Tout nouveau, tout beau !
En 98, aucun d'entre nous n'avait connu un titre de champion du monde. Alors Champions du monde pour le première fois, et derrière également pour la première fois de l'histoire de la télé, un reportage caméra sur l'épaule dans l'intimité des bleus. Tout était nouveau, extra-ordinaire, immédiatement légendaire.
Au point d'ailleurs d'idéaliser cette épopée. Le cerveau humain est conçu pour privilégier le stockage d'événements positifs. Tout le monde a retenu le 3:0 contre le mythique Brésil de Ronaldo, et on a oublié combien ce fut difficile et laborieux jusque cette fameuse finale.
Aujourd'hui, même si tout le monde est fier et comblé par cette 2nde étoile, ça n'a plus tout à fait le même parfum. On a fait une finale ratée d'un rien contre l'Italie en 2006. On a raté également d'un rien la finale de l'Euro 2016. On n'est certainement pas blasés, mais on n'est plus aussi abasourdis que lors de la finale de 98 qui arrivait de nulle part.
En outre, d'un point de vue médiatique, 1998-2018, c'est 20 ans, et 20 ans dans le domaine de l'audiovisuel, c'est un millénaire !
En 98, les portables étaient juste des téléphones. En 98, les rares gens qui avaient Internet à la maison, l'avaient avec une très réduite connexion téléphonique. Face Book, Twitter, les réseaux sociaux n'existaient pas. Aujourd'hui, si on est féru de ces informations, on peut quasiment tout savoir des joueurs via leurs comptes FB, TT, Insta, etc. Tous les clubs de foot ont désormais une chaîne télé, où on interviewe les joueurs, les dirigeants, le staff, où peut filmer des entraînements, les retours aux vestiaires. En 98, on savait juste ce que la télé, la radio et L'équipe voulait bien nous lâcher. Donc forcément, LYDLB 98 ça a été une bombe médiatique. Ca ne l'est plus.
En 98, aucun d'entre nous n'avait connu un titre de champion du monde. Alors Champions du monde pour le première fois, et derrière également pour la première fois de l'histoire de la télé, un reportage caméra sur l'épaule dans l'intimité des bleus. Tout était nouveau, extra-ordinaire, immédiatement légendaire.
Au point d'ailleurs d'idéaliser cette épopée. Le cerveau humain est conçu pour privilégier le stockage d'événements positifs. Tout le monde a retenu le 3:0 contre le mythique Brésil de Ronaldo, et on a oublié combien ce fut difficile et laborieux jusque cette fameuse finale.
Aujourd'hui, même si tout le monde est fier et comblé par cette 2nde étoile, ça n'a plus tout à fait le même parfum. On a fait une finale ratée d'un rien contre l'Italie en 2006. On a raté également d'un rien la finale de l'Euro 2016. On n'est certainement pas blasés, mais on n'est plus aussi abasourdis que lors de la finale de 98 qui arrivait de nulle part.
En outre, d'un point de vue médiatique, 1998-2018, c'est 20 ans, et 20 ans dans le domaine de l'audiovisuel, c'est un millénaire !
En 98, les portables étaient juste des téléphones. En 98, les rares gens qui avaient Internet à la maison, l'avaient avec une très réduite connexion téléphonique. Face Book, Twitter, les réseaux sociaux n'existaient pas. Aujourd'hui, si on est féru de ces informations, on peut quasiment tout savoir des joueurs via leurs comptes FB, TT, Insta, etc. Tous les clubs de foot ont désormais une chaîne télé, où on interviewe les joueurs, les dirigeants, le staff, où peut filmer des entraînements, les retours aux vestiaires. En 98, on savait juste ce que la télé, la radio et L'équipe voulait bien nous lâcher. Donc forcément, LYDLB 98 ça a été une bombe médiatique. Ca ne l'est plus.
Zemelek a écrit :Source of the post Ils sont pas gentil avec Kanté dans le vestiaire.
https://twitter.com/Laurie_sce/status/1 ... 9832383493
Si vrai.... "Comment sa suce trop les footballeur, si la France aurait pas gagner vous serez tous a les critiquer"
PO a écrit :Source of the post Tout nouveau, tout beau !
En 98, aucun d'entre nous n'avait connu un titre de champion du monde. Alors Champions du monde pour le première fois, et derrière également pour la première fois de l'histoire de la télé, un reportage caméra sur l'épaule dans l'intimité des bleus. Tout était nouveau, extra-ordinaire, immédiatement légendaire.
Au point d'ailleurs d'idéaliser cette épopée. Le cerveau humain est conçu pour privilégier le stockage d'événements positifs. Tout le monde a retenu le 3:0 contre le mythique Brésil de Ronaldo, et on a oublié combien ce fut difficile et laborieux jusque cette fameuse finale.
Aujourd'hui, même si tout le monde est fier et comblé par cette 2nde étoile, ça n'a plus tout à fait le même parfum. On a fait une finale ratée d'un rien contre l'Italie en 2006. On a raté également d'un rien la finale de l'Euro 2016. On n'est certainement pas blasés, mais on n'est plus aussi abasourdis que lors de la finale de 98 qui arrivait de nulle part.
En outre, d'un point de vue médiatique, 1998-2018, c'est 20 ans, et 20 ans dans le domaine de l'audiovisuel, c'est un millénaire !
En 98, les portables étaient juste des téléphones. En 98, les rares gens qui avaient Internet à la maison, l'avaient avec une très réduite connexion téléphonique. Face Book, Twitter, les réseaux sociaux n'existaient pas. Aujourd'hui, si on est féru de ces informations, on peut quasiment tout savoir des joueurs via leurs comptes FB, TT, Insta, etc. Tous les clubs de foot ont désormais une chaîne télé, où on interviewe les joueurs, les dirigeants, le staff, où peut filmer des entraînements, les retours aux vestiaires. En 98, on savait juste ce que la télé, la radio et L'équipe voulait bien nous lâcher. Donc forcément, LYDLB 98 ça a été une bombe médiatique. Ca ne l'est plus.
OK avec tout ça mais en quoi on ne pourrait pas comparer les 2 reportages, leur côté 'docu' ou même 'artistique' et trouver le second insipide et aseptisé par rapport au premier ?
Zappa a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Tout nouveau, tout beau !
En 98, aucun d'entre nous n'avait connu un titre de champion du monde. Alors Champions du monde pour le première fois, et derrière également pour la première fois de l'histoire de la télé, un reportage caméra sur l'épaule dans l'intimité des bleus. Tout était nouveau, extra-ordinaire, immédiatement légendaire.
Au point d'ailleurs d'idéaliser cette épopée. Le cerveau humain est conçu pour privilégier le stockage d'événements positifs. Tout le monde a retenu le 3:0 contre le mythique Brésil de Ronaldo, et on a oublié combien ce fut difficile et laborieux jusque cette fameuse finale.
Aujourd'hui, même si tout le monde est fier et comblé par cette 2nde étoile, ça n'a plus tout à fait le même parfum. On a fait une finale ratée d'un rien contre l'Italie en 2006. On a raté également d'un rien la finale de l'Euro 2016. On n'est certainement pas blasés, mais on n'est plus aussi abasourdis que lors de la finale de 98 qui arrivait de nulle part.
En outre, d'un point de vue médiatique, 1998-2018, c'est 20 ans, et 20 ans dans le domaine de l'audiovisuel, c'est un millénaire !
En 98, les portables étaient juste des téléphones. En 98, les rares gens qui avaient Internet à la maison, l'avaient avec une très réduite connexion téléphonique. Face Book, Twitter, les réseaux sociaux n'existaient pas. Aujourd'hui, si on est féru de ces informations, on peut quasiment tout savoir des joueurs via leurs comptes FB, TT, Insta, etc. Tous les clubs de foot ont désormais une chaîne télé, où on interviewe les joueurs, les dirigeants, le staff, où peut filmer des entraînements, les retours aux vestiaires. En 98, on savait juste ce que la télé, la radio et L'équipe voulait bien nous lâcher. Donc forcément, LYDLB 98 ça a été une bombe médiatique. Ca ne l'est plus.
OK avec tout ça mais en quoi on ne pourrait pas comparer les 2 reportages, leur côté 'docu' ou même 'artistique' et trouver le second insipide et aseptisé par rapport au premier ?
Le doc de 2018 c'est surtout la com' de la Fédé partie prenante de la production. Même si je suis d'accord pour dire que de toute façon ça n'aurait pas eu le même impact que "Les yeux dans les Bleus", les joueurs étant habitués aux caméras que ce soient les télés ou via les smartphones des coéquipiers et les publications sur les réseaux sociaux.
J'ai lu que la Fédé ne pouvait rien ajouter mais pouvait retirer toutes les séquences qui ne leur plaisaient pas (notamment une scène au langage fleuri après une victoire...) En 1998, Stéphane Meunier avait été choisi par Jacquet, la FFF n'avait pas son mot à dire. Et racontait plus ce qu'il se passait entre les matchs et également sur le banc pendant ainsi que les différents discours de Jacquet. En 2018, seules qq scènes sont dignes d'intérêt, on se contente surtout de petites interviews face caméra et de scènes de joie après les matchs. Cela n'a absolument rien d'original et n'apporte rien.
En ce qui concerne l'histoire de l'extincteur de Rami (absent du doc), les journalistes en "immersion" avec les Bleus ont dit qu'ils dormaient... Ben voyons, c'est pas comme si tout l'hôtel avait dû être évacué. Bref, il s'agit d'un simple film de commande de la Fédé, long et chiant.
Zappa a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Tout nouveau, tout beau !
En 98, aucun d'entre nous n'avait connu un titre de champion du monde. Alors Champions du monde pour le première fois, et derrière également pour la première fois de l'histoire de la télé, un reportage caméra sur l'épaule dans l'intimité des bleus. Tout était nouveau, extra-ordinaire, immédiatement légendaire.
Au point d'ailleurs d'idéaliser cette épopée. Le cerveau humain est conçu pour privilégier le stockage d'événements positifs. Tout le monde a retenu le 3:0 contre le mythique Brésil de Ronaldo, et on a oublié combien ce fut difficile et laborieux jusque cette fameuse finale.
Aujourd'hui, même si tout le monde est fier et comblé par cette 2nde étoile, ça n'a plus tout à fait le même parfum. On a fait une finale ratée d'un rien contre l'Italie en 2006. On a raté également d'un rien la finale de l'Euro 2016. On n'est certainement pas blasés, mais on n'est plus aussi abasourdis que lors de la finale de 98 qui arrivait de nulle part.
En outre, d'un point de vue médiatique, 1998-2018, c'est 20 ans, et 20 ans dans le domaine de l'audiovisuel, c'est un millénaire !
En 98, les portables étaient juste des téléphones. En 98, les rares gens qui avaient Internet à la maison, l'avaient avec une très réduite connexion téléphonique. Face Book, Twitter, les réseaux sociaux n'existaient pas. Aujourd'hui, si on est féru de ces informations, on peut quasiment tout savoir des joueurs via leurs comptes FB, TT, Insta, etc. Tous les clubs de foot ont désormais une chaîne télé, où on interviewe les joueurs, les dirigeants, le staff, où peut filmer des entraînements, les retours aux vestiaires. En 98, on savait juste ce que la télé, la radio et L'équipe voulait bien nous lâcher. Donc forcément, LYDLB 98 ça a été une bombe médiatique. Ca ne l'est plus.
OK avec tout ça mais en quoi on ne pourrait pas comparer les 2 reportages, leur côté 'docu' ou même 'artistique' et trouver le second insipide et aseptisé par rapport au premier ?
Bien sur qu'on peut comparer, bien sûr qu'on a le droit de critiquer, mais puisque ça s'intitule "Les yeux dans le bleus", je faisais juste remarquer que nous mêmes n'avions plus les mêmes yeux qu'en 98.
Par exemple, avez-vous revisionné les yeux dans ls bleus 98 juste après la diffusion de la version 2018, ou bien vous-êtes vous contentés de vos souvenirs ?
Parce que les souvenirs, surtout quand ils sont emprunts de nostalgie, ils sont souvent trompeurs (Et ça fait du bien d'ailleurs). Parenthèse tennistique pour faire plaisir à Miladin Becanovic, Bjorn Borg était réputé être un lifteur fou. Amuse-toi donc à visionner ses matchs sur YT, et tu te rendras compte qu'il jouait presque à plat comparé aux rotations de malade d'un Nadal ou d'un Thiem.
Aujourd'hui, on est abreuvés, gorgés, saturés d'informations sur les people, les sportifs, les politiques, parfois même d'une inimité indécente, alors forcément un docu sur le backstage des bleus en Russie, n'a pas plus du tout le même effet "extra-ordinaire" du docu de 98. Après on peut parfaitement ne pas aimer, la réalisation, le montage, la scénarisation du docu.
Modifié en dernier par PO le jeu. 19 juil. 2018 11:25, modifié 1 fois.
PO a écrit :Source of the post Comme tu n'admettras jamais que quelqu'un ait une opinion différente de la tienne. C'est le principe d'un forum.
Au contraire, je l admets fort bien. Mais j aime aussi le principe de bonne foie. Surtout quand on parle d une soupe marketing.
pfff... a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Comme tu n'admettras jamais que quelqu'un ait une opinion différente de la tienne. C'est le principe d'un forum.
Au contraire, je l admets fort bien. Mais j aime aussi le principe de bonne foie. Surtout quand on parle d une soupe marketing.
si c'est volontaire c'est assez drole.
Zappa a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Tout nouveau, tout beau !
En 98, aucun d'entre nous n'avait connu un titre de champion du monde. Alors Champions du monde pour le première fois, et derrière également pour la première fois de l'histoire de la télé, un reportage caméra sur l'épaule dans l'intimité des bleus. Tout était nouveau, extra-ordinaire, immédiatement légendaire.
Au point d'ailleurs d'idéaliser cette épopée. Le cerveau humain est conçu pour privilégier le stockage d'événements positifs. Tout le monde a retenu le 3:0 contre le mythique Brésil de Ronaldo, et on a oublié combien ce fut difficile et laborieux jusque cette fameuse finale.
Aujourd'hui, même si tout le monde est fier et comblé par cette 2nde étoile, ça n'a plus tout à fait le même parfum. On a fait une finale ratée d'un rien contre l'Italie en 2006. On a raté également d'un rien la finale de l'Euro 2016. On n'est certainement pas blasés, mais on n'est plus aussi abasourdis que lors de la finale de 98 qui arrivait de nulle part.
En outre, d'un point de vue médiatique, 1998-2018, c'est 20 ans, et 20 ans dans le domaine de l'audiovisuel, c'est un millénaire !
En 98, les portables étaient juste des téléphones. En 98, les rares gens qui avaient Internet à la maison, l'avaient avec une très réduite connexion téléphonique. Face Book, Twitter, les réseaux sociaux n'existaient pas. Aujourd'hui, si on est féru de ces informations, on peut quasiment tout savoir des joueurs via leurs comptes FB, TT, Insta, etc. Tous les clubs de foot ont désormais une chaîne télé, où on interviewe les joueurs, les dirigeants, le staff, où peut filmer des entraînements, les retours aux vestiaires. En 98, on savait juste ce que la télé, la radio et L'équipe voulait bien nous lâcher. Donc forcément, LYDLB 98 ça a été une bombe médiatique. Ca ne l'est plus.
OK avec tout ça mais en quoi on ne pourrait pas comparer les 2 reportages, leur côté 'docu' ou même 'artistique' et trouver le second insipide et aseptisé par rapport au premier ?
Je pense comme toi. La différence est énorme entre les deux reportages.
Pour faire court, le premier rentrait ds l'intimité des joueurs et ils se confiaient, notamment ds les chambres. Souvent le journaliste passait inaperçu.
Le second est plus ds l'esprit copain. On partage un truc ensemble avec tout le coté superficiel qui va avec.
Par contre les prises de paroles ds le vestiaire sont plutôt identiques. Et j'y ai découvert Pogba, c'est déjà bcp !
Djeunzzz a écrit :Source of the post Je pense que dans le vestiaire d'une finale de Coupe du Monde, tu penses plus au match que tu vas jouer qu'aux caméras qui sont présentes.
Attention depuis le début ce mec ne me semble pas câblé comme tout le monde :-)
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