Je ne vois aucun intérêt à poursuivre cette entreprise d'humiliation récurrente d'un de nos anciens coachs qui n'était sans doute pas à la hauteur de nos ambitions, mais qui a fait avec ses moyens, et qui a aussi dû composer avec une Champion's League à jouer jusqu'aux 1/8, et des attaquants qui se sont rapidement trouvés en disette offensive : Yilmaz, David, Bamba, Zhegrova, et 2 gardiens très moyens, et des joueurs qui voulaient changer d'air.
C'est pas pour rien que nos meilleurs joueurs de ces 15 premières journées sont Ismaily, Cabella , Ounas, André Gomes et David. Soit 4 nouveaux sur 5.
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C'est pas pour rien que nos meilleurs joueurs de ces 15 premières journées sont Ismaily, Cabella , Ounas, André Gomes et David. Soit 4 nouveaux sur 5.
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Bab a écrit :Source of the postDogue-Son a écrit :Source of the post la fermer, des fois, c'est pas mal. tu devrais essayer
On a le droit d’exprimer son avis non ?
Sinon tu peux aussi me mettre en ignore list et passer ton chemin.
loul
"Le système ne choisit pas les meilleurs, il choisit les plus conformes, c'est dangereux" AJ
https://twitter.com/hugoguillemet/status/1601145973631496198
Héhéhé. Comme il nous avait aidés financièrement avec Terrier à l'époque, vous pensez qu'on peut l'aider en retour et lui prendre quelqu'un? Genre Lukeba, pour préparer l'après Fonte :)
En vrai, si Textor rachète pas le club (et encore, j'ai le sentiment que c'est un Gégé Lopez puissance 10. Sur 400 millions d'euros via différents prêts, il en injecterait 5, méga loul) + Lyon ne se qualifie pas en coupe d'Europe, ils seraient dans une sacrée merde...
02/06/2019 : Lens reste en Ligue 2 une cinquième année de suite. Le plan quinquennal de Gervais, le vrai.
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
Losc In The Blood a écrit :En vrai, si Textor rachète pas le club (et encore, j'ai le sentiment que c'est un Gégé Lopez puissance 10. Sur 400 millions d'euros via différents prêts, il en injecterait 5, méga loul)
Ils en discutaient l'autre jour dans l'After sur RMC. Grosso modo c'est un peu le même fonctionnement qu'ont fait Lopez à Lille et DaGrosa à Bordeaux, sauf qu'en termes de proportions il mettrait même encore moins de fric de sa poche, et le reste ce sont des fonds de pension.
La différence c'est qu'il ne viendrait que pour racheter 40% des parts.
dodger a écrit :Source of the post pecunia non olet
Vespasien.
Et c'est l'inventeur des pissotières qui le dit ...
Tain les arguments... ça donne pas envie.
Comment l'arbitrage de la Ligue 1 pourrait s'inspirer de celui de la Coupe du monde
https://www.lequipe.fr/Football/Article ... de/1371816
Les évolutions arbitrales apparues durant la Coupe du monde devraient doucement être appliquées en Ligue 1. Une limitation des sanctions administratives avait déjà été impulsée fin octobre.
Régis Testelin (avec A. M. L.) mis à jour le 27 décembre 2022 à 20h15
Des matches qui durent plus longtemps et des arbitres soucieux de limiter le nombre de cartons rouges : voilà les deux évolutions significatives aperçues durant la Coupe du monde au Qatar et que les statistiques sont venues confirmer. Dans un souci d'augmenter le temps de jeu effectif, les matches du Mondial ont duré en moyenne 104 minutes, contre 96, en Ligue 1, cette saison. D'un autre côté, seulement 4 cartons rouges ont été distribués en 64 matches, soit une expulsion toutes les 1 478 minutes.
« Seulement quatre cartons rouges, c'est impensable, les arbitres ont été hyper laxistes, j'ai vu des choses inacceptables »
On est très loin de la cadence du Championnat de France, où les arbitres sortent le rouge toutes les 250 minutes, six fois plus souvent. Ce « laxisme » en Coupe du monde avait fait bondir Tony Chapron, l'ancien arbitre français, la semaine passée, au micro de Canal +, la chaîne dont il est consultant pour l'arbitrage. « Seulement quatre cartons rouges, c'est impensable, les arbitres ont été hyper laxistes, j'ai vu des choses inacceptables, a-t-il regretté. La FIFA a dit aux arbitres : on ne veut pas de rouges durant cette compétition et on n'en veut pas en finale. Mais pourquoi la FIFA a-t-elle choisi cette orientation-là ? L'arbitre a mis 18 cartons jaunes sur Pays-Bas - Argentine (2-2, 3-4 aux t.a.b. en quarts de finale) car il ne voulait pas mettre de rouge. Si l'Argentine a gagné la Coupe du monde, c'est grâce à ces instructions et ces consignes. On a laissé l'équipe la plus athlétique du tournoi faire un maximum de fautes sans avoir la crainte d'être sanctionnée d'un rouge. »
Au-delà de ces chiffres, l'impression que les arbitres ont beaucoup laissé jouer pour favoriser la fluidité du jeu est remontée à la surface, mais les chiffres ne l'ont pas confirmée. Ainsi, une faute a été sifflée toutes les 3 minutes et 42 secondes durant la Coupe du monde, exactement comme en Ligue 1 cette saison, à la seconde près.
Pas de consigne de l'IFAB
Alors que la L1 reprend mercredi avec Troyes-Nantes et Ajaccio - Angers, à 15 heures, ces tendances arbitrales posent la question de leur prolongement post-Coupe du monde, en France, notamment. Pour que les évolutions arbitrales aperçues durant une Coupe du monde soient étendues de facto aux Championnats nationaux et deviennent obligatoires, il faut que l'IFAB (l'instance qui détermine les règles) en fasse une consigne permanente. À ce jour cela n'a pas été le cas : la FFF n'a rien reçu et ne s'attend pas à recevoir d'injonction avant plusieurs mois, pas avant que le board ne tienne son assemblée annuelle.
« Nous nous concerterons en temps et en heure car la problématique de l'augmentation du temps additionnel mérite un débat »
Le passage au temps effectif - avec augmentation du temps additionnel - n'a pas encore été universalisé par la FIFA, mais rien n'empêcherait la Fédération française de l'expérimenter, après que les différentes parties (clubs, arbitres, joueurs, diffuseurs, instances, collèges médicaux, LFP...) se sont concertées. « Nous nous concerterons en temps et en heure car la problématique de l'augmentation du temps additionnel mérite un débat, considère Éric Borghini, président de la commission fédérale des arbitres. Il sera notamment déterminant de consulter la commission médicale de contrôle de la Fédération pour qu'elle donne son accord. Comment jouer quinze minutes de plus sans demander aux médecins ce qu'ils en pensent ? Et pour le football amateur, que fait-on ? On leur fait jouer cent cinq minutes, eux aussi ? Et en Coupe de France, on fait jouer cent quarante minutes en cas de prolongation (*) ? »
(*) Depuis la saison 2020-2021, il n'y a plus de prolongation en Coupe de France, hormis en finale.
Cette concertation sur le temps additionnel ne sera possible que lorsqu'un nouveau directeur technique de l'arbitrage (DTA) sera nommé, en remplacement de Pascal Garibian, débarqué en novembre. À ce jour, quatre candidats ont été auditionnés : Antony Gauthier, Saïd Ennjimi, Stéphane Lannoy et Alain Sars. Le président de la FFF, Noël Le Graët, devrait prendre sa décision prochainement et le nom du successeur de Garibian devrait être officialisé le 7 janvier, lors de l'assemblée fédérale. Le 16 janvier, un rassemblement des arbitres professionnels est prévu à Clairefontaine, la question du jeu effectif sera abordée, puis débattue auprès de la nouvelle DTA.
L'arbitrage français n'attendra pas d'être sommé par la FIFA pour lever le pied sur les cartons rouges. Son virage anti-répressif, il l'a opéré il y a quelques semaines, avant le début de la Coupe du monde. « Lors des trois dernières journées de Championnat précédant la Coupe du monde, les arbitres avaient mis d'eux-mêmes la pédale douce sur les cartons jaunes et les cartons rouges, ils allaient dans ce sens avant le Mondial et ils vont continuer », révèle Borghini. Et les chiffres lui donnent raison : de la 1re à la 12e journée de L1, les arbitres ont distribué en moyenne 39,4 cartons jaunes et 4,2 cartons rouges par journée de Championnat. De la 13e à la 15e, ils sont passés à une moyenne de 29,7 jaunes et 2,33 rouges, soit une baisse de 24,6 % des avertissements et de 44,5 % des expulsions.
Des cartons pas très vendeurs pour les diffuseurs
Les raisons de cet assouplissement soudain sont à trouver dans la création de la société commerciale de la LFP, un projet mené par Vincent Labrune, le président de la Ligue, afin de promouvoir et de valoriser le produit L1 pour en tirer le meilleur profit lors de la négociation des droits télé. L'attractivité de la Ligue 1 - pour les diffuseurs français et étrangers - passe autant par des stars comme Neymar, Kylian Mbappé et Lionel Messi que par une certaine philosophie du jeu développé dans le Championnat. Pour que le jeu soit « vendeur », il doit être fluide, et pour que le suspense soit préservé, les matches doivent se jouer à onze contre onze le plus longtemps possible.
L'expulsion du Niçois Jean-Clair Todibo (contre Angers, 0-1, le 18 septembre), après seulement neuf secondes de jeu, aussi justifiée soit-elle, n'est pas forcément un exemple à suivre. De la même façon, il est suggéré aux arbitres d'avoir une vraie réflexion au moment de sortir le second carton jaune à un joueur.
« C'est positif qu'il y ait moins de cartons rouges quand ce n'est pas nécessaire »
Plus de souplesse pour plus de fluidité, pour un meilleur spectacle, une meilleure image et un meilleur produit. On est tout près du modèle Premier League, la référence absolue, avec son arbitrage coulant, ses duels et ses fautes parfois à la limite. Des changements auxquels la Ligue 1 est préparée. « C'est positif qu'il y ait moins de cartons rouges quand ce n'est pas nécessaire, estime Philippe Clement, l'entraîneur belge de l'AS Monaco. C'est une sanction très sévère qui change le jeu. Pareil pour les minutes additionnelles, c'est positif : lorsque des équipes veulent freiner le jeu, l'arbitre peut réagir maintenant. »
L'IFAB n'a pas encore donné de consigne permanente et le nouveau DTA n'est pas élu, mais, même sans obligation venue d'en haut, l'arbitrage français va continuer d'évoluer, ce qu'il a déjà fait, pour favoriser une plus grande fluidité du jeu, par contagion aussi. « Pour l'augmentation du temps additionnel, il faudra sans doute attendre la saison prochaine, mais la baisse des cartons devrait se poursuivre », conclut Borghini.
Comment l'arbitrage de la Ligue 1 pourrait s'inspirer de celui de la Coupe du monde
https://www.lequipe.fr/Football/Article ... de/1371816
Les évolutions arbitrales apparues durant la Coupe du monde devraient doucement être appliquées en Ligue 1. Une limitation des sanctions administratives avait déjà été impulsée fin octobre.
Régis Testelin (avec A. M. L.) mis à jour le 27 décembre 2022 à 20h15
Des matches qui durent plus longtemps et des arbitres soucieux de limiter le nombre de cartons rouges : voilà les deux évolutions significatives aperçues durant la Coupe du monde au Qatar et que les statistiques sont venues confirmer. Dans un souci d'augmenter le temps de jeu effectif, les matches du Mondial ont duré en moyenne 104 minutes, contre 96, en Ligue 1, cette saison. D'un autre côté, seulement 4 cartons rouges ont été distribués en 64 matches, soit une expulsion toutes les 1 478 minutes.
« Seulement quatre cartons rouges, c'est impensable, les arbitres ont été hyper laxistes, j'ai vu des choses inacceptables »
On est très loin de la cadence du Championnat de France, où les arbitres sortent le rouge toutes les 250 minutes, six fois plus souvent. Ce « laxisme » en Coupe du monde avait fait bondir Tony Chapron, l'ancien arbitre français, la semaine passée, au micro de Canal +, la chaîne dont il est consultant pour l'arbitrage. « Seulement quatre cartons rouges, c'est impensable, les arbitres ont été hyper laxistes, j'ai vu des choses inacceptables, a-t-il regretté. La FIFA a dit aux arbitres : on ne veut pas de rouges durant cette compétition et on n'en veut pas en finale. Mais pourquoi la FIFA a-t-elle choisi cette orientation-là ? L'arbitre a mis 18 cartons jaunes sur Pays-Bas - Argentine (2-2, 3-4 aux t.a.b. en quarts de finale) car il ne voulait pas mettre de rouge. Si l'Argentine a gagné la Coupe du monde, c'est grâce à ces instructions et ces consignes. On a laissé l'équipe la plus athlétique du tournoi faire un maximum de fautes sans avoir la crainte d'être sanctionnée d'un rouge. »
Au-delà de ces chiffres, l'impression que les arbitres ont beaucoup laissé jouer pour favoriser la fluidité du jeu est remontée à la surface, mais les chiffres ne l'ont pas confirmée. Ainsi, une faute a été sifflée toutes les 3 minutes et 42 secondes durant la Coupe du monde, exactement comme en Ligue 1 cette saison, à la seconde près.
Pas de consigne de l'IFAB
Alors que la L1 reprend mercredi avec Troyes-Nantes et Ajaccio - Angers, à 15 heures, ces tendances arbitrales posent la question de leur prolongement post-Coupe du monde, en France, notamment. Pour que les évolutions arbitrales aperçues durant une Coupe du monde soient étendues de facto aux Championnats nationaux et deviennent obligatoires, il faut que l'IFAB (l'instance qui détermine les règles) en fasse une consigne permanente. À ce jour cela n'a pas été le cas : la FFF n'a rien reçu et ne s'attend pas à recevoir d'injonction avant plusieurs mois, pas avant que le board ne tienne son assemblée annuelle.
« Nous nous concerterons en temps et en heure car la problématique de l'augmentation du temps additionnel mérite un débat »
Le passage au temps effectif - avec augmentation du temps additionnel - n'a pas encore été universalisé par la FIFA, mais rien n'empêcherait la Fédération française de l'expérimenter, après que les différentes parties (clubs, arbitres, joueurs, diffuseurs, instances, collèges médicaux, LFP...) se sont concertées. « Nous nous concerterons en temps et en heure car la problématique de l'augmentation du temps additionnel mérite un débat, considère Éric Borghini, président de la commission fédérale des arbitres. Il sera notamment déterminant de consulter la commission médicale de contrôle de la Fédération pour qu'elle donne son accord. Comment jouer quinze minutes de plus sans demander aux médecins ce qu'ils en pensent ? Et pour le football amateur, que fait-on ? On leur fait jouer cent cinq minutes, eux aussi ? Et en Coupe de France, on fait jouer cent quarante minutes en cas de prolongation (*) ? »
(*) Depuis la saison 2020-2021, il n'y a plus de prolongation en Coupe de France, hormis en finale.
Cette concertation sur le temps additionnel ne sera possible que lorsqu'un nouveau directeur technique de l'arbitrage (DTA) sera nommé, en remplacement de Pascal Garibian, débarqué en novembre. À ce jour, quatre candidats ont été auditionnés : Antony Gauthier, Saïd Ennjimi, Stéphane Lannoy et Alain Sars. Le président de la FFF, Noël Le Graët, devrait prendre sa décision prochainement et le nom du successeur de Garibian devrait être officialisé le 7 janvier, lors de l'assemblée fédérale. Le 16 janvier, un rassemblement des arbitres professionnels est prévu à Clairefontaine, la question du jeu effectif sera abordée, puis débattue auprès de la nouvelle DTA.
L'arbitrage français n'attendra pas d'être sommé par la FIFA pour lever le pied sur les cartons rouges. Son virage anti-répressif, il l'a opéré il y a quelques semaines, avant le début de la Coupe du monde. « Lors des trois dernières journées de Championnat précédant la Coupe du monde, les arbitres avaient mis d'eux-mêmes la pédale douce sur les cartons jaunes et les cartons rouges, ils allaient dans ce sens avant le Mondial et ils vont continuer », révèle Borghini. Et les chiffres lui donnent raison : de la 1re à la 12e journée de L1, les arbitres ont distribué en moyenne 39,4 cartons jaunes et 4,2 cartons rouges par journée de Championnat. De la 13e à la 15e, ils sont passés à une moyenne de 29,7 jaunes et 2,33 rouges, soit une baisse de 24,6 % des avertissements et de 44,5 % des expulsions.
Des cartons pas très vendeurs pour les diffuseurs
Les raisons de cet assouplissement soudain sont à trouver dans la création de la société commerciale de la LFP, un projet mené par Vincent Labrune, le président de la Ligue, afin de promouvoir et de valoriser le produit L1 pour en tirer le meilleur profit lors de la négociation des droits télé. L'attractivité de la Ligue 1 - pour les diffuseurs français et étrangers - passe autant par des stars comme Neymar, Kylian Mbappé et Lionel Messi que par une certaine philosophie du jeu développé dans le Championnat. Pour que le jeu soit « vendeur », il doit être fluide, et pour que le suspense soit préservé, les matches doivent se jouer à onze contre onze le plus longtemps possible.
L'expulsion du Niçois Jean-Clair Todibo (contre Angers, 0-1, le 18 septembre), après seulement neuf secondes de jeu, aussi justifiée soit-elle, n'est pas forcément un exemple à suivre. De la même façon, il est suggéré aux arbitres d'avoir une vraie réflexion au moment de sortir le second carton jaune à un joueur.
« C'est positif qu'il y ait moins de cartons rouges quand ce n'est pas nécessaire »
Plus de souplesse pour plus de fluidité, pour un meilleur spectacle, une meilleure image et un meilleur produit. On est tout près du modèle Premier League, la référence absolue, avec son arbitrage coulant, ses duels et ses fautes parfois à la limite. Des changements auxquels la Ligue 1 est préparée. « C'est positif qu'il y ait moins de cartons rouges quand ce n'est pas nécessaire, estime Philippe Clement, l'entraîneur belge de l'AS Monaco. C'est une sanction très sévère qui change le jeu. Pareil pour les minutes additionnelles, c'est positif : lorsque des équipes veulent freiner le jeu, l'arbitre peut réagir maintenant. »
L'IFAB n'a pas encore donné de consigne permanente et le nouveau DTA n'est pas élu, mais, même sans obligation venue d'en haut, l'arbitrage français va continuer d'évoluer, ce qu'il a déjà fait, pour favoriser une plus grande fluidité du jeu, par contagion aussi. « Pour l'augmentation du temps additionnel, il faudra sans doute attendre la saison prochaine, mais la baisse des cartons devrait se poursuivre », conclut Borghini.
"Yusuf est de retour. Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la Création."
