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Hors ligneMessageNicobungy » dim. 29 mars 2020 21:12

Miam :-)
J'ai l'impression que le deuxième mandat de not'bon président Macron va en énerver quelques-uns. dodger » sam. 29 déc. 2018 23:41
Tu es l'antechrist des climato-dubitatifs ! PO » jeu. 27 déc. 2018 17:27

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En ligneMessageCalamar » dim. 29 mars 2020 23:15

C'est certain qu'Ursula en dresse !

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En ligneMessageHervé » lun. 30 mars 2020 07:16

Le pont aérien avec la Chine concernant les commandes de masques, etc... va durer 14 semaines. A ce rythme ce sera fini avant.
Ou est-ce un indice sur la durée? Donc de ce qu’on vit actuellement?


Bab
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Hors ligneMessageBab » lun. 30 mars 2020 08:21

Je ne comprends pas pourquoi tout le monde est en mode “le pire est à venir”. Quand je vois les chiffres et l’evolution geographique de la pandemie j’ai plutôt l’impression qu’on a deja enduré la vague et que c’est au tour (depuis un bout de temps) de l’espagne/USA.

On va commencer à voir les effets du confinement à partir de cette semaine.
Le fait que la situation reste précaire en Italie amha c’est plus lié à leur système perave de santé qu’à une persistance d’une grande quantité de virus circulant.

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En ligneMessageCasim' » lun. 30 mars 2020 08:41

De tous les pays occidentaux, c'est l'Italie le premier pays touché.
Avec le plus grand nombre de cas et le plus grand nombre de décès.
Quand on regarde les courbes, on se rend compte que la France suit exactement la même trajectoire.
De tous les pays occidentaux, seule l'Italie voit sa courbe pour l'instant légèrement s'infléchir.
Les autres, dont l'Espagne particulièrement, sont dans la phase de montée. Et on ne voit pas comment ça pourrait ralentir pour le moment.
En théorie, le confinement devrait faire son effet, puisqu'on a dépassé la période d'incubation.
Mais, dans les familles, les délais sont rallongés.
Sans parler du fait que le confinement n'a pas été particulièrement bien respecté (tout comme en Italie).

Et puis, ce qui est problématique, c'est le nombre de cas asymptomatiques. Cela fausse totalement la donne.

Pour moi, quand on regarde les courbes dans tous les pays (cf ici : https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/ar ... 55770.html), on voit que cela ne fait que monter depuis les derniers jours.
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.

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Hors ligneMessagejames » lun. 30 mars 2020 09:29

je pense que la contamination inéluctable du personnel soignant et aidant prolonge malheureusement celle des personnes âgées.
Le blocage complet des epad a été trop tardif à mon sens, en rapport direct avec le nombre de lits de réa qui n'a pas augmenté assez vite et a obligé à faire des choix
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.

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Hors ligneMessagePedro_Henrique » lun. 30 mars 2020 10:03

Le nombre de cas officiels au Japon augmente significativement depuis l'annulation des JO...

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En ligneMessageCasim' » lun. 30 mars 2020 10:21

Surprenant...
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.

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Hors ligneMessagejames » lun. 30 mars 2020 10:47

INFORMATIONS GENERALES
30/03/2020
La censure chinoise pourrait avoir favorisé l’ampleur de la pandémie
par éric dussartedussart@lavoixdunord.fr
La vie reprend peu à peu ses droits à Wuhan, après deux mois de confinement. photo afp
Les chiffres donnés par Pékin, s’agissant du nombre de victimes, sont de plus en plus contestés. Pire, Reporters sans frontières analyse la rétention d’informations chinoise et met en évidence le retard pris de ce fait par la communauté mondiale, face à la propagation du virus.
Chine.
La vie semble reprendre son cours lentement, à Wuhan. Une reprise progressive, puisque les aéroports ne rouvriront que le 8 avril, mais certaines gares accueillent à nouveau les trains et les rues sont animées.
Si la presse chinoise était libre, le coronavirus ne serait peut-être pas devenu une pandémie. ReporterS sans frontières
À ce propos, on voit ces derniers jours des files d’attente devant les centres funéraires, où les familles ont été autorisées à venir chercher les urnes contenant les cendres de leurs défunts. Des files mesurées jusqu’à deux cents mètres par l’agence de presse Bloomberg. Un autre site d’informations, Caixin, rapporte que plusieurs milliers d’urnes funéraires ont été livrées dans divers salons de la ville.
Totale contradiction
À Wuchang, un quartier de Wuhan, un salon indique qu’il remettra environ cinq cents urnes par jours, entre le 23 mars et le 4 avril, date de Qingming, la fête des morts. Ce qui représente à peu près 6 500 urnes, rien que pour ce quartier. Tout cela semble en totale contradiction avec le chiffre officiel de 2 535 morts dans la ville de Wuhan, toujours maintenu par les autorités. Certains médecins occidentaux n’hésitent plus à accuser ouvertement la Chine de mensonge, à ce propos. Le chiffre de 3 295 décès sur toute la Chine continentale fait notamment réfléchir, si on le rapporte aux près de 11 000 morts italiens ou aux quelque 6 500 espagnols.
Mais, pire, la Chine est également suspectée d’avoir une énorme responsabilité dans le départ de la pandémie en retenant, entre fin décembre et début janvier, des informations qui auraient permis de contrôler la diffusion du virus à l’intérieur de ses frontières et aux autres pays de mieux se préparer.
Reporters sans frontières (RSF) livre une liste d’informations importantes qui n’ont pu être diffusées. Le 20 décembre, par exemple, Wuhan comptait soixante malades : « Si les autorités n’avaient pas caché aux médias l’existence d’un début d’épidémie liée à un marché très populaire, le public aurait de lui-même cessé de fréquenter ce lieu », estime RSF.
Ou encore, lorsque la directrice du département de gastro-entérologie de l’hôpital numéro 5 de la ville de Wuhan constate la transmission d’humain à humain dès le début de janvier : « Si les sources des journalistes en Chine ne risquaient pas de graves sanctions pouvant aller jusqu’à de lourdes peines de prison, la docteure Lu Xiaohong aurait sans doute pris la responsabilité d’alerter les médias, forçant les autorités à agir trois semaines plus tôt qu’elles ne l’ont fait. »
Le directeur du bureau de RSF à Taïwan cite une analyse des chercheurs de l’université de Southampton, qui « suggèrent que le nombre de cas de coronavirus en Chine aurait pu être réduit de 86 % si les mesures de lutte contre l’épidémie, prises à partir du 20 janvier, avaient été anticipées de deux semaines ». La Chine aura-t-elle un jour à expliquer tout cela ?
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.

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Hors ligneMessagejames » lun. 30 mars 2020 11:04

INFORMATIONS GENERALES
30/03/2020
2 000 à 2 500 personnes contaminées lors du rassemblement évangélique
Le pasteur Peterschmitt, également médecin généraliste à Mulhouse, est l’organisateur du rassemblement. Photo AFP
Selon une enquête de la cellule d’investigation de Radio France, le rassemblement évangélique de Mulhouse en février n’aurait pas contaminé une centaine de fidèles mais presque la totalité des personnes présentes.
mulhouse.
C’est une enquête édifiante publiée samedi par la cellule d’investigation de Radio France. Celle-ci, qui se base sur des témoignages de médecins, révèle que ce ne sont pas une centaine mais 2 000 à 2 500 personnes qui ont été contaminées lors du rassemblement évangélique de Mulhouse, qui a eu lieu du 17 au 24 février, soit la quasi-totalité des fidèles. Le temps que les autorités se rendent à l’évidence, il était déjà trop tard. Le plus grand cluster de France était né.
Le préfet, droit dans ses bottes, déclarait qu’on était en phase2, que la situation était maîtrisée.
« Pendant ces cinq jours, les fidèles se sont salués, se sont fait la bise et se sont tenus par la main en priant pendant les célébrations », raconte Nathalie Schnoebelen, chargée de communication de la Porte ouverte, l’une des plus grandes associations évangéliques de France. À cette époque, les « gestes barrières n’étaient pas encore recommandés par les autorités sanitaires ».
Dès le 20 février, des participants du rassemblement vont consulter Patrick Vogt, médecin généraliste à Mulhouse : « J’ai demandé à l’un d’eux si beaucoup de gens toussaient au rassemblement et il m’a répondu : Oui, la plupart. »
Il faudra attendre le 1 er mars pour qu’une fidèle testée positive alerte l’église évangélique. Dès le 2 mars, le pasteur Peterschmitt, médecin généraliste à Mulhouse et organisateur du rassemblement, remarque que l’église, d’habitude pleine à craquer, est à moitié vide. Il fait le lien avec le Covid-19.
« de 500 à 1 000 appels »
Il sera lui-même testé positif, tout comme dix-huit membres de sa famille. Selon lui, comme pour Patrick Vogt, la quasi-totalité des fidèles présents au rassemblement ont été contaminés. Les autorités sont alertées.
Pendant ce temps, le virus circule sur le territoire, transporté par les fidèles rentrés chez eux : en Corse, en Guyane, à Orléans, Besançon, Saint-Lô, Belfort, Dijon, Mâcon, Agen, Briançon, Paris.
Le 3 mars, le D r Patrick Vogt est de garde au SAMU. « On est passés de 500 appels habituellement à 1 000 appels, c’était du jamais vu. Les gens disaient tous la même chose : On est évangéliques, on était à la cérémonie, on est tombés malades », raconte-t-il.
Au même moment, la préfecture et l’Agence régionale de santé du Grand-Est ont publié un communiqué évoquant « plusieurs cas » contaminés lors du rassemblement et ont appelé les participants à se manifester auprès des autorités sanitaires.
Le médecin estime que ces dernières n’ont pas pris conscience de ce qu’il se passait : « Le préfet, droit dans ses bottes, déclarait qu’on était en phase 2, que la situation était maîtrisée, qu’on avait dix-huit cas. » HASSINA DRIS
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.

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Hors ligneMessagejames » lun. 30 mars 2020 11:14

INFORMATIONS GENERALES
30/03/2020
Patrick Zylberman « Tout cela entraîne une anxiété et des réactions étranges »
PAR OLIVIER BERGERoberger@lavoixdunord.fr
Patrick Zylberman, historien de la santé. PHOTO GALLIPrevious
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De tout temps, les épidémies et autres pandémies ont effrayé et mis à rude épreuve les humains. Le coronavirus n’échappe pas à la règle, même si on ignore encore l’étendue des dégâts sur nos sociétés. Décryptage avec l’historien de la santé Patrick Zylberman (1).
Quels impacts peuvent avoir une crise comme celle du coronavirus ?
« Le passage d’une épidémie de grande ampleur comme celle d’aujourd’hui peut constituer une triple crise, sanitaire, économique et géopolitique. Nous ne sommes qu’au milieu du gué et il est difficile de savoir si cette crise sera plus compliquée à gérer que le simple passage d’une grippe saisonnière. Les conséquences ne dépendent pas seulement du nombre de morts. Même compte tenu des bilans en Chine ou en Italie, la morbidité (le pourcentage de malades) et la mortalité de ce coronavirus sont bien inférieures à la grippe saisonnière qui peut aller jusqu’à 18 000 décès en France. Et je ne parle pas de la grippe espagnole et ses 50 millions de morts en 1918-1919. »
– Si l’on remonte au Moyen Âge, la grande peste noire fit des ravages considérables…
« Avant la vague de peste de 1348, la société est en surpopulation avec des salaires très bas et des revenus fonciers très élevés provoquant un déséquilibre entre travailleurs et propriétaires. Après le passage de la peste, qui fauche 30 à 60 millions d’Européens sur environ 80 millions d’habitants, se produit un complet remaniement du paysage socio-économique. La sous-population et le manque de bras entraînent l’augmentation des salaires et la rente est en chute libre. Le moment de gloire du bacille de la peste est un moment de gloire de l’ouvrier. Elle entraîne aussi des avancées technologiques. Avec le manque de bras, on crée des machines, le moulin à eau, la presse à imprimer… Pour certains historiens, cet épisode est un préalable à la Renaissance. »
– Comment le monde s’est-il relevé de la grippe espagnole de 1918-1919 ?
« Paradoxalement, malgré ses 50 millions de morts – plus que la Première Guerre mondiale (18,6 millions) –, la grippe espagnole n’a eu aucun effet sur la société. Il y eut un choc économique, mais l’épidémie passée, les affaires repartirent en 1921. Les sociétés, déjà traumatisées par la guerre, oublient le choc de la grippe pandémique. Comme dit Nietzsche, l’oubli est indispensable à la volonté de vivre . Cela dit, la grippe espagnole fut une grippe spéciale. Au lieu de s’attaquer aux extrémités de la vie, les tout-petits et les personnes âgées, elle a pris des gens entre 15 et 40 ans, fait incompréhensible et toujours inexpliqué. »
– Quelle épidémie a provoqué le plus de craintes chez les populations ?
« Le choléra a fait très peur à son arrivée en Europe, en 1832, et tua 30 000 personnes à Paris. Il tuait facilement et de manière sale car c’est une maladie intestinale. Dans Le Hussard sur le toit de Giono, il y a des descriptions extraordinaires et très réalistes. Le XIX e siècle est alors le théâtre d’une bataille des idées entre les contagionnistes et les anti , qui pensaient que les infections ne passaient pas par les personnes mais par la production de miasmes comme une maladie de l’environnement. Koch prouvera le contraire (identification du bacille en 1884). Et la question pour la grippe ne sera réglée qu’en 1889-1891. »
– Des épidémies peuvent-elles avoir des effets politiques ?
« La variole a été une très grande tueuse. Elle fut éradiquée en 1980 après une bataille de vingt ans. Ce fut une affaire entre les États-Unis pour la direction et l’URSS pour la fabrication du vaccin, lors d’une période de dégel. Une campagne mondiale gratuite de vaccination fut lancée, notamment en Inde. C’est un grand épisode méconnu de la guerre froide. Pour les États-Unis, il s’agissait d’exister dans le tiers-monde délaissé et pour l’Union soviétique de consolider sa puissance. Tout cela n’a pas empêché les Soviétiques de lancer un programme secret de militarisation des virus en 1974. On ne sait d’ailleurs pas très bien ce qu’il est devenu… »
– Comment la Chine, montrée du doigt avec le coronavirus, tente-t-elle d’inverser la tendance ?
« La Chine doit aussi faire oublier ses tricheries de 2003 où elle avait caché l’épidémie de SRAS pendant quatre mois. Au début du coronavirus, il y avait une méfiance vis-à-vis de Pékin. Depuis, la Chine fait des efforts de communication scientifique. Elle distribue des masques dans le monde entier. Sans les États-Unis, en retard dans la crise, elle joue son rôle de leader, de premier pays à avoir ralenti la maladie. »
– Comme pour la chirurgie de guerre, quels types de progrès en médecine ont apporté les épidémies ?
« Incontestablement, la vaccination, notamment pour la variole en 1798 et les grippes. Nos prédécesseurs se trouvaient sans défense face au virus grippal, celui de 1918-1919 ne fut découvert qu’en 1933. Il n’existait ni vaccin ni antiviraux, même pas d’antibiotiques. Les malades furent en fait une minorité à mourir de la grippe. Affaiblis, ils tombaient souvent de surinfection bactérienne, provoquant des pneumonies, des broncho-pneumonies, voire la tuberculose. »
– Découvre-t-on de plus en plus rapidement les virus et les vaccins ?
« Le virus du SRAS, en 2003, a été découvert en quelques semaines. Aujourd’hui, l’ARN (acide ribonucléique) permet d’identifier très rapidement la formule génétique d’un virus. Début janvier, les scientifiques chinois ont pu communiquer. Pour autant, on ne peut pas accélérer les processus naturels. Attendre qu’un germe soit testé sur des œufs, ça peut prendre des semaines. Puis, il y a les essais cliniques sur les animaux, les humains… »
– Comment est-on passé de la quarantaine au confinement ?
« Pour une quarantaine, on enferme dans un périmètre clos des gens asymptomatiques. Parmi eux, certains sont contagieux, d’autres pas. Au lieu de contenir le mal, on le propage. Les villes italiennes du XIV e siècle érigeaient des palissades. Bien sûr, ces barrages étaient incapables de stopper la contamination. On voit encore des failles aujourd’hui en Italie et en France. Comme à la gare Montparnasse lors de l’annonce du confinement, où on a vu les voyageurs s’entasser dans les trains pour quitter Paris et partir en province… Le confinement individuel des gens en bonne santé peut être efficace s’il dure un certain temps. Dans les épidémies anciennes, on faisait l’inverse en plaçant les malades en quarantaine qui mouraient chez eux et on mettait des pancartes d’avertissement sur les habitations. »
– Combien de temps un confinement doit-il durer ?
« C’est un chiffre pratiquement impossible à donner, plus de quinze jours en tout cas. Ce confinement est inédit, à part en 2003 en Asie, dans le Pacifique et l’Ontario. Les gens avaient été amenés à faire attention pour ralentir l’épidémie et ça avait fonctionné. Mais il ne se suffit pas en lui-même. Il faut aussi soutenir l’effort hospitalier en faveur des gens très malades. »
– Pourquoi ces maladies provoquent-elles autant de peurs ?
« La peur est multiforme. Il y a celle qui rend prudent et celle qui pousse à l’imprudence, comme confisquer des masques qui n’empêchent pas la contagion mais pourraient manquer aux soignants. On n’a plus confiance en personne, on pense que les dirigeants, les experts sont incompétents. Tout cela entraîne une anxiété et des réactions étranges, comme ces rayons dévalisés et cette énigme du rush vers le papier toilette… »
– La dramatisation politique participe-t-elle de cette anxiété ?
« Emmanuel Macron cherchait à mobiliser la population, mais selon moi, il n’aurait pas dû répéter nous sommes en guerre . Nous ne sommes pas en guerre. La guerre, ça tue des jeunes hommes et ça rend les femmes malheureuses. Il aurait dû énumérer les mesures d’un ton sec : Voilà ce qu’on risque, voilà ce qu’il faut faire. Cela aurait empêché les comportements ridicules et perturbateurs. »
1. Patrick Zylberman est professeur émérite d’histoire de la santé à l’École des hautes études en santé publique. Il a été membre de la commission spécialisée maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique de 2009 à 2016. Il est notamment l’auteur de « Tempêtes microbiennes » (Gallimard, 2013).
Modifié en dernier par james le lun. 30 mars 2020 11:29, modifié 1 fois.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.

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Hors ligneMessagejames » lun. 30 mars 2020 11:15

je vous ai mis de la lecture.....
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.

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Hors ligneMessageFEEJ » lun. 30 mars 2020 11:33

Merci James, tous 3 très intéressants
L’idiot du villaz, j’ai jamais été fan

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Hors ligneMessagerud » lun. 30 mars 2020 11:35

Je vais vous épargner la lecture : C'est la faute à Macron.

Voila, 10 min de votre vie économisée. Ne me remerciez pas.

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Hors ligneMessageWoody » lun. 30 mars 2020 11:49

rud a écrit :Je vais vous épargner la lecture : C'est la faute à Macron.

Voila, 10 min de votre vie économisée. Ne me remerciez pas.


En tous cas, on dirait qu'il y a des personnes que ça attriste beaucoup ces attaques contre ce si bon Macron ;)
“Les économistes sont présentement au volant de notre société, alors qu’ils devraient être sur la banquette arrière.”

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Hors ligneMessageJeanne Massa » lun. 30 mars 2020 11:59

Patrick Devedjian, il aura attendu 3 jours avant sa mort pour comprendre l'utilité d'un hopital public.
C'est dommage.

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Hors ligneMessagerud » lun. 30 mars 2020 12:03

Woody a écrit :
rud a écrit :Je vais vous épargner la lecture : C'est la faute à Macron.

Voila, 10 min de votre vie économisée. Ne me remerciez pas.


En tous cas, on dirait qu'il y a des personnes que ça attriste beaucoup ces attaques contre ce si bon Macron ;)


Balek de Macron. Je suis juste un peu fatigué de voir les gens réécrire l'histoire après coup...

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En ligneMessageHervé » lun. 30 mars 2020 12:07

james a écrit :Source of the post je vous ai mis de la lecture.....


Pavé Cesar. Dur sur un téléphone. ;-)

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Hors ligneMessageBab » lun. 30 mars 2020 12:12

D'ailleurs j'y ai pensé hier, y en a qui sont peu touchés mais qui doivent serrer les fesses +++ c'est les grecs.


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