes graves (Et quoi qu'il en soit pas à 100%).
C'est après quelques mois d'injections que les labos et autres organismes de surveillance ont constaté (Du moins sur le Wuhan, puis le Britannique et Sud-Af, puis le Delta indien) qu'il protégeait également une proportion pas négligeable de vaccinés contre la contimination au Sars-Cov2. Selon les chiffres qui circulaient à l'époque, on parlait de 40% à 70%. La vérité étant sans doute entre les 2 comme souvent dans ces effets d'annonce. Mais c'était un simple constat, que les inventeurs eux-mêmes ne savaient pas forcément clairement expliquer.
C'est à partir de là que certains courants anti-vax ont en quelque sorte retourné ce constat au profit de leur cause, en arguant que ces vaccins n'étaient pas efficaces vu qu'ils ne protégeaient que 40 à 70% de la population vaccinée, et que par conséquent le désormais fameux rapport bénéfices/risques n'était plus flagrant, et donc en conclusion : No Vax.
Sauf que le vaccin a été conçu non pas pour éviter de choper la Covid-19, mais pour éviter d'être envoyé en réa ou à la morgue quand on la contracte. Et là-dessus, il a fait montre de son efficacité (Dans la limite de ce qui était annoncé, et au gré des variants que la nature nous a envoyés).
Fallait juste lire la notice quoi...
Je nuancerais quelque peu ton propos. Généralement un vaccin est conçu pour ne pas attraper la maladie pour laquelle il est fabriqué. Au départ, les vaccins ARN conçus par Pfyzer et Moderna devaient éradiquer et empêcher la contamination et la transmission du virus et c'est dans ce but que l'UE représentée par Ursula Vanderleyen a commandé x milliards de doses. C'est quand il a été constaté que les vaccins miraculeux n'empêchaient pas la contamination que le discours a changé pour rassurer les sceptiques : oui mais ils protègent des formes graves ...